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social - Page 163

  • Le chemin du droit de l’entreprise : de la perte de la souveraineté de l’Etat à la dictature universelle

    Une récente manifestation médiatique arrive à point nommé pour illustrer la réalité politique de la question juridique de l’entreprise.

    Le droit de l’entreprise est au cœur de la souveraineté des États car il est le lieu privilégié où s’affrontent les forces économiques globalistes menées par les banquiers et les forces politiques légitimistes menées par les États. N’en déplaise aux esprits faux, la traduction de la souveraineté est éminemment juridique, aussi il n’existe pas de souveraineté politique sans souveraineté juridique. Dit autrement, la souveraineté politique passe de façon essentielle par la souveraineté juridique. Derrière tous les faux semblants et les jérémiades des actuels dirigeants économiques, qui contrôlent en réalité l’État français, est un principe général : « Dieu se rit des hommes – et des États – qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. » On ne peut dans le même temps à la fois jouer le jeu globaliste de ses adversaires, tout de droit anglo-saxon vêtu, et déplorer son propre asservissement, c’est-à-dire son impuissance et sa domination !

    Qu’en est-il de la souveraineté juridique française ? Sa disparition est parfaitement illustrée par l’évolution juridique du droit de l’entreprise. De ce point de vue, la France, comme la plupart des pays du monde, a abandonné son pouvoir régalien de régulation au profit de la mise en œuvre réglementaire illimitée du pouvoir de ses créanciers – les banquiers globalistes. Concrètement, la France a abandonné sa capacité a générer une économie politique autonome – comprendre « non contrôlée par les banquiers globalistes » – lorsqu’elle a refusé au Général De Gaulle la mise en œuvre juridique de la souveraineté économique, qui passait par un renouveau du droit de l’entreprise.

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  • Des eurodéputés polonais estiment que la police en France se comporte comme celle des «pays totalitaires»

    Les violences policières en France sont de nouveau la cible de vives critiques. Cette fois, ce sont des eurodéputés polonais qui demandent à Emmanuel Macron de mettre fin à «la violence des autorités» contre les Français, rapporte Mediapart. Les eurodéputés n’ont pas laissé sans réponse les propos d’Emmanuel Macron prononcés lors de son déplacement à Varsovie le 4 février et qui ont visé la ligne politique du parti de Jaroslaw Kaczynski, Droit et Justice (PiS), au pouvoir depuis 2015. Le président français avait alors mis les autorités polonaises en garde contre «une résurgence nationaliste en négation des principes politiques européens».

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  • LES GILETS JAUNES, ACTE 64 : SALE AMBIANCE

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    Les Reportages de Vincent Lapierre

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/02/07/les-gilets-jaunes-acte-64-sale-ambiance-6211065.html

  • La défaite les divisera encore plus

    6a00d8341c715453ef0240a5093deb200b-320wi.jpgAu lendemain des élections municipales, le parti ministériel nous en a très aimablement avertis : au ministère de l'Intérieur, l'incertain Castaner, s'apprêtait à en trafiquer les statistiques de résultat. Ce sont en effet 54 % des électeurs français dont il se proposait de camoufler le désaveu probable. La manœuvre annoncée aura semblé tellement énorme que les gardiens du temple constitutionnel ont finalement  protesté.

    Castaner, ce très mauvais ministre de l’Intérieur coche, à vrai dire, toutes les cases : parfaitement nul sur le maintien de l'ordre et la sécurité des citoyens et contribuables[1], totalement médiocre quant au pilotage des collectivités locales, il se révèle pire encore s'agissant de la préparation des élections.

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  • Retraites : l’agonie du mouvement social – Journal du jeudi 6 février 2020

     

    Retraites : l’agonie du mouvement social

    Deux mois et un jour de mobilisation contre la réforme des retraites… le mouvement entamé le 5 décembre aura marqué par sa durée. Il semble aujourd’hui prendre fin et pourrait marquer, avec son échec, un tournant dans le paysage social français.

    Coronavirus : l’économie tousse

    Alors que l’épidémie de Coronavirus a fait plus de 560 morts en Chine, la crise sanitaire contamine également l’économie du pays. Les conséquences s’annoncent majeures dans la région, faisant planer un doute sur l’organisation des Jeux Olympiques de Tokyo l’été prochain.

    L’Ethiopie face à sa révolution industrielle

    Pour attirer les investisseurs étrangers, l’Ethiopie s’est lancée dans la construction d’un grand réseau de parcs industriels. Une aubaine pour l’emploi local mais les conditions de travail poussent des milliers d’Ethiopiens à la démission.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/retraites-lagonie-du-mouvement-social-journal-du-jeudi-6-fevrier-2020

  • Quid du financement des retraites ?

    Présent – Il fallait sans doute une réforme des retraites, mais le projet est à l’image d’Emmanuel Macron lui-même, brouillon et approximatif, complexe, bâti à la hâte, et de nature à lui rester collé jusqu’à la fin de son mandat, comme le sparadrap du capitaine Haddock. Bien qu’ayant laissé la main à son Premier ministre, il paye d’avoir concentré entre ses mains, plus encore que ses prédécesseurs, tout le pouvoir exécutif.

    Ce lundi 3 février, le projet passait devant le Parlement, et l’on sait que le Conseil d’Etat a rendu public un avis dénonçant notamment le « manque de précision » des textes examinés. La plus haute juridiction administrative constatait que « les projections financières ainsi transmises restent lacunaires… » Arrêtons-nous donc à la question financière.

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  • La crise des retraites entre dans une nouvelle phase

    6a00d8341c715453ef0240a5087f38200b-320wi.jpgLa Bataille actuelle des retraites est entrée dans une nouvelle phase ce 3 février, à la fois par l'inauguration du débat parlementaire, par lequel on aurait dû commencer, et par la mobilisation de professions qui, habituellement, ne descendent pas dans la rue.

    C'est en effet à l’appel du collectif SOS Retraites, que 15 000 personnes manifestaient ce jour-là Paris. Suivant la consigne de 16 syndicats et organisations corporatistes, la marée noire des avocats et la vague blanche des diverses professions de santé côtoyaient les personnels du transport aérien, en attendant pour le lendemain les experts comptables. Tous se montrent conscients désormais du danger que représente le projet actuel de régime universel. Ils resteront mobilisés.

    Les rassemblements de ce 3 février, dans le cadre de la protestation contre le projet gouvernemental de régime universel, faits sous l'égide de SOS Retraites solidaire prouvent exactement le contraire. Dès la fin décembre 2019, les organisations représentatives des professions libérales avaient déclenché des grèves sectorielles d'une ampleur sans précédent. En ce début de février, par exemple, le mouvement des avocats bloque gravement le fonctionnement des tribunaux.

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  • Ivan Rioufol dénonce les traîtres

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    Assez parlé des gilets jaunes ! Dans Les traîtres (Éditions Pierre-Guillaume de Roux), le journaliste Ivan Rioufol se concentre sur ceux responsables de leur colère.

    Des lignes et des lignes, des articles bâclés, des livres calibrés pour le rayon “meilleures ventes” des librairies… À longueur de pages, éditocrates et intellectuels ont accumulé les mêmes analyses sur la fameuse “France périphérique”, entrée en révolte il y a plusieurs mois. Grandeur du petit peuple, de Michel Onfray est le dernier exemple en date de ces analyses. C’est assez !

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