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Les commentateurs politiques vont bon train, dans la situation politique incertaine de la France. Beaucoup célèbrent le fait que la France rentre dans le champ de nombre de démocraties européennes gouvernées par des coalitions souvent longues à constituer. D’autres évoquent avec nostalgie, semble-t-il, la IIIe ou la IVe République et expliquent que, en fin de compte, le système fonctionnait. C’est oublier un peu vite que les régimes politiques obéissent à une logique institutionnelle propre.
Voici la seconde partie de l’entretien de Gérard Leclerc réalisé par l’abbé de Tanoüarn sur Radio Courtoisie. Ou l’on découvre un maître trop peu connu de l’Action française après la mort de Maurras : Pierre Debray
ABBÉ DE TANOÜARN –Dans votre livre, vous en parlez beaucoup. Ces deux hommes sont d’ailleurs très différents. Pierre Boutang est sorti de l’université normalien, agrégé, docteur. Pierre Debray semble plutôt un journaliste autodidacte…
Chaque été, les faits se répètent et chaque été, les collectivités ne peuvent rien faire à part prendre des mesures générales par trop inefficaces. Certaines bases de loisirs de la Région Parisienne sont devenues des zones de non-droit où des bandes de jeunes, généralement suédois, luxembourgeois et finlandais sèment la terreur.
Paris ne s'est pas fait en un jour, ni la baignabilité de la Seine pour les Jeux olympiques en quatre ans. Contrairement à ce que pourraient laisser croire les auto-congratulations d'un Emmanuel Macron et d'une Anne Hidalgo après la réussite de ces JO 2024. Pour assurer la prestation parfaite de cette grande dame - la Seine, pas Anne Hidalgo - depuis la parade de l'ouverture jusqu'aux compétitions de triathlon et aux ablutions d'Amélie Oudéa-Castéra et du maire de Paris, il a fallu bien des efforts en amont. En amont dans le temps, donc. Et, bien sûr, dans l'espace. Pour que l'eau fût parfaite - ou à peu près - entre pont de Sully et pont Mirabeau, il a fallu œuvrer bien en amont. En effet, la Seine est loin d'être un long fleuve tranquille.
Le temps politique suspend son vol à la faveur de la trêve olympique décrétée par le président Macron. Dans la torpeur estivale, on pourrait avoir l’impression d’une sorte d’apaisement. Après la séquence politique difficile des élections, ce moment serait après tout une respiration bienvenue propre à refroidir les esprits. On se trompe. La France est plus que jamais une cocotte-minute où les urgences s’accumulent. En matière économique en particulier, la période actuelle est préoccupante.
La monarchie, dans la pensée maurassienne, est représentée comme le couronnement du nationalisme intégral. Le patriote peut se croire républicain, dit Maurras. Pourtant, il aime mieux voir la force française s’unir et se multiplier devant les rivalités étrangères, que de se diviser et de s’épuiser dans les conflits intérieurs.
Un réfugié politique soudanais de 27 ans a été interpellé pour viol, à Clermont Ferrand, dans le Puy de Dôme, ce vendredi, vers 4h45, indique une source policière.
On ne peut guère s’empêcher de penser à un montage du même acabit que le Covid, avec cette variole du singe. Médiatiquement, cela s’emmanche de la même manière. Des pseudo-spécialistes qui expliquent que la maladie va arriver en Europe, mais que nous réussirons à la contenir. Un ton docte, des conseils et des perspectives quasiment identiques à ceux qui ont précédé l’arrivée du Covid en Europe. Ce n’est plus le pangolin, c’est un singe. Curieusement, Karine Lacombe est déjà ressortie de son oubli et se remet à pérorer sur la maladie, en préconisant la vaccination. Pas de ce vaccin que les générations les plus âgées connaissent, pour avoir été vaccinées et qui est tombé dans le domaine public et donc ne rapporterait rien, mais un vaccin nouveau, commercialisé par la boîte danoise Bavarian-Nordic, qui indique déjà qu’elle est prête à fabriquer des millions de doses… la boîte possède des intérêts en Suisse, aux Etats-Unis, au Danemark et en Allemagne, ainsi qu’un actionnariat complètement international, dont la France.