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Alors que six militants patriotes viennent de se voir lourdement condamnés, de manière inique, par les juges de Romans, pour une manifestation de soutien à Thomas, sans violence, alors que Darmanin et ses préfets multiplient les interdictions de rassemblement de groupes de jeunes patriotes dans toute la France, Jean-Philippe Tanguy, député du Rassemblement national, vient de confirmer jusqu’où pouvait aller la dédiabolisation de son parti.
(…) Sur les grands écrans de la salle d’audience du tribunal de Cherbourg défilaient les images d’une voiture entraînant de plus en plus vite un homme le bras passé dans la portière côté conducteur…
Jusqu’à ce que, ne pouvant plus courir assez vite, l’homme se trouve éjecté brutalement sur la chaussée, face sue le bitume, et y reste inanimé, le conducteur de la voiture accélérant à nouveau pour quitter les lieux.
D'abord interdit par le pouvoir macronien, le rassemblement parisien en mémoire de Thomas a finalement été autorisé suite au recours devant le tribunal administratif déposé par les organisateurs. Bravo à eux, c'est une baffe de plus pour le sinistre Damanin, l'apprenti tyran de la place Beauvau.
Depuis ce qu’il est convenu d’appeler « le drame de Crépol », les politiciens de tous bords se succèdent sur les plateaux de télévision. Certains jouent toujours la même partition (presque tous, à vrai dire). D’autres n’hésitent pas à « dire les termes », comme disent les jeunes, quitte à faire ce que l’on pourrait appeler de la surenchère (Reconquête, par la voix de Marion Maréchal, ou Éric Zemmour) : ils participent à la popularisation des expressions « Français de papiers » ou « racisme anti-Blanc » et n’hésitent pas à relativiser la « menace » que représentent les 80 patriotes sans armes venus à Romans-sur-Isère, dont l'un a été lynché par des racailles sans que cela n'émeuve plus que cela. D’autres, encore - c’est le cas du RN -, font du crypto-macronisme, comme Jean-Philippe Tanguy sur LCI, ce 1er décembre. Le RN a un boulevard devant lui. On a compris qu’il était définitivement dédiabolisé. De là à approuver Gérald Darmanin quand il dissout des groupes identitaires, de là à considérer que ces groupes sont une menace pour quiconque, il y a tout de même un pas. Espérons que cela leur serve, au moins…
L’alliance de la gauche aura tenu à peine plus d’un an. « Il n’y a plus de Nupes, alors on fait semblant qu’il y en a toujours une (…) Ce qu’on a construit est déjà détruit », a avoué Jean-Luc Mélenchon, au lendemain d’une réunion publique à Rochefort (Charente-Maritime), ce jeudi 30 novembre, rapporte Le Figaro.
Le tribunal administratif a suspendu vendredi soir l’arrêté d’interdiction de rassemblement à Paris d’un groupuscule de l’ultradroite en hommage au jeune Thomas tué lors d’une fête de village dans la Drôme, estimant qu’il s’agissait d’une «atteinte grave à la liberté de manifester». (…)
J’étais l’invitée d’Amandine Bégot pour la Matinale de RTL.
J’ai refusé de participer à cette grossière tentative de diversion qui consiste à condamner des manifestations de « l’ultra-droite ».
Je le refuse, car je ne supporte plus que l’assassinat dramatique du jeune Thomas à Crépol soit minimisé, alors qu’il est un fait de société ; que le racisme anti-blanc et la haine anti-française soient dissimulés par les juges et par les journalistes, alors qu’il tue des Français !
Le sénateur de Loire-Atlantique Joël Guerriau, soupçonné d’avoir drogué le député Sandrine Josso en vue de la violer, avait été placé en garde à vue. L’élue Renaissance du Loiret Caroline Janvier révèle que ce n’est pas un cas isolé :
«Il y a des soirées où de la drogue circule.» «Comme il y a des dîners ou des fins de sessions parlementaires où il y a une consommation excessive d’alcool».
«Il faut aussi analyser ce phénomène comme un système, sans rien excuser.»
Un extrait de l’émission Envoyé spécial du jeudi 30 novembre a rencontré un vif succès sur les réseaux sociaux. Le sujet ? Les émeutes de juin dernier, avec une étude de cas : la petite ville de Montargis, dans le Loiret, 15.000 habitants. Avec son commissariat, sa mairie et sa rue commerçante saccagés et incendiés, elle est « devenue l’un des symboles de ces violences urbaines sans précédent », des violences dont on nous explique qu’elles « ont profondément marqué la ville ».