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religion - Page 147

  • Les islamistes massacrent des enfants dans une école au Pakistan

    141 personnes, en majorité des écoliers, sont mortes dans l’attaque d’une école militaire par des islamistes à Peshawar.

    L’assaut a été revendiqué par les taliban du TTP, un mouvement islamiste dont les bastions se situent dans les zones tribales du nord-ouest du Pakistan. Le porte-parole du mouvement, Muhammad Khurasani, a expliqué que “cette attaque est une réponse à l’offensive Zarb-e-Azab, à la vague d’assassinats perpétrée contre les taliban et au harcèlement de leurs proches”. Il a ajouté avoir mené cette attaque “après une enquête qui a indiqué que les enfants de plusieurs hauts responsables de l’armée étudient dans cette école”.

    La majorité des enfants ont été tués d’une balle dans la tête, a précisé le ministre provincial de l’Information Mushtaq Ghani.


  • Surtout pas de stigmatisation !

    Comme pour les affaires Merha et Nemmouche, les médias français ne veulent surtout pas stigmatiser. Lu sur Causeur :

    2014-12-15T030910Z_1898693965_GM1EACF0U4802_RTRMADP_3_AUSTRALIA-SECURITY_0"Jusqu’où ira-t-on trop loin dans la lutte contre la stigmatisation ? Le débat vient d’être relancé ce matin par le présentateur du JT de BFM-Business. Ouvrant son journal de 8h, comme tous ses collègues des autres chaines par la prise d’otages de Sydney, il a expliqué que celle-ci était due à « un homme aux motivations vraisemblablement politiques ». On n’en saura pas plus.

    En l’état actuel des choses, cette façon de présenter l’info appelle quelques corrections factuelles.

    Tout d’abord, il semblerait, d’après toutes les dépêches d’agences, que les motivations du preneur d’otages soient explicites (...). Donc mon estimable confrère aurait dû parler, soit d’un «homme aux motivations possiblement politiques » soit d’un «homme aux motivations manifestement politiques ». La seconde option paraissant tout de même beaucoup plus raisonnable, notre preneur d’otages (...) a demandé, en plus d’une ligne directe avec le premier ministre australien, qu’on lui amène un drapeau de l’Etat Islamique.

    Ce qui nous amène à notre deuxième correctif mineur.  Toutes les dépêches indiquent en effet qu’avant même de disposer d’un fanion officiel de l’Etat Islamique, le preneur d’otages a, dès qu’il s’est rendu maitre des lieux, aussitôt affiché sur la vitrine du Café Lindt un drapeau noir où l’on pouvait lire un texte en arabe qualifié par tous les envoyés spéciaux de «profession de foi musulmane ». Compte-rendu de mes très faibles connaissance en langue arabe, cette dernière info reste à vérifier, mais il y a fort à parier que ladite inscription ne signifie pas « Joyeux Noël à tous »(...)

    Il n’est certes pas à exclure qu’on ait affaire à un total cinglé. Mais un fou furieux islamiste est à la fois un fou furieux ET un islamiste (...)

    Cela dit, s’il avait dit les choses aussi clairement peut-être se serait-il exposé à l’accusation de vous-savez-quoi. Or le vous savez quoi est un danger qui  nous menace tous (...) L'idée générale est semble-t-il de lutter, lâchons-le mot, contre l’islamophobie.

    Pour l’instant, personne ne pourra accuser d’islamophobie mon très prudent confrère de BFM-Business. On espère néanmoins que la caractérisation du preneur d’otages sera réévaluée dans les JT à venir de la chaine, sans que le supposé djihadiste coupe quelques têtes pour prouver qu’il est bien ce qu’il est , et que certains ont un peu de mal à nommer."

    Philippe Carhon

  • Guerre des crèches : la "greffe d'une métaphysique laïque sur la nation ne prend pas"

    La chronique de Guillaume de Prémare sur Radio Espérance :

    "A quelques semaines de Noël, voici la France en pleine guerre des crèches. Est-ce le retour de la guerre de 1905 ? Je ne crois pas : l'Etat n'a aujourd'hui aucune envie de rallumer la guerre religieuse. Oh, il y a bien la hargne des vieux bouffeurs de curés, grisons et têtes chenues, vieux cons, quoi... mais je crois que l'affaire des crèches traduit une chose plus profonde. Je crois que nous assistons à une crise du fait religieux comme processus culturel. A mon avis,deux vieilles utopies jacobines sont en train de tomber : celle d'un espace public vierge de références religieuses, y compris traditionnelles et culturelles, et celle d'une communauté nationale unie autour d'une métaphysique laïque.

    Le premier point est assez simple : la religion, c'est-à-dire l'adhésion à une fois pratiquée en communauté selon certains rites, produit des phénomènes sociaux et culturels - c'est ce que l'on nomme le fait religieux. Oh, on peut sauter comme un cabri en criant "sphère privée", "sphère privée" - le fait religieux est là, dans l'espace public, irrépressible, têtu.

    Le second point est plus complexe. Ferdinand Buisson avait compris qu'il n'y aurait pas de communauté républicaine sans religion laïque. Il savait qu'aucune réalité politique ne s'incarne sur la durée sans transcendance ni métaphysique politique. D'une certaine manière, il faut un Dieu à la nation. Le problème est que la tentative historique d'une greffe d'une métaphysique laïque sur la nation ne prend pas. Pas davantage hier sous la Révolution qu'aujourd'hui en république post-révolutionnaire. Cette greffe ne prend pas car elle est inapte à opérer une incarnation populaire. Et elle prend d'autant moins aujourd'hui que l'identité historique traditionnelle de la France est de retour. C'est un fait. Le besoin d'identité revient par la grande porte de l'histoire et la mystique laïque s'épuise à tenter d'y répondre. Elle s'en aperçoit, se crispe, serre les mâchoires à la manière de Valls et sombre dans la vaine incantation répétant comme un manthra son credo auquel plus grand monde ne croit.

    Il est intéressant que ce profond besoin d'identité englobe de plus en plus le fait religieux. Ici le religieux devient un élément d'identité. Les catholiques peuvent certes s'en réjouir : après tout, n'y a-t-il pas un terreau culturel propice pour semer la foi ? Cependant, les catholiques ne peuvent vivre leur religion comme une simple composante d'une identité, comme un fait religieux principalement culturel. La religion des catholiques suppose une foi dans le Christ ressuscité. Cette foi, partagée à travers tant de cultures, de peuples et de nations ne fournit pas d'identité en elle-même, sinon celle de la personne du Christ. Si cette foi est surnaturelle, si elle est tendue vers la recherche de Dieu, elle produira naturellement une culture populaire authentique qui sera le terreau pour une nouvelle moisson chrétienne. Voilà pourquoiles catholiques ne peuvent regarder la guerre des crèches avec le même oeil que les autres : ils savent que sous l'écume des passions, il y a Dieu qui travaille la matière de l'histoire et qui appelle."

    Louise Tudy

  • L’État islamique en Irak et au Levant utilise ouvertement des esclaves sexuelles

    Sous couvert d’une interprétation rigoriste de l’islam d’inspiration wahhabite, ces barbares dénués d’empathie, et de raison, se permettent les pires atrocités.

     

    L’État islamique en Irak et au Levant représente la quintessence même de la négation de la vie. Cette organisation théocratique d’obédience islamique radicale et littéraliste n’hésite pas à tuer, torturer, mettre en esclavage les populations insoumises. Véritable Léviathan totalitaire, ces terroristes veulent soumettre le monde à l’abstraction de la superstition et à une vision terrible d’un dieu vengeur et tortionnaire.

    Dans un document  publié le 3 décembre par le « Département des prisonniers et des affaires de la femme » (sic) du groupe terroriste islamique sont décrits les sévices à infliger aux esclaves sexuelles, en des termes qui donnent la nausée : « Les filles vierges peuvent être violées immédiatement après avoir été achetées par leur propriétaire. Celles qui ont déjà eu des rapports sexuels doivent avoir leur utérus “purifié” en premier. » Il est aussi expliqué, dans ce même document, que « les polythéistes, chrétiennes et juives sont autorisées à devenir esclaves ». Sont particulièrement visées les femmes yézidi (un culte issu de la tradition des premières religions perses dites « zoroastriennes »), régulièrement vendues et violées par ces monstres.

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  • Français et catholiques ont compris que le mot “identité” n’était pas honteux !

    Entretien avec G.-W. Goldnadel

    Gilles-William Goldnadel est avocat et essayiste et a récemment pris position dans Le Figaro pour défendre la présence de crèches dans les mairies françaises.

    Vous êtes intervenu sur la polémique des crèches de Noël dans Le Figaro et dans Valeurs Actuelles, pourquoi ?

    Parce que cette inversion des valeurs est symptomatique de l’esprit du temps et que ce mauvais esprit qui perdure me consterne.

    Au fond, ce n’est pas tant ces restes de laïcardisme que leur sélectivité que je réprouve. Si encore ils traquaient avec la même hargne l’expression religieuse dans tous les lieux publics, ce serait particulièrement tatillon et je pense que l’État a beaucoup d’autres choses à gérer, mais c’est surtout exaspérant parce que la seule religion catholique est visée.

    Je constate que les préfets de la République socialiste se font les relais dociles des arrières-petits-fils arriérés du petit père Combes et n’exercent leur aigreur qu’envers la religion de la fille aînée de l’Eglise… Ils n’ont pas sorti leurs armes lorsque la mairie de Paris offrait un buffet pendant la nuit du ramadan, événement nettement plus dispendieux que quelques humbles santons de Provence dans telle ou telle mairie… Cela participe à leur dilection pour l’« altérité », mais je ne trouve pas du tout apaisante cette traque incessante contre la religion qui est encore celle de la majorité du peuple de France !

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  • Crèches en mairies : "On ne dira bientôt plus Noël", déplore Éric Zemmour


    Crèches en mairies : "On ne dira bientôt plus... par rtl-fr

    Michel Janva

  • Polémique sur les crèches : une preuve de la révolution conservatrice

    Ivan Rioufol se réjouit de la polémique sur les crèches :

    "[...] Ici comme ailleurs, la France millénaire relève la tête et s'oppose à ceux qui agressent sa mémoire. Voilà une excellente nouvelle.

    «Touche pas à ma crèche!» pourrait être le mot d'ordre d'une opinion attachée aux racines chrétiennes de la nation, en dépit de la propagande sur le «vivre ensemble» qui invite le pays hôte à faire table rase de son passé. Les bras de fer engagés par la municipalité de Béziers et le département de la Vendée dépassent l'anecdote. Ils sont symboliques d'un sursaut identitaire né de trop d'abandons. Alors que le «Joyeux Noël» a été remplacé par d'anodines «Joyeuses Fêtes», alors que des sapins dans des écoles sont régulièrement contestés par les intégrismes laïque et islamique, alors que la République rougit d'affirmer l'hégémonie de sa culture de peur d'importuner les minorités, alors que la pensée progressiste interdit de s'attacher au passé, ces reculades trouvent enfin leur limite. Non, les Français ne veulent pas disparaître. Mais qui en doutait?

    Cette défense de la crèche, symbolique de la civilisation occidentale, rend mutiques les défenseurs du métissage et de la société multiculturelle, habitués à tenir la dragée haute.L'heureuse surprise a été d'entendre nombre de personnalités de gauche, y compris des bouffeurs de curés, s'apitoyer sur le sort fait à l'Enfant Jésus par l'intransigeance préfectorale et le fanatisme anticatholique. S'il fallait encore une preuve de la révolution conservatrice qui parcourt à bas bruit la société, en voilà une belle! Il y a peu, cet unanimisme autour de la préservation d'une telle coutume aurait été impensable. Il est vrai que deux mille ans de christianisme ne s'effacent pas en quarante ans d'acharnements à enseigner l'oubli. La France malmenée n'a pas été rendue amnésique.

    Les idéologues, qui pensent imposer et généraliser la visibilité musulmane en imposant le multiculturalisme, se trompent. Tout indique que les Français n'acceptent pas cette société relativiste et interchangeable qui leur a été infligée subrepticement ces trente dernières années..."

    Michel Janva

  • Manuels Valls a-t-il honte de son islamolâtrie obséquieuse ?

    Le califat islamique en Irak vient d’édicter son règlement relatif aux esclaves de sexe féminin, son butin de guerre djihadiste vendu aux enchères. A Mossoul, des enfants chrétiens ont été égorgés après avoir refusé de devenir musulmans. Les immigrés musulmans en Europe prient pour que le Califat vainque. Etc. Ainsi va l’Islam réel. Mais surtout, il ne faut pas faire d’amalgame avec l’Islam fantasmé.

    Rappelez-vous. C’était le 26 juin 2014 et Manuel Valls était venu à l’Institut du Monde Arabe voir son pote Jack Lang, bienheureux directeur à plus de 10 000 Euros par mois, pour y faire un discours dégoulinant de dhimmitude et d’islamolâtrie obséquieuse. Etait-il vraiment nécessaire d’en dire autant ? Un paragraphe avait particulièrement retenu notre attention. Il disait :

    MPI - 14 - 02 - extrait complet -

    Vous avez bien lu : « L’Islam est la seconde religion de France ! Mais, au-delà des musulmans de France, c’est toute une Nation qui reconnait ici la grandeur, la finesse et la diversité de l’Islam ; c’est toute une Nation qui dit aussi que l’Islam a toute sa place en France, parce que l’Islam est une religion de tolérance, de respect, une religion de lumière et d’avenir, à mille lieux de ceux qui en détournent et en salissent le message. » Euh, sauf que ce discours, c’est l’Islam fantasmé.

    Le passage est disponible ici sur le site du gouvernement « français » :

    Les gens attentifs, dont je suis, auront noté que le paragraphe ci-dessus est toujours présent dans le pdf joint, mais qu’il a disparu de la version en ligne :

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  • Radio France discrimine les catholiques

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    "Radio France a cru bon d'attribuer à certains de ses salariés des« autorisations d'absence rémunérée » pour leurs principales fêtes religieuses ; en l'occurrence Aid El Fitr et Aid El Adha pour ceux qui se réclament de l'Islam, Roch Hachana et Yom Kippour pour ceux qui s'identifient en tant que juifs... Outre le côté éminemment contestable, voire dangereux, du procédé qui consiste pour une entreprise à connaitre, et sans doute à conserver dans ses archives, des éléments d'information de caractère tout à fait privé sur ses collaborateurs, il faut remarquer que les heureux bénéficiaires de ces mesures d'exception n'en perdent pour autant aucun de leurs droits en matière de congé, RTT, jours fériés etc...Autrement dit, tous les salariés de Radio France sont égaux, mais quelques-uns sont plus égaux que d'autres !

    Mon ami et client Fabrice Le Quintrec se bat en vain contre sa direction pour essayer d'obtenir les mêmes égards, lui qui est catholique et n'entend pas baisser pavillon (...) Le calendrier civil prévoit des jours fériés dont certains correspondent, certes et heureusement, à de grandes fêtes chrétiennes. Or, précisément, la dimension religieuse de ces journées est gommée. Pour l'établissement public de la radiodiffusion, qui fonctionne de manière permanente, ce sont des jours comme les autres. Des astreintes professionnelles peuvent peser sur les journalistes (...)

    Si, lorsque l'actualité l'exige, le travail est donc considéré comme prioritaire pour les journalistes chrétiens de Radio France, en revanche pour leurs confrères juifs ou musulmans, tel n'est pas le cas.

    S'ils revendiquent, à l'occasion de leurs propres fêtes religieuses, la possibilité d'aller à la synagogue ou à la mosquée, de se consacrer à la prière ou de se réunir en famille, Radio France s'inclinera, les obligations professionnelles passeront au second plan.

    Dans les faits, les juifs ou les musulmans de Radio France ont donc droit à des jours de congé supplémentaires. Eux et eux seuls ! (...)

    En revanche, si un catholique pratiquant veut être libre, par exemple, à Noël ou à Pâques, il doit « poser » un jour et son capital-congé sera amputé par le service du personnel d'une journée (...)"

    Philippe Carhon