Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je vous dis depuis quelques jours que quand il n’y a plus de sous, il n’y a plus sous.
Je vous dis depuis plusieurs années que les conséquences de la faillite ou les conséquences de la politique à mener pour éviter la faillite sont sensiblement identiques.
Je vous dis également depuis l’élection de Miléi que ce qui se passe en Argentine va être un laboratoire passionnant à étudier et à regarder en évitant les hurlements de type pensées sur étagères.
Je vous propose donc de parler de Miléi et puis après de Gabriel Attal.