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santé et médecine - Page 330

  • Ils veulent assassiner vos parents

    Lu dans Le Petit Daudet, publication de La Ligue du Sud :

    B"C’est une affaire que les partisans acharnés de l’euthanasie avaient voulu monter en épingle pour soutenir leurs thèses morbides. Et c’est une affaire qui a fini par les desservir tant les faits sont accablants. Nicolas Bonnemaison, ancien médecin urgentiste angevin, avait accéléré la mort de sept de ses patients sans les en informer, ni même de prendre soin de converser avec leurs familles. Matériellement, il les a donc assassinés.

    Mais cela n’émeut pas Michèle Delaunay, ministre, et Jean-Jacques Ameisen, président du Comité Consultatif National d’éthique, qui sont venus à la barre défendre celui qui donna la mort à ces pauvres patients dits « en fin de vie ». L’épouse du praticien est allée jusqu’à prétendre que tout cela n’était pas bien grave car Nicolas Bonnemaison mettait fin à des agonies, déshumanisant ainsi l’ensemble des malades en proie à une affection qui pourrait leur être fatale. Nicolas Bonnemaison représente une pratique médicale tout à fait ignorante du respect de la fin jusqu’à son terme naturel. Il le revendique d’ailleurs : «J’ai agi en médecin comme je le conçois, jusqu’au bout du bout». Or Jacques Bompard rappelait dernièrement à l’assemblée nationale qu’elle était la lettre originale du serment d’Hippocrate : « J’utiliserai le régime pour l’utilité des malades, suivant mon pouvoir et mon jugement ; mais si c’est pour leur perte ou pour une injustice à leur égard, je jure d’y faire obstacle. Je ne remettrai à personne une drogue mortelle si on me la demande, ni ne prendrai l’initiative d’une telle suggestion. De même, je ne remettrai pas non plus à une femme un pessaire abortif.»

    Evidemment les manipulations sont aisées sur le sujet de la fin de vie. Les officines habituellement concernées par la promotion de la mort sur la vie l’ont d’ailleurs bien démontré : elles truquaient récemment des sondages pour affirmer que tous les Français étaient favorables à l’euthanasie, et prétendaient ne pas aller au-delà de simples modifications techniques, alors qu’elles défendent dans leur réunion l’euthanasie pour détresse psychologique et l’euthanasie des mineurs. En l’occurrence le professeur Bonnemaison utilisait deux substances : le Norcuron et l’Hypnovel qui ont des effets létaux bien connus. Une véritable affaire des poisons

    La question de la fourniture de soins palliatifs et de la formation humaine et technique des personnels soignants se pose bien entendu. Mais il faut rappeler qu’en séance à l’assemblée nationale, la majorité socialiste a refusé un amendement sur l’extension du financement des soins palliatifs. Ce qu’il faut donc comprendre de ce procès c’est la mobilisation de l’appareil d’état en faveur de l’extension de la culture de mort dans un procès qui ne revient pourtant qu’à des assassinats. Comble de la provocation, Michèle Delaunay a ajouté à la fin de l’audience : «La loi ne pourra jamais tout résoudre. Jamais. Il y a aura toujours, à un moment, un colloque singulier entre le médecin et la personne qui va mourir. Et dans ce moment, la loi doit se retirer sur la pointe des pieds. » C’est énorme après que les socialistes aient insisté pour légaliser de fait le suicide lors de la loi dite sur « les nouveaux droits des patients en fin de vie » que Jacques Bompard a ardemment combattue. Il faut dire que lors du procès Bonnemaison le fils d’une femme de 92 ans a témoigné en disant : « il m’a privé de mes droits, de mes adieux ». Glaçant."

    Michel Janva

  • Enquête sur le traumatisme post-avortement

    Le traumatisme post-avortement est un sujet tabou en France (cf. Sabine Faivre, IVG et traumatisme, la recherche en panne, Libertépolitique.com, 5 février), mais il y a de nombreuses études en pays anglo-saxons depuis quinze ans qu'on ne peut ignorer [1]. Voici une synthèse de 112 articles parus de 1985 à 2002 dans 43 revues médicales de haut niveau scientifique en provenance de Grande-Bretagne, États-Unis, Finlande, Canada, Belgique, Danemark, Australie. Au-delà des témoignages, la réalité objective est accablante.

    L'EXISTENCE d'un traumatisme post-avortement, en tant que traumatisme consécutif à une interruption volontaire de grossesse, commence à être bien connue des médecins gynécologues-obstétriciens ainsi que des psychiatres. La connaissance de ce traumatisme repose actuellement en France sur les témoignages de femmes ayant subi un avortement, comme ceux produits par exemple par l'émission TV "Ça se discute" du 13 février 2002.

    Ces témoignages sont inestimables, même si les éléments recueillis sont forcément très subjectifs. D'autre part, il est bien connu aujourd'hui que les femmes ayant subi un avortement sont d'autant plus réticentes à en parler que le traumatisme subi a été plus important. Rappelons-en cependant quelques-uns parus dans la presse :

    « Après mon IVG, j'ai pleuré pendant six mois. J'ai mis des années à m'en remettre, en traînant un état dépressif. Personne ne vous prévient du choc terrible qu'on subit. J'étais groggy en sortant de l'hôpital. J'ai mis du temps à réaliser. J'ai joué à la forte avant de m'effondrer en larmes en criant "mon bébé est à la poubelle". Ne croyez pas ceux qui vous disent, ce n'est rien du tout»

    « J'ai avorté trois ans avant mon mariage, puis j'ai fait un mariage heureux et j'ai eu trois enfants. J'étais très heureuse dans mon couple et en famille. C'est seulement quinze années après que j'ai été prise par un état dépressif inexplicable : après en avoir cherché longtemps la cause, je me suis rendue compte que cela remontait à cette IVG et j'ai dû faire un long parcours de guérison. »

  • Annulation de l’acte de naissance d’un enfant né de mère porteuse à l’étranger

    Lu ici :

    "Dans deux décisions rendues le 28 septembre 2015, la cour d'appel de Rennes confirme l'annulation des actes de naissance de deux enfants nés de mères porteuses à l'étranger, l'un en Inde, l'autre aux États-Unis.

    Une substitution de motifs est effectuée par les juges, en seconde instance, conformément à la position adoptée par la Cour de cassation, le 3 juillet dernier (Cass. ass. plén., 3 juill. 2015, n° 14-21.323 : JurisData n° 2015-015879. - Cass. ass. plén., 3 juill. 2015, n° 15-50.002 : JurisData n° 2015-015881 ; JCP G 2015, 965, A. Gouttenoire).

    La jurisprudence admet depuis que la convention de gestation pour autrui, conclue entre le parent d'intention et la mère porteuse, ne fait pas obstacle à la transcription de l'acte de naissance d'un enfant né à l'étranger issu d'une telle convention, dès lors que l'acte de naissance n'est ni irrégulier, ni falsifié et que les faits qui y sont déclarés correspondent à la réalité. La théorie de la fraude, telle que soutenue par le ministère public dans les deux espèces, est donc écartée en appel.

    Les actes de naissance litigieux sont annulés, en application de l' article 47 du Code civil , en ce qu'ils ne reflètent pas la vérité quant à la filiation maternelle des enfants. Chaque acte désigne comme mère de l'enfant l'épouse du père biologique, alors même que celle-ci n'a pas accouché de l'enfant. De ce chef, la cour d'appel déclare que « les actes de naissance ne font pas foi » et confirme les jugements déférés."

    Michel Janva

  • La défense de la vie par la Ligue du Sud au Département de Vaucluse

    Yann Bompard et la Ligue du Sud défendent la vie au Conseil Départemental de Vaucluse :

    L"Lors de la séance du 2 octobre, le groupe de la Ligue du Sud au département s’est élevé contre 4 sujets primordiaux pour notre territoire.

    Tout d’abord, il a été question de la convention liant le département avec l’association carpentrassienne AMADO. Cette association a perçue 55 000 € du département. Et une disposition de la convention nous a scandalisés. Pour mémoire :

    « AMADO proposera obligatoirement une rencontre de la conseillère du centre de Planification et d’Education Familiale (CPEF) cnventionné à Carpentras par le Conseil Général, aux femmes enceintes accueillies avant la fin du délai de recours à l’IVG ». Pas besoin d’être grand clerc pour comprendre que l’on incitera ces femmes, en situation de détresse, à recourir à l’avortement. Nous regrettons d’avoir été le seul groupe politique à voter contre. Tous les autres groupes ont voté pour.

    Nous avons également voté contre une subvention à hauteur de 30 000 euros à l’association AIDES en nous appuyant sur un rapport interne de l’association qui expliquait notamment sa gestion catastrophique  Ce rapport précisait que: « la situation actuelle est la conséquence d’une succession d’erreurs de pilotage qui fait peser un discrédit immense sur la direction et la présidence, grevant tant leur capacité à surmonter la crise actuelle qu’à assurer la survie de l’association dans le futur. »

    Au passage le budget de AIDES oscille entre 30 et 40 millions d’euros par an dont la moitié de financements publics, et ils achètent des espaces publicitaires sur la chaîne pornographique « Dorcel TV ». L’argent des vauclusiens irait mieux à l’aide à la recherche plutôt qu’au fonctionnement d’associations à la gestion contestée et contestable et aux ambitions douteuses.

    Ici encore, nous regrettons d’avoir été le seul groupe à voter contre cette subvention. [...]"

    Michel Janva

  • Je suis trisomique

    Jean-Marie Le Méné, Président de la Fondation Jérôme Lejeune condamne la UNE de Charlie Hebdo qui blesse les personnes trisomiques et les familles :

    L« Au lieu de condamner le racisme, Charlie Hebdo le nourrit. Il n’a pas compris la tragédie de la trisomie. Les trisomiques sont discriminés sur la base d’un vieux préjugé raciste. On a longtemps considéré qu’ils étaient le fruit d’une dégénérescence de la race blanche vers la race jaune, d’où le nom de « mongoliens » qui leur était donné autrefois. Mais l’eugénisme moderne a pris le relais du racisme historique d’autrefois et le résultat est pire qu’avant puisqu’il est admis que leur vie ne mérite pas d’être vécue : en France les enfants trisomiques sont éradiqués avant leur naissance (96 % des fœtus détectés trisomiques sont éliminés). Pour en découdre avec le supposé racisme de Morano, Charlie utilise donc une rhétorique explicitement eugéniste, c’est à dire raciste, d’un racisme chromosomique aussi détestable que les autres. Se faire le complice d’un racisme pour en prétendre en abattre un autre apparait d’une efficacité douteuse »

    La Fondation Jérôme Lejeune se fait l’écho de nombreux parents d’enfants atteints de trisomie :

    « Représenter un bébé trisomique qui crache et qui est méchant, d'où cela sort-il ?? Monsieur  Riss vous plaquez vos propres peurs que vous avez de l'enfant différent. C'est vous le handicapé finalement ; complètement bloqué dans vos peurs et vos représentations que vous en faites .... Mais tout cela est fini depuis bien longtemps!! Les enfants trisomiques ont un nouveau visage ! Aujourd'hui les enfants trisomiques font des défilés de mode, écrivent des poèmes, jouent au théâtre, au cinéma, font du sport de haut niveau ... Et j'en passe ! Il est temps de les découvrir comme ils sont, je vous invite à parcourir "Tombée du nid". » (Clotilde Noël, qui vient de publier un livre « Tombée du Nid »)

    « Je veux dire mon « ras le bol » de ces atteintes à la dignité et de ces stigmatisations aussi méchantes que bêtes. La méchanceté visait Madame Morano, mais par bêtise et intérêt, ce sont toutes les personnes atteintes par cette maladie qui sont victimes. » (François-Xavier)

    « Je ressens en tout premier de l'indignation à voir employer le mot "trisomique" comme une insulte, un motif de culpabilité, une information à cacher de l'opinion publique. Ensuite, l'emploi de ce terme dénote une absence totale de connaissance de la maladie, du terme même, comme les enfants qui se traite de triso, de mongol, etc...sans avoir aucune idée de la signification du mot. » (Brigitte)

    «  En tant que parents, je suis en colère contre autant de vulgarité et de méchanceté facile envers des personnes qui n'ont que leur bonté à exposer. » (Robin)

    « Se servir de la liberté d’expression comme paravent à toutes les outrances dont les personnes les plus vulnérables font les frais (ainsi que leurs parents et entourage) reste insupportable. » (Emmanuel)

    « Comme mère d'enfant différent, je me sens bafouée. » (Axelle)

    Michel Janva

  • Les Français malades de la Sécu

    François Hollande vient de célébrer le 70e anniversaire de la Sécurité sociale, cette « conquête de la Libération » que le monde nous enviait. Si l’on demandait aux Français de revisiter ces sept décennies, la plupart diraient sans doute que l’on paye toujours plus et que l’on est de moins en moins remboursé. Si naguère on pouvait se passer d’une mutuelle, elle est aujourd’hui nécessaire et de plus en plus coûteuse. Le chef de l’État, en guise de cadeau d’anniversaire, promet une carte Vitale à vie distribuée dès l’âge de 12 ans ! Des gadgets eu égard à la dégradation des comptes sociaux. À l’occasion de cette célébration, la Sécurité sociale s’est dotée d’une Charte de la laïcité dont elle s’est très bien passée pendant 70 ans, mais il est vrai qu’avec un islam envahissant ce qui allait naguère sans le dire va mieux en le disant désormais.

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    Avec la célébration de la « Sécu » on exalte bien entendu 1945, les acquis sociaux dans l’élan révolutionnaire de la Libération qui du passé a fait table rase en prétendant que le système de protection sociale était né dans le sillage de la résistance à partir de rien. Or, le socle a été bâti par l’État français, sous le Maréchal Pétain. On lui doit les Comités sociaux d’entreprise, le « salaire minimum vital », la création de la retraite par répartition, l’« allocation du vieux travailleur salarié », l’extension des allocations familiales à toutes les familles comme des assurances sociales, la création de la médecine du travail, etc.

    La Sécurité sociale de 1945 n’a pu prospérer qu’à la faveur des 30 glorieuses, quand la croissance continue abondait ses caisses. On nous l’enviait, mais ne pouvaient nous imiter que les pays en ayant les moyens. Aujourd’hui, les caisses sont plus que vides, nous n’avons plus les moyens de ce coûteux système, mais nous continuons comme si ce n’était pas le cas, ce sont les emprunts sur les marchés financiers qui font ses fins de mois. Tous les ministres de la Santé nous présentent un plan de retour à l’équilibre annoncé solennellement comme la der des ders, tous échouent et cela finit en économies de bouts de chandelle, dont les Français malades de la Sécu font les frais.

    Si l’on réduit le montant des remboursements, si l’on impose aux laboratoires une baisse drastique du prix de leurs médicaments et si les médecins sont sous surveillance, la Sécurité sociale accepte néanmoins des dépenses indues. Rappelons qu’il s’agit à l’origine d’une assurance maladie, la fécondité n’est pas une maladie, c’en est même le contraire ; or, on rembourse la pilule et l’avortement. Pendant ce temps-là les lunettes, les prothèses dentaires ou auditives sont remboursées de façon dérisoire de même que certains matériels pour handicapés. Le principe de base est que les cotisations ouvrent droit à prestations. Or, ni les bénéficiaires de la CMU ni de la scandaleuse AME pour les clandestins, ne cotisent et sont néanmoins remboursés à 100 % contrairement à la plupart des assujettis qui, eux, paient. Cela ne peut pas durer encore 70 ans !

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • Cette loi est une étape vers la légalisation de l’euthanasie

    Communiqué de Marion Maréchal-Le Pen :

    20150828_1_6_1_1_0_obj9695211_1"Marion Maréchal-Le Pen a voté contre la proposition de loi intitulée « les nouveaux droits des personnes malades et en fin de vie » mardi 6 octobre.

    Les Socialistes et les Républicains se sont unis pour soutenir une réforme brisant l’équilibre de la loi Léonetti de 2005 qui faisait pourtant presque consensus bien qu’elle fût perfectible.

    Cette nouvelle loi n’est qu’une étape supplémentaire franchie vers la légalisation de l’euthanasie humaine.

    Le titre trompeur de la proposition Claeys-Leonetti impose en réalité aux médecins de provoquer la mort du patient qui réclame d’être mis sous sédation sans possibilité de bénéficier d’une objection de conscience. Le modèle unique de la directive anticipée, conçue pour refuser ou limiter des traitements, incite fortement le malade au recours de cette pratique.

    Les législateurs du RPS ont trouvé dans la sédation profonde et continue le sésame d’une « fin de vie digne ». Accompagnée systématiquement de l’arrêt des traitements auxquels sont assimilées la nutrition et l’hydratation, la sédation profonde ne sert plus à éviter la douleur mais à abrèger la vie dans un souci de rentabilité, sans retour en arrière. Les derniers espoirs d’amélioration sont impossibles et la mort certaine sous trois à cinq jours. La fin de vie « digne » devient une euthanasie par omission de soins élémentaires dus à tout être humain.

    Le choix de société fait par cette loi est clair : celui de la facilité et de l’économie au détriment de l’accompagnement humain et médical le plus exigeant à l’égard des personnes vulnérables.

    Le message de vie que délivre le Front National passe par le renforcement de la formation du personnel médical aux soins palliatifs et par la préférence donnée à la sédation intermittente pour calmer les souffrances mal soulagées. Il est indispensable de préserver les liens familiaux et sociaux du malade jusqu’aux ultimes moments de sa vie. Les soins palliatifs doivent constituer la priorité d’un grand chantier national consacré au développement de la culture palliative dans notre pays."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/cette-loi-est-une-%C3%A9tape-vers-la-l%C3%A9galisation-de-leuthanasie.html

  • L’Europe préfère fermer les yeux sur les infanticides néonataux

    Communiqué de Choisir la vie :

    "Vendredi dernier, le Bureau de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe a rejeté, à la majorité, la pétition initiée par le CELJ-  Centre Européen pour la Justice et les Droits de l’Homme contre les infanticides néonataux.

    Cette pétition atteignait pourtant 224 000 signatures ! Il a jugé cette pétition trop sensible politiquement !

    Rappelons que l’infanticide néonatal est une pratique barbare qui concerne chaque année, en Europe, de nombreux enfants qui naissent vivants à l’issue d’un avortement, en particulier lorsqu’ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse. Ces enfants sont, le plus souvent, abandonnés à la mort, sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures ou tués par injection létale ou asphyxie. Leur corps est généralement incinéré avec les  déchets biologiques.

    Choisir la Vie, scandalisée par cette décision, qui va totalement à l’encontre des Droits fondamentaux prétendument garantis et défendus par l’Europe.

    Elle appelle tous ses sympathisants à se mobiliser et venir faire entendre la voix de tous ces petits abandonnés à la mort sans soins, ou tués après leur naissance lors de  la Marche pour la Vie du 24 janvier 2016 à Paris qu’elle organise et qui sera une occasion privilégiée de défendre le respect de la Vie de tous ces enfants."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Propagande sur l'avortement : Choisir la vie contre-attaque

    Virginie Mercier, responsable de la communication de l’association, a répondu à Anne Isabeth dans Présent à propos de la dernière campagne pro-avortement lancée par le gouvernement :

    "Ce qui nous a frappés est la déshumanistation totale des visuels. Vous avez remarqué que l’on ne voit aucun visage ? Pas un seul visage de femme, alors que le gouvernement revendique se battre pour le droit des femmes. On ne voit que des bouts de peau tatouée « mon corps, mon choix, mon droit ». Un tatouage n’est rien en comparaison de cette cicatrice qu’est l’avortement. Et, bien évidemment, l’enfant est absent de ce visuel. La campagne ne parle que de droit, de liberté. Passant sous silence la liberté de ces enfants à naître, niant la réalité de l’avortement, réalité physique et psychologique.

    Que comptez-vous faire ?

    Nous avons choisi de répliquer en lançant notre propre campagne de visuels. Mais celle-ci montrera des visages d’enfants avec cette phrase : « Ma liberté de vivre, mon corps, mon choix. » Et puis, nous continuons de dénoncer l’acharnement idéologique – parce que c’en est un ! – du gouvernement à promouvoir toujours plus l’avortement, face à un nombre d’avortements qui ne baisse pas. Aujourd’hui, le site du gouvernement ne donne pas accès à la réalité objective de l’avortement. [...]

    Quand aura lieu la prochaine Marche pour la vie ?

    Le 24 janvier prochain à Paris. Nous l’axerons sur la vérité de ce qu’est l’avortement. Plusieurs femmes, qui ont avorté et le regrettent, viendront donner leur témoignage. Il y aura aussi beaucoup de médecins. Venez nombreux. Et venez nous aider : nous aurons besoin de bénévoles pour la sécurité et la logistique le jour de la Marche."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html