Depuis le début de l’épidémie de coronavirus, la question de l’usage des masques est au coeur de toutes les discussions. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les versions ont évolué. Avant l’entrée en vigueur du confinement, les responsables sanitaires nationaux, du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, au ministre de la Santé, Olivier Véran, martelaient, à qui souhaitait l’entendre, que le port du masque n’était pas essentiel. Et ce malgré des témoignages toujours plus alarmants de professionnels de santé travaillant sans protection au contact des malades.
santé et médecine - Page 224
-
Le gouvernement, responsable de la pénurie de masques ?
-
COVID-19 : MERCI QUI ? LE MONDIALISME !
Dans ce nouveau volet de notre enquête, Jean-Claude Rolinat, écrivain et grand voyageur, collaborateur régulier à la revue Synthèse nationale, décortique la crise sanitaire actuelle et la crise économique future, avec la vision critique qui est celle du militant aguerri qu'il est aussi.
S.N.
Jean-Claude Rolinat
Jamais la formule « le capitalisme apatride, anonyme et vagabond » n’a claqué au vent avec une telle vérité. Un virus parti du fin fond de la Chine communiste, a grandement perturbé la marche du monde, entrainant dans la mort de dizaines et des dizaines de milliers de terriens. Certains, qualifiés de « complotistes », vont même jusqu’à suspecter la Chine d’avoir volontairement propagé le virus pour s’assurer une domination économique totale ! Tant que nos Dupon(d)t de la CIA, du Mossad, du Mi6 et autre DGSE, n’auront pas tiré les choses au clair dans l’empire de Xi-Jin-Ping, nous nous abstiendrons de prêter l’oreille à pareille rumeur. Sans en complètement fermer la porte… En revanche, il ne serait pas impossible qu’une malheureuse manipulation l’ait ouverte au Covid-19 !
Que peut bien vouloir dire « produire français » ?
Aujourd’hui, les entreprises peuvent passer de mains en mains, être rachetées, disparaitre, renaitre sous une autre forme ailleurs que dans leurs lieux de naissance traditionnels. Les fonds de pensions anonymes sont là, dirigés par des managers dont la seule préoccupation est la rentabilité pour complaire à leurs actionnaires. Lesquels se moquent bien de l’avenir des personnels et des produits, comme de leurs premières chemises, tuniques, ou djellabas : seul compte le profit, le profit à tout prix. Dans ce jeu mortifère, l’humain n’a aucune valeur, il est interchangeable. En dépit de la doctrine marxiste de leur parti unique, les Chinois appliquent un capitalisme implacable, intransigeant pour les travailleurs, simples robots humains sans aucune liberté syndicale ou autre.
-
MASQUE, GEL, PAIN : COMMENT LES FAIRE SOI-MÊME
-
Comment naissent les dictatures
En verve en ce 27 avril, le vieux journal gauchisant Libé, si sournoisement complaisant depuis 2017, comme la plupart des médias subventionnaires, n'en peut visiblement plus avec l'adolescent imberbe de l'Élysée et son gouvernement chaotique.
Citons quelques articles de tête dans son édition du jour :
• Déconfinement : trouver la sortie du labyrinthe : incertitudes sur l’efficacité des mesures prévues pour l’après-11 mai, divergences et revirements chez les politiques et scientifiques, défiance des Français… Le gouvernement, qui dévoile son plan mardi, s’attend à recevoir des coups.
• Tâche périlleuse pour Jean Castex, homme de terrain apprécié : le maire de Prades, ancien de la Cour des comptes et des cabinets de Xavier Bertrand, a été chargé de gérer le déconfinement…
-
Immortalité, égalité, liberté : fin des illusions !
Le délire transhumaniste de l’homme immortel, augmenté, prolongé, remplacé pièce par pièce, se fait plus discret face au retour de la mort dans une société qui s’évertuait à l’oublier. La mort arrive en moyenne plus tard, la médecine peut en reculer la date, mais elle demeure tellement inéluctable qu’on permet même au médecin d’en adoucir la venue, sinon de la précipiter. Le lien statistique évident entre l’âge des malades et le risque mortel introduit une inégalité naturelle qu’on avait tendance à oublier dans les idéologies obsédées par la non-discrimination.
Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades que l’on va soigner et ceux pour lesquels on choisit d’arrêter les thérapeutiques actives. Cette inégalité n’est, d’ailleurs, pas la seule qui apparaît crûment dans la parenthèse désenchantée que nous vivons. Le choix du médecin, de l’hôpital, du traitement, le lieu où l’on est confiné, les obligations professionnelles ou encore les conséquences sociales de la cessation d’une activité créent de nombreuses variations sur le thème du confinement égal pour tous. Faut-il ajouter que l’État n’est manifestement pas capable de le faire appliquer à tous et partout !
-
Coronavirus : en faire ou pas tout un fromage !
La chronique de Philippe Randa
En France, et même s’il ne fait pas forcément l’unanimité, il y a un sujet avec lequel on ne plaisante pas : nos fromages ! C’est donc une partie de notre Patrimoine que l’on aurait juré être pour le moins sacrée ! Et pourtant…
Qu’y eût crû que l’épidémie de Coronavirus aurait sur ce secteur aussi une conséquence pour la moins inattendue : les appellations du Bleu d’Auvergne, du Comté, du Saint-Nectaire et de la Fourme d’Ambert vont être modifiées (Arrêté du 17 avril 2020 publié au JO du ministre de l’économie et des finances et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation).
En février 2016, lors d’une réunion consacrée à l’agriculture et à la ruralité, Nicolas Sarkozy en appelait dans une déclaration aux accents des plus identitaires, à se battre pour nos appellations (entre autres celles des fromages) : « C’est la bataille de notre savoir-faire, c’est la bataille de notre identité, c’est la bataille de notre histoire, c’est la bataille de nos terroirs. Et si nous cédons là, nous cèderons sur tout. »
-
Covid-19 : les dessous de la rage anti-Raoult, par Ivan Rioufol
Une autre épidémie gagne une partie du corps scientifique et médical : la rage anti-Raoult. Elle a déjà contaminé aussi quelques intellectuels lucides, à commencer par Alain Finkielkraut. Le professeur marseillais, spécialiste mondialement reconnu en infectiologie et microbiologie, est devenu un repoussoir “populiste” pour le nouveau Parti de l’Ordre Sanitaire et ses milices. Celles-ci, qui recrutent leurs sicaires sur les réseaux sociaux, sont prêtes à dresser les listes de ceux qui ne respectent pas le confinement ou qui affichent leur indiscipline face aux interdits du sanitairement correct. Nombreux sont les brocanteurs de morale qui, une fois de plus, révèlent leur vocation de petits flics. C’est ainsi également que Raoult vient d’être indirectement épinglé par le conseil national de l’Ordre des médecins.
Ce dernier a, le 23 avril, dénoncé les “protocoles de recherches cliniques illégaux“, en visant plus particulièrement le traitement à base de chloroquine proposé par le professeur contre le Covid-19. Dans le même temps l’Armée reconnaissait, après des preuves dévoilées sur l’internet, avoir commandé à la Chine, par précaution, des stocks de chloroquine. Cela fait trois mois que le professeur Didier Raoult propose une solution contre le Covid. Il se heurte à la loi des normes et à des querelles de chapelle. En 1985, avec l’apparition du sida, Laurent Fabius, premier ministre, avait refusé d’agréer le test américain Abbott dans l‘attente d‘un test Pasteur en cours de préparation. Six mois avaient été perdus. 200 personnes avaient été contaminées chaque mois. Va-t-on vers un autre scandale sanitaire ?
-
Déconfinement, grande pagaille annoncée
La fin du déconfinement approche et c’est la panique à tous les étages dans les ministères.Au ministère de la Santé, la situation semble totalement échapper à son plus haut responsable, le ministre, seulement chargé d’expliquer au bas peuple les bienfaits des mesures prises dans les arcanes de son administration ; ainsi, plutôt que se comporter en homme politique responsable ou en médecin à l’avis autorisé, il se contente d’être le porte-parole d’une administration que, visiblement, il ne contrôle pas.
Après avoir autorisé un fonctionnaire à l’allure macabre à nous débiter, tous les soirs, à l’heure du dîner, la longue litanie des morts quotidiens et des hospitalisations, il eût fallu préciser si ces données reflétaient la totalité des malades hospitalisés ou seulement ceux qui étaient hospitalisés ou décédés suite à une infection par le coronavirus, car sans ces précisions, impossible d’en tirer une conclusion valable sur l’évolution de l’épidémie mais, par contre, l’annonce de ces chiffres faisait naître dans la population un sentiment de peur, voire de panique, permettant de justifier le confinement et d’imposer des mesures qui n’avaient, pour but principal, que d’éviter l’engorgement des services de réanimation des hôpitaux, déjà mis à mal depuis des années par des suppressions de lits, qui n’étaient plus en capacité de recevoir les malades d’une épidémie, qu’elle qu’en soit l’origine d’ailleurs. -
Banlieues hors-la-loi – La partition en deux de la France officialisée
Nous le savions déjà depuis longtemps : malgré les affirmations du gouvernement selon lesquelles la loi républicaine s’appliquerait partout et de la même manière sur le territoire français, les banlieues ethniques font de toute évidence, et depuis des années, l’objet d’un traitement particulier en ce sens où l’Etat a renoncé à y mettre de l’ordre et a capitulé face aux délinquants et aux islamistes. Une constatation qu’est venue prouver samedi la révélation dans les médias d’une note interne aux forces de l’ordre dans laquelle la direction de la police du Calvados demande ouvertement à ses agents de ne pas intervenir dans les quartiers « à forte concentration de population suivant le ramadan » afin d’éviter que la situation ne dégénère.
Eviter un surcroît des émeutes ethniquesAdressée vendredi dernier, jour du début du ramadan, à l’ensemble des commissaires du département, cette note interne est en effet on ne peut plus claire. Appelant les policiers à « faire preuve de discernement », le chef de la direction départementale de la sécurité publique du Calvados leur demande de ne pas « intervenir dans des quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan, pour relever un tapage, contrôler un regroupement de personnes rassemblées après le coucher du soleil ». La note va même jusqu’à préciser que, « sauf atteinte aux personnes ou atteinte grave aux biens, il faut éviter qu’un manquement aux règles de confinement ne dégénère et provoque un trouble supérieur de violences urbaines » !
-
L’union nationale : prochaine arnaque gouvernementale ?
Quand un gouvernement est dépassé par les événements, demeure toujours l’issue de secours de la fameuse « union nationale ». Celui d’Emmanuel Macron ne paraît pas échapper à la règle. Ainsi, note Claude Nicolet, secrétaire national du Mouvement des citoyens fondé par Jean-Pierre Chevènement, à l’occasion d’une tribune publiée dans Marianne, ce 25 avril dernier : « Dans un entretien accordé au Financial Times, Emmanuel Macron est allé jusqu’à dire que nous vivons un “moment de vérité” et que le temps était venu de “penser l’impensable”. Soit le moment d’une véritable “union sacrée” et d’un gouvernement de “salut public”. »
L’hypothèse vient d’être testée, ce lundi 27 avril, à l’occasion d’un sondage IFOP pour La Lettre de L’Expansion. Résultat ? Sept Français sur dix seraient favorables à un tel bouleversement des traditionnel équilibres politiques ; ce qui est à la fois peu et beaucoup. Pour aller dans les détails – là où le diable se niche –, les électeurs de LREM seraient bons derniers (62 %), assez loin derrière ceux de LR (84 %), du PS (76 %), du RN (75 %) et de LFI (62 %).