
Que devient l’aluminium présent dans les vaccins ?
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Que devient l’aluminium présent dans les vaccins ?
L’affaire incroyable des onze vaccins qui vont être imposés aux enfants de moins de deux ans posait une simple question. Pourquoi infliger une quantité pareille de vaccins alors que 18 pays d’Europe laissaient leurs citoyens libres de se faire vacciner. On ne pouvait que déduire une collusion entre l’État et le laboratoire Sanofi qui déjà avait fait ses choux très gras avec l’Hexavax.
Le site Neo-Nutrition nous offre la réponse sur un plateau avec photo à l’appui. On savait que la ministre de la Santé Agnès Buzyn a travaillé pour les labos et que son mari a des responsabilités dans le monde de la recherche. Mais le 20 juillet c’est le Premier ministre lui-même qui a rencontré en douce Serge Weinberg, directeur général de Sanofi qui synthétise les vaccins. Ce personnage a rencontré Macron quand ce dernier était à la banque Rothschild.
De plus Serge Weinberg et Emmanuel Macron se connaissent bien, puisqu’ils ont tous deux participé à la Commission pour la libération de la croissance française (dite Commission ATTALI, qui a rendu son rapport en janvier 2008), l’un en tant que membre, l’autre en tant que rapporteur.
Ce n’est un secret pour personne que Serge Weinberg a aidé puissamment Macron durant sa campagne électorale. Celui-ci lui « renvoie l’ascenseur » avec les profits incroyables que Sanofi va faire avec les onze vaccins.
Il a donc envoyé son premier ministre probablement pour discuter les prix. Ceci en dehors de l’agenda officiel.
Le gouvernement va donc faire des dépenses inouïes pour ces vaccins alors qu’on ne cesse de ressasser le principe de précaution.
Il faudra dons se mobiliser massivement au nom de ce principe.
Jean-Pierre Dickès
http://www.medias-presse.info/vaccins-la-collusion-entre-le-gouvernement-et-sanofi/77972/
Tugdual Derville est le fondateur de l’association « À Bras Ouverts », grâce à laquelle depuis trente ans des milliers de bénévoles et d’enfants ou de jeunes touchés par le handicap partent ensemble en week-end ou en vacances. Dans L'Aventure à bras ouverts, un voyage en humanité, Tugdual Derville raconte la création et l'histoire de cette association. Alors qu’il a vingt ans, une rencontre fait basculer la vie du jeune Tugdual : celle de Cédric, enfant porteur d’une infirmité motrice cérébrale, qui l’entraîne dans « un voyage en humanité ». Une aventure parfois difficile mais transfigurée par la présence des personnes porteuses d’un handicap. Elles apprennent à Tugdual, et au lecteur à sa suite, à entrer dans « la spiritualité du pauvre » chère à Jean Vanier : accueillir à bras ouverts nos différences et nos limites. Pour s’émerveiller de ce qui est révélé aux travers de nos fragilités. Extraits :
"Nous sommes conscients que notre société, qui a laissé se développer une forme d'eugénisme anténatal, envoie aux personnes concernées par le handicap une injonction paradoxale : "Prenez toute votre place dans la société, mais, si on avait su, on ne vous aurait pas laissé naître." La réponse d'A Bras Ouverts ne se situe pas sur le plan de la revendication, mais plutôt sur celui de la prise de conscience humanitaire, de l'intention de prière, de l'expérience et, si nécessaire, du témoignage porté par ses responsables."
"Une phrase de Jésus me revient, comme une assurance universelle au milieu des vicissitudes et des vanités du monde : "Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous !" (Jn 12,8). Je comprends que cette parole nous dit aussi que nous aurons toujours la consolation des pauvres. Ils ont la clef de Dieu."
"Les porteurs d'initiatives humanitaires et sociales ont intérêt à conserver - surtout dans les premiers temps - une distance par rapport au monde politico-administratif. Ce dernier a tendance, en forçant l'entrée des innovations dans ses cadres, soit à les récupérer, au risque d'une fossilisation technocratique précoce, soit à les tuer dans l'oeuf, par méfiance ou excès de prudence. Un critère simple permet à chaque responsable associatif de vérifier s'il n'est pas allé trop loin : la liberté. Demeure-t-il libre de s'exprimer sur ses convictions ? Libre d'agir selon sa conscience ? J'ai entendu un jour un député regretter que ce soit le monde associatif, par ses actions, qui oriente une bonne part de la politique de soutien aux personnes handicapées. Comme si l'Etat pouvait remplacer sa créativité et devait tout maîtriser..."
Aude Mirkovic vient de publier un roman qui traite de la GPA :
"Carole Pastorel, jeune avocate, souhaite porter plainte contre des sociétés américaines qui démarchent en France les clients potentiels en vue de réaliser des gestations pour autrui aux Etats-Unis. Elle sollicite l’aide de Jane Fontenay, maitre de conférences en droit privé, rencontrée à un colloque.
Les deux deviennent rapidement amies et affrontent ensemble l’enquête sur les activités des sociétés américaines, les méandres de la procédure et la réticence du parquet à poursuivre des faits pourtant avérés.
Elles découvrent encore l’hostilité de leurs mondes professionnels et une notoriété soudaine qui les propulse sur le devant de la scène où elles doivent affronter les débats d’idées dans des contextes souvent hostiles.
Elles puisent dans leur amitié et la certitude d’agir pour un enjeu qui les dépasse l’humour et la détermination nécessaires pour aller jusqu’au bout."