
Un adolescent de 15 ans est mort poignardé samedi 27 avril. Une enquête a été ouverte par le parquet de Châteauroux.
L’assassin est un jeune homme de nationalité afghane dont les parents sont en situation régulière.
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Un adolescent de 15 ans est mort poignardé samedi 27 avril. Une enquête a été ouverte par le parquet de Châteauroux.
L’assassin est un jeune homme de nationalité afghane dont les parents sont en situation régulière.
La chronique de Philippe Randa
D’un côté à l’autre de l’Atlantique, le conflit israélo-palestinien semble désormais au cœur des campagnes électorales, que celles-ci soient présidentielles ou européennes. La preuve par ces campus américains où l’on interdit aux étudiants à calotte d’entrer en cours et par l’université de Sciences Po Paris où des étudiants pro-Palestiniens occupent et bloquent l’accès aux locaux… avec une exception notoire pour Rima Hassan, candidate de la France insoumise aux élections européennes, qui leur a rendu hommage en déclarant : « Ces étudiants sont en train véritablement de porter l’honneur de la France. »
Le 13 mars, une collégienne toulousaine a été hospitalisée après son agression par des jeunes venus en découdre devant son établissement. Un cas de violence mis sous silence par la direction du collège et l’inspection académique, mais dénoncée par un enseignant.
C’est un professeur du collège Hubertine Auclert à Toulouse qui, au lendemain de l’agression d’un professeur de technologie par son élève au collège Bellevue, a souhaité briser le silence. Et dénoncer tout haut des faits de violence survenus, le 13 mars, vers 12 h 30, à l’encontre d’une collégienne, qui n’ont fait l’objet “d’aucune communication spontanée vers l’équipe éducative” de la part de la direction de l’établissement.
La dérive du système éducatif et des institutions républicaine est illustrée par l’occupation de Science Po, à Paris, et dans d’autres villes, par des étudiants et amis, fanatisés, qui bloquent l’accès aux sites. Les drapeaux palestiniens sont aux fenêtres et les forces de l’ordre ne bougent pas vraiment. Des militants pro-palestiniens enchaînent les nuits dans le bâtiment historique de l’institut d’études politiques du 7e arrondissement et bloquent encore l’accès à l’école, ravitaillés grâce à des sacs de courses hissés à bout de bras. Ils veulent une rupture des partenariats entre Science Po et les universités israéliennes, comme aux États-Unis, où des étudiants protestent contre le soutien du gouvernement américain à l’État d’Israël.
Dans le quartier Pissevin, haut lieu du trafic de stupéfiants de Nîmes (Gard) et sa région, régulièrement le théâtre de violents règlements de compte, les enquêteurs spécialisés multiplient les investigations pour essayer de cerner au plus près le trafic et de serrer les trafiquants. Dans un dossier éloquent, que Le Parisien a pu consulter, est défini l’organigramme du clan de la ZUP Sud, le principal point de deal du département. Le compte est vite fait : le four de la galerie Wagner rapportant selon les estimations 40 000 euros par jour, ce sont un peu plus de deux jours de chiffre d’affaires qui sont consacrés par les trafiquants à la sécurité des lieux.
C’est un article de BFM RMC source ici qui revient sur le miracle économique sur l’immobilier parisien.
Encore une fois, je scinde deux choses. Une crise immobilière qui concerne la valorisation des biens et n’affecte pas directement nos concitoyens les plus modestes ou les plus fragiles qui ne sont pas propriétaires mais généralement locataires, et une crise du logement, qui, elle, touche tout le monde et tous ceux qui ont besoin de se loger.
D’un côté une crise plutôt financière, de l’autre une crise de l’économie réelle.
Bien évidemment souvent une crise immobilière devient une crise du logement.