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santé et médecine - Page 322

  • Tout avortement est toujours évitable et la loi Veil doit être remise en cause

    Dans L'Homme Nouveau, Thibaud Collin revient sur l'ouvrage Adieu mademoiselle d'Eugénie Bastié. Extrait :

    6a00d83451619c69e201b8d1e04ad5970c-320wi.jpg"Son ouvrage est une critique en règle du « néo-féminisme » et, à ce titre, récuse la volonté de faire de l’avortement un « droit fondamental ». Pour dénoncer cette « fondamentalisation », elle a recours aux paroles par lesquelles Simone Veil exprimait l’esprit de la loi répondant à un « enjeu de santé publique » : «Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. » Et Eugénie Bastié de saluer cette « loi de concession au réel », cette « loi d’accompagnement et d’ajustement au regard du moindre mal qui l’oblige à s’en remettre à la sagesse des générations futures pour en conserver l’esprit ». Et de constater que, bien sûr, il n’en a rien été. Et pour cause ! Comment penser qu’un « compromis » soit possible sur un tel sujet ? La suppression d’une vie humaine innocente ne peut être tolérée comme un moindre mal. Soit c’est un mal intrinsèque, à proscrire absolument ; soit ce n’est pas un mal et alors cet acte peut devenir un droit, conséquence de la libre disposition que la femme aurait de son corps.

    Eugénie Bastié a certes bien saisi que la loi Veil a été l’objet d’un compromis politique, mais elle semble oublier que, par définition, un tel compromis s’inscrit dans un moment historique déterminé. Tout l’art de Giscard, Chirac et Veil a consisté à faire accepter un tel texte, très dans l’air post-68, à un Parlement encore réticent. D’où les soi-disant verrous que posaient les conditions restreignant l’accès à cet acte encore fortement culpabilisé à l’époque. Le vote enfin effectué, et réitéré en 1979, le véritable esprit du texte a pu se déployer selon sa logique [...].

    Lorsqu’Eugénie Bastié défend cette thèse du compromis alors qu’elle affirme que l’avortement est « toujours un échec et une tragédie », elle se bat pour la pérennisation de la loi Veil, telle qu’elle a été vue et donc votée en 1975 par ces députés opposés par « conviction » mais sachant cependant assumer leur « responsabilité » politique. « Il faut, écrit-elle, que nous arrivions à penser l’avortement comme un phénomène social, que nous déchaussions nos lunettes idéologiques, libérales ou conservatrices, pour en finir avec ce double aveuglement, pour enfin voir en face la réalité d’un acte violent, parfois inévitable mais jamais triomphant. » Ce geste rhétorique, digne de vieux politiciens habiles, de renvoyer dos à dos les deux camps ultras nous apparaît incongru sous la plume d’une jeune femme par ailleurs si clairvoyante et courageuse.

    Il est évident qu’« aujourd’hui » le texte de la loi Veil pris au pied de la lettre représenterait une nette amélioration en comparaison de la situation actuelle et, à ce titre, devrait être défendu au Parlement. Mais de là à considérer que le réalisme politique ne peut nous conduire plus loin, il y a un abîme. Non, la loi Veil n’est pas sur la question de l’avortement l’horizon politique indépassable. Certes l’avortement a toujours existé et son interdiction légale ne signifierait pas la fin de la destruction d’enfants à naître. Certes, comme le montre le sociologue Luc Boltanski (dans La Condition fœtale) l’avortement dans de très nombreuses sociétés est à la fois interdit et toléré. Mais justement le politique n’est pas le sociologue. Il n’a pas à dire ce qui est mais ce qui doit être. Dire que l’avortement est « parfois inévitable », c’est comme dire que dans une société le vol est inévitable, le viol également etc. Comment le nier ?, les hommes ne sont pas tous parfaits. Et le dogme du péché originel peut offrir aux catholiques une lucidité sur la condition humaine déchue. Mais de là, que peut-on conclure ? Certainement pas que le viol et le vol doivent être dépénalisés. On objectera que la loi Veil n’a pas été faite pour tuer des enfants à naître, car ils l’étaient déjà avant cette date, mais pour éviter que leurs mères meurent aussi. D’où la thèse du moindre mal et l’ébranlement qu’elle engendre chez le généreux mais naïf militant « pro-vie », intimidé par la complexité du réel social enfin mise sous ses yeux.

    Tout avortement est toujours évitable ; voilà ce d’où il faut repartir pour penser politiquement un tel problème. Aucune personne humaine ne doit jamais être vue comme ne pouvant éviter de poser un acte mauvais. Il existe bien sûr de nombreux conditionnements obscurcissant la conscience et disposant à ce type d’acte ; et ils doivent être pris en compte dans une évaluation morale et judiciaire de la responsabilité des personnes. Mais l’éventuelle non-imputabilité subjective ne peut jamais être le fondement d’une loi, par définition commune et objective, autorisant un tel acte, même sous conditions très restrictives. Car si tel est le cas, la loi toujours porteuse de normativité, même dans un système libéral permissif, continue d’exercer sa causalité sur les mentalités : l’avortement est rapidement vu et vécu comme légitime et donc comme banal. De plus, une telle loi est une négation du politique. [...]"

    Au fond l'argument d'Eugénie Bastié (qui considère que ceux qui veulent remettre en cause la loi Veil sont des illuminés) rejoint celui, plus actuel, de ceux qui veulent légaliser la GPA (ou l'euthanasie) afin de l'encadrer, car la GPA (ou l'euthanasie) existe et qu'il faut bien prendre en compte le réel même si on y est défavorable...

    Michel Janva

  • À Montpellier, on entonne la Marseillaise ! #AbolitionGPA

  • Le Front National s’engage à combattre la GPA

    Communiqué du FN des Pays de la Loire :

    "Pascal GANNAT et Samuel POTIER, élus Front National de la région des Pays de la Loire, ont participé hier aux rassemblements anti-gestation pour autrui (GPA) dans les villes de Nantes et d’Angers.

    Le Front National rappelle sa ferme intention d’abroger la loi Taubira dite du « mariage et de l’adoption pour tous » qui est la première étape de la législation sur la procréation médicalement assistée (PMA) pour les partenaires de même sexe, et pour la GPA. Cette loi  institue en effet un droit à l’enfant, en faisant primer les désirs individuels des adultes sur le droit fondamental des enfants à être élevés par un père et une mère, dans la complémentarité véritable d’un homme et d’une femme. Par une jurisprudence incitative, la Cour européenne des droits de l’homme oblige les tribunaux français à reconnaître l’identité des enfants nés de mères porteuses à l’étranger, et contribue, par là-même, à un recul de civilisation.  Comment rester insensible à la réalité sordide de la GPA, responsable du développement « d’usines à bébés », surtout dans les pays pauvres, où de riches Occidentaux paient des femmes démunies pour produire un enfant off-shore ?

    En ce jour de commémoration de l’esclavage, le Front National exprime son refus catégorique de la marchandisation du corps de la femme et des enfants. Faire de la procréation un objet de négoce, rappelle les horreurs du commerce triangulaire, où d’innombrables hommes furent vendus comme de vulgaires marchandises. En 1848, la France s’honorait d’abolir l'esclavage. En 2016, le Front National s’engage plus que jamais à combattre la GPA, ainsi que toutes les dérives marchandes de l’ultra-libéralisme, qui nient la dignité de chaque être humain."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/05/le-front-national-sengage-%C3%A0-combattre-la-gpa.html

  • Les raisons du refus de la GPA par les Français

    6a00d83451619c69e201bb08fb268f970d-200wi.pngA l'occasion de la journée d'alerte sur le scandale de la GPA (Gestation Par Autrui), La Manif Pour Tous publie les résultats d'un sondage exclusif Opinion Way réalisé du 3 au 5 mai. Ce sondage porte sur les raisons de l'opposition à la GPA, qui est une nouvelle forme d'esclavage pour qu'elle revient à louer et acheter des êtres humains.

    6 Français sur 10 considèrent que la gestation pour autrui, c'est à dire le recours à une mère porteuse, risque d'avoir des conséquences psychologiques négatives pour la mère. Cette proportion est encore plus forte chez les sympathisants Les Républicains qui sont près de 3 sur 4 à dénoncer ces risques pour la mère. Ils sont également une très large majorité chez les sympathisants du Modem (56%), du PS (57%) et du FN (61%). Le refus de la GPA s'impose donc largement et au-delà des clivages traditionnels droite-gauche.

    "Le fait de sentir un enfant en son seinde vivre avec lui nuit et jour pendant des mois, puis de supporter l'épreuve de l'accouchement et ses suites pour, au final, être séparé définitivement de lui, est tout simplement inhumain" déclare Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous.

    Avec la GPA, les femmes sont réduites à leur utérus, traitées comme un moyen pour obtenir d'elles ce que l'on veut. Elles sont examinées de manière très intrusive, sélectionnées, saturées d'hormones puis surveillées très étroitement pendant toute la grossesse jusque dans les moindres détails de leur vie intime, y compris leurs relations sexuelles. C'est pour celaque La Manif Pour Tous se mobilise dans toute la France, et notamment à Nantes, ce mardi 10 mai, journée de commémoration de l'abolition de l'esclavage.

    Une majorité de Français (52%) estime que que la gestation pour autrui, c'est à dire le recours à une mère porteuse, risque aussi d'avoir des conséquences psychologiques négatives pour l'enfant. "Là aussi, les clivages politiques traditionnels sont dépassés" analyse Ludovine de La Rochère. 

    "66% des sympathisants du Modem et des Républicains, et 58% des sympathisants du FN pointent du doigt les risques pour l'enfant." 

    La GPA est en effet contraire à l'intérêt supérieur de l'enfant : le priver volontairement de sa mère est injuste et d'une violence inouïe. Cette pratique doit cesser partout dans le monde : les droits des femmes et des enfants n'ont pas de frontière, leur dignité non plus !

    Michel Janva

  • Limiter les dépassements d’honoraires… Résultat : le patient paiera !

    Le pire est encore à venir.

    « Les contrats responsables (appellation de type publicitaire, des plus floues) sont des contrats collectifs de complémentaire santé dont les garanties répondent à certaines prescriptions réglementaires destinées à modérer les dépenses de santé. » Ils auraient été créés pour mieux maîtriser les dépenses de santé, éternelle question évoquée depuis plus de 30 ans !

    On sait ce qu’il en est des frais dentaires. Récemment, la focale a été mise sur la question des lunettes et des frais d’optique.

    Dans l’esprit du ministre en charge de ces affaires, les médecins dépasseraient les « tarifs Sécu », étant donné que les patients sont couverts en tout état de cause par des assurances complémentaires. Dans sa logique de premier degré, elle a donc la conviction qu’en plafonnant les remboursements, elle limitera les dépassements.

    Cette approche du problème n’est malheureusement étayée par aucune étude sérieuse. On peut même soutenir le contraire que beaucoup de Français accepteront de payer de leur poche pour consulter le plus grand spécialiste censé améliorer leur durée de vie ou sauver leur enfant d’une maladie rare ; le montant du remboursement de la Sécurité sociale n’y changeant rien.

    Autrement dit, la conviction de Marisol Touraine est d’abord fondée sur une posture idéologique, qui est aussi celle des députés qui défendent son projet.

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  • Les caisses de Sécurité sociale veulent des médecins aux ordres

    La sécurité sociale, afin de limiter la progression des arrêts de travail, a proposé de récompenser les médecins peu prescripteurs.
    Dans les négociations qui sont actuellement en cours entre la Sécurité sociale et les syndicats médicaux pour définir une nouvelle convention, la sécurité sociale, afin de limiter la progression des arrêts de travail, a proposé de récompenser les médecins peu prescripteurs à l’aide de primes, et éventuellement de punir ceux qui ne respecteraient pas les consignes qui leur sont assignées.

    Cette possibilité de sanctions a provoqué l’ire des syndicats médicaux. La CNAM a donc décidé de retirer (provisoirement ?) cette proposition de malus à appliquer aux récalcitrants, sans pour autant revenir sur le principe même de rémunérer les médecins, en dehors des actes médicaux, pour les inciter à respecter des objectifs dits de santé publique.

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  • Le coût de l’immigration irrégulière en France en 2015 supérieur au budget 2016 de la Santé

    Le coût de l’immigration irrégulière en France représenterait 1,38 milliards d’euros selon Jean-Paul Gourevitch, spécialiste des migrations à qui l’association Contribuables Associés a confié la rédaction d’un rapport. Cemontant est supérieur au budget alloué en 2016 par l’État au ministère de la Santé (1,251 milliard) . C’est le double du budget consacré au sport et à la vie associative ( 617 millions d’euros).

    Ce rapport cinglant (disponible ici en intégralité), qui épingle la gestion de l’immigration par la France, est la 34ème étude de l’association ; une étude qui dresse un panorama complet de l’évolution des flux migratoires en 2015 en Europe.

    Source Breizh-info

    http://www.contre-info.com/le-cout-de-limmigration-irreguliere-en-france-en-2015-superieur-au-budget-2016-de-la-sante

  • Coca-Cola aurait dépensé 7 millions pour tromper les Français, en arrosant des associations et organismes

    Selon l’ONG Foodwatch, qui parle de « stratégie de désinformation », l’entreprise  Coca‑Cola aurait déboursé pas moins de 6,7 millions d’euros (hors taxes) sous forme de subventions et d’aides à des projets ou des organismes afin de promouvoir auprès des Français ses produits prétendument allégés tels que le Coca‑Cola « light » et le Coca « zéro ».

    Quelles sont les personnes ciblées par Coca‑Cola, bénéficiaires de ce système de corruption par la subvention ? Il s’agirait, selon l’ONG, de médecins, de nutritionnistes et d’associations. Ceux‑ci auraient déclaré sans vergogne que ces boissons édulcorées étaient plutôt bénéfiques pour la santé. Or, ces boissons où le sucre est remplacé totalement ou partie par des édulcorants contribueraient très fortement à l’augmentation des taux d’obésité, de surpoids et de diabète dans la population française, comme le prouvait un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire des aliments.

    L’impact de ces révélations est‑il si important ? Les personnes bien informées ne seront pas surprises de voir confirmés les méfaits d’une boisson aussi artificielle et remplie d’additifs chimiques. En revanche, savoir que l’entreprise consacre des sommes si importantes à des opérations de communication mensongères amène à se poser de sérieuses questions sur la capacité de nuisance d’entreprises supranationales, dont le seul centre d’intérêt est le profit désordonné.

    Or « de Paris à Lyon, de Lille à Chambéry en passant par Poitiers ou Givors, écrit Foodwatch, des médecins, scientifiques et des organismes – parfois sous tutelle publique – ont été généreusement financés par Coca-Cola France depuis 2010. Des sommes conséquentes souvent employées par les destinataires à plaider la cause des édulcorants au sein de congrès ou dans des publications scientifiques. »

    Par exemple :
    Fédération française des diabétiques : 268.552 € au moins
    Institut Européen d’Expertise en Physiologie (IEEP) : 719.200 €
    Centre National pour le Développement du Sport (CNDS) : 1.118.926 €
    Association française des diététiciens nutritionnistes : 117.764 €
    CreaBio : 653.798 €
    International Prevention Research Institute, IPRI : 690.000 €
    Centre de recherche pour l’Etude et l’Observation des Conditions de vie (CREDOC) : 85.000 €

    La liste des « aides » versées par Coca-Cola est disponible ici.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • 10 % des enfants avortés ou nés prématurément à partir de la 20e semaine naissent vivants

    Mercredi 13 avril, l’ECLJ (European center for law and justice – Le centre européen du droit et de la justice) animait, à l’invitation du groupe bioéthique du Parti populaire européen, une conférence sur les infanticides néonataux. Une manière pour Gregor Puppinck, directeur de l’ECLJ et Claire de La Hougue, chercheur associée, d’alerter les élus sur une pratique de plus en plus courante dans nos pays, mais largement méconnue du grand public. Gregor Puppinck répond à Anne Isbeth dans Présent :

    "Nous avons présenté les résultats d’une étude que nous avons publiée en décembre dernier dans la Revue générale de droit médical. Cette étude avait déjà servi, en 2015, de support à une action de l’ECLJ auprès du Conseil de l’Europe sur ce même thème de la situation des enfants soit nés prématurément naturellement, soit nés vivants à la suite d’un avortement tardif. Après avoir découvert la réalité des infanticides néonataux nous avons décidé de creuser le sujet et de rassembler des documents. Cela a été un vrai travail d’exploration qui a duré plus d’un an. Nous voulions voir ce qu’il en était vraiment : s’il existait réellement des enfants survivant à un avortement tardif et quel était leur sort. Les témoignages que nous avons récoltés ont confirmé que les infanticides néonataux existent.

    D’après des statistiques publiées en Grande-Bretagne, environ 10 % des enfants avortés ou nés prématurément à partir de la 20e semaine naissent vivants. Cela fait beaucoup.

    Tous les moyens sont bons, malheureusement pour tuer l’enfant né vivant. Dans certains cas ils reçoivent une injection létale, dans d’autres ils sont noyés ou encore abandonnés dans une pièce à l’écart, le temps qu’ils meurent.

    Nous sommes confrontés ici aux conséquences extrêmes de l’avortement.

    Juridiquement parlant, quel est l’impact de cette découverte de l’existence d’infanticides néonataux ?

    Cela met en cause un principe juridique bien établi selon lequel le droit à la vie ne commence qu’à la naissance et derrière lequel se sont réfugiés les pays qui ont toléré l’avortement. Or, dans ces cas-là, les enfants sont nés, ils respirent, voire sont viables parfois. Certains ont vécu plus de 24 heures après leur naissance. Pourtant ils ont été tués !

    Vous montrez des témoignages durant cette conférence. On y entend notamment que souvent les parents ne sont même pas mis au courant. Pensiez-vous qu’il en était ainsi ?

    Je savais qu’il y avait une part de non-dit, de mensonge. Mais à ce point, je ne le pensais pas et surtout que ce soit si systématique. Cela dit c’est logique : on peut l’expliquer, sans pour autant le justifier. La première des explications est pénale : ces actes sont interdits. D’où ce silence. Il y a aussi l’aspect psychologique : ces médecins – certains de bonne foi – veulent ainsi éviter aux parents de souffrir davantage. Enfin, au niveau administratif et prise en charge de l’enfant, il est beaucoup plus simple de le déclarer mort-né, même s’il est né vivant. [...]"

    Abominable.

    Michel Janva