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religion - Page 157

  • Frédéric Encel : « L’Etat islamique partage la même vision du monde que les Saoudiens »

    Docteur en géopolitique, Frédéric Encel est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages, principalement sur le Proche-Orient. Après Gilles Kepel et Jean-Pierre Filiu, Fréderic Encel publie un ouvrage de synthèse sur le printemps arabe. Il le fait à sa manière, celle d’un spécialiste de géopolitique formé par Yves Lacoste. Sa démarche est de « tenter d’appréhender les représentations des acteurs, leurs manières de penser » le monde dans lequel ils agissent de manière politique. Très facile d’accès, l’ouvrage décrit ainsi ce que le printemps arabe a révélé - notamment l’échec d’une vision cynique de l’histoire.

    Fréderic Encel « Géopolitique du printemps arabe » PUF, 245 pages, 18 euros.

    Le pèlerinage de La Mecque le montre, l’Arabie saoudite reste centrale dans l’univers musulman. Pourquoi ce pays de 30 millions d’habitants a-t-il été épargné par le Printemps arabe ?

    Parce que le régime disposait de tous les moyens de le tuer dans l’œuf ! Pour au moins trois raisons, outre la répression policière. D’abord, le système féodalo-tribal sur lequel repose l’Etat et la société. C’est la vieille éthique bédouine de soumission au chef de la tribu, et de la soumission des tribus à la plus puissante d’entre elles, les Saoud. Ce n’est pas une société individualiste... Ensuite, les sommes considérables que le pouvoir a injecté dans la société, dès les premières semaines du printemps arabe en Tunisie et en Egypte. On parle de 130 milliards de dollars versés en dix-huit mois, dans l’éducation, le logement, la santé, des secteurs en partie sinistrés. On ne dispose pas de données très fiables, mais on considère généralement que 20% des jeunes Saoudiens sont au chômage, dans un pays qui ne produit rien d’autre que du pétrole et du gaz. Ces fonds pharaoniques ont permis d’éviter les émeutes sociales. Enfin, le formatage des esprits par le régime, très clairement d’inspiration islamiste radicale.

    Pourtant, l’Arabie saoudite combat aujourd’hui les Frères musulmans et l’Etat islamique (Daesh). Est-ce un conflit au sein même de l’Islam radical ?

    Les wahhabites [l’école sunnite au pouvoir, ndlr] considèrent les Frères musulmans comme des concurrents théologiques redoutables. Sur le fond, ils sont proches, favorables à l’application stricte de la charia, à l’exclusion des femmes, hostiles aux Juifs et à l’Occident. En revanche, ils se distinguent sur la forme. Depuis les années 1930, les Frères musulmans s’inscrivent dans la modernité, en fondant des partis, des syndicats, des associations, en participant aux élections, toutes choses que les wahhabites rejettent résolument.[...]

    La suite sur Secret Defense

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Frederic-Encel-L-Etat-islamique

  • Grande-Bretagne : la montée de l’islam

    Lu ici, cet état des lieux de l'islamisation de l'Angleterre :

    La-montée-de-l’islam

    "Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire."

    Ces paroles du président algérien Houari Boumédiène, qu’il prononça lors de son discours à l’ONU en 1974 semblent de plus en plus être d’actualité. Si au Moyen Orient le fondamentalisme islamique est toujours en train de conquérir de nouveaux territoires, en Occident en revanche, sa montée est silencieuse, mais elle est inarrêtable.

    Le cas de l’Angleterre est en ce sens emblématique : le pourcentage de musulmans dans les villes des Midlands et dans certains quartiers de Londres a dépassé le 30 % de la population. Ces avertissements et ces chiffres ont été confirmés ponctuellement par les données que vient de publier le 15 août 2014 l’Office for National Statistics (ONS)à propos des prénoms masculins les plus donnés en 2013.

    Il s’avère que le nom le plus répandu en Angleterre et au pays de Galles pour ces douze derniers mois est Mohammed. Certes, la recherche a officiellement mentionné le prénom « très anglais » d’Oliver comme prénom le plus donné : 6.949 fois. Pourtant une analyse plus attentive de ces données indique que ce calcul n’a pas tenu compte des différentes orthographes utilisées pour transcrire le prénom arabe Mohammed (Muhammed, Mohamed, Muhammad et Mohammad) : il en ressort que le prénom du Prophète Mahomet apparaît 7.445 fois, arrivant largement en tête des classements.

    Londres, la capitale, est en train d’expérimenter à ses frais cette évolution démographique. Dans son édition du 5 août 2014, le quotidien italien “Il Messaggero.it” publiait ces lignes : « Prenons par exemple la mairie de Tower Hamlets, proche de la City et des Docklands : les musulmans y représentent désormais 35 % des habitants. Dans la City de Westminster même, – le “council” du centre de la capitale, le symbole de l’Angleterre libérale et démocratique, avec Big Ben, le Parlement et le siège du Gouvernement -, les musulmans représentent presque 20 %. Et à Luton, où se trouve le troisième aéroport de Londres, on compte plus de 50.000 musulmans (soit plus de 25 % de la population)».

    Dans le nord du pays, la situation n’est guère différente. Ainsi à Manchester, dans ce qui fut le cœur industriel de l’Angleterre, « les musulmans représentent 17 % de la population, à Birmingham : 22 %, avec des faubourgs entiers où la culture et la pratique du Coran sont prédominantes ». Et le processus d’expansion n’en est qu’à ses débuts.

    Les spécialistes estiment en effet que d’ici la fin de l’année 2014 la population musulmane du Royaume Uni dépassera les 3 millions et demi. Cette croissance incessante incite les groupes radicaux à intensifier encore plus leur action dans un contexte social toujours plus « favorable ». Un épisode alarmant et emblématique illustre cet état de fait. Il s’est déroulé à Londres il y a quelques mois, mettant en scène les membres d’un jeune gang d’islamistes qui ont été filmés tandis qu’ils arrêtaient dans la rue les passants, leur demandant de respecter les commandements de lachariaen leur disant : « Ici vous êtes dans un quartier musulman. Que cela vous plaise ou non c’est nous qui allons commander et qui allons combattre le mal. Allah est grand ! Nous sommes en train d’arriver ». Un imam musulman radical qui a été interviewé quelques jours après cet épisode n’y est pas allé par quatre chemins pour commenter ce qui s’était passé : « On assiste à un réveil. Ce qui est en cours, c’est nettement un affrontement entre l’Islam et la démocratie libérale dans certains des points-clés de Londres ».

    Par ailleurs, de nombreux musulmans de citoyenneté britannique ont quitté le pays pour aller rejoindre lejihad. Le quotidien anglais “The Independent” a publié au cours des derniers mois, des récits de vie de nombreux jeunes, hommes et femmes, qui sont partis en hâte pour se battre sous les drapeaux noirs d’Abu Bakr al-Baghdadi pour instaurer, par des persécutions, des exécutions sommaires et des décapitations, l’État Islamique de l’Iraq et du Levant (ISIS).

    L’un d’entre eux, Abu Dugma al-Britani, a lancé par un message posté sur twitter une prophétie bien précise à l’adresse du Royaume Uni et des Anglais : « Nous occuperons DowningStreet (une rue de Londres au Royaume-Uni où se situent depuis plus de deux cents ans les résidences du Premier Ministre britannique et de son chancelier de l’Échiquier, NDLR) et nous égorgerons à Trafalgar Square tous ceux qui ne voudront pas se convertir. L’Isis (l’État Islamique de l’Irak et du Levant) arrive ».

    En Angleterre l’Islam fait donc de plus en plus peur, et l’échec de la politique « multiculturelle » appliquée depuis plusieurs années est désormais évident pour tous. L’intégration ne s’est pas produite et les paroles du président algérien Houari Boumédiène résonnent chaque jour comme plus tragiquement prophétiques."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/10/grande-bretagne-la-mont%C3%A9e-de-lislam.html

  • Fonds Proclero : gestion d'actifs, éthique et partage


    Fonds Proclero : pour concilier gestion d... par jg40

    Michel Janva

  • L'appel des Sentinelles

    Appel reçu des Sentinelles :

    "Les cohortes de la Manif pour Tous ont battu le pavé parisien, dans la joie et le bruit, témoignant du refus des politiques mises en œuvre par le pouvoir en place. Vous êtes indignés depuis ces premières levées de bouclier de 2012, mais que ferez-vous d'ici la prochaine manifestation ?

    Une poignée de sentinelles parisiennes veulent vous suggérer quelque chose.

    Les sentinelles veillent silencieuses et pacifiques, debout face aux lieux de pouvoir pour interpeller la conscience de ceux qui nous gouvernent. Elles veulent chaque jour leur reprocher leurs politiques, leurs lois, leurs idéologies, et leur façon brutale de les imposer au pays.

    Presque tous les jours depuis le 24 juin 2013, des sentinelles sont venues veiller Place Vendôme ou ailleurs à Paris. Dans d'autres villes des sentinelles veillent régulièrement. Leur détermination a eu raison des intempéries, du froid, de la lassitude et de la police.

    Vous pouvez les rejoindre et consacrer une partie votre temps à veiller, debout, en silence, pacifiquement, sans slogan ni signe distinctif, devant un lieu de pouvoir. Veiller de 10 minutes à 3 heures ou plus. Veiller en lisant un livre, ou en jouant sur votre smartphone. Veiller avec de la musique dans votre casque ou en écoutant les bruits de votre ville. Veiller sans se lasser d'être bienveillant, même avec le passant qui vous insulte ou le policier qui tente de vous intimider. Veiller en province, en banlieue ou à Paris. Veiller sans se soucier d'obtenir un résultat immédiat, tangible et palpable. Veiller un jour et revenir un autre jour, et recommencer encore et encore. Veiller malgré la météo. Veiller en répondant aux passants sur le sens de cette lutte. Veiller sous le regard condescendant de ceux qui imaginent que vous avez perdu, et dont vous aimeriez éveiller les consciences.

    Vous êtes les bienvenus chez les sentinelles.

    Que les poignées deviennent des armées."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/10/lappel-des-sentinelles.html

  • Jeune Nation Action devant l'église de sainte-Rita (4/10/2014)

  • Italie : Extrême gauche et lobby LGBT créent des incidents pour faire interdire les rassemblements de Sentinelles

    Sentinelle-in-Piedi-Trieste-mpiSentinelle-in-piedi-affiche-mpi

    C’est en Italie que le mouvement des Sentinelles, né en France, a fait le plus d’émules. Le 5 octobre, pendant que la Manif pour Tous défilait à Paris et Bordeaux, les Sentinelle in Piedi se rassemblaient paisiblement, en silence, un livre à la main, sur de nombreuses place à travers toute l’Italie.

    Les Sentinelles italiennes ont beau en appeler à la liberté d’expression et revendiquer une démarche pacifique, leur démarche n’en est pas moins jugée insupportable et « homophobe » par le lobby LGBT et l’extrême gauche. De façon régulière, les rassemblements des Sentinelle in Piedi sont désormais perturbés par des opposants aux intentions bien moins pacifiques que les défenseurs de la Famille. Le lobby LGBT et ses supplétifs anarcho-communistes veulent créer des incidents et obtenir l’interdiction des rassemblements de Sentinelles au nom du risque de trouble à l’ordre public.

    suite et fin.

  • Immigration et Islam

    Le débat sur l’immigration, avec la montée du Front National dans les scrutins électoraux, oblige de plus en plus les partis libéraux à se positionner dans un équilibre assez instable.

    Quelques petites phrases bien dosées ici ou là laissent supposer une prise de conscience. Mais en réalité, il n’en n’est rien et ces saillies ne sont en général qu’à usage démagogique ou dues à un emportement passager, vite rappelé à l’ordre par les états-majors. La gauche, selon qu’elle soit extrême ou modérée, militera en faveur de toujours plus de droits aux étrangers avec quelques nuances de laïcisme plus ou moins radical, en fonction de l’héritage républicain que l’on revendique. A droite, un schéma un peu différent amènera à une posture de modération par rapport aux revendications orchestrées des étrangers pour que soient reconnus leurs « droits ». Mais, cette posture sera aussitôt assortie d’un discours fataliste sur le phénomène d’immigration qu’on ne peut endiguer à cause de la mondialisation. En conclusion, on nous donnera la petite note optimiste pour un avenir cosmopolite « où tout le monde s’aimera » ! On reconnait là, à gauche comme à droite, les fluctuations prudentes du personnel politique, circonscrites par la pensée libérale et les injonctions du MEDEF. Cette pensée libérale se caractérise, comme nous le rappelle Jean Claude Michéa dans « l’Empire du moindre mal » (1), précisément par une absence de pensée, de culture puisque ce sont les marchés qui doivent mécaniquement réguler la société des hommes en établissant la justice et que les cultures et religions ne sont plus que de décoratifs accessoires, des options dérisoires, sans impact sur les finalités de la société humaine qui consistent essentiellement au bien-être individuel. Nous avons pu assister récemment à la télé à un échange intéressant entre Marion Maréchal Le Pen et Alain Juppé. La première se disait favorable à l’assimilation tandis que le second défendait l’intégration. Nous savons bien à l’Action française combien ces mots sont piégés et que la vraie problématique n’est plus tant dans la « manière » d’accueillir que dans « quoi » on accueille. Quelle communauté historique, solidaire, culturelle ? La notion de choc des civilisations, invoquée par Samuel Hutington, repose sur un malentendu qui consiste à confondre la société « occidentale aux fondations chrétiennes » avec la société libérale, matérialiste, antisociale et jouisseuse qu’elle est devenue. Sans revenir sur les travaux de Renaud Camus, inventeur de la notion du « Grand remplacement », l’immigration sans discontinuer en France depuis un demi-siècle signifie aujourd’hui six millions de musulmans au bas mot. Pas seulement six millions d’immigrés ou de Français d’origine immigrée, mais six millions de personnes pratiquant une religion étrangère aux traditions et coutumes de ce pays, voire opposée pour ne pas dire ennemie dans l’histoire des peuples. Mais le plus stupéfiant est que la fracture ne se situe pas dans l’opposition historique entre le christianisme et l’Islam, mais entre la représentation que s’en font les musulmans à travers le prisme d’une société complètement sécularisée face à leur propre religion soumise à l’ordre d’un créateur. Camel Bechickh, Président du mouvement : « Fils de France », déclare qu’une vraie société française bien ancrée dans ses valeurs catholiques communiquerait mieux avec les ressortissants de confession musulmane. En effet, les valeurs de l’Islam, ne serait-ce que parce qu’elles placent l’Homme dans une perspective sacrée de créature appelée à retourner vers son créateur, sont plus proches des valeurs de la chrétienté que de celles de la société libérale athée et désespérément horizontale. (Je ne parle pas de cet Islamisme barbare qui se signale dans les pays livrés au chaos par la volonté de l’Oncle Sam et la veulerie des Européens) Il ressort donc que la première condition à remplir chez nous, en France fille ainée de l’Eglise, pour éviter le choc annoncé, est de revenir aux valeurs fondatrices de notre civilisation. C’est peut-être le rôle stimulant et providentiel de l’Islam, que de réveiller la chrétienté enfouie au cœur du peuple franc. Quand l’Action française proclame : « Rendons les Français à la France », nous ne disons rien d’autre. Cela ne veut pas dire, car je vois déjà se dresser les imprécateurs de l’apocalypse, qu’il ne faille pas traiter les aberrations de l’immigration continue, revenir sur la double peine, envisager la déchéance de nationalité pour les délinquants nouvellement naturalisés, créer les conditions diplomatiques et économiques d’un retour chez eux du plus grand nombre d’immigrés… Mais toutes ces mesures et bien d’autres encore, restent des mesures techniques qui ne sont possibles notamment que par un changement de régime, une restauration des prérogatives de l’Etat, sa sortie de l’UE et de toutes les organisations supranationales qui portent atteinte à sa souveraineté, le retour de la France vers une politique méditerranéenne indépendante… Pour autant, dans la situation factuelle que nous traversons, je ne vois pas d’autre digue face à l’Islam (qui peut aussi jouer le rôle de passerelle), que le retour de l’Eglise en force dans notre patrie, n’en déplaise aux disciples de Ferdinand Buisson.

    Olivier Perceval

    (1) Flammarion, collection champ d’essai.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Immigration-et-Islam

  • Boko Haram n’en finit pas de semer la terreur au Nigéria

    Le bilan des violences perpétrées par Boko Haram au cours des deux derniers mois dans le Diocèse de Maiduguri est terrible : 185 églises incendiées et plus de 190.000 personnes contraintes à l’évacuation. Le territoire de ce diocèse s’étend sur les Etats de Borno, Yobe et sur une partie de l’Etat d’Adamawa, dans le nord du Nigeria.
    Au cours de ces deux derniers mois, 11 villes situées sur le territoire du Diocèse sont tombées entre les mains de Boko Haram . « Il y a trente jours, les communautés catholiques de Gulak, Shuwa, Michika, Bazza et d’autres encore ont été saccagées par de cruelles attaques des terroristes de Boko Haram » affirme le Directeur des Communications sociales du diocèse.

    « Gwoza et Magadali sont sous le contrôle despotique et tyrannique des terroristes depuis 60 jours » souligne le Père Obasogie. « Nos prêtres ont dû évacuer alors que les habitants, qui devaient célébrer l’indépendance en tant que nation libre, pleurent leurs morts et sont réduits à l’état d’évacués. Où est dès lors la liberté ? » interroge le prêtre.

    Le Père Obasogie décrit les conditions terribles dans lesquelles sont contraints à vivre les évacués, accueillis chez des parents et amis – parfois par groupes de 60 à 70 personnes – ou dans des structures improvisées.

     

    Ces réfugiés parlent aussi de ceux qui ne sont pas parvenus à s’enfuir, personnes âgées ou malades mais aussi jeunes. Les femmes sont victimes de violences sexuelles alors que se répand la pratique de décapitation des otages de la part des terroristes, comme cela a été le cas pour un pilote militaire capturé après s’être parachuté de son avion abattu par Boko Haram le 11 septembre… Ce fut également le cas pour au moins sept personnes dont l’identité n’est pas encore connue, décapitées lundi dernier dans la ville de Ngambu, située dans l’état du Borno, au nord-est du Nigéria.

    Quelques 30.000 Chrétiens de Yola sont actuellement en fuite et vivent« dans des conditions inhumaines, dans des grottes, des montagnes ou dans la forêt » a déclaré Monseigneur Stephen Dami Mamza, évêque de Yola, qui continue à craindre de nouvelles attaques…

    Hier, 7 octobre, s’est ouvert à Niamey, capitale du Niger, un sommet régional pour la lutte contre Boko Haram, qui menace actuellement également les pays limitrophes, ainsi que le démontre la mort de 7 personnes dans le nord du Cameroun, tuées par une roquette tirée par les intégristes musulmans.

    Encore une fois, silence total de nos autorités sur ces monstruosités commises par des islamistes, trop occupées qu’elles sont à dénoncer les « amalgames »

    http://www.contre-info.com/boko-haram-nen-finit-pas-de-semer-la-terreur-au-nigeria#more-34919