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santé et médecine - Page 320

  • Journal du Mercredi 07 Décembre 2016 : Santé / La dictature des vaccins

  • Cette vidéo constitue-t-elle un délirant délit d'entrave ?

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Sécurité sociale est contraire au principe de subsidiarité

    Rappel opportun de Denis Sureau à propos de ceux qui  semblent considérer que vouloir réformer la Sécurité sociale impliquerait d'être libéral voire "ultra-libéral" :

    "Ils semblent oublier que les catholiques sociaux - et antilibéraux - et l'Eglise ne promeuvent pas la Sécurité sociale comme la solution à défendre. Bien au contraire. Historiquement, les chrétiens sociaux ont d'ailleurs été des pionniers dans la création des mutuelles et coopératives, dans une société dévastée par le capitalisme libéral. Mais en 1945, les communistes parvinrent à imposer au gouvernement provisoire dirigé par De Gaulle la nationalisation des nombreuses caisses existantes (et rentables). De la spoliation de tous leurs avoirs naquit la Sécurité sociale. Un grand syndicaliste chrétien tel que Gaston Tessier avait deviné les conséquences de l’institution de ce monopole de la Sécurité sociale : irresponsabilité, gabegie, injustice.

    Le 2 novembre 1950, Pie XII prononça une allocution prophétique au sens fort du terme : 

    « Il y a une parole que l’on répète actuellement beaucoup :"sécurité sociale" (…). Si cela veut dire sécurité grâce à la société (…), Nous craignons non seulement que la société civile entreprenne une chose qui, de soi, est étrangère à son office, mais encore que le sens de la vie chrétienne et la bonne ordonnance de cette vie n’en soient affaiblis, et même ne disparaissent (…). Pour les chrétiens et, en général, pour ceux qui croient en Dieu, la sécurité sociale ne peut être que la sécurité dans la société et avec la société, dans laquelle la vie surnaturelle de l’homme, la fondation et le progrès naturels du foyer et de la famille sont comme le fondement sur lequel repose la société elle-même avant d’exercer régulièrement et sûrement ses fonctions » (Discours aux évêques venus à Rome pour la définition du dogme de l’Assomption, 2 novembre 1950).

    Deux ans plus tard Mgr Montini (futur Paul VI) ajoutait : 

    « Une sécurité sociale qui ne serait qu’un monopole d’Etat porterait préjudice aux familles et aux professions en faveur et par le moyen desquelles elle doit avant tout s’exercer. »

    L'Eglise avait fort bien compris la différence de nature entre d’une part le système où l’Etat providence prétend régenter l’être humain de la vie à la mort en le protégeant contre tous les risques de la vie (maladie, chômage, pauvreté, vieillesse... ) et d’autre part les protections librement voulues et organisées par les familles et les métiers contre des risques de même nature. Dans une société organisée selon l'enseignement social de l'Eglise, chacun devrait pouvoir choisir sa protection, avec une implication des communautés intermédiaires d'appartenance (école, branche professionnelle etc.).

    La Sécurité sociale est contraire au principe de subsidiarité. Pie XII craignait d’ailleurs que « la société civile s’occupe d’une chose qui de soi est étrangère à ses attributions ». La faillite de la Sécu est le symptôme de ce désordre grave. Mais la mise en garde du pape allait encore plus loin, puisqu’il redoutait que ce système porte préjudice à la fécondité de la famille et satisfasse des « revendications malthusiennes ». Le remboursement de la contraception et de l’avortement prouve que cette crainte était justifiée, tout comme le délabrement progressif de la politique familiale.

    Il faut donc en finir avec ce monopole d’Etat illégitime, cette immense machine à absorber les richesses, cette bureaucratie asphyxiante et stérile. Non pour livrer la protection sociale à quelques assureurs avides de profit mais pour restituer leurs droits aux familles, aux métiers et aux régions, l’Etat ne conservant qu’une fonction de suppléance, d’aide et d’arbitrage, et veillant à ce qu'une protection sociale minimale soit garantie. Mais anesthésiés par l’assistanat, les Français sont-ils encore capables de prendre en mains leur destin et d’inventer de nouvelles formes de mutualité ?"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les races humaines existent bien : la preuve par la moelle osseuse

    Quoi que prétendent les « antiracistes », les races humaines existent bel et bien, et une nouvelle preuve vient d’en être administrée par l’appel au don de moelle osseuse lancé dans La Dépêche par l’Association pour le Don d’Organes et de Tissus humains (Adot) du Lot-et-Garonne, affiliée à la très respectable fédération nationale.

    « Il faut savoir que les greffes de moelle osseuse ne sont compatibles qu’entre races, explique la présidente de l’Adot-47. Un Européen ne peut donner à un Africain, et un Africain à un Asiatique pour la simple et bonne raison que nous sommes différents. »

    Commentaire du quotidien régional, propriété du ministre radical de gauche Jean-Michel Baylet :

    « Ceci explique pourquoi il est important de faire acte de candidature en tant qu’Européen. »

    Entre autres…

    http://fr.novopress.info/

  • Avortement : Trop de femmes ont souffert de ne pas savoir, et donc de ne pas choisir

    Tribune de la jeunesse en marche dans Valeurs Actuelles :

    "[...] L’objectif est bien idéologique et nous, cette génération pour qui l’IVG devrait être une évidence indiscutable, voudrions prendre le problème différemment : par les femmes. Le débat n’est plus idéologique lorsque l’IVG touche une soeur, une femme, une fille ou une mère… Il devient très concret, et parfois très blessant. Alain Juppé rappelait lors du dernier débat, en successeur fidèle de Simone Veil, que l’avortement était « toujours un drame ». Et c’est bien parce que nous le considérons comme tel que nous posons la question : n’est-il pas de notre devoir de tout faire, toujours, pour l’éviter ?

    Le gouvernement a cru bon, ces deux dernières années, de supprimer le notion de détresse, puis de rendre facultatif le délai de réflexion, avant d’étendre, et c’est sa dernière mesure, le « délit d’entrave à l’avortement » au domaine numérique. Le texte est clair, il vise à condamner les sites internet accusés d’ « induire délibérément en erreur, intimider et/ou exercer des pressions psychologiques ou morales afin de dissuader de recourir à l’IVG. » Sauf que les sites cités par le ministre de la Santé Marisol Touraine ne veulent ni intimider, ni culpabiliser : ils veulent éclairer des consciences qui ont un choix particulièrement difficile à faire. Dire ce qu’est l’IVG peut en effet être dissuasif, mais c’est avant tout la réalité de ce que ces femmes s’apprêtent à faire. Le débat est donc bien celui de la liberté bien plus que celui de l’IVG lui-même.

    Trop de femmes ont souffert de ne pas savoir, et donc de ne pas choisir. L’interruption de grossesse n’a pas été volontaire, justement, dans bien des cas. Les forums de discussions regorgent de témoignages d’une profonde tristesse…Nous refusons de nous résoudre à voir pleurer des femmes qui auraient aimé faire autrement si elles avaient su, si elles avaient trouvé la force, si on les avait aidé à se défaire de la pression de leur entourage, si… quelqu’un avait été là, tout simplement.

    Le droit international impose de penser une réduction du nombre d’avortements et seule la France n'y parvient pas en Europe. Dans notre pays, chaque année, il y a encore et toujours 220.000 avortements ! Peut-on raisonnablement continuer à hurler au fascisme sur ceux qui se contentent  de proposer des alternatives ? Il n’y a pas de sens progressiste de l’histoire qui tienne en face d’histoires particulières de femmes parfois profondément blessées qui se multiplient. [...]

    Faut-il que ce soit nous qui rappelions l’article 11 de la déclaration universelle des Droits de l’Homme : « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinion et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.»

    Quoi que vous choisissiez de faire et quand bien même les députés voteraient cette loi, nous l’affirmons : nous continuerons à parler malgré les risques parce que nous refusons cette énième restriction de nos libertés."

    Léopoldine Chambon, journaliste
    Axel Rockvam, fondateur des "Veilleurs"
    Emile Duport, CEO de Newsoul, porte-parole des "Survivants"
    Vivien Hoch, comité "Défense Vie"
    Charles de Meyer, directeur de cabinet de la mairie d'Orange
    Arthur du Tertre
    Gonzague de Chantérac, attaché parlementaire et chargé d'enseignement en Droit constitutionnel
    Samuel Lafont, consultant en (stratégie de) communication
    Charlotte d'Ornellas, journaliste
    Audrey Levavasseur, collaboratrice parlementaire et déléguée générale adjointe du PCD

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Jean-Pier Delaume-Myard : « J’ai été blessé par la campagne anti-SIDA du gouvernement ! »

    Jean-Pier Delaume-Myard, homosexuel, explique pourquoi il a trouvé la campagne d’affichage anti-SIDA du gouvernement profondément homophobe et en quoi, selon lui, elle relevait de la provocation…

    http://www.bvoltaire.fr/jeanpierdelaumemyard/jai-ete-blesse-campagne-anti-sida-gouvernement,296597

  • Entravons le délit d'entrave à l'avortement !

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    Visuel créé par la Fondation Jérôme Lejeune

    Outre les députés mentionnés hier, les députés de l'Entente parlementaire pour la famille ont cosigné des amendements de suppression :

    • M. Hetzel,
    • M. Breton
    • M. de Mazières
    • M. Dhuicq,
    • Mme Fraysse,
    • M. Fromantin,
    • M. Moreau,
    • M. Schneider,
    • M. Straumann,
    • M. Sturni,
    • M. Tardy,
    • M. Vitel

    Interrogés via notre formulaire en ligne (à signer ici), certains ont répondu :

    François de Mazières semble décidé à batailler :

    "Par une pétition, vous avez attiré mon attention sur le prochain examen en séance publique d’une proposition de loi du groupe de la majorité relative à l’extension du délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse et je vous en remercie.

    Sachez que je suis naturellement cosignataire des amendements de suppression sur l’article unique de cette proposition, amendements déposés par l’opposition.

    S’il advenait que cette proposition soit adoptée par la majorité,soyez assurés que je plaiderai auprès de notre groupe la saisine du conseil constitutionnel."

    L'opposition du député Pierre Morange (78) est en revanche moins affirmée... :

    "Vous attirez son attention sur la proposition de loi n° 4118 de M. Bruno LE ROUX, Mmes Catherine COUTELLE, Catherine LEMORTON et Maud OLIVIER et plusieurs de leurs collègues, relative à l'extension du délit d'entrave à l'interruption volontaire de grossesse, dont le débat à l’Assemblée nationale est prévu jeudi 1er décembre prochain.

    Vous avez souhaité l’informer auparavant de votre opposition à ce texte, sur lequel le Gouvernement a engagé la procédure accélérée, et de votre espoir de le voir repoussé. Vous êtes assuré(e) de tout son intérêt à votre démarche."

    Par ailleurs une pétition a été mise en ligne ici.

    Enfin, Jean-Frédéric Poisson ne compte rien lâcher sur ce sujet :

    K"Ce jeudi 1er décembre, la proposition de loi visant à instaurer un délit d’entrave numérique à l’avortement sera débattue à l'Assemblée nationale.

    Cette proposition de loi, qui vise les sites proposant aux femmes enceintes en détresse d'autres alternatives que l'avortement, exige notamment que soit "puni de deux ans d'emprisonnement et de 30000 euros d'amende le fait d'empêcher ou de tenter d'empêcher de pratiquer ou de s'informer sur une interruption de grossesse ou les actes préalables."

    Il s'agit d'une atteinte grave à la liberté d'expression et d'une démarche totalitaire de la part du gouvernement, qui ne supporte pas que soient présentées des solutions autres que celle qu'il préconise de façon exclusive : l'avortement.

    Je vous invite à retrouver la tribune que j'avais publiée dans Valeurs actuelles à ce sujet : "Délit d'entrave numérique : le totalitarisme est en marche !"

    Je vous invite également à découvrir l'amendement de suppression de cette proposition de loi, que j'ai déposé et que je défendrai jeudi, en cliquant ici."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Avortement : le choix, c’est aussi d’y renoncer

    Les socialistes bafouent sans merci la volonté originelle de Simone Veil.

    Comme une atmosphère de fin de règne, dans les couloirs de l’Assemblée. À l’approche de la chute, les textes militants s’enchaînent, rivalisant d’absurdité – instauration de « funérailles républicaines » – et d’élans mortifères – tentatives d’institution de la recherche sur l’embryon. Dernier coup de génie du groupe socialiste : la clique présentera, jeudi 1er décembre, son texte sur « l’extension du délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse ». Le rapporteur de ce texte aussi urgent que primordial ? Catherine Coutelle, dont le seul grand œuvre dans l’exercice de son mandat parlementaire fut la rédaction d’une proposition de résolution visant à réaffirmer le droit fondamental à l’IVG en France et en Europe. L’avortement ? Une obsession, pour le député de la Vienne, membre du conseil d’administration au Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes. Entre deux actions de sauvetage du Planning familial et la création d’associations bidon – Vers la parité dans la gauche plurielle -, ça bosse dur, dans les confortables fauteuils de velours rouge du Parlement.

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