Prestigieux, le TGV a pourtant laissé sur le quai de la gare les centaines de milliers de voyageurs qui empruntent quotidiennement les trains de banlieue pour se rendre à leur travail… s'ils ont de la chance.
Alors que l’avion, notamment par la politique de prix des compagnies à bas coût, connaît une nouvelle faveur du public, le train, dont les tarifs augmentent trop vite au gré des passagers, et dont les retards sont en passe, chez eux, de devenir proverbiaux, est de plus en plus mal considéré sur les quais par des utilisateurs souvent exaspérés. La récente modification des grilles horaires en a été une illustration visible.