Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

religion - Page 156

  • L’Eglise en chiffres : le nombre de catholiques augmente dans le monde

    A l'occasion de la Journée Missionnaire mondiale ont été présentées les statistiques de l’Eglise missionnaire. Les chiffres sont des dernières statistiques annuelles de l’Eglise (du 31 déc 2012).

    • Population mondiale : 7.023.377.000 personnes, avec une augmentation de 90.067.000 par rapport à 2011.
    • Nombre de catholiques : 1.228.621.000, avec une augmentation de 15.030.00 personnes depuis 2011 (avec en tête l’Amérique et l’Afrique, puis l’Asie).
    • Evêques : 5133 (1 de plus)
    • Prêtres : 414.313, c'est-à-dire 895 de plus qu’en 2011. On note une diminution notable en Europe (-1375) mais une forte augmentation en Afrique et en Asie.
    • Religieux non prêtres: 55.314 (augmentation de 229 dans l’année)
    • Religieuses : 702.529, 10.677 de moins.  
    • Séminaristes majeurs : diminutions de 565 candidats, pour un nombre total de 120.051. La diminution ne concerne qu’Amérique et Europe. Les diocésains sont en diminution.
    • Séminaristes mineurs : 102.703, c'est-à-dire 173 de plus.
    • Séminaristes mineurs diocésains : 79.954 (+604).

    Le Salon Beige

  • La France en voie de dhimmitude ?

    Le juge antiterroriste a tellement peur d’éventuelles représailles de djihadistes sur notre sol qu’il va même jusqu’à se demander si l’armée ne doit pas se taire et ne plus communiquer sur ses frappes en Irak. C’est très grave.

  • De Mohamed Merah au tireur d’Ottawa : portrait du loup solitaire islamiste

    Alors que le Canada reste sous le choc de la fusillade qui a eu lieu à Ottawa ce jeudi, le spécialiste du terrorisme Thibault de Montbrial dresse, dans le Figaro, le portrait type du loup solitaire.

    Selon lui, depuis quelques années, les musulmans convertis apparaissent souvent comme les plus radicaux dans les mots comme dans les actes. Le processus de conversion puis de radicalisation se développe, de manière inquiètante, en France. C’est ainsi que les services spécialisés considèrent que le nombre de convertis à l’Islam augmente d’environ 60% par an depuis le début de la décennie.

    À la faveur d’Internet, on a vu des cas de conversions qui n’ont pris que quelques semaines! Le prosélytisme salafiste joue également un rôle important dans ce processus de radicalisation. En France, certaines zones sont en pratique sous la coupe de ces extrémistes et n’ont déjà plus grand chose à voir avec la République française: on peut ainsi parler de parties des Yvelines, de certaines banlieues toulousaines, ou encore du sud-est du pays. Enfin, le troisième grand cercle de radicalisation est la prison. Ces trois cercles – internet, les salafistes et la prison – sont les principaux vecteurs de la pensée musulmane radicale aujourd’hui.

    http://fr.novopress.info/177278/mohamed-merah-au-tireur-dottawa-portrait-du-loup-solitaire-islamiste/

  • Islam radical dans nos prisons : la réalité dépasse la fiction

    Non, il ne s’agit pas d’un énième hoax de la « réacosphère », mais d’un rapport très sérieux du député UMP de l’Yonne, Guillaume Larrivé. Voici ce que déclare ledit député : « Alors qu’environ 60 % de la population carcérale en France, c’est-à-dire 40.000 détenus, peuvent être considérés comme de culture ou de religion musulmane, la radicalisation islamiste est aujourd’hui susceptible de concerner plusieurs centaines de détenus. »

    Première information, l’islam est, de loin, la religion la plus représentée dans les prisons françaises. Laurent Obertone l’avait avancé dans son ouvrage « La France orange mécanique ». On se souvient qu’à l’époque, Aymeric Caron lui avait demandé quels étaient « ses chiffres », comme il l’a fait récemment face à Éric Zemmour ; en censeur autoproclamé de la pensée « rance », laquelle n’est pourtant que réaliste. La sur-représentation des musulmans dans la population carcérale n’a jamais été qu’un secret de polichinelle, n’en déplaise aux chroniqueurs d’un monde irénique attachés (de bonne foi, peut-être) à leurs idéologies passéistes. Désormais, les faits sont rendus publics.

    Lire la suite

  • Tuerie d'Ottawa : des convertis à l'islam

    Lu sur l'Observatoire de l'islamisation :

    "Michael Zehaf-Bibeau est un Montréalais né au Canada en 1982. Né Michael Joseph Hall, converti à l'islam, il était connu des autorités, son passeport ayant été saisi avant l'attentat.

    Martin Couture-Rouleau  Québécois converti à l'islam depuis avril 2013, qui a percuté deux militaires (un est mort) mardi dans le stationnement d'un édifice de la défense militaire à St-Jean sur Richelieu avec sa voiture, était lui aussi interdit de sortie de territoire, et n’a pu rejoindre l’Etat islamique comme son camarade Zehaf-Bibeau.

    Ils ont donc déclenché à un jour près avec d’autres djihadistes non encore identifiés, des attaques contre les intérêts canadiens. Les deux djihadistes suivaient le même compte Twitter, celui de @Islamic Media qui a le premier révélé l’identité de Zehaf-Bibeau.

    Couture-Rouleau était dans la mire des autorités fédérales, et ses comptes Facebook et Twitter indiquent qu'il était un partisan de l'État islamique…Bizarrement, les médias français ont été très discret sur l'attaque de mardi contre les militaires à St-Jean sur Richelieu.

    Les deux fous d’Allah sont  connus  : Zehaf-Bibeau a été condamné pour des vols et Couture-Rouleau était suivi depuis sa radicalisation islamique.

    Le journal La Presse a publié un article citant le président de la mosquée al-Imane de St-Jean sur Richelieu (un dénommé Abdel Hamid Bekkari) disant que Rouleau venait «à peu près» trois fois par semaine à cette mosquée.

    Rappel: le porte-parole de l'État islamique, le cheikh Al-Adnani, a émis en septembre une fatwa ordonnant aux musulmans du Canada d'y massacrer les incroyants: «Si tu peux tuer un mécréant canadien, alors tue-le par n’importe quel moyen»."

    Michel Janva

  • Moyen-Orient : au lieu d'encourager l'émigration des chrétiens, il faut assurer leur sécurité

    Au lendemain du synode sur la famille, 86 cardinaux et patriarches étaient réunis en consistoire autour du pape François, le 20 octobre, pour échanger sur la situation du Moyen-Orient. Le cardinal secrétaire d’État Mgr Pietro Parolin y a présenté un compte-rendu de la réunion des nonces apostoliques au Moyen-Orient qui avait eu lieu au début du mois (2-4 octobre).

    Mgr Parolin a fait état d’une situation « inacceptable », induite notamment par les extrémistes de ‘l’État islamique’ en Irak et en Syrie,

    « qui ont contraint des centaines de milliers de personnes à fuir de leurs maisons et à chercher refuge ailleurs dans des conditions de précarité, soumises à des souffrances physiques et morales ».

    Ces conflits régionaux « constituent l’une des plus sérieuses menaces à la stabilité internationale ». Pour le Saint-Siège, « une solution politique, juste et durable, au conflit israélo-palestinien » contribuerait à « la paix et la stabilité de la région ».

    Les participants ont aussi évoqué le rôle de l’Iran dans la résolution de la crise syrienne et irakienne, ainsi que la situation du Liban, qui ressent lourdement ces conflits, en accueillant un million et demi de réfugiés.

    Dans ce contexte, la communauté internationale « doit garantir le droit des réfugiés à retourner et à vivre dans la dignité et la sécurité dans leur pays et leur environnement ». Elle est appelée à « prévenir de nouveaux génocides », à « assister les réfugiés » en impliquant les États de la région, et à oeuvrer pour « faire déposer les armes » et « dialoguer ».

    « Il ne s’agit pas de protéger l’une ou l’autre communauté religieuse ou l’un ou l’autre groupe ethnique, mais de porter secours à des personnes qui font partie de l’unique famille humaine et dont les droits fondamentaux sont systématiquement violés ».

    Quant au choix des moyens, s’il est « licite d’arrêter l’agresseur injuste », cela doit se faire « dans le respect du droit international ». Et « la résolution du problème ne peut être confiée à la seule force militaire ».

    La communauté internationale est appelée à « affronter les causes du conflit », entre autres

    « l’idéologie fondamentaliste et l’encouragement au terrorisme nourri par la politique, le commerce illégal de pétrole, la fourniture d’armes et de technologie, le trafic d’armes ».

    « Nous ne pouvons nous résigner à penser le Moyen-Orient sans les chrétiens, qui jouent un rôle fondamental comme artisans de paix, de réconciliation et de développement. »

    Au lieu d’encourager l’émigration en accordant des visas aux chrétiens persécutés, l’Église invite à les aider à « trouver des conditions de vie, de sécurité, de travail, d’avenir dans la région ».

    Enfin, l’Église tente de faire mûrir les consciences sur un « problème de fond » représenté par « le nœud inextricable entre religion et politique, c’est-à-dire le manque de séparation entre religion et État, entre domaine religieux et domaine civil » au Moyen-Orient, « ce qui rend difficile la vie des minorités non musulmanes ».

    Le cardinal a conclu en exhortant les chrétiens à

    « ne pas oublier que tout dépend de Dieu et de sa grâce, mais à agir comme si tout dépendait de nous, de notre prière et de notre solidarité ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html