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religion - Page 154

  • Le renseignement allemand préfère traquer les néonazis plutôt que les islamistes

    D'après le Frankfurter Allgemeine, qui a recueilli les confidences d'un agent du Verfassungsschutz (le bureau fédéral de protection de la Constitution), les services allemands de renseignement sous-estiment sensiblement le nombre de musulmans partis faire le djihad en Syrie et en Irak :

    "« Nous devrions multiplier par quatre le chiffre officiel pour obtenir un nombre réaliste ». Les services allemands de renseignement annonçaient 400 ressortissants musulmans partis au djihad, pour l’informateur leur nombre serait très proche de 1 800. Tout comme en France, cette sous-évaluation serait due au manque de personnel ou, plus exactement, à l’affectation des personnels disponibles à la traque des néo-nazis... Les déplacements de ces islamistes allemands vers les théâtres d’opérations de Syrie et d’Irak sont facilités et rendus impossible à contrôler du fait qu’il n’est pas nécessaire d’obtenir un visa pour se rendre d’Allemagne en Turquie. Selon Hans-Georg Maassen, patron du Verfassungsschutz, l’Allemagne pourrait compter, d’ici à la fin de l’année, près de 7 000 Salafistes, et elle héberge déjà quelque 950 membres actifs du Hezbollah..."

    Louise Tudy http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La situation tragique des réfugiés chrétiens en Irak

    La situation des réfugiés chrétiens en Irak est rendue plus difficile encore à cause de l'hiver. Une vidéo relayée par l'Observatoire de la christianophobie :

     

    Marie Bethanie

  • Ce que les islamistes "modérés" ont en commun avec l'Etat islamique

    Un article de Yassine Al-Haj Saleh dans Courrier international :

    "Il existe bien des islamistes "modérés" qui s'opposent à l'organisation Etat islamique. Mais leur contestation reste modeste parce qu'intellectuellement, ils partagent la même idée de la religion que les extrémistes.

    Il y a des islamistes qui s’opposent à Daech [l’Etat islamique]. Il y a même des islamistes, y compris salafistes, qui ont engagé le combat armé contre lui. Mais sur le front des idées ce combat reste étonnamment atone.

    Cela amène à se demander pourquoi les musulmans ne s’insurgent pas pour défendre leur religion, cette religion qui sert aujourd’hui à désigner des pratiques qui sont les plus criminelles de l’histoire de l’humanité. Pourquoi sont-ils incapables de dire clairement que ce n’est pas l’islam ?

    L’explication réside dans le fait qu’au niveau intellectuel il n’existe pas de différence importante entre un modéré et un extrémiste.Tous aspirent à établir durablement le règne de l’islam, dans des pays qu’ils ne voient que sous l’angle de leur [seule] identité islamique. 

    Le sens d’un tel règne de l’islam consiste en quelque sorte à rétablir un ordre qui aurait été dévoyé par les complots des colonisateurs et consorts. Les Etats-nations et toute notre histoire contemporaine sont considérés comme des phénomènes passagers, puisque notre vraie nature profonde résiderait dans une invariable islamique qui remonte [à la naissance de l’islam].
    Cela nie toute évolution historique, alors que les musulmans ne sont devenus majoritaires au Moyen-Orient qu’après les croisades, que la majorité des Egyptiens étaient chiites à l’époque fatimide…Le règne de l’islam n’est donc pas mû par une vision de l’avenir, mais par le désir de revenir à un état originel où chaque chose est censée avoir été à sa place. 
    Sur tous ces points, il n’y a pas de distinction réelle entre modérés et extrémistes. Il y a seulement ceux qui sont extrémistes (Frères musulmans), d’autres qui sont très extrémistes (les salafistes du Front islamique), d’autres qui sont encore plus extrémistes (Front Al-Nosra), et finalement ceux qui sont excessivement extrémistes (Daech).Il y a certes des islamistes qui sont modérés, mais ils sont dépourvus des bases intellectuelles qui leur permettraient d’affirmer la légitimité de leurs positions.

    Pour être précis, les islamistes partagent quatre idées :

    1) Le refus de séparer clairement la religion de la violence et de dire que la violence au nom de l’islam est illégitime. Par conséquent, personne parmi eux n’accepte entièrement la liberté religieuse, la liberté de changer de religion ou de ne pas en avoir. Sur ce point, il n’y a pas de rupture entre les “modérés” et Daech. Les “modérés” sont incohérents quand ils s’opposent à la violence débridée de Daech sans s’opposer à la substantialité du lien entre la religion et la violence, ni à “l’application de la charia”, ni au projet de contrôler à la fois l’Etat et la société, à l’instar des organisations totalitaires.

    2) L’imaginaire de l’empire. Cet imaginaire tourne autour de conquêtes, d’invasions et de gloire militaire. C’est un imaginaire de puissance et de domination, de héros et de sultans qui laisse peu de place aux aspects de la vie quotidienne, aux gens ordinaires et aux femmes. On n’a jamais procédé à une révision de l’Histoire pour dire que ces conquêtes islamiques s’expliquent par des contingences historiques, sans lien intrinsèque avec la religion.

    3) Le mépris de l’Etat-nation.Ce qui compte aux yeux de tous les islamistes est la nation islamique [umma]. Les islamistes dissolvent les Etats existants dans l’umma, alors que ces Etats représentent l’intérêt général depuis plus d’un siècle et que l’umma a duré moins longtemps qu’eux.Est-ce que les islamistes “modérés” – les Frères musulmans syriens, par exemple – ont critiqué cet apatriotisme ? Pas un mot ! Pourquoi ? Parce qu’ils le partagent.

    4) L’“application de la charia” est un autre point commun, qui s’ajoute à la coercition, à l’imaginaire de l’empire et au mépris pour l’Etat-nation. En l’absence de bases intellectuelles solides pour s’opposer aux extrémistes, les jeunes musulmans ont l’impression que c’est Daech et consorts qui représentent leur religion, et non pas les modérés inconsistants."

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Polygamie, répudiation de la femme par son mari, droit réduit de la femme en matière de succession… La charia au Royaume-Uni

    Hier, nous évoquions la charia en Grèce. Au Royaume-Uni, la charia peut également faire son apparition de façon insidieuse, en raison de la politique des “accommodements” qui institutionnalise un système juridique parallèle fondé sur la foi et les coutumes des immigrants. Au nom du multiculturalisme, le Royaume-Uni a développé la validation du communautarisme.
     
    La communauté pakistanaise du Royaume-Uni peut ainsi compter, au nom de l’antiracisme et de la lutte contre les discriminations, sur un système légal britannique qui s’adapte à ses pratiques religieuses et culturelles. Or les Pakistanais sont majoritairement musulmans et les jeunes générations de Pakistanais installés au Royaume-Uni affirment cette identité islamique et se réfèrent à la charia.
     
    Quelles sont les différences de traitement perceptibles ? Il y a, par exemple, la dispense accordée aux enfants de moins de quinze ans des familles pakistanaises concernant les cours d’éducation sexuelle dans les écoles publiques. Question logique : pourquoi faut-il être un parent musulman pour avoir le droit de ne pas envoyer ses enfants suivre de tels cours ? Ce droit devrait naturellement être conféré à n’importe quel parent.
     
    La règlementation britannique autorise également les élèves musulmans des écoles publiques à se référer à leurs propres usages concernant le sport, l’uniforme et la prière.
     
    Mais “l’accommodement” le plus significatif concerne la polygamie. Approuvée par le Coran et autorisée par le Pakistan, la polygamie est bien tolérée “de fait” au Royaume-Uni à la suite de l’immigration massive de populations musulmanes. 
     
    Le plus hallucinant, c’est que c’est l’Archevêque de Canterbury qui, en février 2008, avait prôné l’adoption de certains éléments de la charia dans la législation britannique, soutenu dans cette folie par un ancien Lord Chief Justice qui affirma qu’autoriser les musulmans à choisir, dans certains cas, s’ils veulent être gouvernés par la charia, n’était pas en contradiction avec les lois britanniques.

  • Des milliers de Hooligans manifestent contre les salafistes à Cologne

    C’était une démonstration de force, dont l’ampleur a surpris même la police: Le groupe “Hooligans contre les salafistes” a mobilisé dimanche à Cologne (Allemagne) autour de 4.000 manifestants aux cris en particulier de « Pas de charia en Europe ».

  • Rome : un diplomate américain appelle à un « pacte mondial des religions »

    Vu sur Reinformation.tv :

    Jerry Chite, diplomate américain au Bureau des conflits et des opérations de stabilisation a estimé que les chefs religieux devaient s’atteler à juguler les violences dues aux fanatiques. Il réitère ainsi son appel à « un pacte mondial des religions » lancé en grande pompe le 22 février dernier à Rome avec des autorités religieuses parmi lesquelles le cardinal Kasper, mais apparemment resté inaudible.

    Après avoir rappelé que les gouvernements et les organisations de la société civile ont un rôle important à jouer dans tout processus de paix, Jerry White a affirmé que les chefs religieux possédaient la clé pour lutter contre l’alarmante augmentation des violences religieuses :

    Du Parlement mondial des religions au Pacte mondial des religions

    « Il suffit d’ouvrir un journal pour constater que le vocabulaire religieux est employé tous les jours pour justifier la violence… La religion devrait donc faire partie de la solution (…) Depuis le Parlement Mondial des Religions en 1893, beaucoup d’initiatives interreligieuses ont vu le jour au fil des années… Le contexte est différent, avec l’actuelle prolifération des violences perpétrées explicitement au nom de Dieu. Nous sommes dans une situation d’urgence. Nous devons aller au-delà des conférences interreligieuses et nous demander à quoi ressemblerait une fatwa interreligieuse contre la violence. Pouvons-nous aller au-delà de la simple prière pour la paix ? » a-t-il lancé.

    La rhétorique usée d’un diplomate américain à Rome


    Il tend ainsi à la fois à enrôler les religions dans un combat politique et à soumettre les dites religions. Sa rhétorique, parfaitement usée, veut donner à croire au grand public que toutes les religions engendrent la même violence, pour mener en fin de processus, et par le biais de la sacro-sainte tolérance, à un syncrétisme déiste d’inspiration franc-maçonne.

    On notera pour le fun le courage d’un personnage qui prône une action commune des religions bien tranquille à Rome, loin de ceux qui, précisément, tuent « au nom de Dieu »…

    http://www.contre-info.com/rome-un-diplomate-americain-appelle-a-un-pacte-mondial-des-religions#more-35199

  • La charia a très officiellement cours en Grèce

    Lu sur Médias-presse-info :

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    "Grèce – En Thrace occidentale où vivent près de 100 000 musulmans,  la charia est officiellement d’application. Nous sommes bien ici dans un pays membre de l’Union européenne. Et pourtant, des citoyens grecs musulmans font ici appel aux muftis et à la loi islamique pour régler leurs affaires familiales et personnelles. Une possibilité permise par la loi du 5 janvier 1914 qui porte sur «  la législation applicable dans les territoires cédés et leur organisation judiciaire  ».

    Or, grâce au laisser-aller administratif, les muftis ont étendu leur pouvoir à d’autres domaines et à d’autres personnes, y compris non grecques et/ou non musulmanes, et a débordé le cadre géographique de la Thrace occidentale. Les tribunaux religieux islamiques ont étendu leur juridiction sans que la loi grecque ne s’y oppose. La cour de cassation (areios pagos) considère que le mufti est le «  juge légitime  » des citoyens grecs musulmans où qu’ils résident, en Thrace occidentale naturellement, mais aussi partout ailleurs sur le territoire grec et même plus curieusement, hors de Grèce.
     
    Les tribunaux religieux islamiques se sont donc emparés des litiges de droit familial quand bien même l’un des conjoints n’était pas grec mais égyptien, australien, allemand, moldave, palestinien. Dans chacun de ces cas, l’État grec n’a pas fait respecter la loi même s’il a demandé à l’administration de ne pas retranscrire sur les registres de l’état civil les mariages entre étrangers et citoyens grecs musulmans. Plus inquiétant,  les tribunaux islamiques de Xanthi et de Didimoticho ont étendu leur juridiction aux litiges dans lesquels l’un des conjoints n’était pas musulman mais chrétien orthodoxe, sans que l’Etat grec ne s’en préoccupe. Il faut également noter que l’Etat grec laisse aux tribunaux islamiques le soin d’autoriser ou non le mariage de citoyennes grecques musulmanes mineures. De même, conformément à la charia, l’Etat grec tolérait jusqu’à très récemment la polygamie pour les citoyens grecs musulmans, malgré la règle constitutionnelle de la protection de la famille monogamique."
    Athènes-musulmans-prière-300x201
    Des musulmans en prière dans les rues d'Athènes

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Allemagne : Manifestation hooligans contre salafistes – « La situation est hors de contrôle à Cologne »

    D’ordinaire peu organisés et éclatés en petites entités en raison de la haine profonde que se vouent entre eux les hooligans qui soutiennent différents clubs de football allemands s’unissent désormais pour combattre le salafisme. L’un des groupes les plus actifs s’appelle «Ho.Ge.Sa», un acronyme qui signifie «Hooligans gegen Salafisten» («Hooligans contre les salafistes»).


    Express.de

    http://euro-jihad.com/blog/?p=24029