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santé et médecine - Page 330

  • De plus en plus de bébés sous antidépresseurs !

    C’est aux États-Unis et donc bientôt ici.

    « Aux Etats-Unis, lorsque des bébés de moins de 2 ans ont des comportements violents ou font des crises difficiles à gérer, des médecins leur prescrivent de plus en plus souvent des antipsychotiques ou des antidépresseurs. Selon le New York Times, près de 20 000 prescriptions pour des médicaments antipsychotiques ont été rédigées en 2014 pour des enfants de moins de 2 ans. Selon le groupe de consulting médical IMS Health, il s’agit d’une augmentation de 50% par rapport à 2013. Environ 83 000 prescriptions pour l’antidépresseur Prozac ont été données à des bébés du même âges, en hausse de 23% par rapport à l’année précédente. […]
    Il n’y a aucune étude sur l’effet qu’ont les antidépresseurs et les antipsychotiques sur les moins de 2 ans. La tendance aux Etats-Unis est à la médicalisation des troubles du comportement dès le plus jeune âge. Plusieurs experts notent que cette augmentation de la médicalisation est en partie liée à la pénurie de psychiatres pour jeunes. Dans de nombreux cas, ce sont des pédiatres sans formation psychiatrique qui prescrivent ces médicaments. »

    (lu dans Direct Matin)

    Dans les sociétés modernes sans identité, sans liens sociaux et sans religion, les gens ont massivement recours à la chimie (avec ses effets indésirables) pour supporter la vie…
    Un phénomène dont sont désormais victimes même les bébés…

    Ajoutons qu’aujourd’hui les gens ne veulent plus des contraintes qui résultent de leurs choix.
    Un enfant qui crie, s’agite ou pleure « trop », du point de vue de certains parents, sera considéré plus facilement comme ayant besoin d’être soigné alors que tout est peut-être normal.

    Cela ne fait-il pas partie de la nature des enfants d’être relativement bruyants, dynamiques, etc. ?
    Et en cas de déséquilibre (largement favorisé par la société moderne : bruit incessant, stress citadin, enfermement, télévision, etc.), plutôt que de se tourner automatiquement vers la psychiatrie et la chimie, ne vaut-il pas mieux insister sur l’éducation (ce qui n’est pas facile en effet) et le recours au grand air qui procure une saine fatigue aux enfants ?

    http://www.contre-info.com/

  • Les conséquences dramatiques des « mariages » homosexuels

    Nous apprenons que cette année 3 % des « mariages » en France ont concerné des duos homosexuels. Paris atteint le record avec 1.331 unions homosexuelles soit 13 % de la totalité des mariages. Dans le quartier du Marais, ce chiffre passe à 32 %. Compte tenu des données qui viennent d’Amérique, nous pouvons vraiment leur souhaiter du bonheur car ils vont en avoir besoin.

    Nous avons donné les références de nos affirmations en nous basant sur des recherches scientifiques ; ceci non pas pour allonger le texte mais afin de ne pas pouvoir être accusés d’homophobie. Ces références ont été laissées en langue américaine afin de faciliter d’éventuelles recherches à nos lecteurs. Les titres des articles concernés se suffisent souvent à eux-mêmes.

    Nous pensons réellement rendre service aux homosexuels en leur exposant ces faits établis par des travaux scientifiques.

    1. Une étude a suivi 156 couples de même sexe. Seulement sept d’entre eux pratiquaient la fidélité dans leurs relations sexuelles. Il est noté que cette situation favorisait la diffusion des maladies vénériennes et les états de détresse psychologiques. (McWhirter, D. and Mattison, A. “The Male Couple: How Relationships Develop.” (Upper Saddle River, NJ: Prentice Hall).
    2. Les couples de lesbiennes sont statistiquement très instables par rapport aux couples hétérosexuels. (“Comparative Relationship Stability of Lesbian Mother and Heterosexual Mother Families: A Review of Evidence,”  Marriage and Family Review 46: 499-509).
    3. Une étude danoise parue en 2011 concerne les douze premières années de légalisation du partenariat homosexuel (les Danois n’ont pas osé qualifier ce type d’union de « mariage »). Le risque de suicide chez les hommes est multiplié par huit. (Mathy, R. et al. 2011. “The Association between Relationship Markers of Sexual Orientation and Suicide: Denmark, 1990-2001,” Social Psychiatry and Psychiatric Epidemiology, 46: 111-117).
    4. En 2010, l’ U.S. National Longitudinal Lesbian Family Study a établi que 40 % des couples de lesbiennes ayant conçu un enfant par PMA s’étaient séparés. (Gartrell, N. & Bos, H. 2010. “U.S. National Longitudinal Lesbian Family Study: Psychological Adjustment of 17-year-old Adolescents,” Pediatrics, 126 (1): 28-36.)

    http://www.medias-presse.info/les-consequences-dramatiques-des-mariages-homosexuels/21895

  • Les euro-députés s’opposent à l’interdiction des OGM par les Etats

    Voici l'un des rares moments où la commission européenne était prête à donner plus de "liberté" aux états membres concernant la possibilité de refuser la culture, la commercialisation ou l'utilisation des produits OGM. 
    Finalement les euro-députés plus impérialistes que l’empereur lui-même, appellent à empêcher toute modification de la législation en vigueur...
    Ce qui existe actuellement :
    Actuellement lorsque la commission européenne autorise par un règlement la mise sur le marché d'un OGM, les états ne peuvent si opposer que s'ils obtiennent la majorité qualifiée (62% de la population dans au moins 55% des états membres), chose difficile à obtenir si bien que plusieurs OGM ont été autorisés en dépit de la réticence d'une grande partie de la population européenne.
    Quand on sait que l'agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) est gangrenée de conflits d'intérêts avec l'industrie agro-alimentaire, on est en droit de douter de l'impartialité de ses décisions.
    Il reste alors une possibilité pour les états membres, c'est de prouver que l'OGM autorisés présentent un risque imminent pour la population et donc charge à eux de présenter les études qui confirment la dangerosité du produit.
    Problème, les études peuvent être invalidées par les instances européennes, en quelque sorte on demande à l'UE de se déjuger, ce qui semble peu probable.
    On se rappelle notamment de la France ayant présentée l'étude du docteur Séralini pour justifier l'interdiction d'un OGM sur son sol. 
    Cette étude qui avait été reprise dans plusieurs revues scientifiques et soutenue par des centaines de chercheurs dans le monde pourtant, elle avait été jugée non-fiable.
    Il ne reste alors aux états que des subterfuges juridiques laborieux à détailler ici pour essayer de retarder un maximum la mise en circulation des OGM.
    Un pas fait en faveur des consommateurs et de la souvraineté des Etats.
    Alors vous comprendrez ma surprise à la lecture de la communication de la commission qui prévoyait de modifier la législation existante. 
    Les Etats jouiraient donc d'une plus grande autonomie en ce qui concerne la commercialisation des OGM sur leur territoire.
    Pour résumer, la commission autoriserait un OGM par la procédure décrite plus haut, et les états pourraient fermer leur marché intérieur de manière beaucoup aisée, bref une fois n'est pas coutume mais le pressoir Bruxellois relâcherait son emprise et le dogme du sacro-saint marché unique serait quelque peu chamboulé.
    Le parlement européen, seule instance qui est censée représenter le peuple par le suffrage universelle vient à une très large majorité contester ce projet ! 
    (577 voix pour, 75 voix contre et 38 abstentions)
    Egalement dans l'article mis en avant sur cette article, on nous explique que le projet n'est pas entièrement satisfaisant sur la capacité aux états membres d'agir, sur ce point je suis d'accord, mais c'est toujours bien mieux que la réglementation actuelle que j'ai décrite en introduction...
    C'est d'ailleurs l'argument en général adopté par les défenseur de la construction bruxelloise pour faire adopter des textes :
    "Ça n'est pas parfait mais nous pourrons améliorer les choses ensuite, l'important c'est que c'est un pas dans la bonne direction"
    Cet argument a été invoqué pour l'Acte Unique, pour Maastricht, pour la constitution, le traité de Lisbonne, le pacte budgétaire... etc
    En revanche lorsqu'on parle de protection du consommateur ces derniers voudraient un texte parfait pour le voter... Vacuité intellectuelle quand tu nous tiens. 
    D'ailleurs la raison invoquée notamment par le rapporteur du texte est justement que : cela remettrait en cause l'unicité du marché commun...
    ll indique également que les producteurs subiraient des pertes.
    Conclusion :
    Bien plus que le fond du texte, c'est le dogme du marché unique qui est défendu ici ainsi que les bénéfices de quelques-uns au mépris de l'opinion d'une grande majorité de citoyens refusant les OGM.
    La bonne nouvelle c'est que le parlement européen ne sert à rien, la commission européenne a indiquée qu'elle maintiendrait sa proposition de règlement et la soumettrait aux états ! 
    Pour une fois que le totalitarisme inhérent à cette construction politique protège les consommateurs...
    Nous allons donc voir si ces derniers sont prêts à reprendre un peu de marge de manœuvre...
    Bref quand la commission européenne ne défend pas l'intérêt des lobbys, c'est le parlement européen qui s'y colle...
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  • La Région Ile-de-France verse 12M€ pour les idéologues du gender

    CVUm7YRWUAAW2kiEn septembre 2011, Le Salon Beige alertait déjà sur le financement des idéologues du gender par la Région Ile de France : l'Institut Emilie du Châtelet, qui promeut l'idéologie du gender et qui avait lancé une offensive pro-gender sur les programmes scolaires, avait reçu 900 000 € de la Région Ile-de-France.

    Aujourd'hui, Vigi-Gender révèle que la même association a touché près de... 8M€ en 2014. Après 1,2 M€ en 2012 et 2,1 M€ en 2013, ça fat beaucoup.

    Michel Janva

  • L’information scientifique sur l’obésité achetée par Coca-Cola

    L’affaire ne fait pas grand bruit en France, pourtant c’est un scandale de plus dans la communauté scientifique. Les chercheurs impliqués étaient tous des scientifiques influents, auteurs de travaux appuyant la fameuse thèse dans des revues médicales réputées, et intervenaient dans des conférences scientifiques prestigieuses. Un article de Francetvinfo à lire jusqu’au bout.

    Les scientifiques membre du Global Energy Balance Network (GEBN) l’affirmaient à qui voulait l’entendre : la consommation de boissons sucrées ne participe pas à l’épidémie d’obésité, celle-ci s’expliquant essentiellement par le manque d’activité sportive du citoyen flemmard. Durant l’été, la presse nord-américaine a révélé que ces experts étaient très largement subventionnés par l’entreprise Coca-Cola. L’ampleur de la fraude s’est révélée semaine après semaine. Le site du GEBN a fermé ce 30 novembre, et le réseau dissout dans la foulée.

    Le 9 août 2015, le New York Times révélait que le plus grand producteur de boissons sucrées au monde – The Coca-Cola Company – subventionnait de façon très discrète le Global Energy Balance Network (GEBN). Cette société savante, prétendument à but non lucratif, regroupait des experts de renom, défenseurs d’une thèse peu académique : à savoir que la prise de poids et le développement du diabète de type 2 ne trouvent pas leurs causes principales dans la nutrition, mais dans un déficit d’activité physique.

    Selon le vice-président du GEBN, le très respecté Steven Blair [1], il n’existait « pratiquement aucune preuve scientifique » du fait que la restauration rapide et les boissons sucrées « étaient à blâmer »dans la crise actuelle de l’obésité. Dans les communiqués d’information diffusés par le réseau, le message était tout aussi catégorique.

    Des soupçons rapidement éveillés

    L’immense majorité des nutritionnistes s’inscrivaient en faux contre ce discours. Deux universités employant des membres du GEBN ont entrepris des démarches administratives pour en savoir un peu plus sur le financement de l’étrange réseau.

    Les informations comptables qui leur ont été transmises révélaient que l’année précédant son lancement officiel, 1,5 million de dollars lui avait été baillés par The Coca Cola Company. En outre, depuis 2008, Coca Cola avait financé à hauteur de 4 millions de dollars divers travaux de deux fondateurs du réseau : Gregory Hand, doyen de l’École de santé publique de l’Université West Virginia, et Steven Blair.

    Financer sans faire de bruit

    Dès le 10 août, The Coca-Cola Company se défendit de toute malversation, expliquant par voie de communiqué que l’entreprise avait toujours « soutenu la recherche scientifique » sur les questions d’équilibre énergétique. De leur côté, les scientifiques affiliés au GEBN ont affirmé que l’entreprise n »avait jamais influencé leur discours ou leur message, et qu’ils n’avaient jamais cherché à dissimuler les financements.

    Il est vrai que l’article fondateur du British Journal of Sports (voir encadré) mentionnait que le réseau avait reçu une donation de Coca-Cola, sans précision du montant. Mais le site web du réseau avait pourtant omis de faire toute référence à cette « subvention » jusqu’à ce qu’un expert de l’obésité à l’Université d’Ottawa signale ce manquement aux administrateurs. Et sur les réseaux sociaux, où le GEBN cherchait à gagner de l’influence, aucune mention de Coca-Cola® n’avait non plus jamais été faite…

    Marchands de doute

    Les critiques de la communauté scientifique n’ont pas tardé. Dans les colonnes de plusieurs médias, certains n’ont pas hésité à comparer la stratégie de Coca-Cola à l’enrôlement d’experts par l’industrie du tabac « pour devenir des marchands de doute quant aux dangers du tabagisme sur la santé ».

    Dans le New York Times, 35 spécialistes en médecine et nutrition ont dénoncé mi-août le « non-sens scientifique » des thèses défendues par le GEBN.

    « L’ordre du jour de Coca-Cola ici est très clair », a ailleurs déclaré Marion Nestle, professeur en nutrition et en santé publique à l’Université de New York. « [Il s’agit] d’obtenir de ces chercheurs de créer de la confusion [sur l’état des connaissances scientifiques] et de détourner l’attention [sur le rôle] l’apport alimentaire ».

    CocaLeaks

    Des courriels révélés fin novembre par l’Associated Press donne une idée de l’implication de Coca-Cola dans le GEBN : choix des représentants du groupe, proposition d’articles ou de vidéos à diffuser…

    Ces échanges éléctroniques font remonter le projet de cette campagne de désinformation à octobre 2012. L’institution fantoche est entièrement imaginée par Coca-Cola. Le site web du GEBN, officiellement enregistré et administré par l’Université de Caroline du Sud, était une pure œuvre de la multinationale [2].

    L’une des interlocutrices privilégiées du GEBN – et vraisemblable initatrice du projet – n’était autre que la « directrice de la santé et de la science » chez The Coca-Cola Company. Dès les premiers messages, elle insiste sur le fait que « les personnes impliquées [dans le GEBN] devront être ouvert sur la collaboration avec le secteur privé ». Une clause « non négociable »… Elle donne même son avis sur le logo du réseau : « aucune couleur ne pose problème, excepté le bleu, vous comprendrez pourquoi. » Le bleu est proscrit de la communication de Coca-Cola, car il s’agit de la couleur de son concurrent, Pepsi !

    Dans les courriels, le président du GEBN, James Hill [3] déclare rapidement « vouloir aider » Coca-Cola à véhiculer une image positive… L’entreprise suggère en retour que le GEBN travaille à se positionner comme une référence « pour les médias » sur la question de l’obésité, et emploie les réseaux sociaux pour lutter contre les messages des « extrémistes de la santé publique »…

    Moins de quatre mois après le début de l’affaire, le Global Energy Balance Network a été dissout, officiellement « pour restrictions budgétaires ». La directrice de la santé et de la science a démissionné de son poste.

    [1] Professeur à l’Université de Caroline du Sud, ses travaux menés depuis le début des années 1990 ont servi de base à l’établissement de nombreuses préconisations sanitaires, au niveau fédéral, aux Etats-Unis.

    [2] Peu après ces révélations, le président du GEBN, le très respecté James Hill (voir note suivante), déclara que Coca-Cola« avait enregistré le site parce que les membres du réseau ne savent pas comment réaliser cette opération ». Il eut un peu plus de mal à expliquer pourquoi le site était hébergé sur les serveurs de l’entreprise.

    [3] Professeur à l’Université du Colorado, James Hill a longtemps siégé aux comités de l’Organisation mondiale de la santé et des National Institutes of Health (institutions gouvernementales étasuniennes pour la recherche médicale). Il est également co-fondateur du National Weight Control Registry, programme scientifique destiné à évaluer les conséquences sanitaires de la perte de poids.

    [4] Dans le corps d’étude analysée, cinq fois plus d’études financées par l’industrie concluaient à l’absence de lien, en comparaison avec les études indépendantes. Ce constat permet d’estimer qu’un tel mode de financement augmente la probabilité d’une conclusion négative « au moins de 30% ». Voir : Financial Conflicts of Interest and Reporting Bias Regarding the Association between Sugar-Sweetened Beverages and Weight Gain: A Systematic Review of Systematic Reviews. M. Bes-Rastrollo et coll. PlOS Medicine, 31 déc. 2013 doi:10.1371/journal.pmed.1001578

    http://www.contre-info.com/linformation-scientifique-sur-lobesite-achetee-coca-col#more-40145

  • Zoom : Nicole Delépine - Tout ce que l’on vous cache sur la loi Santé de M. Touraine. (01-12-2015)

  • Bonnes nouvelles sur le front pro-vie

    3 bonnes nouvelles aujourd'hui :

    Images-3Au Pérou la commission des lois du Parlement a rejeté une proposition de loi dépénalisant l’avortement en cas de viol, fermant la possibilité d’un débat au Parlement avant la clôture de la session parlementaire en juillet 2016.

    D’après un rapport fédéral publié mercredi, le nombre d’avortements aux Etats-Unis serait en baisse continue depuis 25 ans. Le nombre d’avortements déclarés a baissé de 4% en 2012, ce qui représente 31000 avortements de moins qu’en 2011 d'après les chiffres du Centers for Disease Control and Prevention. En 2012 le nombre d’avortements a donc diminué de moitié par rapport à 1974, l'année suivant la légalisation du crime de l'enfant à naître.

    La Cour européenne des droits de l’homme (oui la CEDH !) vient de donner raison à Klaus Günter Annen à qui la justice allemande avait interdit de distribuer des tracts contre l’avortement à proximité d’une clinique pratiquant l’« IVG ». C’est une belle victoire pour la liberté d’expression, liberté d’exprimer la vérité, obtenue sur l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme qui affirme le respect de cette liberté.

    Michel Janva

  • Les OGM en France, c’est pour bientôt !

    L’Assemblée nationale a de nouveau voté, mardi 17 novembre, le projet de loi transposant les nouvelles règles européennes d’autorisation de mise en culture des OGM.

    Vous avez bien compris, il s’agit d’autoriser la culture OGM sur le sol français. Ce texte sera définitivement adopté par le Sénat le 14 décembre, puisque députés et sénateurs se sont déjà entendus sur la rédaction de ce texte en commission.
    Le texte de ce projet de loi, consultable sur le site du Sénat, prévoit de nombreuses mesures encadrantes. Et en cas de contamination de parcelles non OGM non souhaité par l’exploitant, l’Etat proposera une indemnisation financière…

    http://fr.novopress.info/

  • Santé, c’est l’Etat qui décide pour vous! (Claire Severac et Nicole Delépine)

    Dans la rubrique qu’elle anime pour Médias-Presse-info, Claire Severac reçoit aujourd’hui (13 novembre 2015), Nicole Delépine, l’ancienne chef du service de cancérologie pédiatrique de Garches, dont le combat contre Marisol Touraine pour le maintien de sa structure avait mobilisé les énergies l’an dernier.
    Elles abordent ici le sujet de la loi de santé si contestée aujourd’hui.

     

    http://www.medias-presse.info/sante-cest-letat-qui-decide-pour-vous-claire-severac-et-nicole-delepine/43748