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santé et médecine - Page 226

  • Gérard Bardy : « Le plus grave est le silence complice des journalistes sur la mortalité dans les EHPAD »

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    Le journaliste et écrivain Gérard Bardy, ancien rédacteur en chef à l’AFP, analyse la façon dont les médias français couvrent la crise du Covid-19 et partage son inquiétude sur l’avenir de cette profession en pleine mutation.

    Comment analysez-vous la manière dont la presse française traite cette crise ?

    Pour suivre les informations concernant le Covid-19 sur plusieurs grands médias étrangers, je peux dire, par comparaison, que la presse française ne devrait pas sortir grandie de cet épisode ! À de rares exceptions près, dont il faut saluer le courage, les journalistes font du suivisme, relayant en boucle les informations officielles sans oser poser la moindre question qui dérange.
    Sur la suppression des stocks de masques sous Hollande/Touraine, sur la non-reconstitution de ces stocks et la non-préparation d’une stratégie de crise sanitaire sous Macron/Buzyn, sur l’absence de masques, de combinaisons, de gants, etc., dans de nombreux établissements hospitaliers et maisons de grand âge, plus de deux mois après le début de la crise… sur tout cela, c’est-à-dire ce qui préoccupe quotidiennement les Français, aucune enquête de fond dans les médias !

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  • Un vaccin contre la crise du coronavirus : les impôts !

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    Le coronavirus n’en finit pas de donner de la fièvre à nos gouvernants et beaux esprits de tous poils, Sibeth empêtrée dans les lanières de ses masques, Buzyn punaisant des affiches à la sortie des Pékin-Roissy, Didier Guillaume appelant au déconfinement agricole, l’inénarrable Cohn-Bendit insultant le mage professeur Raoult, Macron et « les sorties en plein air qui ont davantage contaminé que les élections municipales », Nuñez, son secrétaire d’État à la Sécurité qui ne veut pas la faire appliquer dans les banlieues… La liste est longue des interminables cafouillages, décisions prises au doigt mouillé servis par une communication clownesque. Il faudrait en rire avec la bonne fortune des chansonniers si les conséquences n’étaient pas aussi dramatiques.

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  • Covid-19 ? Hydroxychloroquine ? Contre quoi Macron fait la guerre ? par Christian Perronne

  • Sur C News, Eric Zemmour : "Macron veut profiter du Covid-19".

    "A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle"...

  • De l’urgence de changer de logiciel

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    Voici notre quatrième intervenant, l'écrivain, chroniqueur et éditeur Philippe Randa que l'on ne présente plus aux lecteurs de Synthèse nationale...

    S.N.

    Philippe Randa

    Le terme « mondialisme » prête souvent à confusion à notre époque où la circulation à travers le vaste monde, en durée comme en moyens, est aussi simple qu’ancrée désormais dans les habitudes des plus riches comme dans les rêves des plus pauvres. À moins d’être fou ou particulièrement mauvais de nature, on ne saurait, à l’évidence, le déplorer… et encore moins vouloir l’empêcher.

    Définissons donc d’emblée le « mondialisme » : une idéologie politique visant à instaurer un État mondial, ayant aboli toutes notions de frontières, appelé parfois « village mondial » et sensé représenter un Eldorado de prospérité économique, de concorde entre tous les humains, d’accès à la consommation pour tous et surtout, béatitude suprême ! de surconsommation… Bref, une sorte de retour de l’Homme, de la femme et du transgenre si affinité au Jardin d’Eden, terrestre celui-là, mais sans l’interdit de manger les fruits de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, puisqu’ils seront génétiquement modifiés aux normes de la Pensée unique.

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  • Le professeur Raoult règle leur compte aux médias

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    Le dernier épisode des aventures du professeur Raoult vient de sortir. Assez peu d’effets spéciaux, aucune cascade. Blouse blanche, allure de mousquetaire, une machine à café en arrière-plan. La production persiste à limiter le budget alors que le look du personnage semble tout indiqué pour un film de cape et d’épée. Pas même un seul cheval à l’horizon. De qui se moque-ton ?

    Les dialogues, en revanche, méritent le détour. Notre héros s’aventure, cette fois-ci, sur des terrains jusqu’alors inexplorés lors de ses dernières interventions. Le téléspectateur frémit. « Mais que fait-il ? Non ! Il ne va pas oser ? » Eh bien, si ! Après avoir constaté la révolution du droit à la parole engendré par l’apparition des réseaux sociaux, le professeur se lance, tête la première, contre la grande méchante collusion médiatique avec cette phrase qui pourrait le voir banni à jamais des plateaux de BFM TV et de ses semblables (âmes sensibles s’abstenir) : « C’est pour ça que les médias traditionnels peuvent éventuellement qualifier de “fake news” ce qui ne sont pas les news que eux propagent. »

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  • Une « guerre » ne doit pas en cacher d’autres !, par Christian Vanneste.

    Platon a écrit que « la perversion de la Cité commence avec la fraude des mots ». La France est une Cité, une nation affaiblie par la corruption d’un vocabulaire miné par les manipulations idéologiques de laboratoires lexicaux destinés à la mutation des idées du peuple. Lorsque les mots changent, c’est la pensée qui change et la conscience collective qui constitue la réalité d’une nation parce qu’elle correspond à son identité

    Lorsque l’Etat de droit remplace subtilement la démocratie, que le mot populisme devient une marque de réprobation, que la culture ne s’écrit plus qu’au pluriel, que la discrimination positive justifie l’inégalité jusqu’à permettre la préférence étrangère, la mutation se produit : les défenses immunitaires s’effacent, et c’est tout un peuple qui peut mourir, qui peut subir une euthanasie, car il ne va même pas en avoir conscience puisque les moyens de le dire auront disparu. La mort d’une nation, d’une civilisation, est moins visible que celle d’un homme, parce qu’elle est plus lente et imperceptible, et pour cette raison, il faudrait être au moins aussi soupçonneux envers les laboratoires qui triturent les mots qu’à l’égard de ceux qui manipulent les virus.

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  • Des masques pour tous... mais pas pour Stéphane Ravier et ses administrés marseillais

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    Voici ce qu’on peut lire sur Valeurs actuelles : « Antoine Baudino, attaché parlementaire de Stéphane Ravier et candidat RN à la mairie de Berre-l’Étang (Bouches-du-Rhône), cherchait en effet 1 000 visières de protection auprès des entreprises de la cité phocéenne afin de fournir les commerçants du 7e secteur de Marseille. Parmi plusieurs réponses positives accompagnées d’un devis, à sa grande surprise, il reçoit cette réponse quelque peu détonante de l’une de ces entreprises, nommée Make it Marseille : « Désolé, nous ne souhaitons pas contribuer à vos actions, ne partageant pas les mêmes valeurs que le Rassemblement National. » Contacté par Valeurs actuelles, le sénateur RN Stéphane Ravier ne mâche pas à ses mots à l’encontre de cette société : « Ça ressemble à une attitude de “salauds” ».

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  • Sortir du confinement ? Emmanuel Macron et ses guildes n’y ont aucun intérêt

    Sortir du confinement ? Emmanuel Macron et ses guildes n’y ont aucun intérêt

    De Marion Duvauchel :

    Emmanuel Macron veut-il tuer les Églises chrétiennes ou veut-il diminuer le pourcentage à venir de djihadistes ?

    Contre la demande fort raisonnable des Évêques de France et des autres représentants des cultes chrétiens, notre président a tranché : pas de messe avant juin mais permission du Ramadan en famille. Il convient bien évidemment de vérifier si M. Macron, en politique avisé, a juridiquement fait préciser de quoi on parle quand on parle de réunion de famille : les oncles, tantes, cousins ? Ou les seuls parents et les enfants. S’il n’a pas précisé, alors nous pouvons tirer deux ou trois conclusions que je voudrais exposer avec la précision des scolastiques.

    Une première hypothèse est que M. Macron est profondément attaché à la tradition catholique et sait parfaitement qu’elle vieillit comme la France entière, hormis les musulmans. Il nous protège. Un petit peu contre nos représentants, les prélats de France, mais enfin, il tient beaucoup à nous, selon toute apparence et ne souhaite pas voir nos paroisses se vider davantage. Mais autoriser la réouverture des écoles et refuse les célébrations cultuelles, c’est un « en même temps » qui laisse penser que l’imposture continue.

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  • Des banlieues en éruption et des policiers qui font irruption… dans une église ! Quand cessera ce cirque ?

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    Échange nocturne surréaliste, digne de l’Ancien Régime une heure moins le quart avant la Révolution, sur une page Facebook dédiée aux habitants de … question intriguée : « Vous entendez ces détonations au loin ? » Réponse candide : « Ce sont les Grandes Eaux du château, non ? » Sauf que le spectacle tant prisé des touristes, qui se termine traditionnellement, dans le parc, par un feu d’artifice au-dessus du bassin de Neptune a été évidemment, coronavirus oblige, annulé cette année.

    N’ont pas été annulées, en revanche, de toute évidence les festivités des cités, qui n’entendent pas, elles, se priver de leurs Menus-Plaisirs.

    C’est donc dans la très bourgeoise ville de Versailles, rue Hector-Berlioz, près du stade, au sein du quartier sensible de Jussieu, qui jouxte celui très résidentiel de Montreuil, que les policiers, appelés pour des blocs de béton déplacés et des poubelles en feu, sont tombés dans un guet-apens : ils ont essuyé des tirs de mortier (les feux d’artifice !), tandis qu’un véhicule était incendié et qu’une entrée de parking commençait, elle aussi, à être la proie des flammes (source policière).

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