santé et médecine - Page 324
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Le congrès de SOS Tout-Petits
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40 Days for life : 304 bébés sauvés de l'avortement
Au 31ème jour de la campagne de Carême qui s’achèvera le dimanche des Rameaux 20 mars prochain, 304 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement grâce aux vigiles qui se relaient 24 h sur 24 et 7 jours sur 7 devant les avortoirs de 273 villes aux États-Unis et dans le monde, pour prier…
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L’industrie pharmaceutique belge travaillait avec un baron de la drogue mexicain
Belgique – Le parquet fédéral veut poursuivre sept entreprises pharmaceutiques belges suspectées d’avoir fourni à un baron de la drogue mexicain des substances utilisées pour fabriquer des millions de pilules de méthamphétamine.
L’industrie pharmaceutique belge complice d’un baron de la drogue mexicain? -
Mardi 8 mars, les Sentinelles de Nantes contre la GPA
Les Sentinelles de Nantes communiquent :
Chers amis,
Savez-vous que mardi prochain sera célébrée la Journée de la Femme?Et savez-vous quelles perspectives on propose à la Femme, pilier de notre civilisation, aujourd'hui ?On lui propose la GPA. Voilà son prochain horizon, voilà comment la cause de la femme "avance" dans le monde aujourd'hui. GPA que l'on pourrait renommer la Grossesse Pour Abandon : un double esclavage où le corps des femmes les plus pauvres est exploité pour ses fonctions les plus intimes, et où le bébé à naître devient l'objet d'un commerce, d'un contrat.En France, quelques lueurs d'espoir existent, mais le Conseil de l'Europe lui ne semble pas encore exempt des jeux des groupes de pression. Un vote à haut risque aura lieu le 15 mars et nous ne devons pas relâcher la pression!Les Sentinelles ne se satisferont jamais d'un monde qui est prêt à instrumentaliser le corps des femmes les plus démunies. Le respect qui est dû a dignité humaine n'est pas compatible avec de telles pratiques, avec cette marchandisation.
Alors à l'occasion de la Journée de la Femme, la première victime de cet odieux trafic, les Sentinelles de Nantes vous donnent rendez-vous :le 8 mars 2016de 12h30 à 13h30en face du monument des 50 otagesSilencieux, résolus, respectueux de l'ordre public, espacés, sans signes distinctifs, bienveillants, nous nous tiendrons debout pour réclamer l'interdiction universelle de la GPA et l'annulation de la circulaire Taubira!A mardi, ONLR JAMAIS!Les Sentinelles de Nantes -
Monsanto condamné pour l’intoxication d’un agriculteur français
C’est un long combat qui se termine pour Paul François, agriculteur de Bernac, en Charente, engagé depuis près de dix ans dans une bataille contre le géant américain Monsanto. Jeudi 10 septembre, la cour d’appel de Lyon lui a définitivement donné raison en concluant que la firme multinationale était responsable du préjudice qu’il a subi à la suite de l’inhalation du pesticide pour le maïs Lasso.La cour confirme ainsi le jugement en première instance du tribunal de grande instance de Lyon, qui, en février 2012, avait reconnu « responsable » Monsanto et l’avait condamné à « indemniser entièrement » le céréalier charentais. Elle invoque à l’encontre de la multinationale « un manquement contractuel », lui reprochant « d’avoir failli à son obligation générale d’information pour n’avoir pas respecté les règles en matière d’emballage et d’étiquetage des produits ».« Décision historique »Paul François s’est félicité, lors d’une conférence de presse à Paris, jeudi, de cette « décision historique », ajoutant que « le pot de terre peut gagner contre le pot de fer ». « Pour la première fois, un fabricant de pesticides est condamné à indemniser un agriculteur pour l’avoir intoxiqué », a insisté son avocat, François Lafforgue. « Cette décision est le point de départ d’un grand mouvement d’indemnisations. Elle ouvre une brèche dans la responsabilité des fabricants », a-t-il ajouté, appelant à la création d’un fonds pour indemniser les victimes de pesticides.« La reconnaissance de la responsabilité de Monsanto dans cette affaire est essentielle : les firmes qui mettent sur le marché ces produits doivent comprendre que dorénavant elles ne pourront plus se défausser de leurs responsabilités vis-à-vis des pouvoirs publics ou l’utilisateur et que des comptes leur seront demandés, abonde dans un communiqué Maria Pelletier, présidente de l’ONG Générations futures. C’est une étape importante pour toutes les autres victimes des pesticides qui espèrent voir enfin confirmée la responsabilité des firmes dans la survenue des maladies qui les touchent. »S’il refuse de passer pour une icône écologiste ou altermondialiste, ce céréalier charentais restera comme le premier en France à avoir fait condamner le géant de l’agrochimie américain. Il est en tout cas le premier à avoir rompu le silence sur les dangers des herbicides, insecticides et autres fongicides longtemps vantés.Troubles neurologiquesLa vie de cet exploitant de 51 ans à la tête de 240 hectares, longtemps affectés à la monoculture céréalière, a basculé le 27 avril 2004. Ce jour-là, voulant vérifier le nettoyage de la cuve d’un pulvérisateur, il a inhalé une forte dose de vapeurs toxiques. Pris de malaise, il a juste le temps d’expliquer ce qui vient de se produire à son épouse avant de finir aux urgences, crachant du sang : « Tout ce qui est arrivé après, je ne m’en souviens pas. »Après cinq semaines d’arrêt, Paul François reprend son travail mais souffre d’importants problèmes d’élocution, d’absences, de maux de tête violents. À la fin de novembre 2004, il s’effondre sur le carrelage de sa maison, où ses filles le découvrent inconscient.S’ensuit une longue période d’hospitalisation durant laquelle les médecins ont craint plus d’une fois pour sa vie, sans jamais faire le lien avec l’herbicide de Monsanto. D’examen en examen, de coma en coma, une importante défaillance au niveau cérébral a fini par être trouvée.Aidé de sa famille, Paul François a commencé à enquêter sur le Lasso, à ses frais. Il faut attendre mai 2005 pour identifier le coupable : le monochlorobenzène, solvant répertorié comme hautement toxique et entrant à 50 % dans la composition de l’herbicide.Depuis, Paul François vit avec une défaillance cérébrale, souffre de troubles neurologiques et doit subir une IRM tous les six mois, des lésions étant apparues au niveau du cerveau.« Les produits chimiques, c’était du pain bénit »A la lutte contre la maladie a succédé le combat juridique. Déjà pour faire reconnaître son intoxication comme maladie professionnelle. Un premier refus de la Mutualité sociale agricole (MSA) pousse Paul François à engager une procédure devant le tribunal des affaires sociales d’Angoulême. En novembre 2009, ce dernier condamne la MSA à admettre les conséquences de l’intoxication comme maladie professionnelle.Cette décision est confirmée par la cour d’appel de Bordeaux, le 28 janvier 2010, affirmant la responsabilité de l’herbicide Lasso dans les problèmes de santé dont souffre l’agriculteur.Parallèlement, dès février 2007, Paul François décide d’attaquer la firme Monsanto, car il est convaincu qu’elle connaissait les dangers du Lasso bien avant son interdiction en France, en novembre 2007. Le Lasso a en effet été interdit dès 1985 au Canada, et depuis 1992 en Belgique et au Royaume-Uni.Bien que se reprochant « d’avoir été aussi naïf avec les firmes », l’agriculteur assume le fait d’être issu d’une génération « tout pesticide ». « J’ai vécu et évolué avec la chimie. C’était du pain béni et d’un grand confort, avoue-t-il. On utilisait des produits chimiques mais on produisait plus. Et comme tous, j’en étais fier. »Aujourd’hui, Paul François, qui « vit avec une épée de Damoclès sur la tête », a considérablement réduit son utilisation de produits chimiques, « pour remettre du vivant dans le sol ». Et, aidé par son associé, il est en train de convertir une centaine d’hectares en agriculture bio. Mais il ne travaille plus à plein temps, obligé qu’il est souvent de rester alité.Laetitia Van EeckhoutLien permanent Catégories : actualité, écologie et environnement, lobby, santé et médecine 0 commentaire -
La fermeture de cliniques d’avortement atteint un rythme sans précédent aux Etats-Unis
Ne boudons pas cette bonne nouvelle :
« Depuis 2011, pas moins de 162 cliniques d’avortement ont fermé leurs portes ou cessé de procurer des avortements pour se concentrer sur d’autres activités, tandis que seuls 21 nouveaux établissements ouvraient leurs portes aux Etats-Unis. Les fermetures ont été enregistrées dans 35 Etats, aussi bien dans des petites villes que dans de grosses agglomérations. C’est une tendance sans précédent depuis la légalisation de l’avortement par l’arrêt Roe v.Wade, rendant la procédure d’« IVG » de plus en plus difficile d’accès dans certaines zones des Etats-Unis.
Bloomberg commente la fermeture de cliniques d’avortement
La tendance est notamment imputable aux lois des Etats cherchant à restreindre les possibilités d’avorter ou à mieux contrôler les normes sanitaires imposées à ces cliniques. Ainsi le Texas, qui a imposé de nouvelles exigences aux cliniques d’avortement, obligées de passer des accords avec des structures hospitalières pour éviter des tragédies en cas d’urgence vitale pour les femmes, a-t-il enregistré au moins 30 fermetures. L’Iowa et le Michigan suivent avec 14 et 13 fermetures respectivement, puis la Californie (avec 12 fermetures), alors même que cet Etat a un gouvernement démocrate.
Aux Etats-Unis, ce sont des structures dédiées qui dans l’immense majorité des cas proposent l’avortement, et leur nombre décroît régulièrement depuis la fin des années 1980 :
il en existait 705 alors à pratiquer au moins 400 avortements par an, selon l’Institut Guttmacher (organisme de recherche pro-avortement lié auPlanned Parenthood américain), contre 553 en 2011. Depuis lors, la chute a été encore plus rapide, à raison de 31 fermetures par an en moyenne.
Aux Etats-Unis, moins de demandes d’avortement et moins de médecins avorteurs
Si les nouvelles réglementations, qui pèsent sur la rentabilité des cliniques, sont responsables de nombre d’entre elles, d’autres sont dues à des concentrations d’activité ou une baisse démographique dans la région concernée. Mais Bloomberg fait également état d’une baisse de la demande des avortements, du départ à la retraite de médecins disposés à éliminer des enfants in utero, et des mesures prises contre des établissements insalubres. Selon LifeNews, le déclin de la demande de la procédure a pour corollaire sa moindre rentabilité
Au Texas, pionnier des mesures anti-avortement, de nombreux établissements ont fermé faute de vouloir respecter des normes hospitalières imposées pour recevoir des femmes en vue d’avortements chirurgicaux ; en juillet dernier, le taux d’« IVG » dans l’Etat avait déjà chuté de 13 %. Dans cinq Etats, il ne reste désormais qu’une seule clinique d’avortement.
Si le Planned Parenthood a participé au mouvement de fermetures – 30 % des établissements fermés depuis 2011 appartenaient au groupe – il est loin devant pour ce qui est des créations d’établissements depuis cette date, soit 75 % (sur 21…).
Troy Newman, président d’Operation Rescue, souligne que la fermeture des avortoirs, notamment les plus dangereux d’entre eux, « est une excellente nouvelle pour les femmes et pour les bébés, car lorsque des cliniques d’avortement ferment, des vies sont sauvées ».
Anne Dolhein sur reinformation.tv
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Compte-rendu de la conférence-débat avec Audrey Jougla : "Profession : animal de laboratoire"
Vendredi 26 février, l’association La Griffe organisait à Clermont-Ferrand une conférence-débat en compagnie d’Audrey Jougla, auteur de Profession : animal de laboratoire. C’est dans une salle encore trop clairsemée et au public hétéroclite, que cette jeune femme pétillante prend la parole. Son apparente gentillesse ne sera pas de trop pour aborder un sujet hautement délicat…
Audrey Jougla a voulu connaître la réalité de la vivisection, notamment en France. Une réalité difficile à appréhender car on ne rentre pas dans ce genre de laboratoire comme ça : un « brevet d’expérimentation animale » (sic) est nécessaire pour pouvoir pénétrer dans ce Pandémonium. On estime à 11,5 millions le nombre d’animaux de laboratoire dans l’Union Européenne et à 2,2 millions pour la France seule. Parmi les espèces fréquemment utilisées on retrouve les souris et autres rongeurs, les reptiles, les poissons, les oiseaux, des carnivores comme les renards par exemple, mais aussi les vaches, les chiens et les chats. Seuls les grands singes sont protégés pour des raisons « morales » de par la ressemblance avec l’homme (merci Darwin !). Les types de tests pratiqués sur les animaux se divisent en quatre types distincts :
1) Les tests dans le cadre de l’enseignement.
2) Les tests de toxicologie comme les tests de nocivité pour l’homme (46% en France).
3) Les tests dits de « recherche fondamentale » (neurosciences, psycho-chimie, psychiatrie).
4) Les tests dits de « recherche appliquée » qui découlent de la « recherche fondamentale ».Après une mise au point statistique en guise d’introduction, Audrey Jougla aborde de manière didactique dix préjugés sur l’expérimentation animale. C’est l’occasion d’apprendre des choses parfois glaçantes. Tout d’abord il faut savoir que des alternatives à ces pratiques barbares existent bel et bien : protocoles ex vivo, in silico, 3D in vitro, organes par puces et micro-organes. Malgré tout, ces méthodes alternatives ne sont pas mises en avant, les firmes et laboratoires privilégiant l’expérimentation animale car cette dernière est subventionnée ! Certaines personnes s’imaginent (naïvement ?) que ces animaux sont bien traités. Ceci est un non-sens absolu ! Test de nocivité (ingestion de produit de la marque Destop dans l’œsophage de chiens !), animaux rendu fous, malades et vivant dans des conditions épouvantables où la froideur des néons remplace la lumière du soleil qu’ils ne voient jamais, sans parler du bruit incessant. Le rapport avec le personnel est quant à lui compliqué. Au-delà des cas de sadisme, le personnel doit prodiguer des soins mais également des sévices via les expérimentations, position schizophrène intenable qui fait que l’homme et l’animal sont tous deux confrontés à une indicible violence. Ces expérimentations semblent légitimes bien que cruelles aux yeux de certains, notamment lorsqu’il s’agit d’utiliser des organismes vivant, pourtant aucun résultat tangible ne prouve leur efficacité…
Ensuite vient le tour des questions que l’on ne pose pas concernant l’expérimentation animale. Encore une fois on découvre des faits troublants. Firmes pharmaceutiques et autres laboratoires justifient ces expérimentations en mettant en avant la recherche sur les cancers pédiatriques par exemple. Cette méthode abjecte, qu’on pourrait appeler « méthode Aylan », consiste en une espèce de chantage émotionnel. Elle est également malhonnête car ce type de cancer n’est en réalité pas rentable pour les firmes et les laboratoires qui préfèrent investir dans d’autres champs d’action. L’image des expérimentations animales véhiculées par les médias (la fameuse souris blanche, la seringue) et les entreprises concernées sont en total décalage avec la réalité. D’ailleurs Audrey Jougla affirme qu’il est très compliqué de pourvoir s’exprimer sur le sujet dans les médias (vous pouvez cependant retrouver un entretien donné par cette dernière à TV Libertés ici : https://www.youtube.com/watch?v=oRryw39uN5A. Vous l’aurez compris, c’est la rentabilité et la maximisation des profits qui priment et nullement quelconque forme de philanthropie. A l’instar des essais cliniques sur l’homme, les résultats des expérimentations animales pourraient être mutualisées ce qui pourrait alléger une partie de ces souffrances mais la course aux brevets et la compétitivité condamnent définitivement cette option.
Cet univers est dominé par une hypocrisie dégoûtante. Pourquoi les tests sur les grands singes sont-ils interdits, du fait d’une « ressemblance avec l’espèce humaine, et pas les autres ? Les similitudes entre les souffrances psychologiques humaines et animales sont avérées, au même titre que la sensibilité des animaux. Si cela n’est pas le cas comment justifier les expériences de privation de sommeil, de privation maternelle, de dépression, d’aliénation mentale ou NBC (Nucléaire Bactériologique et Chimique) ? En termes d’hypocrisie la législation pratique le « double standard » : votre chat sera votre animal domestique mais un chat de laboratoire sera du matériel expérimental, bien qu’il puisse, dans l’absolu, s’agir du même animal ! Audrey Jougla affirme, pour l’avoir vu de ses propres yeux, que l’on retrouve les mêmes golden retrievers du Téléthon à la fois sur le plateau télé et dans ces laboratoires. Comment ne pas être eugéniste et hygiéniste après ça !? Ici règne le chantage émotionnel. Qu’est-ce donc que la souffrance d’un enfant face à celle d’un animal ? Quel procédé dégueulasse. La question de la souffrance animale dans les laboratoires relève également d’un présupposé que les hommes seraient supérieurs aux animaux. Que cela soit vrai ou non, rien ne justifie de futiles souffrances à des êtres vivants, doués de sensibilités comme vous et moi. Et si c’était vous, vos parents, vos enfants les cobayes de laboratoire ?
En conclusion, cette conférence bien que dépourvue d’images choc est très perturbante. Nous devons reconnaître à Audrey Jougla un courage et une force intérieure certaine du fait de son travail de terrain, au contact direct de la souffrance évoquée lors de cette conférence. D’ailleurs il est par moment difficile pour la jeune femme et certaines personnes du public de retenir leurs émotions, certaines anecdotes étant particulièrement odieuses... Pourtant Audrey Jougla est convaincu qu’à terme l’expérimentation animale est vouée à disparaître. Espérons-le !
De notre point de vue, il est évident que la souffrance animale liée aux expérimentations scientifiques est un énième symptôme d’un monde malade, bouffé de l’intérieur par cette idéologie mortifère qu’incarnent le libéralisme et son corollaire l’idéologie du progrès. Il est vrai que l’exploitation animale a de tout temps existé, bien que dans des proportions variées. Hors nous atteignons ici le paroxysme de l’exploitation animale via sa chosification extrême, passant de « l’animal outil/animal objet positif » (les chevaux de trait par exemple) à « l’animal matière/sujet négatif » où son identité d’être vivant douée de sensibilité lui est niée. Au même titre que l’exploitation de la nature, via le productivisme et « l’agrobusiness » hors-sol (auquel nous devons opposer le localisme et la logique de circuit-court), la cause animale doit être au centre de notre vision du monde et défendue dans un cadre d’écologie profonde enracinée.
Publier des slogans « Love animals/hate antifa » c’est bien gentil mais cela n’apporte rien. Commençons par bien nous occuper de nos animaux domestiques et d’éduquer nos enfants et la jeunesse en général. C’est aussi essayer d’utiliser les produits de marques qui ne pratiquent pas d’expérimentations animales (L’arbre Vert, Rainett, Lush), d’adapter son mode vie, de sensibiliser autour de soi, de soutenir et de militer bénévolement dans des associations comme celle de Brigitte Bardot, etc. La cause animale n’appartient à personne et surtout pas aux gauchistes en sarouel !
Donatien / C.N.C
http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/
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Le monde selon Monsanto : rappel utile en pleine affaire de microcéphalies au Brésil
Avec 17.500 salariés, des milliards de dollars de chiffre d’affaires annuel et une implantation dans quarante-six pays, Monsanto est le leader mondial des OGM, mais aussi l’une des entreprises les plus controversées de l’histoire industrielle. Production de PCB (pyralène), de polystyrène, d’herbicides dévastateurs (comme l’« agent orange » pendant la guerre du Viêtnam) ou d’hormones de croissance bovine et laitière (interdites en Europe) : depuis sa création en 1901, la firme a accumulé les procès en raison de la toxicité de ses produits. Grâce à la commercialisation de semences transgéniques, conçues notamment pour résister aux épandages de Roundup, l’herbicide le plus vendu au monde, elle prétend vouloir faire reculer les limites des écosystèmes pour le bien de l’humanité. Qu’en est-il exactement ? Quels sont les objectifs de cette entreprise, qui, après avoir longtemps négligé les impacts écologiques et humains de ses activités, s’intéresse tout à coup au problème de la faim dans le monde au point de se donner des allures d’organisation humanitaire ? Alors que le nom de Monsanto est pointé du doigt dans l’affaire des microcéphalies du Brésil erronément mises d’abord sur le dos du virus Zika, ce reportage est à (re)voir.
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[Paris] JEAN-MARIE LE MENE AU CERCLE DE FLORE, le 18 mars
A Paris, vendredi 18 mars à 20h00, ne manquez pas le prochain Cercle de Flore.
Jean-Marie Le Mené, président de la Fondation Jérôme-Lejeune. viendra présenter son dernier ouvrage "Les premières victimes du transhumanisme"
Vendredi 18 mars 2016, à 20h00
10 rue Croix des Petits Champs 75001 Paris, Escalier A, 2 ème étage
M° Palais-Royal
PAF : 3€ , gratuité pour les adhérents.
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Paris-JEAN-MARIE-LE-MENE-AU-CERCLE
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Sociétés américaines de GPA en France : constitution de partie civile des Juristes pour l’enfance
Communiqué de l'Association des Juristes pour l'enfance :
"En octobre 2014, l’association Juristes pour l’enfance déposait une plainte contre la société américaine Circle Surrogacy qui vient proposer, en France, ses services aux Français pour pratiquer des GPA aux Etats Unis.
Bien que les faits dénoncés et contraires à la loi soient avérés et que la société se vante sur son site internet de ce qui lui est reproché, servir d’intermédiaire entre les clients français et les gestatrices américaines, la plainte a été classée sans suite.
L’activité de la société constitue l’infraction d’entremise en vue de la GPA, sanctionnée par l’article 227-12 du code pénal qui punit d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende le fait de s'entremettre entre une personne ou un couple désireux d'accueillir un enfant et une femme acceptant de porter en elle cet enfant en vue de le leur remettre.
Alors que la commission des lois du Sénat vient de rendre un rapport en faveur d’un renforcement de la répression pénale des activités de GPA, et qu’elle invite l’Etat français à des négociations avec les Etats pratiquant la GPA pour qu’ils interdisent le recours des ressortissants français à cette pratique, Juristes pour l’enfance met sa confiance dans la justice qui ne peut laisser, au mépris de la loi française, les sociétés étrangères démarcher les clients français potentiels sur notre sol."