
La « trêve olympique » est finie et l'enfer sécuritaire français revient au galop. Ne pas s'habituer, jamais. Pour ouvrir les yeux de ceux qui ne voient pas le drame français, nous avons recueilli sur les dix derniers jours quelques uns de ce que l'on appelle à tort les "faits divers". Ils sont devenus en réalité un long fleuve de faits de société que certains tentent d'invisibiliser. C'est un devoir, pour l'honneur de la France, des victimes, des Forces de l'ordre de rappeler les conséquences quotidiennes des décisions prises par nos responsables politiques.