santé et médecine - Page 211
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Michel Onfray : « Macron n’a pas protégé les citoyens français ! » (Vidéo)
Michel Onfray était invité au micro d’Eric Morillot pour parler de la mise en place de la revue « Front Populaire » et partager son avis sur l’actualité.Sud Radio – Les Incorrectibles -
Sur Sud Radio avec André bercoff, Yves Laisné : "En Allemagne, il n'y a pas eu d'assignation à résidence".
Yves Laisné auteur de "Le Ve Empire ou la face obscure de l'exception française" aux éditions VA Press au micro d'André Bercoff.
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/05/19/sur-sud-radio-avec-andre-bercoff-yves-laisne-en-allemagne-il-6239383.html -
Gestion de la crise du coronavirus par l'UE : les technocrates en action !
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ON A TOUCHÉ LE FOND... (CONSÉQUENCES ÉCONOMIQUES DU COVID-19)
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Marine Le Pen contre l’allongement du délai pour avoir recours à l’avortement
Des pro-avortements, emmenés par la sénatrice PS Laurence Rossignol, ont réclamé le 13 mai d’allonger de deux semaines le délai légal pour avoir recours à un avortement.
Marine Le Pen a été interrogée aujourd’hui dans Le Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI :
“Êtes-vous prêtes en tant que députée à voter l’allongement de 12 à 14 semaines ?”
“Vous êtes l’exemple type de ce ce que je dénonce, c’est-à-dire des gens qui se servent de la crise sanitaire pour faire avancer leur agenda politique”.
“La réalité de l’accès à l’IVG pendant le confinement est que les femmes qui voulaient avorter, ont pu le faire. Je crois que l’on organise cela pour pouvoir obtenir ce que le PS réclame depuis longtemps. Donc évidemment, je m’y opposerai”.
Le nombre d’avortements effectués pendant la période n’est pas encore connu, mais des gynécologues ont témoigné d’une baisse d’activité ces dernières semaines. Ce qui serait un drame selon les partisans du dépeçage d’enfants à naître.
Le Conseil d’État devrait se prononcer, lundi 18 ou mardi 19 mai, sur l’assouplissement des conditions de l’avortement médicamenteux, contesté par plusieurs associations, dont Alliance Vita, suite à allongement, depuis le 14 avril, du recours à l’IVG médicamenteuse à domicile jusqu’à sept semaines de grossesse, au lieu de cinq semaines.
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Alain Houpert : « J’ai l’impression qu’on fait tout pour encore diaboliser le professeur Raoult »
L’essai clinique Discovery, initiative européenne, visant à trouver un traitement contre le coronavirus, visiblement patine. Réaction du docteur Alain Houpert, sénateur LR de la Côte-d’Or. L’occasion, pour lui, de revenir sur la gestion de la crise par le gouvernement. Selon lui, « c’est la première fois depuis l’Antiquité qu’un gouvernement dit aux médecins ce qu’il faut faire… »
On attendait les résultats de cet essai européen destiné à trouver un traitement. On attendait une collaboration de plusieurs pays européens, mais pour l’instant il n’y a que la France et éventuellement le Luxembourg. Cette grande initiative vantée par Emmanuel Macron devait rendre des résultats le 14 mai, mais elle semble pour l’instant vouée à l’échec. Sait-on pourquoi ?
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Pendant la pandémie, les assureurs engrangent les bénéfices et ouvrent le parapluie
D’Olivier Piacentini :
« Baisse de 80 % des accidents de la route depuis le confinement, baisse conséquente des accidents du travail, accidents corporels de tous types, chute de la délinquance, des vols de voitures et actes de vandalisme : les risques liés à l’activité ont fondu à due proportion desdites activités. Du tout bénef pour les compagnies d’assurance : baisse des indemnisations, poursuite des prélèvements, voilà un secteur qui a grandement profité de la crise pandémique. Mais qui se refuse, dans sa grande majorité, à indemniser la perte d’exploitation des entreprises.
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Il était impossible de faire pire que Macron : il doit partir !
Riposte Laïque : Avant d’évoquer avec vous la situation inédite que traverse la France, permettez-nous cette question personnelle : comment vivez-vous ce confinement, qui dure depuis 40 jours et doit prendre fin le 11 mai, si on en croit ce pouvoir ? Et comment avez-vous adapté vos nombreuses activités militantes à cette situation nouvelle ?
Jean-Yves Le Gallou : Honnêtement, plutôt bien. Avec mon épouse Anne-Laure, dans notre appartement du Plessis-Robinson entouré d’un parc. Avec une heure de promenade par jour pour ne pas trop s’encroûter, écouter les oiseaux, regarder la nature reverdir, les camélias, les lilas et les glycines fleurir.
Pour le reste « business (presque) as usual »… : enregistrement d’I-Média tous les jeudis matins avec Nicolas Faure par Skype ; Skype aussi pour les réunions de direction de l’Institut ILIADE ou de Polémia ; et une fois par mois, par téléphone, le libre journal de Dominique Paoli sur Radio courtoisie.Pour le reste, beaucoup d’ordinateur pour la veille internet, l’animation du site Polémia, la rédaction d’articles et pour achever deux ouvrages à paraître en septembre :
Un dossier de Polémia chez Via Romana sur l’invasion de l’Europe, les chiffres du Grand Remplacement : un ensemble de monographies sur 13 pays d’Europe. -
Coronavirus : le projet Discovery qui doit notamment tester l'hydroxychloroquine tourne au fiasco.
L’essai européen Discovery, censé tester quatre traitements contre le Covid-19 n’est finalement mené que par la France.
Source : https://www.ladepeche.fr/
Le projet européen Discovery qui doit notamment tester l'hydroxychloroquine, molécule utilisée par le Professeur Didier Raoult, pour lutter contre le coronavirus n'est plus aussi ambitieux qu'au départ. Seuls 700 patients français participent aux essais cliniques. Ce jeudi, le comité indépendant chargé d'analyser l'essai a estimé qu'il n'y avait pas encore de résultats sur l'efficacité des quatre médicaments testés.
C’est l’histoire d’un vaste projet de coopération médicale lancé le 22 mars entre sept pays européens, et qui devait tester sur 3.200 patients quatre traitements contre le Covid-19. Huit semaines après son lancement, force est de constater que le projet international n’a jamais été suivi que par la France, seul pays à avoir présenté un peu plus de 700 patients pour procéder aux essais cliniques.
On notera néanmoins la participation luxembourgeoise, avec... un patient. Quoi qu’il en soit, c’est trop peu pour lancer une étude susceptible de présenter des résultats fiables. Il faudrait au moins 600 personnes par traitement testé, plus un groupe témoin. On en est loin selon les méthodologistes.
L’hydroxychloroquine vantée par le Pr Raoult
"Si les Européens avaient travaillé aussi vite que prévu, on aurait des résultats", regrettait dimanche dans le JDD, la professeure France Mentré, épidémiologiste et responsable méthodologique de Discovery. Elle note un manque de "coordination" et une multiplication contreproductive du nombre d’essais à travers le monde. C’est le cas de l’Italie ou de l’Espagne qui ont préféré participé à l’essai Solidarity mené par l’OMS.Par ailleurs, des lourdeurs administratives entre les pays ont freiné la mise en œuvre du projet.
Mené dans les hôpitaux de l’AP-HP, notamment, à l’initiative de l’Inserm, Discovery teste plusieurs médicaments, dont l’hydroxychloroquine vantée par le Pr Raoult. Mais alors que l’épidémie semble reculer en France et dans le monde, les équipes ne sont toujours pas en mesure de présenter des avancées. La semaine dernière, Emmanuel Macron promettait pourtant encore des résultats d’ici "le 14 mai". Aujourd’hui, donc. Ce ne sera pas le cas.
Pas encore de résultats
Plusieurs spécialistes ont d’ores et déjà fait part de leur dépit, parlant d’"échec" voire de "fiasco". Le Pr Mentré n’en est pas là, évoquant pour sa part, un nouveau point d’étape du comité le 3 juin. Pour acter l’échec ?
Ce jeudi, le comité indépendant chargé d'analyser l'essai Discovery a estimé qu'il n'y avait pas encore de résultats sur l'efficacité des quatre médicaments testés contre le Covid-19, a indiqué l'un des chercheurs qui chapeautent le projet à l'Inserm. "Ils nous ont dit qu'il fallait continuer" à inclure de nouveaux patients dans l'étude, a déclaré Yazdan Yazdanpanah, directeur de l'infectiologie de cet institut de recherche, à propos du comité d'experts qui s'est réuni lundi pour analyser les données de cet essai européen.
La rédaction
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Le COVID-19 c’est terminé !
C’est l’INSEE qui vous le dit :
Le 04 mai 2020, cela faisait déjà 7 jours que le nombre de morts en 2020 était inférieur à celui de 2018 et de 2019 (voir le cercle vert).
Et alors combien de morts le COVID-19 ?