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santé et médecine - Page 321

  • Migrants : alerte sur la santé publique

    Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, aurait-elle engagé des actions préventives qui paraissent aujourd’hui indispensables face à l’invasion migratoire que notre pays connaît depuis maintenant plusieurs années ? Alors que la tuberculose a été pratiquement éradiquée au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, on découvre aujourd’hui des cas, isolés certes mais significatifs. […]

    En septembre 2016, BFM TV nous apprend que des cas de tuberculose ont été diagnostiqués au lycée professionnel Cantau d’Anglet (64). Début novembre, France Bleu Pays Basque révèle que le premier cas, traité au printemps, concerne un lycéen ayant voyagé en Afrique… et, qu’à la rentrée, six nouveaux cas s’étaient déclarés. Devant l’ampleur du dépistage (1.800 personnes) et la gravité du problème, l’A.R.S (Agence Régionale de la Santé) mettait à disposition un camion (30.000 €) pendant 3 semaines.

    Or, à Saint Bauzille de Putois (34), le maire écrivait le 28/10 que des Soudanais étaient bien arrivés et que  la « tradition d’accueil du village » continuait. Par contre, d’autres médias indiquaient qu’avec les Soudanais se trouvait un Érythréen et un Pakistanais qui a été immédiatement hospitalisé dés son arrivée. Alors, en tant que mère de famille je me pose quelques questions. Sachant que les cas de tuberculose en vertu du règlement sanitaire international doivent être déclarés, je m’étonne du silence médiatique devant l’affaire d’Anglet. Le ministère de la Santé a-t-il été associé à l’évacuation de Calais ? Des mesures prophylactiques ont elles été envisagées puisque l’on sait que les invasions migratoires mettent en danger la santé publique des Français.

    Les migrants, dont le gouvernement impuissant à contrôler et à endiguer le flux, dispersent à travers le pays des maladies contagieuses, endémiques dans leurs pays d’origine et les amènent avec eux. Il convient de les dépister, les traiter pour les prévenir :

    1°) Ce sont des affections parasitaires qui peuvent provoquer des bilharzioses urinaires et intestinales, des amibiases. Les docteurs Larivière (*) et Rousset (*) signalent que ces pathologies se répandent par voie génitale et contact buccal direct. Quant aux parasites du tube digestif, ils se développent dans le sol, l’eau, les milieux humides et restent infectants une vingtaine de jours. Aussi, il convient de veiller aux eaux de baignades et à la qualité des réseaux d’assainissement. Les moustiques peuvent transmettre le paludisme, la maladie du sommeil, la leishmaniose (les souches importées peuvent se recombiner avec celles présentes en France), la borréliose, la fièvre jaune, la dengue, le chikungunya…

    2°) Ce sont aussi des maladies tropicales, lèpre, mycoses, des maladies sexuellement transmissibles comme la syphilis. Le docteur André Basset (*) fait observer que la lèpre, chez un migrant, peut demeurer sous forme latente ou inapparente et rester plusieurs années avant de se déclarer. Il préconise le dépistage aux frontières. Chez un migrant, la sérologie positive, séquelle de l’enfance n’est pas contagieuse, elle l’est en provenance d’un contact récent.

    3°) C’est aussi la tuberculose, surtout sous la forme pulmonaire qui est la plus contagieuse. Le docteur Gentilini (*) indique que « chez le noir, elle est caractérisée par son polymorphisme, sa survenue entre le sixième et le vingtième mois de séjour en France ». Le docteur Coudrau (*) souligne lui aussi qu’elle touche surtout les africains noirs.

    Les migrants, le plus souvent africains, que l’on impose dans nos villages constituent donc un groupe à haut risque. Le Docteur Gentilini (*) tout comme l’O.M.S en 2016 préconise un dépistage systématique dés l’arrivée, et, au minimum tous les six mois, sur une durée de 18 à 24 mois. IL déclarait indispensable l’établissement d’un carnet de santé national pour tout immigré ainsi que la vaccination obligatoire par B.C.G bien qu’elle ait une protection limitée en raison de la sur contamination.

    L’Institut Pasteur recommande de surveiller les eaux et les aliments pour éviter d’exposer la population locale à des risques inutiles d’hépatites A, ainsi que diffuser l’information aux populations sur les risques d’hépatites B, laquelle se transmet par le sang et le sexe.

    L’OMS demande un dépistage systématique des cas de Coronavirus (Mers-Cov) et la prévision de salles d’isolement car il peut engendrer des pneumopathies sévères. De même pour les porteurs de VIH et hépatites virales. Le réseau « sentinelles » avec Fanette Blaizeau, dés 2013 recommande la vaccination des migrants de plus de 16 ans par DT Polio, ROR et Méningo C.

    On impose au cœur de nos villages, comme à Arzon (56) ou à Sainte Marie (66) des populations de clandestins, réservoirs infectieux contaminants et rien n’est prévu pour la prophylaxie. Ces « sacs à maladie » sont de plus en plus difficiles à soigner car tout dépistage ou traitement leur paraît discriminant. En l’état actuel de l’autorité de l’État, il semble improbable d’imaginer une quelconque contrainte.

    Or la situation est criminelle car il faut savoir que le crachat d’un homme atteint de tuberculose contient des bacilles pouvant survivre plusieurs mois dans la terre. De plus les animaux, porteurs de souches proches, peuvent les transmettre aux aliments… sans évoquer certaines pratiques avec les animaux… Le 19/03/16, l’ O.M.S signalait le risque très élevé de la tuberculose multi résistante chez les migrants. Il faut savoir que la résistance aux anti-microbiens rend mortelles des maladies devenues incurables telles que pneumonies, V.I.H, tuberculose et paludisme etc, mortelles aussi pour les populations d’accueil.

    Pour rappel, les eaux, la terre, les aliments, peuvent être contaminés même en évitant le contact direct. Alors, est-il prévu de décontaminer les locaux, les moyens de transport de ces gens, interdire les baignades en rivière ou en piscine ? C’est une bien cruelle responsabilité qui échoit aux maires des communes d’accueil alors qu’ils n’y ont pas été préparés et ils auront pourtant à rendre des comptes. Ont ils demandé une décharge aux préfets ? Sont ils bien conscients de leurs responsabilités ?

    Eric Obso

    Texte repris de la Fondation Polémia

    http://fr.novopress.info/

  • Le « droit à l’avortement » ? Marion Sigaut analyse ce droit de tuer figurant parmi les « droits sexuels » définis par l’ONU

    Continuant son étude des « droits sexuels » édictés par l’ONU, Marion Sigaut observe comment le « droit à l’avortement », c’est-à-dire le droit de tuer un enfant, est devenu un dogme prioritaire imposé par les mondialistes et appliqué avec zèle par la république maçonnique française.

  • Organisez un départ en car pour la Marche pour la vie du 22 janvier

    Voici la carte des premiers bus en provenance de province

    Pour organiser un départ en car, c'est par ici.

    Michel Janva

  • Bébés veaux ou bébés humains : même combat ?

    Tribune de Cécile Edel, présidente de Choisir la vie :

    "Le timing est pour le moins déroutant !

    Alors que le scandale des vaches en gestation abattues et éventrées près de Limoges battait son plein et semblait indigner la France entière, qui découvrait alors des " images d'une rare violence " de fœtus "jetés à la poubelle" (fœtus de veau) - 57 000 apparemment signatures obtenues en quelques heures pour faire interdire cette pratique - notre gouvernement engageait dans le même temps la procédure accélérée sur la proposition de loi du 13 octobre étendant le délit d'entrave à l'avortement aux sites pro-vie, qui délivrent une information sur les conséquences de cet acte.

    Vous l'aurez compris, notre gouvernement est un adepte du "deux poids, deux mesures" et semble visiblement bien plus ému par la vie des animaux que par celle des humains !

    Quant à ceux qui défendent la vie, leur sort dépend aujourd'hui du choix de l'espèce pour laquelle ils se battent

    - Si vous défendez la vie de l'enfant à naître, surtout n'ayez jamais l'audace de montrer des images et encore moins des vidéos de fœtus avortés ! Vous serez au mieux taxés de violents, d’égoïstes, d'intégristes, au pire vous risquez d'être poursuivis... Le Dr Dor n'a-t-il pas été condamné pour avoir usé d'une "violence extrême" en osant montrer de petits chaussons pour nouveaux-nés à une femme ?

    Non seulement, votre liberté d'expression sera bafouée, car il vous sera interdit de dire que vous êtes contre l'IVG,mais, en plus, vous serez condamnés si vous tentez de dire tout simplement la vérité sur les conséquences de l'avortement ; vous tomberez sous le coup du fameux délit d'entrave à l’avortement.

    - En revanche, si vous défendez les veaux dans le ventre de leur mère, le tapis rouge médiatique et politique vous sera déplié... Et peu importe si les visuels que vous diffuserez peuvent choquer ou tomber entre les mains des plus petits, parce que là, étrangement, il sera admis que ces visuels représentent la réalité de la pratique barbare et seront diffusés pour la bonne cause, pour interpeller l'opinion publique.
    Vous me direz, je suis rassurée : nous n'avons pas encore sombré dans une telle barbarie que nous soyons devenues insensibles à de telles images !

    Alors, amis défenseurs de la vie animale ou humaine, vous en conviendrez, autant être décomplexés sur la diffusion d'images et vidéos de fœtus abattus ou avortés puisqu'apparemment- et nous remercions pour cela l'association L 214-, cette méthode semble être une voie royale pour émouvoir nos concitoyens ! À moins que nous ne soyons devenus assez tordus et déshumanisés pour nous émouvoir devant des fœtus de vaches et rester en revanche insensibles à des petits êtres humains qui, pourtant, rappelons-le,  subissent le même sort : extraction du ventre de la mère (jusqu'au 9ème mois pour certains), mise à la poubelle au milieu des déchets hospitaliers et pour les plus résistants qui survivent à l'avortement,  laissés agonisants, seuls, sur une paillasse d’hôpital... 

    La vérité sur la barbarie de l'extraction d'un fœtus du ventre de sa mère, quelle que soit son espèce, est pourtant simple et visiblement "audible", n'en déplaise à certains, en tous cas lorsqu'il s'agit de bébés animaux.

    Espérons que la politique totalement idéologique, du "deux poids, deux mesures" de notre gouvernement ne sera pas contagieuse au point d'endormir nos consciences et de nous faire croire que finalement, la vie d'un "veau à naître" serait plus digne que celle d'un enfant à naître et que le combat pour le respect de la vie d'un animal serait plus honorable que celui du respect de la vie d'un être humain."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tractez, organisez des cars, devenez bénévoles pour la Marche pour la Vie

    Cliquez sur l'image

    SB (2)

    Michel Janva

  • Le marché de la drogue prospère en France

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    A l’heure où certains ministres socialistes plaident en faveur d’une dépénalisation du cannabis et où le lobby de la drogue, avec l’appui du gouvernement, vient d’ouvrir une première salle de shoot qui ne pourra qu’encourager la consommation de substances illicites en France, l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice, dépendant de Matignon, a publié mercredi un rapport édifiant sur le marché des drogues en France qui, selon ses estimations, s’élevait à environ 2,3 milliards d’euros en 2010.

    Avec quelque 285 tonnes de cannabis vendues, cette drogue aurait ainsi représenté 48 % du marché en 2010 en termes de chiffre d’affaires, avec une fourchette estimée entre 810 millions et 1,425 milliard d’euros, soit une moyenne de 1,117 milliard d’euros. Des revenus en hausse de 33 % par rapport à l’année 2005, en raison d’une augmentation de la consommation mais surtout, souligne le rapport, de la vente d’un cannabis plus cher parce que plus dosé en THC et donc potentiellement plus dangereux pour la santé. Un évolution qui devrait faire réfléchir le gouvernement socialiste à l’heure où certains de ses ministres prônent la dépénalisation de cette drogue, dont les revenus, en outre, servent le plus souvent à financer l’islamo-terrorisme.

    Le rapport du INHESJ met également en évidence cette autre tendance lourde qu’est la « démocratisation » du marché de la cocaïne. Selon ses auteurs, celui-ci serait passé de 488 millions d’euros en 2005 à plus de 900 millions en 2010.Une forte progression qu’ils expliquent par la baisse du prix du gramme, qui a été quasiment divisé par trois entre les années 1990 et le milieu des années 2000, et a entraîné une hausse du nombre de consommateurs. Ce qui fait désormais du marché européen la première cible des producteurs de cocaïne.

    Quant au chiffre d’affaires de l’héroïne, également en augmentation, il s’établirait entre 204 et 329 millions d’euros pour des quantités consommées comprises entre 5,1 et 8,2 tonnes.

    Franck Deletraz

    Article et dessins parus dans Présent daté du 5 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • La société des souffreteux

    La décence devenant rare, il n'est guère étonnant d'assister à une surenchère de la douleur et de la maladie tout autour de nous. Réelles ou fantasmées ? On en finirait par choisir la seconde option tant on a l'impression de vivre au milieu d'une société d'hypocondriaques.

    Le moindre problème physique (ou psychologique!) est devenu l'occasion de se plaindre inlassablement et d'étaler sans pudeur aucune son pauvre sort aux yeux de ses contemporains... qui renchérissent dès que cela leur est possible ! Via ces complaintes incessantes, on comprend qu'aujourd'hui, tout prend une proportion démesurée dès qu'il s'agit de la santé. Les gens n'ayant plus rien à se dire, plus rien à partager, ils cherchent à exister de la plus misérable manière possible : attirer la compassion voire la pitié.

    Bienvenue dans la société des souffreteux qui remplissent les salles d'attente des médecins en tout genre ou des urgences ! Du vrai pain béni pour les laboratoires, les pharmacies et les traficoteurs de cerveaux ! Un rhume ? Un eczéma ? Une « dépression »? C'est l'occasion d'aller quémander un arrêt de travail ou une bonne dose de médicaments (qui permettent à chacun de se convaincre de la véracité de la « maladie »). Cela tombe bien, notre société favorise et entretient le glissement des individus vers un état de faiblesse psychologique et physique constant. « Mais oui, vous êtes malade ! »

    Tout le monde doit se trouver des problèmes ! Vous pensez ne pas en avoir ? Ouvrez donc l'un de ces magazines « santé-psycho », vous vous trouverez bien une pathologie à somatiser ! La société de consommation se double d'une société de victimisation. Etre une victime, c'est commode ! On peut justifier tous ses travers et s'en faire excuser.

    La société du spectacle ne fonctionne pas autrement : toutes les stars ont, un jour ou l'autre, « confié » dans Télé 7 Jours ou chez Ardisson, un traumatisme d'enfance ou un combat contre le cancer. Ca les rend presque accessibles et ça les rapproche de la plèbe. Ils sont comme vous : malades et ils le disent ! Soyez comme tout le monde, ne vous a-t-on pas dit qu'il fallait parler de ses problèmes et ne pas tout garder pour soi ? Répandez-vous ! Couinez sur les réseaux sociaux ou auprès de vos collègues ! Vous n'en existerez que mieux aux yeux des autres.

    Nos anciens disaient que « les grandes douleurs sont muettes »... La discrétion est avant tout une question d'honneur personnel.

    Quelles dégénérescences que cette déification de la fragilité et de la surenchère du gémissement! C'est la pitié que l'on cherche, c'est la faiblesse que l'on brandit, c'est la Grande Santé (et donc la Vie) que l'on écarte d'un revers de la main pour se vautrer dans le Xanax et les antibiotiques.

    Une société de malades est docile, facilement contrôlable et ne présente aucun risque pour le système. Au contraire, elle le nourrit et le fait perdurer.

    Ann et Rüdiger / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • Terrible famine au Yémen : les USA accusés de crimes de guerre

    Avec Hillary Clinton, l’amie éternelle des Saoudiens, celle qui leur fournit des armes pour anéantir l’opposition yéménite (ce qu’elle n’hésite pas à faire, aussi, en Syrie, mais pour alimenter la rébellion et non pas le gouvernement), le Yémen se meurt sous nos yeux.

    Une famine extrême dévaste une partie du pays. Les photos que je viens de découvrir, non pas à la une de Paris Match où elles devraient être publiées mais sur quelques pages de Facebook, me rappellent celles que Gilles Caron avaient faites au Biafra en 1968 ! Comme quoi, une fois de plus preuve est faite que le monde n’avance pas mais qu’il recule.

    Au Biafra, il s’agissait pour le régime de Lagos de mater la sécession de cette région catholique. Au Yémen, les enjeux sont plus politiques : il s’agit d’éradiquer les rebelles chiites houtis venus du Nord-Yémen pour prendre le pouvoir à Sanaa – ce qu’ils ont réussi à faire en octobre 2015 -, obligeant le président Hadi à se réfugier avec son gouvernement légal à Aden, puis à Riyad. Depuis, le « conseil politique » des milices chiites houties règne à Sanaa, d’où les Saoudiens tentent de les déloger à coups de lourds bombardements. Un peu comme le fait, légalement, Assad sur Alep, ou la coalition occidentale sur Mossoul.

    Mais au Yémen, il s’agit d’une coalition militaire arabe qui a jeté sur les routes désertiques du Yémen plus de 3 millions d’habitants, entraînant une crise humanitaire majeure. Je devrais écrire une coalition sunnite car, une fois de plus, comme en Syrie ou en Irak, ce sont les deux frères ennemis de l’islam qui s’affrontent : les chiites, qui au Yémen représentent environ 30 % de la population, et dont la rébellion houtie ne laisse pas indifférent l’Iran, et les sunnites, forts du soutien de la monarchie voisine où règne le sunnisme pur et dur. Les Rafale saoudiens s’en donnent à cœur joie et, depuis peu, ce sont des troupes au sol qui tentent de remettre sur son siège le président Hadi. [....]

    Floris de Bonneville

    La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Terrible-famine-au-Yemen-les-USA