santé et médecine - Page 325
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L'industrie nous tue !
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850 000 euros pour se droguer à Paris
Le Conseil de Paris a voté aujourd'huil'attribution d'une subvention de 850 000 euros qui permettra d'ouvrir à l'automne à l'hôpital Lariboisière (Xe arrondissement) la première salle de consommation à moindre risque (SCMR), ou "salle de shoot", de la capitale. Cette salle comprenant un accueil, une salle d'attente et de consommation, sera aménagée sur 450 m2 dans l'enceinte même de l'hôpital. Elle pourra accueillir 200 personnes par jour.
La subvention d'investissement a été votée par la majorité PS avec l'UDI-MoDem. Le groupe Les Républicains a voté contre.
Sera-t-il indiqué devant l'entrée, "Se droguer tue" en gros avec une photo d'un toxico victime d'une overdose, sur le modèle des paquets de cigarettes ?
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La mort des plus fragiles est rentable
Aujourd’hui, la traque de l’homme imparfait est déjà une réalité, et une réalité qui rapporte. Tel est l’argument du dernier livre de Jean-Marie Le Mené, un cri d’alerte face au meurtre par avortement de tous les enfants Mongoliens.
Il n'est pas besoin d'être un militant provie acharné pour suivre Jean-Marie Le Mené dans son indignation. Il s'agit de la trisomie 21, cette anomalie chromosomique qui fait l'objet d'un dépistage prénatal de plus en plus efficace. En France les trisomiques, tous dépistés, sont quasiment tous - 96 % - sacrifiés sur l'autel du nouvel eugénisme.
L'indignation de l'auteur n'appuie pas sur la corde sensible. On pourrait pourtant remplir des livres entiers avec le témoignage de parents qui ont fait le choix de « garder » leur petit trisomique et qui en ont été récompensés en joie et en bonheurs. Et d'autres avec la souffrance des mères qui ont vécu l'arrachement d'un avorte-ment tardif parce que leur tout-petit n'était pas « conforme » aux exigences du bébé parfait. De la part du président de la Fondation Jérôme-Lejeune, cela n'aurait pas étonné.
Mais les mentalités modernes - et surtout les médias, c'est à peu près pareil - ne comprennent plus guère ces considérations humaines. En revanche, elles peuvent être frappées par l'implacabilité d'une élimination systématique de déficients mentaux, soutenue par un marché porteur d'immenses profits.
Sous un titre clair - Les premières victimes du transhumanisme - Jean-Marie Le Mené propose un sous-titre plus énigmatique : La Ruée vers l'Or des Mongols. La phrase revient, lancinante, tout au long de l'ouvrage. Elle désigne une réalité glaçante : plus le dépistage des trisomiques, ceux qu'on appelait jadis les mongoliens, est efficace et sans danger pour les bébés « sains », plus il devient commercialement intéressant. D justifie un intense marketing, fondé à la fois sur l'exploitation de la peur des femmes de mettre au monde un enfant handicapé, et sur le sens de l'économie des régimes d'assurance maladie qui voient l'intérêt de dépenser même une coquette somme pour un test 100 % fiable, pour s'épargner la prise en charge des problèmes de santé de l'enfant qui n'aura pas vu le jour.
Voilà donc un récit d'une froideur clinique, précis et implacable. C'est une mise en accusation qui se lit comme un roman policier. On suit les manœuvres d'hommes et de femmes d'affaires qui veulent emporter le marché des simples tests sanguins qui permettent, dans le sang des futures mères, d'identifier et d'analyser l'ADN de l'enfant qu'elles portent. La technique est récente, ses applications potentielles gigantesques : plus l'analyse s'affinera, mieux on connaîtra le portrait génétique du fœtus. L'anomalie chromosomique, c'est facile : le chromosome de trop saute aux yeux du technicien. Le dépistage des gènes sera sans doute pour demain, lorsque la prédisposition au cancer pourra être mise en balance avec le sexe ou la couleur de cheveux du petit être, bien commodément avant l'épuisement du délai de l'IVG à la demande, un droit comme chacun sait. « On le garde ou on ne le garde pas ? »
Avec de tels objectifs, on peut se croire tout permis. Ce fut le cas des propriétaires et directeurs de Sequenom, compagnie californienne de « Biotech » fonctionnant à coups de millions de
dollars : de tromperies en délits d'initiés, de mort violente en retour insolent aux affaires, leur histoire fait davantage penser à un thriller cinématographique bien ficelé qu'à une bienveillante recherche pour le bien de l'humanité.
Jean-Marie Le Mené jette une lumière crue, servie par un sens aigu de la formule, sur l'entreprise essentiellement commerciale de ces sélectionneurs de chair humaine - eux qui n'attendent plus que l'agrément public de leurs tests dans un pays comme la France où le tri génétique se fait tous frais payés. Le boniment n'est d'ailleurs pas loin, comme toujours lorsqu'il est question de promettre bonheur, santé, richesse : en l’occurrence, en mettant tout en œuvre pour repérer 100 % des trisomiques 21, on met en avant... des vies sauvées. Mais oui : celles des bébés « sains » qui perdent la vie pour cause de fausses couches provoquées par l'examen invasif de l’amniocentèse actuellement pratiqué pour valider un diagnostic de trisomie. Rien qu'en France, ils sont plusieurs centaines par an.
Personne ne pense aux milliers de bébés malades qui sont éliminés, eux, sans affres de conscience. C'est leur vie dont Jean-Marie Le Mené affirme la valeur insondable. C'est leur triste rôle de victimes premières d'un système qui galope vers le transhumanisme - la fabrication d'une humanité sans défauts aujourd'hui, « améliorée » demain - qu'il met en lumière.
Je vous recommande tout particulièrement les dernières lignes de ce livre, un récit qu'on n'arrive pas à lâcher avant la fin. Jean-Marie Le Mené évoque ce que le cardinal Ratzinger lui dit jadis sur les sociétés qui commettent de si graves injustices à l'égard des plus faibles. C'est lumineux et prophétique. Et c'est un appel à l'humanité, afin qu'elle remette les choses à l'endroit.
Jeanne Smits monde&vie 24 février 2016
Jean-Marie Le Mené. Les premières victimes du transhumanisme, éd. Pierre-Guillaume de Roux. 176 p.
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Tous unis contre la haine subie par l'enfant trisomique
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Centenaire de la psychanalyse : un siècle de subversion
Les fondations de la psychanalyse ont été établies par Sigmund Freud il y a désormais un siècle. Ce qui était alors une médecine nouvelle et suspecte est aujourd’hui, dans l’athéisme ambiant, devenu la voie privilégiée de la guérison de l’âme. Pourtant, cette banalité acquise de dure lutte n’a rien d’une évidence.
Une idée répandue veut que la psychanalyse ait fait feu du bois des confessionnaux auxquels elle a substitué les divans. Là où l’on s’accusait, là où l’on se rendait humble hier, on s’épanche aujourd’hui des heures durant au bénéfice d’un étrange médecin que les passions et vertus cardinales n’intéressent guère, mais qui traque névroses et actes manqués avec l’ambition de libérer le patient des secrets honteux qui font obstacle à son « bonheur ». Vaste programme… Et innovation éminemment subversive ! Car la méthode et le dogme psychanalytiques, apparus officiellement en 1916 dans une série de conférences données par Sigmund Freud et compilées un an après dans son Introduction à la psychanalyse, ont troublé les médecins autant que les derniers défenseurs de la spiritualité et de la tradition.
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PMA : Hervé Mariton veut attaquer en justice les médecins qui violent la loi
Enfin quelqu'un qui appelle la justice à faire son travail à l'encontre des 130 médecins qui ont violé la loi :
Michel Janva
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La réalité de l'avortement
Lu ici :
"Lila Rose croit que si les Américains faisaient face à la réalité de l’avortement, ils deviendraient tous pro-vie en l’espace d’un instant. Elle a annoncé hier soir qu’elle a fait équipe avec l’ancien avorteur Dr. Anthony Levatino afin de lancer un nouveau site web présentant à tous les Américains les faits médicaux concernant les procédures d’avortement.
AbortionProcedures.com, qui a été mis en ligne ce matin, démontre précisément ce que son nom indique. Ce nouveau site internet nous montre Dr Levatino (médecin qui a pratiqué plus de 1 200 avortements) décrivant les méthodes les plus communes pour avorter. Chacune des procédures est dépeinte par de petites animations.
Chacune de ces vidéos durent de trois à quatre minutes et détaillent les différentes procédures tout en soulignant les risques médicaux associés à chacune d’entre elles."
Attention, ces animations peuvent choquer les plus sensibles !
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/03/la-r%C3%A9alit%C3%A9-de-lavortement.html
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Mardi 15 mars Journée de mobilisation contre la GPA
La Manif pour Tous alerte sur l'urgence de se mobiliser contre la GPA :
ALERTE : la Commission des Questions sociales du Conseil de l'Europe s'apprête à voter en faveur de la GPA !Participez aux actions près de chez vous :
- à Paris, de 8h30 à 9h30, devant les bureaux du Conseil de l'Europe, 55 avenue Kléber, Paris 16e
- à Strasbourg, de 8h à 9h, devant le Conseil de l'Europe
- à Cognac, de 17h30 à 19h30, avenue d'Angoulême au rond-point entre l'hôpital de Cognac et le centre commercial Lidl
- à Epinal, de 16h30 à 17h, place des Vosges, « opération caddies »
- Opérations de collage et tractage à Clermont-Ferrand,Montpellier et dans de très nombreuses villes... (Contactez votre équipe locale)
La GPA, une seule option : l'abolition !La GPA, c'est comme l'esclavage,
on ne l'encadre pas, on l'interdit ! -
Le congrès de SOS Tout-Petits
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40 Days for life : 304 bébés sauvés de l'avortement
Au 31ème jour de la campagne de Carême qui s’achèvera le dimanche des Rameaux 20 mars prochain, 304 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement grâce aux vigiles qui se relaient 24 h sur 24 et 7 jours sur 7 devant les avortoirs de 273 villes aux États-Unis et dans le monde, pour prier…