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social - Page 165

  • Face au cynisme de Macron, l’histoire de Fiorina, gilet jaune éborgnée

    Face au cynisme de Macron, qui pose au festival de BD d’Angoulême avec un tee-shirt dénonçant les violences policières dont il est le premier responsable, Fiorina raconte son histoire au sein des gilets jaunes et son drame : elle est une des victimes de ces fameux LBD.

    Macron, un coup à droite, un coup à gauche, méprisant envers les gilets jaunes, dédaigneux envers les policiers, c’est vraiment le semeur de chaos !

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/face-au-cynisme-de-macron-lhistoire-de-fiorina-gilet-jaune-eborgnee/117133/

  • VIOLENCES POLICIÈRES : POURQUOI LE GOUVERNEMENT NIE-T-IL LA RÉALITÉ ?

  • Un euro versé à Emmaüs serait-il un euro versé à l’immigration de peuplement ? À vous de juger.

    Un euro versé à Emmaüs serait-il un euro versé à l’immigration de peuplement ? À vous de juger.

    Lu sur l’Incorrect :

    « Pour des communes accueillantes ! Les organisations engagées dans les Etats Généraux des Migrations lancent une campagne d’interpellation des candidat.e.s aux municipales. Un kit complet est dispo sur le site des #EGMigrations. À diffuser largement ! », communiquait sur Twitter Emmaüs France le 29 janvier. Une manière d’exercer une pression sur les candidats engagés dans les élections municipales de mars (…)

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  • Ivan Rioufol : “Les gilets jaunes forment un mouvement anti-mondialisation”

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    Ivan Rioufol, journaliste, éditorialiste au Figaro, essayiste et auteur du livre “Les traîtres” (éditions Pierre-Guillaume de Roux) était l’invité d’André Bercoff, lundi 27 janvier sur Sud Radio.

    Ils se sont fait élire en promettant de défendre la France, ils ont finalement manqué à leur devoir. Eux, ce sont “les traîtres”, qu’Ivan Riouffol désigne dans son dernier livre, afin que les électeurs ne se fassent plus avoir par les beaux discours et les beaux parleurs.

    “Ils ont participé à cette trahison”

    Les traîtres ce sont ceux qui nous ont abandonnés, ceux à qui on a fait confiance en votant pour eux et qui ont participé dans le fond à cette trahison-là par abus de confiance“, pointe du doigt le journaliste. Il désigne surtout “ceux qui nous ont fait croire qu’ils allaient défendre la France, son peuple et qui en réalité ont trahi la Nation, ont abaissé les frontières, ont fait venir des peuples qui nous détestaient“. Toutes ces forfaitures résultent d’une “crise existentielle qui va bien au delà de la crise économique et sociale“, estime Ivan Riouffol.

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  • La domination des machines n'est pas innocente

    Les manuels d’histoire sont étrangement discrets sur ce qui peut gêner l’idéologie dominante, et il est très rare de lire une évocation des lois d’Allarde et Le Chapelier de 1791, entre autres, comme il est encore plus rare de trouver une référence à cette autre date tragique de l’histoire sociale, celle de février 1812, inconnue de la plupart des enseignants d’histoire que j’ai rencontrés dans ma vie.

    Et pourtant ! Elle mériterait des livres, des articles, voire des films, et elle passe totalement inaperçue alors qu’elle me semble l’une des plus significatives de l’ère industrielle européenne, et qu’elle ouvre ce règne dénoncé autant par le républicain Michelet que par le royaliste Bernanos, celui des Machines…

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  • Les pochettes-surprises de l'étatisation

    6a00d8341c715453ef0240a4e06dfb200d-320wi.jpgDans l'affaire Ghosn, on a focalisé l'attention des Français, d'abord sur le comportement quelque peu hors limites d'un brillant dirigeant, puis sur la méchanceté des Japonais, bien connue des lecteurs du Lotus Bleu.

    Mais, d'autre part, on ne s'est pas suffisamment interrogé en France sur les motivations de nos partenaires. Pourquoi en effet se sont-ils retournés à l'encontre de leur sauveur ? il semble un peu trompeur de fantasmer sur leur nationalisme industriel. Si ce pays était à ce point braqué contre les investisseurs étrangers, éventuellement en raison de son caractère insulaire, il n'aurait jamais laissé un opérateur européen s'emparer de tout ou partie d'un bastion de son industrie, même pour le tirer d'embarras.

    Ce qui a provoqué une partie de la réaction de Tokyo tient à la prise de conscience que se profilait un étatisme qui n'appartient pas du tout à la culture du capitalisme japonais.

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  • "1791", cette date "oubliée" de l'histoire sociale française..., par Jean-Philippe Chauvin

    Les nouveaux manuels scolaires, désormais entre les mains des professeurs avant d’être entre celles des élèves de lycée dans quelques jours, sont toujours révélateurs des tendances idéologiques du moment comme de la plus ou moins grande implication du Pouvoir en place dans la formation des esprits et des intelligences, mais aussi des « tabous » de celui-ci.

    Evidemment, la période de la Révolution française, « matrice » de notre contemporanéité, attire l’œil des royalistes tout autant que celles des républicains et de la République elle-même, en tant que système idéologico-politique dominant et forme actuelle du Pouvoir en France. Or, alors que les programmes de Première (l’année d’étude de la Révolution dans les nouveaux programmes) y consacrent les premières heures d’étude de l’histoire, et qu’ils accordent une place un peu plus importante que les années précédentes aux question sociales (ouvrières comme paysannes) à partir de la seconde moitié du XIXe siècle, il est frappant de constater que ce même thème est absent des cours sur la période des années 1789-99, et cela est, tout compte fait, dans la logique de l’Education nationale héritée des « Jules », Ferry et Michelet. Car la Révolution française, c’est aussi la « naissance du prolétariat », en tant que « situation sociale » et, en conséquence, de « classes », souvent considérées comme « dangereuses » au XIXe siècle par les pouvoirs politiques comme par les possédants qui vivaient largement de leur asservissement et exploitation.

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  • La surpopulation, l’islam et les vieux

    La surpopulation, l’islam et les vieux

    De Marion Duvauchel :

    L’idée de la surpopulation est un héritage strict du malthusianisme féroce qui a fourni aux ayatollahs de l’avortement en masse les arguments venus border ceux de la liberté souveraine des femmes de disposer de leur ventre, corollaire de celle, infiniment plus vulgaire, de disposer de leur, euh… du reste.

    Le site d’information Boulevard Voltaire a fait paraître une interview de Alain de Benoist qui, avec l’aplomb des devins, se prononce sur la surpopulation. Je renvoie le lecteur à ces propos édifiants qui s’appuient sur une information caduque. Donc fausse.

    La preuve ?

    En 2013, les éditions Seuil ont réimprimé un ouvrage que la presse s’était gardé de saluer  lors de sa première parution, en 2004 : l’Islam, l’islamisme et l’Occident, de Gabriel Martinez-Gros et Lucette Valensi. Dans un premier chapitre un peu inattendu mais riche d’informations les auteurs abordent la question de l’islam et de la bombe démographique.

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  • Jordan Bardella sur la réforme des retraites : «On a le sentiment d’un amateurisme incroyable»

    Jordan Bardella, vice-président du Rassemblement National et député européen, était l’invité de La Matinale.

    Il a notamment évoqué la réforme des retraites. «On a le sentiment d’un amateurisme incroyable», a-t-il affirmé.

    A propos d’Emmanuel Macron, l’homme politique a déclaré : «on ne peut pas imposer des réformes que les Français ne souhaitent pas, on ne peut pas gouverner éternellement contre son peuple».

  • Des régimes spéciaux pour tous

    1725304128.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Une certaine « droite » dont l’origine la place très à gauche ne cesse pourtant de critiquer l’actuel système social français. Les régimes spéciaux de retraite constituent sa principale cible. Le projet de loi qui prépare leur disparition plonge la France dans une très grave crise depuis maintenant plus d’un mois.

    Promesse électorale du contre-populiste Macron en 2017, cette réforme se veut universel. Elle entend abolir tous les régimes spéciaux et, surtout, effacer la notion même de statut personnel. Depuis le 1er janvier dernier, les nouveaux cheminots embauchés par la SNCF ne disposent plus de leur ancien statut. L’esprit de la réforme s’inscrit dans la « fluidification » des rapports sociaux. À l’instar de l’aberrant service national universel (SNU) qui coûtera la bagatelle de dix milliards par an (la Ripoublique est très généreuse quand elle le veut bien !), son caractère universel basé sur un âge pivot de 64 ans et un cumul de points à la valeur pour l’instant indéterminée gagnés au cours d’une vie de labeur établit l’égalité entre les fonctionnaires, les salariés du privé et les travailleurs indépendants bien martyrisés par l’immonde RSI imaginé par le dénommé Xavier Bertrand. Le projet promeut l’uniformisation des départs et un intolérable égalitarisme.

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