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santé et médecine - Page 224

  • Taux de mortalité de 10% en réanimation: l’Etat aurait-il menti ?

    Alors que le gouvernement a évoqué un taux de mortalité des malades du coronavirus en réanimation de 10%, il pourrait en fait se situer entre 30 et 40%, d’après une étude du Réseau européen de recherche en ventilation artificielle (REVA) que Le Monde a pu consulter.

    VA – « Vendredi 17 avril, (…) le directeur général de la santé Jérôme Salomon indiquait pour la première fois le taux de mortalité des patients malades du Covid-19 en réanimation. Le haut-fonctionnaire évoquait le chiffre, plutôt bas, de 10%. Or, d’après une étude du Réseau européen de recherche en ventilation artificielle (REVA) que Le Monde a pu consulter, cette proportion pourrait en fait être largement sous-estimé, se rapprochant de l’ordre de 30 à 40% (…)

    « 40 à 60% de décès » dans certains hôpitaux

    « Nous nous dirigeons vers une mortalité qui sera très vraisemblablement entre 30 et 40%. C’est un chiffre énorme », confie au Monde Matthieu Schmidt, coordinateur du REVA et médecin réanimateur à la Pitié-Salpêtrière. « On n’a jamais vu de tels taux de mortalité. Avec le H1N1, même avec les formes les plus graves, on était à 25% », ajoute-t-il. Contactés par le quotidien, plusieurs médecins en réanimation confirent les estimations du REVA. « A Bicêtre, on est sur une fourchette large de 40 à 60% de décès », témoigne le docteur Tai Pham, médecin réanimateur à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). « A Garches, on a un taux de 37% de décès Covid en réa », abonde Djillali Annane, chef du service de réanimation à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine). »

    Source : Valeurs actuelles

    https://www.tvlibertes.com/actus/taux-de-mortalite-de-10-en-reanimation-letat-aurait-il-menti

  • Le Covid-19 face à l’histoire – Pour Olivier Faure : “C’est une catastrophe, mais la moins pire vécue depuis un siècle”

    Dans une récente tribune, Olivier Faure – historien de la santé et professeur d’histoire contemporaine à l’université Lyon III Jean Moulin – rappelle que le taux de létalité du Covid-19 est bien loin de celui d’épidémies survenues dans le passé.

    Voici ce qu’il déclare à RetroNews :

    Sans remonter à la peste ou au choléra, il faut savoir que la grippe de Hong Kong en 1968 a par exemple fait 31 000 morts en deux mois dans une France qui ne comptait alors que 50 millions d’habitants. Aucune mesure n’avait été prise, on n’en parlait quasiment pas. Moi-même j’étais adolescent à l’époque, et je n’en ai absolument aucun souvenir. Pour la grippe espagnole, les évaluation sérieuses pour la France font état de 128 000 morts sur 40 millions d’habitants. Par ailleurs, cette épidémie n’est pas surprenante par sa propagation. Il faut savoir que, même dans un monde dans lequel les déplacements n’avaient rien de commun à ceux d’aujourd’hui, la peste, en 1348 a mis seulement deux ans à ravager l’Europe ; le choléra a mis six mois à venir de Russie pour s’étendre à l’ensemble du monde. Avec le Covid-19, malgré la densité de la population mondiale, pour l’instant on ne voit pas d’explosion massive. C’est une catastrophe, mais la moins pire vécue depuis un siècle. Ce qui est frappant aujourd’hui, ce n’est pas l’intensité du mal, c’est l’intensité de la réaction. Même si c’est inconscient, force est de constater que nous ne tolérons plus la maladie ni, surtout, la mort. On est dans une société qui loue le risque en matière économique, mais qui le refuse par ailleurs. Je crois que l’on vit la première application, à grande échelle, du fameux principe de précaution, introduit dans le Constitution française sous la présidence de Jacques Chirac. Les gouvernants ne se sentent responsables de plus grand-chose, si ce n’est de la vie des gens. Il s’agit de sauver la « vie nue », selon l’expression du philosophe italien Giorgio Agamben, à n’importe quel prix. Or les vieillards confinés, de quoi souffrent-ils le plus, du risque de mourir ou de la solitude et de l’enfermement ?

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  • Plus de 9000 décès à domicile n’auraient pas été pris en compte dans les statistiques officielles en France, selon un syndicat de médecins

    Dimanche 26 avril, le bilan officiel de l’épidémie due au coronavirus en France s’élevait à 22.856 morts, avec selon la Direction générale de la Santé 14.202 décès dans les hôpitaux, et 8654 victimes dans les maisons de retraite et autres établissements médico-sociaux. Mais, selon le syndicat des médecins MG de France, la barre des 30.000 morts aurait déjà été franchie. En effet, selon la principale organisation de généralistes du pays, le coronavirus aurait en effet tué plus de 9000 personnes à leur domicile. Des décès qui ne sont pas comptabilisés dans les bilans que communique tous les soirs Jérôme Salomon, numéro 2 du ministère de la Santé.

    « Nous avons fait une enquête auprès des médecins généralistes. Nous avons eu beaucoup de réponses, 2.339 réponses exactement. Ces médecins, on leur a demandé combien ils avaient vu de patients et on leur a demandé aussi combien, dans leur patientèle, de patients à domicile étaient décédés du Covid-19 », a expliqué auprès de franceinfo Jacques Battistoni. Résultat de cette enquête : il y aurait environ 9000 décès à domicile entre le 17 mars et le 19 avril. Un chiffre « très dérangeant » qui « confirme que la France est l’un des pays les plus touchés », a par ailleurs déclaré le président du syndicat MG France au JDD.

    (…) LCI

    https://www.tvlibertes.com/actus/plus-de-9000-deces-a-domicile-nauraient-pas-ete-pris-en-compte-dans-les-statistiques-officielles-en-france-selon-un-syndicat-de-medecins

  • Les caprices de Macron

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    Le Conseil scientifique, qui estimait plus raisonnable de maintenir les écoles, les collèges, les lycées et les universités fermés jusqu’au mois de septembre, a pris acte de la « décision politique » de rouvrir les établissements scolaires à partir du 11 mai. Dans une note, rendue publique le 24 avril, il donne ses recommandations au gouvernement pour que la réouverture se fasse dans les meilleures conditions possibles (ou, plutôt, les moins mauvaises). Comme vous pourrez en juger, ce n’est pas de la tarte !

    Ouest-France publiait, le 22 avril, un dessin humoristique représentant une mère et son fils dans l’allée d’un supermarché réservée aux fournitures scolaires : dans les rayons, masques, surblouses, gants, visières et gel, toute une panoplie digne d’un récit de science-fiction. C’est à peu près ce que préconise le Conseil scientifique, avec le port du masque pour tous les élèves dans les collèges et les lycées. Il reconnaît que c’est impossible en maternelle et que, pour l’école élémentaire, il est difficile de fixer un âge où « la compréhension serait suffisante pour recommander le port du masque de façon adaptée ».

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  • Dans la France politique « d’après » : le RN dopé par le coronavirus, par Francis Bergeron

    On a peu entendu la classe politique, ces dernières semaines. Ce qui est logique, d’ailleurs, car les Français espéraient et continuent à espérer des réponses à leurs questions et à leurs inquiétudes.
    Or ces réponses, c’est en principe du côté scientifique, médical, qu’elles peuvent venir. La cacophonie, les contradictions, les prophéties ratées, ont d’emblée discrédité la parole politique. Deux courants seulement, aujourd’hui, semblent encore en capacité de se faire entendre : les macronistes, parce que Macron, Philippe et Véran attirent sur eux la lumière, multipliant les prises de parole ; et le RN qui s’est imposé comme « le seul opposant audible », ainsi que le note Valeurs actuelles, cette semaine.

    Le 6 mars dernier, alors que personne n’imaginait encore les proportions que prendrait, en France et sur toute la planète, la crise sanitaire, Le Monde publiait les résultats d’un sondage sur l’image du RN. La réponse était mitigée. 51 % des Français considéraient que le parti de Marine Le Pen représentait un danger pour la démocratie, mais ce chiffre traduisait un recul de 4 % des mauvaises opinions. Par ailleurs 56 % des Français estimaient désormais que le RN était susceptible d’accéder au pouvoir.

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  • Confinement pour covid 19 : pas d'inquiétude, l'avortement est toujours aussi facile !

    913647494.3.jpgUn communiqué du MNR :

    Un décret publié au Journal Officiel le 15 avril 2020 stipule que : « Eu égard à la situation sanitaire (…), les interruptions volontaires de grossesse pratiquées par voie médicamenteuse par un médecin ou une sage-femme peuvent être réalisées jusqu'à la fin de la septième semaine de grossesse (ou neuf semaines d'aménorrhée, date des dernières règles).» Ce décret fait suite à l'avis de la Haute Autorité de Santé, saisie en urgence par Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé. Ainsi, le délai pour l'IVG médicamenteuse en ville est allongé de deux semaines.

    Faut-il donc que nos autorités (y compris celle de la santé) soient obsédées par l'idée de tuer des embryons (présentée comme un « droit fondamental » des femmes), pour prendre une telle décision !

    Réaffirmons que l'avortement ne peut être, au mieux, qu'un pis-aller face à une situation de détresse (Simone Veil l'avait d'ailleurs précisé en 1975, mais ses « successeurs » l'ont bien oublié).

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  • La guerre bactériologique n’aura pas lieu ?

    La guerre bactériologique n’aura pas lieu ?

    De Marion Duvauchel, Professeur de lettres et de philosophie :

    Depuis deux mois bientôt, les contradictions extravagantes dans les communications gouvernementales ne laissent aucun doute : on nous débite mensonge sur mensonge.

    S’agit-il d’une guerre bactériologique ? Il est tout aussi difficile de le déterminer que de déterminer si on s’attendait à des milliers de morts. La rapidité avec laquelle la Chine a construit des hôpitaux peut laisser penser qu’au moins là-bas, on était préparé. « On », ce sont les responsables. Les Chinois, ce n’est pas si sûr. En Europe, il est clair que la guerre bactériologique apparaît à nos gouvernants comme un fantasme de complotistes. Mais la presse française n’est pas libre : si elle l’était, une presse parallèle, de résistance, ne se serait pas constituée. Or cette presse fait l’objet d’une surveillance étroite : à peine a t-elle lancé une information nouvelle que cette information est dénoncée au JT comme une fake news (en français une fausse rumeur).

    Mais si ce n’est une guerre bactériologique cela ressemble bel et bien à un test : il s’agirait de vérifier comme un virus artificiel se propage et peut–être d’apprécier aussi le temps de réaction de ceux auxquels il est destiné. La Chine aurait-elle déclaré la guerre au monde, puisqu’il est acquis que le virus vient de chez elle ?

    A cet égard, elle peut être tranquille : en Europe, il est évident qu’on n’est prêt ni sur le plan politique, ni sur le plan de l’union des nations.

    Mais si cela est un test bactériologique, il est juteux. La Chine s’en met encore une fois plein les poches. Certes, on lui a délégué toutes les capacités de production dont nous manquons cruellement, mais enfin, une telle capacité à répondre aux besoins du monde entier en masques (parfois contaminés), cela devrait nous alerter. Or, personne n’en parle ni n’en a parlé, pas plus au JT que sur les différents plateaux télévisés, spécialisés dans le bavardage professionnel.

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  • Tandis que les banlieues s’embrasent sous l’œil bienveillant de Castaner, des Français inoffensifs sont verbalisés

    Alors que le confinement emprisonne les honnêtes citoyens chez eux, détruit leur outil de travail lorsqu’ils sont commerçants, artisans, petits entrepreneurs, dans les banlieues, le confinement, la racaille s’en balance.

    Pire, ces no-go-zones s’embrasent, les violences ne cessent de croître, notamment depuis l’accident d’un motard de 30 ans, multi-récidiviste, qui s’est blessé après avoir percuté un véhicule de Police à Villeneuve-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine. 

    Depuis, ceux que peu de journalistes ose dénommer selon leur comportement, des « racailles », narguent et agressent chaque nuit les forces de police et les pompiers, avec des tirs de cocktails Molotov et de projectiles par des lance-roquettes.

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  • N’acceptons plus l’inacceptable !

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    Notre pays naufrage. La crise sanitaire actuelle pourrait bien le couler par le fond, tant la gestion de cette épreuve par le pouvoir actuel est catastrophique.

    Il est inacceptable qu’à peu de temps de la date à laquelle les Français sont censés recouvrer une partie de leur liberté, et plusieurs mois après le début de la crise, les autorités sanitaires demeurent incapables de leur assurer les équipements de protection indispensables, dont les masques et les tests nécessaires.

    Il est inacceptable qu’il soit interdit aux pharmacies de proposer des masques sanitaires au public ; et que l’on interdise, par décret, aux médecins libéraux d’exercer leur art par les prescriptions qu’ils jugent les plus appropriées aux cas de Covid-19 qu’ils sont amenés à traiter.

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