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santé et médecine - Page 315

  • PMA : il faut abroger la loi Taubira. Et la PMA.

    Dans une tribune publiée dans «Le Monde », Valérie Boyer, porte-parole du parti Les Républicains, dénonce la marchandisation des corps. Extrait :

    "[...] Il faut rappeler que la PMA est réservée aux couples hétérosexuels mariés ou en mesure d’apporter la preuve d’une vie commune d’au moins deux ans, et qu’elle ouvre droit à la prise en charge des frais par notre système de sécurité sociale. L’assurance-maladie prend ainsi en charge à 100 % la PMA dans la limite de 4 tentatives de fécondation in vitro (FIV) et 6 inséminations intra-utérines (IIU) pour les couples hétérosexuels confrontés à des difficultés liées à la stérilité, en particulier les problèmes tubaires et les anomalies des spermatozoïdes. Or, dans le cas des couples de femmes homosexuelles, l’incapacité à procréer ne relève pas d’un cas de stérilité.

    En vertu du principe fondateur de la sécurité sociale qui circonscrit la prise en charge des actes médicaux aux cas de maladie, il est donc exclu de prévoir la prise en charge des frais de la PMA pour les couples de femmes homosexuelles, sauf à porter atteinte au principe de solidarité sur lequel est fondé le système de sécurité sociale français.

    Une partie du CCNE s’y était néanmoins opposée du fait des « conséquences pour l’enfant, du risque de marchandisation accrue et des conditions de faisabilité ». Une fois encore, la boîte de Pandore est ouverte et nous risquons demain une légalisation de la gestation pour autrui. Au nom de l’égalité homme/femme, rien n’empêcherait alors un couple d’hommes d’invoquer le même droit à l’enfant pour recourir au don d’ovocytes et à la gestation pour autrui. [...]

    Cela fait longtemps que la boîte de Pandore est ouverte. La légalisation de la PMA pour les couples stériles et même non stériles, dissociant l'acte sexuel de la procréation (à la suite de la pilule et de l'avortement), était déjà un premier pas dans ce "droit à l'enfant". Avec la loi Taubira, ce "droit à l'enfant" existant déjà dans notre droit français peut donc ainsi être étendu aux paires de femmes, et demain aux paires d'hommes (via la GPA).

    Quant à la marchandisation, elle existe déjà également, comme le rappelle ce texte de 2008, qui estime que toutes les techniques de FIV sont à écarter : la fécondation in vitro implique l’élimination volontairement acceptée d’un nombre conséquent d’embryons. Toutes les techniques de fécondation in vitrose déroulent en réalité comme si l’embryon humain était un simple amas de cellules qui sont utilisées, sélectionnées ou écartées. Compte tenu du rapport entre le nombre total d’embryons produits et ceux effectivement nés, le nombre d’embryons sacrifiés reste très élevé. Ces pertes sont acceptées par les spécialistes des techniques de fécondation in vitro comme le prix à payer pour obtenir des résultats concluants. Il est très préoccupant de voir qu’en ce domaine, la recherche ne semble pas porter un réel intérêt au droit à la vie de chaque embryon, mais vise surtout à obtenir de meilleurs résultats en termes de pourcentage d’enfants nés par rapport aux femmes qui initient un traitement.

    Par ailleurs, les embryons produits in vitro qui présentent des défauts sont systématiquement écartés. De plus en plus de couples non stériles recourent aux techniques de procréation artificielle dans le seul but d’opérer une sélection génétique de leurs enfants. Les techniques de fécondation in vitrosont acceptées, car on présuppose que l’embryon ne mérite pas un plein respect dans la mesure où il entre en concurrence avec un désir qu’il faut satisfaire.

    La procréation humaine est un acte personnel du couple homme-femme qui n’admet aucune forme de délégation substitutive. L’acceptation tranquille du taux très élevé d’avortement que comportent les techniques de fécondation in vitro démontre de manière éloquente que la substitution de l’acte conjugal par une procédure technique - outre sa non-conformité au respect dû à la procréation, laquelle n’est pas réductible à la seule dimension de reproduction - contribue à affaiblir la conscience du respect dû à tout être humain. La reconnaissance de ce respect est au contraire favorisée par l’intimité des époux, animée par l’amour conjugal.

    Le désir légitime d'avoir un enfant ne peut passer avant la dignité de la vie humaine, au point de la supplanter. Le désir d’un enfant ne peut justifier sa «production», de même que celui de ne pas en concevoir ne saurait en justifier l’abandon ou la destruction.

    Ce n'est donc pas seulement la PMA pour les femmes qu'il faut refuser, c'est la PMA qu'il faut abroger. Comme la loi Taubira.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’inquiétant rapport sur l’état de santé des clandestins en France

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    Les clandestins sont, non seulement, une chance pour la France mais aussi pour les maladies infectieuses éradiquées depuis longtemps de notre territoire.

    Le 5 septembre 2017, le bulletin épidémiologique hebdomadaire publiait un rapport relatif à l’état de santé des demandeurs d’asiles présents en France. Il fait état de cas de gale, de tuberculose et de grippe H1N1 dans la jungle de Calais. Ce rapport note que la proportion d’hommes chez les clandestins parisiens atteint 97 % et que surprise 25 % d’entre eux sont en surpoids !

    Il souligne en outre, que 84 % des clandestins sont Soudanais, Afghan et Erythréen. Nous sommes donc bien loin du cliché de la famille syrienne persécutée par le régime de Bachar El Assad. Une question reste néanmoins en suspend : quel est le coût de traitement de ses maladies pour le contribuable français ?

    https://fr.novopress.info/

  • Mireille d'Ornano à propos des 11 vaccins obligatoires

  • Le terrorisme jihâdiste, pain béni pour les psychiatres

    6a00d83451619c69e201b8d2a2fb4c970c-200wi.jpgDe Bernard Antony : "On ne cesse de nous en persuader : heureusement le terrorisme jihâdiste n’a rien à voir avec l’islam. C’est la grande et heureuse affirmation historico-politico-religieuse et psycho-sociologique de ce mois d’août. Elle déferle sur toutes les chaines. Allah soit loué, la baliverne de l’islamisme terroriste est enfin déconstruite. Tous les terroristes sont simplement des déséquilibrés sociaux.

    Et ce n’est donc pas avec des policiers et des soldats que l’on viendra à bout du terrorisme qui tue partout au cri fallacieux « d’Allahou akbar » mais avec des psychiatres.

    Et notre brillant ministre de l’Intérieur, frère Gérard Collomb, d’en appeler, pour en finir avec les bombes, ceintures d’explosifs et camions-béliers, à plus de collaboration avec sa collègue du ministère de la Santé. Car il s’agit de mettre en œuvre autant de psychiatres qu’il faudra, dans les quartiers et dans les prisons pour déceler, dissuader, soigner, éduquer et insérer tous les malheureux jeunes terroristes poussés à commettre, sous prétexte de jihâd, des tueries certes regrettables mais dues à la misère psychologique sinon matérielle dans laquelle ils vivent.

    Certes la thérapie psychiatrique de masse, surtout au moyen de la psychanalyse, est de longue haleine mais elle est le prix à payer pour la paix.

    Le bon docteur Freud n’avait ainsi pas prévu l’immense débouché de ses analyses dans la prévention du terrorisme. Pourtant, de son vivant agissaient des myriades de terroristes : anarchistes, nihilistes bakouniniens, bolcheviques staliniens, pré-nazis de la Sainte Vehme, Serbes tchetniks et Croates oustachis, Irlandais de l’I.R.A., juifs de l’Irgoun et de la Haganah, Arméniens de l’Asala et allaient venir les Basques de l’E.T.A. C’est que ces terrorismes étaient, il est vrai, inhérents à des causes plus ou moins justes.

    Mais, objecteront certains, le modèle mythique des terrorismes n’était-il pas pour tous, des siècles auparavant, celui des haschischins islamistes du « Vieux de la Montagne » en ses forteresses d’Alamut ? Non, on peut certes imputer à bien des idéologies, à bien des nationalismes, à bien des anticolonialismes, les causes des terrorismes. Mais pas à l’islam ! Car, comme le dit François, « les textes sacrés de l’islam sont des livres de paix et de tolérance ». Lisez donc le Coran et les Hadîths et vous en serez persuadés. Et lisez aussi la Sira (biographie) du prophète, ce doux pacifiste intégral. Et bien sûr ceux qui osent affirmer que tous les salafismes, ceux des wahhabites et autres Frères musulmans, d’Al-Qaïda et de l’État Islamique sont l’imitation du prophète, ne sont évidemment que des menteurs.

    Enfin, ça y est, on le sait définitivement, répétons-le, le terrorisme n’a vraiment rien à voir avec l’islam ! Ce que l’on appelle le jihâdisme n’est que le fait d’une dénaturation de l’islam par conditions sociales oppressives entraînant des pathologies psychiatriques. On comprend l’effervescence jubilatoire qui désormais ne cesse de grandir parmi les psychiatres et dans leurs syndicats. Le chômage ne menace pas de sitôt leur profession ! Le gouvernement français va en recruter encore et encore. Et espérons que les autres gouvernements de l’Europe de l’Ouest en feront autant. C’est hélas moins sûr en Russie où les hôpitaux psychiatriques ont déjà servi et où Poutine a des idées bien personnelles trop peu humanistes peut-être sur la question du traitement des terroristes.

    Quoi qu’il en soit, il faut d’abord voir en face la scandaleuse dénaturation de l’islam, en soi si bienfaisant, par l’injustice sociale source de pathologies psychiatriques terroristes. Selon le bon docteur Dalil Boubakeur de la Mosquée de Paris, ce sont hélas, en France, les jeunes qui sont les plus affectés par les virus de la dénaturation salafiste. Selon des sources d’analyse comportementale convergentes, c’est sur un cinquième de la population musulmane qu’ils progresseraient, soit bien plus d’un million de « fidèles ». Mais ce n’est que dix sur cent environ de ce million qui seraient gagnés par une « radicalisation » plus dangereuse que celle du vieux parti de Jean-Michel Baylet.

    Cela aboutit, pour le moins, à un effectif de cent cinquante mille fanatiques prêts à passer à l’acte pour tuer des roumis. Or, on ne peut demander à un psychiatre de « suivre » sur la durée plus de dix jihâdistes à la fois, sans compter que ce n’est pas de tout repos et qu’il y a même des risques… Le recrutement de quelque neuf mille nouveaux psychiatres simultanément imams de préférence, s’impose donc.

    On le constate, le traitement psychiatrique du jihâdisme, c’est vraiment pain bénit chez nous pour les psychiatres dont la profession ne risquera plus le chômage.

    Mais quid de l’ensemble de l’Oumma islamique avec son milliard et demi de fidèles quand on doit bien constater que comme ses pays « phares », Arabie, Iran et Turquie, nombre de ses États et plus des trois quarts de sa population admirent ou appuient le jihâdisme. C’est dire comme le véritable, l’authentique islam, pacifique et tolérant, est rare en pays d’islam ! Mais là, comment mettre au travail et de surcroit sans l’appui des de la plupart des gouvernements, tous les psychiatres nécessaires pour éradiquer les pathologies psychiatriques dues aux virus de la radicalité propagées du Nigeria à l’Indonésie ?

    Comme ces pathologies affectent le tiers au moins de la population, la démonstration peut être facilement établie que ce n’est pas moins de… vingt millions de psychiatres qu’il faudrait, une fois guéris les gouvernants, pour ramener vers les douceurs de l’islam authentique les quelques deux cents millions de personnes chroniquement en proie à des psychoses jihâdistes.

    Mais heureusement tout de même qu’il n’y a aucun lien de cause à effet entre l’islam et le terrorisme."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/08/le-terrorisme-jih%C3%A2diste-pain-b%C3%A9nit-pour-les-psychiatres.html

  • "GPA reconnu en France" Ludovine de La Rochère s'exprime sur CNews le 5 juillet 2017

  • L’aluminium, un poison légal dans les vaccins ?

    aluminium-vaccins.jpg

    Que devient l’aluminium présent dans les vaccins ?

  • La Suède interdit les vaccinations obligatoires

    La Suède est pourtant un pays occidental très avancé scientifiquement. Cette décision démontre donc que les résultats scientifiques et les réactions biologiques du corps humain ne sont pas les mêmes en France qu’en Suède ! On peut dire également que les scientifiques et autres médecins suédois sont incompétents voire des imbéciles et des ignorants ! Pourtant, ces derniers publient dans les plus belles et les plus prestigieuses publications scientifiques mondiales ! 
    La déclaration de Robert F. Kennedy Jr. éminent juriste, spécialiste du droit de l’environnement, se suffit à elle-même et traduit sa perception de la dangerosité des vaccins de par les conservateurs et autres adjuvants utilisés. Elle donne froid dans le dos : « Si vous prenez un flacon de ce vaccin et qu’il vous arrive de le briser, vous devez vous en débarrasser selon les règles légales qui sont d’application pour les produits dangereux. Vous devez, en outre évacuer le bâtiment où l’accident s’est produit. Pourquoi auriez-vous l’audace d’injecter ce produit dans le corps d’un enfant ? » ! 
    Et pourtant nos responsables en charge de la Santé des Français n’en ont cure. Attendent-ils une catastrophe nationale pour réagir raisonnablement ? 
    Il est important d’indiquer que si certains effets se manifestent assez tôt, permettant de déduire une relation de cause à effet évidente, les effets délétères se produisent souvent à distance de la dernière injection si bien que l’on ne pensera pas à incriminer les vaccinations. 
    Notamment en fonction de « graves problèmes de santé » et le fait que pareilles lois violeraient les droits constitutionnels des citoyens qui doivent avoir leur mot à dire dans leurs soins de santé (Extraits) 
    La Suède a rejeté les vaccinations obligatoires, après avoir évoqué « de graves problèmes de santé », ainsi que le fait que l’obligation violerait les droits constitutionnels des citoyens de choisir ce qui peut ou non convenir à leur propre santé. 
    Le 10 mai 2017, le Parlement Suédois a rejeté sept motions qui auraient inclus des vaccinations obligatoires dans la loi. Le Parlement a fait savoir « Si nous introduisions des vaccinations obligatoires ou forcées, cela violerait notre [Constitution Suédoise] » 
    Notant également « la résistance massive à toute forme de coercition en matière de vaccination », le Parlement a aussi fait référence aux « réactions indésirables graves et fréquentes » chez les enfants qui reçoivent les vaccinations. 
    « Le NHF Suède a fait parvenir une lettre au Comité en expliquant que l’introduction de vaccinations obligatoires ou forcées telles qu’elles ont été soumises dans la requête d’Arkelsten violerait la Constitution. De nombreuses autres personnes ont fait parvenir une correspondance au Parlement et interpellé les politiciens et le Parlement. Les politiciens n’ont pu faire que remarquer qu’il existait une résistance massive à toutes les formes de coercition en matière de vaccination. parlement-suedois 
    « Le NHF Sweden a également fait ressortir à quel point les réactions indésirables peuvent être fréquentes au cours d’une année de vaccination. […] En outre, il convient de tenir compte que chaque groupe d’âge recevra deux fois le vaccin ROR, de sorte que les effets secondaires seront multipliés par deux. Il convient aussi de ne pas oublier, qu’en outre des réactions indésirables similaires s’appliquent à d’autres vaccins. 
    « Dans la lettre, nous avons même inclus une liste exhaustive d’additifs trouvés dans les vaccins – substances qui ne sont pas des aliments pour la bonne santé et ne doivent certainement pas se retrouver dans le corps des bébés ou des enfants. Nous avons également inclus pour les législateurs une très importante liste d’études qui démontrent que la vaccination est une mauvaise idée. 
    La décision judicieuse du Parlement Suédois fait fi, et va à l’encontre de ce qui se passe aux États-Unis comme dans les autres pays occidentaux. Big Pharma tient les législateurs sous sa coupe ; elle leur dicte sa politique en utilisant les médias corrompus pour calmer les dissidents. 
    Robert F. Kennedy Jr. s’est récemment manifesté dans le Show Tucker Carlson où il a courageusement exposé « l’état de cette mafia sans loi » que représente Big Pharma et leur « très lucrative » escroquerie vaccinale. 
    « L’industrie pharmaceutique est si puissante, a expliqué RFK Jr. Elle donne 5,4 milliards de dollars par an aux médias. Elle s’est débarrassée des avocats… Elle a été réellement capable de contrôler le débat et de réduire des gens comme moi au silence. » 
    Quand on lui a demandé comment il était possible que la situation soit à ce point si mauvaise, Robert F. Kennedy Jr. a expliqué : « que le Congrès accordait à Big Pharma une immunité légale globale » lorsqu’il s’agit des vaccins. 
    Big Pharma est devenue la loi après que le président Reagan ait signé la loi sur les dommages liés aux vaccins infantiles. Ces gens peuvent ainsi mettre des ingrédients toxiques dans les vaccins. Ces éléments peuvent gravement endommager la santé de vos enfants- mais il est impossible de les poursuivre en justice. 
    « Ce que vous devez comprendre, c’est que le régime des vaccins a considérablement changé depuis 1989. La raison pour laquelle il a changé, c’est que le Congrès sous l’influence de l’industrie pharmaceutique, a fait ce qui n’a jamais été réalisé pour aucune autre industrie – le Congrès a accordé une immunité légale générale pour tous les fabricants de vaccins. 
    « Donc peu importe les protocoles, peu importe l’absence de contrôle de la qualité, peu importe la toxicité des ingrédients ou les dommages graves qui peuvent être causés aux enfants, il vous est impossible d’entamer des poursuites à leur encontre. 
    « Il n’y a donc pas de témoignage, pas de découverte, pas de recours collectifs et… tout à coup les vaccins deviennent éminemment rentables. » 
    Les énormes profits de cette industrie non réglementée ont fait en sorte que les compagnies Big Pharma se sont engagées à produire de nouveaux vaccins parfois inutiles qui sont injectés dans le corps des jeunes enfants – souvent plus de dix à la fois. 
    « C’est devenu une véritable ruée vers l’or pour l’industrie pharmaceutique d’ajouter de nouveaux vaccins au schéma de vaccinations. » 
    Mais à quel prix ? L’industrie du vaccin, en vertu de ses propres règles – ou plutôt en vertu de l’absence de règles – nous rend impossible l’accès aux faits. Depuis longtemps, le Président Trump demande une enquête indépendante sur la sécurité des vaccins. Robert F Kennedy Jr. a fait la même demande. 
    […] « J’ai reçu trois vaccins et j’étais donc tout à fait en ordre. J’ai maintenant 63 ans. Pour pouvoir être en ordre mes enfants ont dû recevoir 69 doses de 16 vaccins. 
    Nombre de ces vaccins ne concernent même pas les maladies transmissibles. Prenons l’exemple de l’hépatite B qui s’attrape par des rapports sexuels non protégés ou chez des personnes qui partagent des aiguilles. – Pourquoi donc administrons-nous ce vaccin à un enfant le premier jour de sa vie ? Et, en outre, il contient du mercure ! » 
    Tucker demande : « Nous administrons vraiment ce vaccin à des enfants ? » 
    « Nous continuons à leur administrer ce vaccin. Le mercure a été retiré de trois vaccins, mais il reste présent dans le vaccin contre la grippe et on en trouve encore dans plusieurs vaccins distribués dans le monde. Il faut savoir qu’il s’agit de la plus puissante neurotoxine non radioactive connue.
    « Comment est-il possible que nous injections pareil produit à des enfants ? 
    Robert F. Kennedy Jr. a essayé de mettre cette situation scandaleuse dans un contexte. 
    « Si vous prenez un flacon de ce vaccin et qu’il vous arrive de le briser, vous devez vous en débarrasser selon les règles légales qui sont d’application pour les produits dangereux. Vous devez, en outre évacuer le bâtiment où l’accident s’est produit. Pourquoi auriez-vous l’audace d’injecter ce produit dans le corps d’un enfant ? » 

  • 225 000 IVG/an et le gouvernement crée un "délit d'entrave numérique" !