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Des sentinelles à Compiègne
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Touche pas à nos fêtes chrétiennes ! Pétition à signer
Lettre de Daniel Hamiche
Madame, Monsieur,
Le gouvernement actuel de la France a été manifestement surpris par la vigueur du christianisme français qu’il pensait sans doute agonisant.
Il semble désormais souhaiter le réveil de la trop fameuse "guerre des deux France", en multipliant les agressions antichrétiennes.
Dernière agression en date : Mme Dounia Bouzar, récemment nommée par le Premier ministre, souhaite que deux fêtes chrétiennes soient remplacées par la fête juive de Yom Kippour et la fête musulmane de l’Aïd. Nous ne pouvons pas laisser faire cela : nier les racines chrétiennes de notre pays ne peut qu’aggraver l’inquiétante crise morale et spirituelle que la France traverse. Un pays sans mémoire est un pays sans avenir et, comme le disait le général de Gaulle, si l’Etat est laïc, la France est chrétienne.
Pour le moment, cette "proposition" n’est qu’une initiative privée. Mais il y a fort à parier que ce soit un coup d’essai médiatique pour "tester" les résistances. Si nous restons passifs, nous pouvons être certains que, non seulement cette "suggestion" deviendra rapidement réalité, mais qu’elle sera vite aggravée. On risque d’en arriver rapidement aux délires iconoclastes de la Terreur, visant à éradiquer tout rappel de la présence chrétienne dans l’histoire de France, qu’il s’agisse de "laïcisation du calendrier" (refus de compter les années à partir de la naissance du Christ) ou de "laïcisation des paysages" (destruction des églises de nos villages)... Il faut donc donner un coup d’arrêt à ce processus funeste, tant qu’il en est encore temps.
C’est pourquoi j’ai pris l’initiative d’une pétition au Premier ministre réclamant un rejet clair et net de cette agression antichrétienne.
Pour qu’elle soit efficace, nous devons absolument être des milliers à dire notre refus de ce laïcisme sectaire.
Alors signez vite et faites signer cette lettre, dont voici le texte :
Monsieur le Premier ministre,
Mme Dounia Bouzar, que vous venez de nommer à l’Observatoire de la laïcité, vient de "proposer" de remplacer deux fêtes chrétiennes par la fête juive de Yom Kippour et la fête musulmane de l’Aïd.
Nous notons d’abord que les instances représentant la communauté juive n’ont jamais posé une telle revendication, ce qui laisse à penser que la communauté juive pourrait être instrumentalisée dans cette affaire par Mme Bouzar.
Mais, surtout, nous constatons, comme toutes les personnes connaissant un tant soit peu l’histoire de notre pays, que, selon le mot fameux du Général de Gaulle, si l’Etat est laïc, la France est chrétienne.
Violer la société pour en faire un espace religieusement neutre est parfaitement absurde. A moins que vous n’ayez aussi pour projet de raser toutes les églises de village qui offensent sans doute la laïcité, selon les canons de Mme Bouzar.
Nous pouvons certes comprendre que l’Etat souhaite proposer des jours fériés aux différentes religions existant dans notre société. Mais, dans ce cas, pourquoi discriminer les bouddhistes, les hindouistes, et les fidèles de toutes les autres religions ?
D’ailleurs, il existe bien des jours fériés religieusement neutres. La France compte 11 jours fériés, dont 6 seulement ont un rapport avec la religion chrétienne - encore que le lundi de Pentecôte ne soit plus qu’un "demi jour férié", puisqu’une importante partie de la population active travaille ce jour-là. Le 1er janvier, le 1er mai, le 8 mai, le 14 juillet et le 11 novembre n’ont aucune connotation religieuse. Si votre gouvernement souhaite remplacer des jours fériés par les fêtes de Yom Kippour et de l’Aïd, il peut fort bien utiliser ces jours religieusement neutres. Mais comment ne pas voir dans la proposition de Mme Bouzar un nouvel acte d’agression antichrétienne ?
Nous tenons donc à vous dire solennellement que, pour nous, chrétiens de France, une telle réforme serait une déclaration de guerre, non pas seulement au christianisme, mais aussi à l’être historique de la France. Pourtant, les Français qui ont voté pour votre majorité n’ont certainement pas voté pour que vous rallumiez la trop fameuse "guerre des deux France".
Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir dissiper au plus vite nos inquiétudes.
Dans cette attente, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier ministre, l’expression de notre très haute considération et de notre vigilante attention.
Cliquez ici pour signer la pétition et envoyer cette lettre.
Daniel Hamiche
Directeur de l’Observatoire de la christianophobie
PS : Pour lire, diffuser, signer et faire signer notre lettre, vous pouvez soit vous rendre sur notre site, soit sur notre page Facebook.
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Touche-pas-a-nos-fetes-chretiennes
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"Arrêtons de dorloter l’intégrisme" : l'article de Nadia Alexan, professeur québecoise retraitée d’origine égyptienne
Elle intervient dans la presse alors que le gouvernement québecois propse une charte de laïcité pour préserver la paix sociale :
"Pourquoi j’appuie la Charte des valeurs québécoises, que je préfère appeler Charte de la citoyenneté ? Je suis d’origine égyptienne. Tout le temps que j’ai vécu en Égypte, où j’ai grandi et suis allée à l’école et à l’université dans les années soixante, je n’ai jamais vu une seule femme voilée. Qu’est-il arrivé depuis ce temps pour que le voile soit si répandu ? L’islam politique propagé par les pétrodollars de l’Arabie saoudite, du Qatar et des Émirats arabes unis a envahi non seulement le Moyen-Orient, où il n’arrête pas de réclamer le retour strict de la charia, mais aussi l’Occident, où il mène une campagne très énergique pour conquérir la civilisation des Lumières et ramener la gloire du califat du VIe siècle.
Ce courant salafiste mine les gains faits par des féministes courageuses, comme les Égyptiennes Hoda Sharaawi et Nawal el Saadawi, qui se sont battues pour faire avancer les droits des femmes et les sortir de l’emprise de la religion. Les musulmanes portant le voile qui se prétendent féministes trahissent le combat mené par ces femmes héroïques, qui se sont débarrassées du voile, symbole de la soumission au patriarcat.
Il n’y a rien, ni dans la culture ni dans le Coran, qui oblige la femme musulmane à porter le voile. […] Le voile n’est pas un bout de tissu anodin, comme on le prétend. Bien au contraire, il véhicule le prosélytisme d’un islam fanatique et totalitaire. La plupart des musulmanes de Montréal ne portent pas le voile. Sont-elles moins pieuses pour autant ?
Ce voile symbolise la soumission de la femme aux diktats d’un patriarcat qui n’aime ni la modernisation ni l’émancipation des femmes. Ce voile témoigne de la barbarie de l’excision, imposée aux femmes en Égypte et ailleurs, du mariage forcé des fillettes à l’âge de neuf ans, de la lapidation, de la polygamie, des fatwas, de l’interdiction de la liberté d’expression, et j’en passe. Ce voile cache le mépris des hommes qui traitent les femmes comme des biens à posséder. Je pense que les hommes sont des lâches pour ainsi mettre le fardeau religieux sur la tête des femmes.
[Certains se rangent] du mauvais côté de l’histoire [en affirmant] que l’interdiction du port du voile dans la fonction publique exclurait les femmes. Je pense que c’est le contraire qui se produit. Les femmes voilées s’excluent elles-mêmes ; en portant le voile de l’aliénation, elles montrent qu’elles ne veulent pas s’intégrer. De plus, elles font peur aux dirigeants par leurs demandes d’accommodements religieux, de prière pendant les heures de travail et de congés supplémentaires" (suite).
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Tareq Oubrou hostile à une « interdiction du foulard dans les universités »
BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – L’imam de Bordeaux (membre de la sulfureuse Union des organisations islamiques de France, UOIF) est l’auteur d’une tribune libre dans le journal Le Monde. Décrit par la journaliste Caroline Fourest et nos confrères de Libération, comme « fondamentaliste », ce dernier met en garde contre le projet d’interdire le foulard islamique dans les universités.
« Cela ne fera que doper la résistance et l’entêtement chez nos jeunes (…) une interdiction supplémentaire du foulard dans les universités donnerait encore une image d’une République contre sa propre démocratie ».
Si le natif du Maroc partage de bonnes relations avec les autorités politiques de Bordeaux, son double-discours permanent commence à soulever des questions. Car qui croire ? Celui qui déclare « J’ai toujours prôné une visibilité religieuse modérée » ou celui qui imam à Pau, incitait toutes les femmes musulmanes à porter le voile ?
Pourquoi dit-il aux lecteurs du Monde que « porter le voile n’est pas un signe religieux », et dans son ouvrage « Loi d’allah, loi des hommes » explique-t-il « Le khimâr (cachant les cheveux et le cou) et le jilbâb (qui cache le reste du corps) sont des prescriptions vestimentaires divines qui ne sont abrogées par aucun autre texte » ?
Comme le disait Oumma.com, premier site web d’information destiné à la communauté musulmane francophone « Comment prendre au sérieux cet imam qui dit une chose et son contraire ? »
Addendum : Fouad Alaoui, membre et ancien président de l’UOIF (dont fait partie Tareq Oubrou) se dit « convaincu que le foulard est une obligation religieuse et « salue nos femmes musulmanes qui persistent à porter leur foulard malgré toutes les contraintes »
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« La communauté chrétienne est la plus persécutée au monde »
C'est ce qu'a déclaré le cardinal Jean-Louis Tauran, hier, vendredi 4 octobre, lors du troisième et dernier jour de rencontres internationales à Rome célébrant le cinquantième anniversaire de l’encyclique Pacem in Terris. Le professeur Paul Bhatti, ancien ministre de l’harmonie religieuse nationale du Pakistan, a rappelé la situation difficile qui règne dans son pays, notamment pour la communauté chrétienne. Cette minorité doit faire face à de nombreuses restrictions des libertés fondamentales, la loi sur le blasphème étant en partie responsable de cette situation. Cependant « les musulmans qui vivent au Pakistan subissent aux même titre que les chrétiens » la persécution des fondamentalistes religieux.
Le président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, le cardinal Jean-Louis Tauran, s’est focalisé sur la persécution des chrétiens dans le monde.
« C’est la minorité la plus persécutée au monde à cause de leur foi ».
Le nombre de chrétiens persécutés dans le monde oscille entre 100 et 150 millions d’âmes. Ce chiffre, en hausse constante, fait du christianisme la religion la plus persécutée.
"L’Église a toujours été persécutée. Tous les siècles il y a eu des persécutions. Aujourd’hui je dirais qu’on accuse souvent les chrétiens d’être d’une communauté qui est en réalité une cinquième colonne. Ensuite on leur reproche de dépendre de l’étranger car c’est le Pape qui est le chef de l’Église, qui nomme les évêques et donc les chrétiens, les catholiques en particulier ne sont pas de bons citoyens. Et ensuite on leur reproche de cultiver des valeurs qui ne sont pas les valeurs à la mode. Alors effectivement ça demande de la part des chrétiens d’avoir le courage de la différence."
"Vous avez parlé également d’une persécution des chrétiens plus pernicieuse notamment celle qui règne en Occident, quelle est-elle ?"
"C’est la tentative de limiter la religion au domaine privé ou que ça constitue une discrimination en ce qui concerne l’accès à l’enseignement supérieur ou à des postes d’activité économique et également la promotion de lois qui contredisent la nature de l’homme et la nature de la réalité cosmique."
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Tareq Oubrou hostile à une « interdiction du foulard dans les universités »
BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – L’imam de Bordeaux (membre de la sulfureuse Union des organisations islamiques de France, UOIF) est l’auteur d’une tribune libre dans le journal Le Monde. Décrit par la journaliste Caroline Fourest et nos confrères de Libération, comme « fondamentaliste », ce dernier met en garde contre le projet d’interdire le foulard islamique dans les universités.
« Cela ne fera que doper la résistance et l’entêtement chez nos jeunes (…) une interdiction supplémentaire du foulard dans les universités donnerait encore une image d’une République contre sa propre démocratie ».
Si le natif du Maroc partage de bonnes relations avec les autorités politiques de Bordeaux, son double-discours permanent commence à soulever des questions. Car qui croire ? Celui qui déclare « J’ai toujours prôné une visibilité religieuse modérée » ou celui qui imam à Pau, incitait toutes les femmes musulmanes à porter le voile ?
Pourquoi dit-il aux lecteurs du Monde que « porter le voile n’est pas un signe religieux », et dans son ouvrage « Loi d’allah, loi des hommes » explique-t-il « Le khimâr (cachant les cheveux et le cou) et le jilbâb (qui cache le reste du corps) sont des prescriptions vestimentaires divines qui ne sont abrogées par aucun autre texte » ?
Comme le disait Oumma.com, premier site web d’information destiné à la communauté musulmane francophone « Comment prendre au sérieux cet imam qui dit une chose et son contraire ? »
Addendum : Fouad Alaoui, membre et ancien président de l’UOIF (dont fait partie Tareq Oubrou) se dit « convaincu que le foulard est une obligation religieuse » et « salue nos femmes musulmanes qui persistent à porter leur foulard malgré toutes les contraintes »
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Les veilleurs à Nantes
Les Veilleurs nantais se réunissaient hier soir sur le thème de l'éducation. "L'éducation, c'est la famille qui la donne ; l'instruction, c'est l'état qui la doit" disait Victor Hugo.
L'étude de ce thème se poursuivra demain au cours d'un colloque :
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Ghouta : les surprenantes révélations de Mère Agnès-Mariam…
Le blogue Comité Valmy a publié le 27 septembre la retranscription en français d’un entretien accordée par la Mère Agnès-Mariam de la Croix à la chaîne de télévision en langue arabe Al Mayadeen. Cette chaîne, lancée en juin 2012 pour contrer l’influence de chaînes comme Al Jazeera (du Qatar), émet depuis Beyrouth. Ses financiers sont inconnus. Si la direction de la chaîne soutient que ses actionnaires sont des hommes d’affaires arabes, d’autres sources occidentales insinuent qu’elle serait une propriété conjointe entre les Iraniens et un cousin de Bachar Al-Assad… Comme d’usage, dans cette situation moyenne orientale où l’épineux le dispute au mystérieux, il convient de recevoir les propos de la supérieure du couvent Saint-Jacques le Mutilé (Syrie) avec bienveillance et prudence. Ils reviennent sur l’affaire du bombardement chimique de Ghouta – l’oasis de terres cultivées qui entourent au sud et à l’est la ville de Damas – et apportent des informations plus que surprenantes. Les voici…
« Les habitants de la province de Lattaquié m’ont informée avoir vu leurs enfants dans les vidéos sur la Ghouta, filmées par les miliciens armés », a-t-elle dit dans une interview avec la chaine de télévision al-Mayadeen [la religieuse accompagnait l’équipe des inspecteurs de l’ONU lors de leur deuxième visite à Damas] « le premier motif de son action était au début humanitaire, et la veille de l’attaque chimique dans la Ghouta nous étions à Damas. Nous avons vu de nos propres yeux ce qui a eu lieu à Maadamiya. Donc, s’il y avait eu des morts, des victimes et des blessés, on aurait remarqué ceci immédiatement. Mais cette nuit, aucun mouvement inhabituel n’a été enregistré. Les gens ici sont tous des voisins et se connaissent. Les habitants de la Ghouta qui se sont déplacés vers Damas n’ont pas été paniqués par un événement de cette ampleur, surtout que les informations de presse ont fait état de 1 400 morts et de 10 000 blessés dans une petite zone. Nous n’avons pas entendu non plus les ambulances. Tout était calme cette nuit (…) Telles étaient mes premières remarques, et lors de mon voyage en Malaisie, j’ai été en contact permanent avec les habitants de Lattaquié. Le 4 aout, les groupes armés ont ravagé 11 villages dans la province de Lattaquié. Les médias occidentaux ont parlé d’une avancée de l’opposition syrienne, alors qu’un véritable carnage avait eu lieu. Nous avions dressé des listes comprenant les martyrs de la province de Lattaquié et les disparus. Les groupes armés avaient kidnappé 115 personnes dont 65 enfants de moins de 15 ans. Au cours de mon voyage, j’ai appris que des parents de la province de Lattaquié ont reconnu des enfants enlevés de la même région qui sont apparus dans les images diffusées sur les victimes des armes chimiques présumées dans la Ghouta. Les Américains ont choisi 13 films parmi les vidéos présentées par les groupes armés et les ont qualifiés de sûrs (…) « J’étais en contact avec des journalistes allemands, je leur avais dit que je suis incapable de déterminer la date et le lieu de chaque film. Ils m’ont envoyée une liste de 43 films dont les premières vidéos. Ma surprise était grande à la vue des mêmes enfants repris dans au moins quatre ou cinq vidéos. Je me suis dit que ce qui se passe est anormal. Quand je me suis approfondie dans l’étude de toutes les vidéos sur des attaques chimiques présumées, je me demandais à chaque fois : d’où cherchent-ils tous ces enfants ? Où sont leurs parents ? Est-ce possible qu’une mère abandonne ses enfants ? Il est normal qu’un ou deux enfants disparaissent, mais perdre ce grand nombre d’enfants ceci suscite des interrogations (…) Toutefois, j’ai une bonne nouvelle : les enfants étaient anesthésiés, la preuve en est que tous les enfants étaient calmes à l’exception d’un enfant qui pleurait. On aurait administré à ces enfants plusieurs types d’anesthésiants pour donner l’impression qu’ils sont morts. Quant aux jeunes tués, je pense qu’ils sont des éléments des groupes armés qui ont joué le rôle de comparse. S’ils étaient morts, on aurait vu ce nombre élevé de victimes enterrées dans les tranchées énormes creusées pour contenir entre 300 à 400 dépouilles. Mais seules 8 corps y ont été enterrés. Nous n’avons pas vu ceux qui enterrent. S’il y avait vraiment 1500 corps, où seraient-ils alors ? Nous sommes de plus en plus convaincus que ces vidéos n’ont pas été filmées le 21 aout. Elles ont été postées sur internet en ce jour et ceci nécessite plus de preuves ».
Source : Comité Valmy
http://www.christianophobie.fr/document/ghouta-les-surprenantes-revelations-de-mere-agnes-mariamLien permanent Catégories : actualité, géopolitique, insécurité, international, lobby, religion 0 commentaire -
A nos frères Chrétiens d'Orient :
Pensons à nos frères chrétiens d'orient dans la souffrance... Qu'ils sachent que les chrétiens d'Occident ne les ont pas oubliés. Qu'ils sachent que nous attendons et luttons pour notre libération d'une république laïque qui tue notre identité chrétienne et francophone. Que nous marchons vers le royaume de la Geste des francs, de l'entente et de la compréhension entre croyants face au matérialisme destructeur. Nous retrouverons alors ce qui fut l'élévation d'un peuple tourné vers la lumière, de ce qui fut le monde médiéval cher à Péguy. Que seul un Roi redonnera au peuple de France ce souffle, cette voie concrétisant les promesses de son baptême, de la libération...
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Yvelines : une ado voilée violée par trois hommes, mais pas d’émeute. Pourquoi ?
D’après le Parisien, « une adolescente voilée de 17 ans a été violée, lundi soir au Mureaux (Yvelines), par trois hommes qui seraient âgés d’environ 30 ans et seraient d’origine maghrébine. Vers 17h30, la victime traverse le parc de Bécheville pour regagner son domicile.
C’est alors que trois hommes l’agressent. Le premier lui arrache son foulard islamique, la tire par les cheveux, la projette au sol et la maintient tandis que ses deux complices la violent. Elle a perdu connaissance et s’est réveillée à l’arrivée des pompiers. La sûreté départementale des Yvelines mène l’enquête. »
Les villes envahies des Yvelines sont le théâtre de violentes émeutes pour un oui ou pour un non, même quand une altercation verbale a lieu entre une femme voilée et des policiers…
Là, une musulmane est violée par trois hommes mais rien ne se passe.
L’explication est bien sûr raciale.