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santé et médecine - Page 319

  • Entravons le délit d'entrave à l'avortement !

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    Visuel créé par la Fondation Jérôme Lejeune

    Outre les députés mentionnés hier, les députés de l'Entente parlementaire pour la famille ont cosigné des amendements de suppression :

    • M. Hetzel,
    • M. Breton
    • M. de Mazières
    • M. Dhuicq,
    • Mme Fraysse,
    • M. Fromantin,
    • M. Moreau,
    • M. Schneider,
    • M. Straumann,
    • M. Sturni,
    • M. Tardy,
    • M. Vitel

    Interrogés via notre formulaire en ligne (à signer ici), certains ont répondu :

    François de Mazières semble décidé à batailler :

    "Par une pétition, vous avez attiré mon attention sur le prochain examen en séance publique d’une proposition de loi du groupe de la majorité relative à l’extension du délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse et je vous en remercie.

    Sachez que je suis naturellement cosignataire des amendements de suppression sur l’article unique de cette proposition, amendements déposés par l’opposition.

    S’il advenait que cette proposition soit adoptée par la majorité,soyez assurés que je plaiderai auprès de notre groupe la saisine du conseil constitutionnel."

    L'opposition du député Pierre Morange (78) est en revanche moins affirmée... :

    "Vous attirez son attention sur la proposition de loi n° 4118 de M. Bruno LE ROUX, Mmes Catherine COUTELLE, Catherine LEMORTON et Maud OLIVIER et plusieurs de leurs collègues, relative à l'extension du délit d'entrave à l'interruption volontaire de grossesse, dont le débat à l’Assemblée nationale est prévu jeudi 1er décembre prochain.

    Vous avez souhaité l’informer auparavant de votre opposition à ce texte, sur lequel le Gouvernement a engagé la procédure accélérée, et de votre espoir de le voir repoussé. Vous êtes assuré(e) de tout son intérêt à votre démarche."

    Par ailleurs une pétition a été mise en ligne ici.

    Enfin, Jean-Frédéric Poisson ne compte rien lâcher sur ce sujet :

    K"Ce jeudi 1er décembre, la proposition de loi visant à instaurer un délit d’entrave numérique à l’avortement sera débattue à l'Assemblée nationale.

    Cette proposition de loi, qui vise les sites proposant aux femmes enceintes en détresse d'autres alternatives que l'avortement, exige notamment que soit "puni de deux ans d'emprisonnement et de 30000 euros d'amende le fait d'empêcher ou de tenter d'empêcher de pratiquer ou de s'informer sur une interruption de grossesse ou les actes préalables."

    Il s'agit d'une atteinte grave à la liberté d'expression et d'une démarche totalitaire de la part du gouvernement, qui ne supporte pas que soient présentées des solutions autres que celle qu'il préconise de façon exclusive : l'avortement.

    Je vous invite à retrouver la tribune que j'avais publiée dans Valeurs actuelles à ce sujet : "Délit d'entrave numérique : le totalitarisme est en marche !"

    Je vous invite également à découvrir l'amendement de suppression de cette proposition de loi, que j'ai déposé et que je défendrai jeudi, en cliquant ici."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Avortement : le choix, c’est aussi d’y renoncer

    Les socialistes bafouent sans merci la volonté originelle de Simone Veil.

    Comme une atmosphère de fin de règne, dans les couloirs de l’Assemblée. À l’approche de la chute, les textes militants s’enchaînent, rivalisant d’absurdité – instauration de « funérailles républicaines » – et d’élans mortifères – tentatives d’institution de la recherche sur l’embryon. Dernier coup de génie du groupe socialiste : la clique présentera, jeudi 1er décembre, son texte sur « l’extension du délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse ». Le rapporteur de ce texte aussi urgent que primordial ? Catherine Coutelle, dont le seul grand œuvre dans l’exercice de son mandat parlementaire fut la rédaction d’une proposition de résolution visant à réaffirmer le droit fondamental à l’IVG en France et en Europe. L’avortement ? Une obsession, pour le député de la Vienne, membre du conseil d’administration au Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes. Entre deux actions de sauvetage du Planning familial et la création d’associations bidon – Vers la parité dans la gauche plurielle -, ça bosse dur, dans les confortables fauteuils de velours rouge du Parlement.

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  • Migrants : alerte sur la santé publique

    Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, aurait-elle engagé des actions préventives qui paraissent aujourd’hui indispensables face à l’invasion migratoire que notre pays connaît depuis maintenant plusieurs années ? Alors que la tuberculose a été pratiquement éradiquée au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, on découvre aujourd’hui des cas, isolés certes mais significatifs. […]

    En septembre 2016, BFM TV nous apprend que des cas de tuberculose ont été diagnostiqués au lycée professionnel Cantau d’Anglet (64). Début novembre, France Bleu Pays Basque révèle que le premier cas, traité au printemps, concerne un lycéen ayant voyagé en Afrique… et, qu’à la rentrée, six nouveaux cas s’étaient déclarés. Devant l’ampleur du dépistage (1.800 personnes) et la gravité du problème, l’A.R.S (Agence Régionale de la Santé) mettait à disposition un camion (30.000 €) pendant 3 semaines.

    Or, à Saint Bauzille de Putois (34), le maire écrivait le 28/10 que des Soudanais étaient bien arrivés et que  la « tradition d’accueil du village » continuait. Par contre, d’autres médias indiquaient qu’avec les Soudanais se trouvait un Érythréen et un Pakistanais qui a été immédiatement hospitalisé dés son arrivée. Alors, en tant que mère de famille je me pose quelques questions. Sachant que les cas de tuberculose en vertu du règlement sanitaire international doivent être déclarés, je m’étonne du silence médiatique devant l’affaire d’Anglet. Le ministère de la Santé a-t-il été associé à l’évacuation de Calais ? Des mesures prophylactiques ont elles été envisagées puisque l’on sait que les invasions migratoires mettent en danger la santé publique des Français.

    Les migrants, dont le gouvernement impuissant à contrôler et à endiguer le flux, dispersent à travers le pays des maladies contagieuses, endémiques dans leurs pays d’origine et les amènent avec eux. Il convient de les dépister, les traiter pour les prévenir :

    1°) Ce sont des affections parasitaires qui peuvent provoquer des bilharzioses urinaires et intestinales, des amibiases. Les docteurs Larivière (*) et Rousset (*) signalent que ces pathologies se répandent par voie génitale et contact buccal direct. Quant aux parasites du tube digestif, ils se développent dans le sol, l’eau, les milieux humides et restent infectants une vingtaine de jours. Aussi, il convient de veiller aux eaux de baignades et à la qualité des réseaux d’assainissement. Les moustiques peuvent transmettre le paludisme, la maladie du sommeil, la leishmaniose (les souches importées peuvent se recombiner avec celles présentes en France), la borréliose, la fièvre jaune, la dengue, le chikungunya…

    2°) Ce sont aussi des maladies tropicales, lèpre, mycoses, des maladies sexuellement transmissibles comme la syphilis. Le docteur André Basset (*) fait observer que la lèpre, chez un migrant, peut demeurer sous forme latente ou inapparente et rester plusieurs années avant de se déclarer. Il préconise le dépistage aux frontières. Chez un migrant, la sérologie positive, séquelle de l’enfance n’est pas contagieuse, elle l’est en provenance d’un contact récent.

    3°) C’est aussi la tuberculose, surtout sous la forme pulmonaire qui est la plus contagieuse. Le docteur Gentilini (*) indique que « chez le noir, elle est caractérisée par son polymorphisme, sa survenue entre le sixième et le vingtième mois de séjour en France ». Le docteur Coudrau (*) souligne lui aussi qu’elle touche surtout les africains noirs.

    Les migrants, le plus souvent africains, que l’on impose dans nos villages constituent donc un groupe à haut risque. Le Docteur Gentilini (*) tout comme l’O.M.S en 2016 préconise un dépistage systématique dés l’arrivée, et, au minimum tous les six mois, sur une durée de 18 à 24 mois. IL déclarait indispensable l’établissement d’un carnet de santé national pour tout immigré ainsi que la vaccination obligatoire par B.C.G bien qu’elle ait une protection limitée en raison de la sur contamination.

    L’Institut Pasteur recommande de surveiller les eaux et les aliments pour éviter d’exposer la population locale à des risques inutiles d’hépatites A, ainsi que diffuser l’information aux populations sur les risques d’hépatites B, laquelle se transmet par le sang et le sexe.

    L’OMS demande un dépistage systématique des cas de Coronavirus (Mers-Cov) et la prévision de salles d’isolement car il peut engendrer des pneumopathies sévères. De même pour les porteurs de VIH et hépatites virales. Le réseau « sentinelles » avec Fanette Blaizeau, dés 2013 recommande la vaccination des migrants de plus de 16 ans par DT Polio, ROR et Méningo C.

    On impose au cœur de nos villages, comme à Arzon (56) ou à Sainte Marie (66) des populations de clandestins, réservoirs infectieux contaminants et rien n’est prévu pour la prophylaxie. Ces « sacs à maladie » sont de plus en plus difficiles à soigner car tout dépistage ou traitement leur paraît discriminant. En l’état actuel de l’autorité de l’État, il semble improbable d’imaginer une quelconque contrainte.

    Or la situation est criminelle car il faut savoir que le crachat d’un homme atteint de tuberculose contient des bacilles pouvant survivre plusieurs mois dans la terre. De plus les animaux, porteurs de souches proches, peuvent les transmettre aux aliments… sans évoquer certaines pratiques avec les animaux… Le 19/03/16, l’ O.M.S signalait le risque très élevé de la tuberculose multi résistante chez les migrants. Il faut savoir que la résistance aux anti-microbiens rend mortelles des maladies devenues incurables telles que pneumonies, V.I.H, tuberculose et paludisme etc, mortelles aussi pour les populations d’accueil.

    Pour rappel, les eaux, la terre, les aliments, peuvent être contaminés même en évitant le contact direct. Alors, est-il prévu de décontaminer les locaux, les moyens de transport de ces gens, interdire les baignades en rivière ou en piscine ? C’est une bien cruelle responsabilité qui échoit aux maires des communes d’accueil alors qu’ils n’y ont pas été préparés et ils auront pourtant à rendre des comptes. Ont ils demandé une décharge aux préfets ? Sont ils bien conscients de leurs responsabilités ?

    Eric Obso

    Texte repris de la Fondation Polémia

    http://fr.novopress.info/

  • Le « droit à l’avortement » ? Marion Sigaut analyse ce droit de tuer figurant parmi les « droits sexuels » définis par l’ONU

    Continuant son étude des « droits sexuels » édictés par l’ONU, Marion Sigaut observe comment le « droit à l’avortement », c’est-à-dire le droit de tuer un enfant, est devenu un dogme prioritaire imposé par les mondialistes et appliqué avec zèle par la république maçonnique française.

  • Organisez un départ en car pour la Marche pour la vie du 22 janvier

    Voici la carte des premiers bus en provenance de province

    Pour organiser un départ en car, c'est par ici.

    Michel Janva

  • Bébés veaux ou bébés humains : même combat ?

    Tribune de Cécile Edel, présidente de Choisir la vie :

    "Le timing est pour le moins déroutant !

    Alors que le scandale des vaches en gestation abattues et éventrées près de Limoges battait son plein et semblait indigner la France entière, qui découvrait alors des " images d'une rare violence " de fœtus "jetés à la poubelle" (fœtus de veau) - 57 000 apparemment signatures obtenues en quelques heures pour faire interdire cette pratique - notre gouvernement engageait dans le même temps la procédure accélérée sur la proposition de loi du 13 octobre étendant le délit d'entrave à l'avortement aux sites pro-vie, qui délivrent une information sur les conséquences de cet acte.

    Vous l'aurez compris, notre gouvernement est un adepte du "deux poids, deux mesures" et semble visiblement bien plus ému par la vie des animaux que par celle des humains !

    Quant à ceux qui défendent la vie, leur sort dépend aujourd'hui du choix de l'espèce pour laquelle ils se battent

    - Si vous défendez la vie de l'enfant à naître, surtout n'ayez jamais l'audace de montrer des images et encore moins des vidéos de fœtus avortés ! Vous serez au mieux taxés de violents, d’égoïstes, d'intégristes, au pire vous risquez d'être poursuivis... Le Dr Dor n'a-t-il pas été condamné pour avoir usé d'une "violence extrême" en osant montrer de petits chaussons pour nouveaux-nés à une femme ?

    Non seulement, votre liberté d'expression sera bafouée, car il vous sera interdit de dire que vous êtes contre l'IVG,mais, en plus, vous serez condamnés si vous tentez de dire tout simplement la vérité sur les conséquences de l'avortement ; vous tomberez sous le coup du fameux délit d'entrave à l’avortement.

    - En revanche, si vous défendez les veaux dans le ventre de leur mère, le tapis rouge médiatique et politique vous sera déplié... Et peu importe si les visuels que vous diffuserez peuvent choquer ou tomber entre les mains des plus petits, parce que là, étrangement, il sera admis que ces visuels représentent la réalité de la pratique barbare et seront diffusés pour la bonne cause, pour interpeller l'opinion publique.
    Vous me direz, je suis rassurée : nous n'avons pas encore sombré dans une telle barbarie que nous soyons devenues insensibles à de telles images !

    Alors, amis défenseurs de la vie animale ou humaine, vous en conviendrez, autant être décomplexés sur la diffusion d'images et vidéos de fœtus abattus ou avortés puisqu'apparemment- et nous remercions pour cela l'association L 214-, cette méthode semble être une voie royale pour émouvoir nos concitoyens ! À moins que nous ne soyons devenus assez tordus et déshumanisés pour nous émouvoir devant des fœtus de vaches et rester en revanche insensibles à des petits êtres humains qui, pourtant, rappelons-le,  subissent le même sort : extraction du ventre de la mère (jusqu'au 9ème mois pour certains), mise à la poubelle au milieu des déchets hospitaliers et pour les plus résistants qui survivent à l'avortement,  laissés agonisants, seuls, sur une paillasse d’hôpital... 

    La vérité sur la barbarie de l'extraction d'un fœtus du ventre de sa mère, quelle que soit son espèce, est pourtant simple et visiblement "audible", n'en déplaise à certains, en tous cas lorsqu'il s'agit de bébés animaux.

    Espérons que la politique totalement idéologique, du "deux poids, deux mesures" de notre gouvernement ne sera pas contagieuse au point d'endormir nos consciences et de nous faire croire que finalement, la vie d'un "veau à naître" serait plus digne que celle d'un enfant à naître et que le combat pour le respect de la vie d'un animal serait plus honorable que celui du respect de la vie d'un être humain."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

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    SB (2)

    Michel Janva

  • Le marché de la drogue prospère en France

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    A l’heure où certains ministres socialistes plaident en faveur d’une dépénalisation du cannabis et où le lobby de la drogue, avec l’appui du gouvernement, vient d’ouvrir une première salle de shoot qui ne pourra qu’encourager la consommation de substances illicites en France, l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice, dépendant de Matignon, a publié mercredi un rapport édifiant sur le marché des drogues en France qui, selon ses estimations, s’élevait à environ 2,3 milliards d’euros en 2010.

    Avec quelque 285 tonnes de cannabis vendues, cette drogue aurait ainsi représenté 48 % du marché en 2010 en termes de chiffre d’affaires, avec une fourchette estimée entre 810 millions et 1,425 milliard d’euros, soit une moyenne de 1,117 milliard d’euros. Des revenus en hausse de 33 % par rapport à l’année 2005, en raison d’une augmentation de la consommation mais surtout, souligne le rapport, de la vente d’un cannabis plus cher parce que plus dosé en THC et donc potentiellement plus dangereux pour la santé. Un évolution qui devrait faire réfléchir le gouvernement socialiste à l’heure où certains de ses ministres prônent la dépénalisation de cette drogue, dont les revenus, en outre, servent le plus souvent à financer l’islamo-terrorisme.

    Le rapport du INHESJ met également en évidence cette autre tendance lourde qu’est la « démocratisation » du marché de la cocaïne. Selon ses auteurs, celui-ci serait passé de 488 millions d’euros en 2005 à plus de 900 millions en 2010.Une forte progression qu’ils expliquent par la baisse du prix du gramme, qui a été quasiment divisé par trois entre les années 1990 et le milieu des années 2000, et a entraîné une hausse du nombre de consommateurs. Ce qui fait désormais du marché européen la première cible des producteurs de cocaïne.

    Quant au chiffre d’affaires de l’héroïne, également en augmentation, il s’établirait entre 204 et 329 millions d’euros pour des quantités consommées comprises entre 5,1 et 8,2 tonnes.

    Franck Deletraz

    Article et dessins parus dans Présent daté du 5 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/