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santé et médecine - Page 333

  • "Il est frais mon embryon humain, il est frais !". Et très cher

    PLifesiteNews met en ligne la 10evidéo sur les trafics d’organes de bébés avortés par le Planning familial américain. On voit notamment le Dr Carolyn Westhoff, conseillère en chef de la Fédération américaine du Planning familial, dire qu’elle peut extraire une grande variété de tissus et d’organes de bébés avortés :

    « Nous venons de travailler avec des gens qui veulent des tissus particuliers, comme, vous savez, cardiaques, ou ils veulent des yeux, ou ils veulent des neurones… oh mon Dieu, des gonades…Tout ce que nous fournissons est frais ! »

    Deborah VanDerhei, directrice du Consortium des fournisseurs d’avortements du Planning familial (sic) dit :

    « Nous avons des collègues indépendants qui génèrent de beaux revenus en faisant cela. »

    Cecile Richards, PDG du Planning familial, admet ouvertement qu’ils reçoivent « 60$ par échantillon de tissu », et que

    « les contrats avec StemExpress offrent des paiements par fœtus déterminés dans la clinique selon leur caractère utilisable ».

    C’est complètement illégal ? Vanessa Russo, administratrice du Programme de conformité du Planning familial de Keystone en Pennsylvanie, rétorque :

    « Nous pensons que nous ne pouvons pas accepter d’être intimidés par des lois ridicules ». « Une société qui veut donner de l’argent à notre organisation contre des tissus, je pense que c’est un échange valable. »

    Abominable.

    Michel Janva

  • Le combat d’un homme contre Monsanto

    Grâce à Paul François, céréalier charentais gravement intoxiqué en 2004 par le Lasso, herbicide commercialisé par Monsanto, la multinationale tentaculaire a enfin été condamnée en France. « C’est un combat qui me dépasse mais ça reste mon combat ! Les coups, c’est moi qui les ai pris. Je suis avant tout agriculteur », martèle cet homme de 51 ans.

    Monsanto a été reconnu « responsable » en première instance de l’intoxication de Paul François. Condamné en 2012 à « indemniser entièrement » l’agriculteur de Bernac (Charente), partiellement handicapé et souffrant d’importantes séquelles, la firme continue pourtant à répéter tranquillement, lors de l’audience d’appel en mai, que son produit « n’est pas dangereux » et que « les dommages invoqués n’existent pas ».

    L’agriculteur identifie pourtant précisément l’origine de sa maladie. C’est le 27 avril 2004, lorsqu’il vérifie une cuve ayant contenu du Lasso – « un herbicide pour le maïs que j’utilisais depuis au moins quinze ans » – que Paul François inhale des vapeurs toxiques.

    Pris de malaise, il a juste le temps d’expliquer ce qui vient de se produire à son épouse avant de finir aux urgences, crachant du sang : « tout ce qui est arrivé après, je ne m’en souviens pas ». Après cinq semaines d’arrêt, il reprend son travail mais souffre d’importants problèmes d’élocution, d’absences, de maux de tête violents. Fin novembre, il s’effondre sur le carrelage de sa maison, où ses filles le découvrent inconscient.

    S’ensuit une longue période d’hospitalisation durant laquelle les médecins craindront plus d’une fois pour sa vie, sans jamais faire le lien avec l’herbicide de Monsanto. « D’examen en examen, de coma en coma, on a fini par trouver une importante défaillance au niveau cérébral. Là, ma famille a commencé à faire son enquête sur le Lasso ». A ses frais, précise l’agriculteur. En mai 2005, son hypothèse se confirme : le monochlorobenzène, solvant répertorié comme hautement toxique et entrant à 50% dans la composition de l’herbicide fourni par Monsanto, est bel et bien à l’origine de ses problèmes.

    À peine remis, l’agriculteur voit sa lutte contre la maladie se transformer en combat juridique. D’abord, pour faire reconnaître sa rechute comme maladie professionnelle, officialisée en 2010. Puis contre la firme Monsanto, dont il est convaincu qu’elle connaissait les dangers du Lasso bien avant son interdiction en France, en novembre 2007.

    Et pour cause, l’herbicide avait été jugé dangereux et retiré du marché au Canada dès 1985 et en Belgique et au Royaume-Uni en 1992. Sa guerre contre Monsanto a été pour lui un véritable parcours du combattant qui lui a même valu de recevoir la Légion d’Honneur des mains de Nicolas Hulot.

    Avec le recul des années, il mesure combien Monsanto a profité de sa naïveté : « Jamais on ne s’était inquiété de la toxicité des produits. Pour nous, c’était le médicament des plantes ! » déclare le paysan. Paul François reconnaît faire partie de la « génération tout pesticides » qui ignorait tout de la toxicité de ces produits.

    Ayant retenu la leçon, il poursuit aujourd’hui son activité après avoir considérablement réduit son utilisation de produits phytosanitaires.

    Pour autant, alors qu’il il est en train de convertir une centaine d’hectares en agriculture biologique, il n’en est pas devenu un partisan forcené : « Il y a la place pour une agriculture alternative, de bon sens, qui appartient à ses agriculteurs et ne produit pas à n’importe quel prix. On veut en vivre, et surtout pas en crever… »

    http://fortune.fdesouche.com/390729-le-combat-dun-homme-contre-monsanto#more-390729

  • Gaz de schiste, les lobbies contre-attaquent

    Depuis des années, les lobbyistes, hommes de main des industriels, jouent dans l’ombre des parties qui sacrifient la santé publique aux intérêts financiers. Vache folle, sang contaminé, amiante : dans ces scandales sanitaires retentissants, ils ont manipulé l’opinion et les politiques en toute impunité.

    Aujourd’hui, leur nouveau terrain de jeu, c’est les gaz de schiste, dont la France a interdit l’exploitation en 2011. Depuis, les lobbyistes du secteur n’ont qu’un objectif : convaincre les politiques de faire marche arrière. Pour cela, ils noyautent les organes du pouvoir, s’appuient sur des hauts fonctionnaires, s’entourent de scientifiques complaisants, fournissent des études partisanes et bernent les médias.

    France – 2014 http://fortune.fdesouche.com/

  • France : Monsanto condamné pour intoxication

    Le groupe Monsanto, géant américain des pesticides, a été condamné jeudi en appel à Lyon pour l’intoxication d’un agriculteur français avec un herbicide pour le maïs, le Lasso.

    Le groupe avait été reconnu « responsable » en première instance en 2012 de l’intoxication de Paul François en 2004 et condamné à « indemniser entièrement » le céréalier charentais, partiellement handicapé.

    Paul François a subi de graves troubles neurologiques. Il se bat pour faire reconnaître en France la toxicité de ces produits.
    Le Lasso est interdit de vente en France depuis 2007. Son retrait du marché était intervenu précédemment dans plusieurs pays, comme le Canada, la Belgique ou la Grande-Bretagne.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Scandale : cela fait des années que l’État paye 40 fois le prix du médicament pour soigner la DMLA

    Depuis 2007, un seul médicament est autorisé à soigner cette maladie de l’œil (DMLA) qui peut rendre aveugle : le Lucentis, également fabriqué par Roche, et vendu beaucoup plus cher que l’Avastin. « Au départ le prix de l’Avastin était de l’ordre d’une trentaine d’euros, alors que celui du Lucentis était de 1.200 euros l’injection » détaille Michaël Assouline, ophatalmologiste et directeur du centre Iéna-Vision à Paris.

    Pire : le Lucentis est le premier poste de remboursement pour la Sécu. Rien qu’en 2013, il a coûté 430 millions d’euros. Pourtant, Avastin et Lucentis bien sont identitiques. « Il s’agit bien d’une molécule dont l’objet est le même, explique Michaël Assouline, « mais pour une raison commerciale le laboratoire a préférer déléguer la commercialisation à sa compagnie sœur Novartis à des tarifs différents » accuse t-il.

    Situation de monopole

    L’Etat est donc monté au créneau. Le ministère de la Santé a publié un arrêté pour autoriser le remboursement de l’Avastin. Dans un communiqué Marisol Touraine a exprimé jeudi sa volonté de « réagir contre la situation de monopole » de Roche, soulignant que « d’autres pays européens et les Etats-Unis » l’utilisent déjà contre la DMLA.

    Toutefois l’affaire n’est peut-être pas finie : le laboratoire a déposé deux requêtes devant le Conseil d’Etat.

    Source

    http://www.contre-info.com/scandale-cela-fait-des-annees-que-letat-paye-40-fois-le-prix-du-medicament-pour-soigner-la-dmla#more-39054

  • Mondialisation, Schengen et migrants : le retour de maladies qu'on croyait éradiquées

    Peste, syphillis, gale, rougeole, etc. signent leur retour : 

    "Aux Etats-Unis, deux cas de peste ont été détectés chez des touristes après la visite d’un parc naturel situé en Californie. Cet épisode n’est pas sans rappeler la résurgence régulière de maladies que l’on croyait disparues dans les pays développés et plus spécifiquement en France. Cette dernière a connu un véritable épisode épidémique de rougeole à partir de 2008, avec un pic en 2011. Quinze mille cas ont été recensés pour cette seule année alors que 40 cas étaient déclarés en 2006, précise l’Institut de veille sanitaire (InVS). Entre le 1er janvier 2008 et le 31 avril 2015, 24 000 cas ont été déclarés en France et dix personnes en sont décédées (...)

    Parmi les maladies en résurgence, il faut noter le retour de la syphilis. Souvent associée aux poètes maudits, cette infection sexuellement transmissible fait désormais partie de notre époque.La déclaration obligatoire depuis 1942 des cas dépistés a été supprimée en 2000, leur nombre étant devenu anecdotique. « Depuis le début des années 2000, on observe une recrudescence de la maladie, en lien avec une moindre utilisation du préservatif », note l’InVS. Aucun chiffre n’est officiellement disponible sur le nombre de personnes qui seraient aujourd’hui touchées par cette maladie.

    Souvent associée à la pauvreté, la gale fait aussi son retour en force. On se souvient du cas du camp de migrants à Calais qui avait été démantelé à cause de la maladie en 2014. Aucune statistique officielle n’est disponible sur cette maladie, car sa déclaration auprès des autorités n’est pas obligatoire.Néanmoins, l’incidence de la maladie a été calculée par le Haut Conseil de la santé publique à partir des médicaments vendus. Il répertorie pour 2010 au moins 328 cas pour 100 000 habitants, soit au moins 200 000 cas sur l’ensemble de la population française. L’augmentation représenterait 10% depuis 2002".

    Lahire

  • SÉOUDIENS ET ALGÉRIENS NE PAYENT PAS LEUR SÉJOUR À L’HÔPITAL ? LES MÉDICAMENTS DES FRANÇAIS DÉREMBOURSÉS !

    La sécurité sociale va mal ? C’est de votre faute, martèle le gouvernement d’occupation, refusant de voir et de dire la vérité sur les ravages de l’invasion dans ce domaine comme tant d’autres, sur les véritables gaspillages et abus. Sous ce prétexte, les libéralistes ont commencé à démanteler ce service public : les hôpitaux et les maternités ferment, les consultations coûtent de plus en plus cher, les médicaments sont “déremboursés” (sic), les maisons de retraite sont hors de prix…

    Pire : le gouvernement fait croire que le « tourisme sanitaire » va sauver le système, alors que, par inadvertance, les Français apprennent que les oligarques algériens et séoudiens qui viennent se faire soigner en France, pour lesquels les autorités “privatisent” (sic) des étages sinon des établissements entiers, ne payent même pas leurs factures – les autorités algériennes et séoudiennes doivent ainsi plusieurs dizaines de millions d’euros.

    Pour les seuls établissements de l’Assistance publique–Hôpitaux de Paris (AP-HP), les pays étrangers doivent 120 millions d’euros, soit plus du double du déficit… de l’AP-HP. Ces chiffres ne comptabilisent pas les soins des colons résidant en France, ni des ‘migrants’ pour lesquels tout est simplement gratuit (pour eux, mais évidemment pas pour le contribuable français).

    Cela n’empêche pas le gouvernement d’occupation, en tête la mère de drogués et criminels Marisol Touraine, de culpabiliser les Français. Et de s’apprêter à annoncer la fin du remboursement de nouveaux médicaments.

    C’est ce que préconise une « mission » chargée spécialement d’arriver à ces conclusions – il ne faut plus rembourser les médicaments « inutiles » – et mise en place par… Marisol Touraine. Ainsi, une commission d’individus payés par le gouvernement pour rendre des conclusions déjà connues et réclamées par le gouvernement arrive justement aux conclusions… demandées par le gouvernement. Le système est bien fait.

    Plusieurs mesures ont filtré, à commencer par l’arrêt du remboursement de nombreux médicaments jugés peu ou pas efficaces. Ces médicaments, « le Zovirax contre l’herpès buccal, le Chondrosulf contre l’arthrose, la Gaviscon pour les troubles digestifs ou la crème hydratante bien connue Dexeryl » entre nombreux autres, détaille un journal, n’étaient déjà remboursés qu’à 15 %.

    Autre mesure préconisée : la suppression de trois taux de remboursement existant (15, 30 et 60 %) par un seul qui, de manière générale, conduira à la réduction du remboursement des médicaments.

    http://www.jeune-nation.com/societe/nature-sante/21702-seoudiens-et-algeriens-ne-payent-pas-leur-sejour-a-lhopital-les-medicaments-des-francais-derembourses.html