« Mais où sont passés les Indo-Européens », se demandait l’archéologue (et pseudo-chercheur) Jean-Paul Demoule ? Il devrait s’intéresser à la paléogénétique. Une nouvelle étude, publiée dans la prestigieuse revue « Nature », vient apporter une pièce déterminante à l’énigme de l’origine des peuples indo-européens.
Une nouvelle étude de paléogénétique (« Early contact between late farming and pastoralist societies in southeastern Europe ») publiée dans la prestigieuse revue Nature vient apporter une pièce déterminante à l’énigme de l’origine des peuples indo-européens. Sortie le 19 juillet 2023 et intitulée « Early contact between late farming and pastoralist societies in southeastern Europe », elle établit à partir de l’analyse de 135 squelettes situés entre l’Europe du Sud-Est et le nord-ouest de la mer Noire que des contacts ont eu lieu depuis 4 500 avant notre ère entre des groupes d’agriculteurs sédentaires et des populations de pasteurs des steppes dans la région du nord-ouest de la mer Noire.