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Sur ordre de Macron, paraît-il, les hôpitaux sont sommés de se préparer à recevoir des milliers de blessés de guerre. L’info a été relayée plusieurs fois et ne paraît pas être une fausse nouvelle. Soit, mais on a le droit de rester dubitatif tant ces dernières années les lits ont été supprimés et au plus fort de la crise Covid, la capacité d’accueil s’est révélée très insuffisante. Même s’il y a eu une intox fabuleuse sur le volume des hospitalisations Covid qui se sont révélées, après coup, situées autour de 2 à 5 % de l’activité générale. Depuis la situation s’est continuellement détériorée. Les désirs du pouvoir semblent une fois de plus relever du fantasme, plus que de la réalité. Macron pense que les services hospitaliers vont être en mesure d’accueillir des milliers de blessés, le chiffre de cent mille a même été évoqué, ce qui ressemble aux cinq cent mille morts qui étaient attendus pour le Covid et qui heureusement n’eurent pas lieu, ou aux millions d’arbres qu’il allait planter, ou au Liban qu’il allait sauver, ou à tout un tas de trucs qui ont disparu de l’actualité, faute de réalisation. Pour autant ce qu’il faut retenir de la nouvelle c’est une fois de plus la volonté de faire peur, d’affoler la population, mais cette fois dans un but bien précis.
Jeudi 28 août, dans un communiqué, la filière professionnelle des œufs a dénonce l’importation d’œufs ukrainiens ensuite distribués dans les grandes surfaces françaises. Une menace économique pour le secteur, mais aussi pour la santé des consommateurs, puisqu’ils contiennent des antibiotiques interdits. L’UE a imposé une directive pour que les produits agricoles ukrainiens, pas aux normes européennes, soient vendus dans nos magasins.
Une lettre du ministère de la Santé, révélée par Le Canard Enchaîné, demande aux agences régionales de santé de préparer les hôpitaux à accueillir jusqu’à des dizaines de milliers de soldats français et étrangers blessés en cas de « conflit de haute intensité » en Europe d’ici mars 2026.
Trompée par les idéologues du genre, Lyo est ce qu’on appelle une femme “detrans”, c’est-à-dire qu’elle a transitionné, puis arrêté sa transition “de genre” pour finalement accepter son sexe de naissance.
Nous ne sommes que début août, et déjà l’offensive pour la vaccination obligatoire contre la grippe, qui s’ajoute à celle contre le Covid, bat son plein. On se croirait revenu dans les grandes années 2020-2021 où les médecins de plateau, tous bien payés par les laboratoires pharmaceutiques, crachaient quotidiennement sur les professeurs Raoult et Perronne, et exigeaient toujours davantage de passes sanitaires, de confinements, de mesures liberticides et de vaccinations obligatoires.
Grande campagne (dès juillet !!!) dans les centres médicaux et autres hôpitaux, et sans doute chez les médecins collabos… Deux d’un coup ! Ils mettent les bouchées doubles, pressés de voir les vieux débarrasser le plancher, faire des économies sur les retraites et frais hospitaliers et pousser dans la tombe les vieux cons qui votent encore patriote ?
40 % des médecins hors union européenne, exerçant en France ont été diplômés en Algérie. Ils exercent principalement dans des régions françaises sous-dotées en médecins, où personne ne veut plus aller pour différentes raisons, et dans des spécialités souvent peu prisées par les médecins locaux. En chiffres, il y avait au premier janvier 2025, 6891 médecins diplômés en Algérie exerçant en France et inscrits à l’ordre des médecins, un nombre qui ne prend évidemment pas en compte les médecins français d’origine algérienne et ceci sans compter les infirmières et aides soignantes, également très nombreuses, jusqu’à représenter la quasi totalité des personnels dans certains services d’établissements d’Île-de-France. Et 5000 autres sont en attente de leur numéro d’ordre.
Hier je vous parlais de Milei, le président argentin et je vous disais que le garçon ne mettait pas en place une politique économique « géniale » mais de bon sens et remettait les choses simples dans le bon sens. Tout simplement et c’est pour cela que cela fonctionne.
En France, nous faisons tout et son contraire et nous avons les inconvénients des deux avec un système devenu totalement illisible et inefficient.
Charles de Courson, mardi, était formel : supprimer l’AME ne serait « pas raisonnable », cette suppression coûterait finalement plus cher, à long terme, car l’AME, explique-t-il, évite les épidémies que pourraient propager les migrants arrivant chez nous.