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social - Page 163

  • Lorsque le roi est nu, la révolution est proche !, par Christian Vanneste.

    Parce qu’un homme politique de premier plan qui fut porte-parole du pouvoir et dont l’ambition était d’être maire de Paris a eu un comportement d’adolescent boutonneux un rien pervers et a poussé l’irresponsabilité jusqu’à en fournir la preuve à une correspondante d’occasion, certains exigent de resserrer un peu plus l’espace de liberté que constituent les réseaux sociaux. Porte-parole de plus en plus allumé de la macronie méprisante, Barbier s’inquiète du rejet des élites et réclame une répression dans les réseaux sociaux de l »anomie » des citoyens lambda

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  • 49.3 et obstruction : quand l’Assemblée trahit le peuple

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    Par Natacha Polony

    Obstruction contre passage en force. On peut jouer longtemps à savoir qui est coupable de poignarder encore un peu plus violemment la démocratie représentative. Du début à la n, le projet de réforme des retraites aura constitué un naufrage politique. D’une idée plébiscitée par une majorité de Français, l’obstination technocratique à faire travailler plus longtemps des citoyens soupçonnés de paresse congénitale aura fait une occasion de plus de construire l’image d’un pouvoir autoritaire et sourd. En face, la guerre de tranchées des députés insoumis à coups d’amendements prétextes aura davantage encore détruit ce qui reste de débat à l’Assemblée nationale. Et ces mots consternants du corapporteur de la loi, le député MoDem Nicolas Turquois, lançant à l’opposition sans même se rendre compte de l’énormité de ses propos : « Certains ont dit “la République, c’est moi”, eh bien, la République, c’est nous, et vous, vous n’êtes rien. » Irresponsabilité, mépris des institutions et réduction de la politique à une guerre de religion. On peut jouer longtemps à tout cela. Jusqu’à ce que les citoyens ne croient définitivement plus en la République comme moyen de tendre vers le bien commun.

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  • Coronavirus : l’inquiétude grimpe en Europe – Journal du mardi 25 février 2020

     

    Coronavirus : l’inquiétude grimpe en Europe

    Alors que l’épidémie de coronavirus semble se stabiliser en Chine pour des raisons inconnues, l’Italie vient de perdre son 7ème patient contaminé et compte désormais plus de 230 malades, devenant ainsi le plus gros foyer d’épidémie en dehors du continent asiatique. Une flambée que le président du Conseil italien attribue aux erreurs d’un hôpital au sud de Milan. De quoi menacer la France.

    Municipales à Paris : Dati en ordre de bataille

    Donnée au coude-à-coude avec Anne Hidalgo dans les sondages, Rachida Dati a dévoilé son programme lundi. Un programme autour du triptyque sécurité-propreté-famille pour rassurer son électorat et envisager un retour de la droite à la mairie de Paris.

    Retraites : la réforme déplaît aussi aux cadres

    La réforme des retraites ne plaît décidément à personne… les cadres supérieurs ont aussi à perdre avec ce texte… le tout dans une confusion qui perdurent quant au financement du changement de système.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/coronavirus-linquietude-grimpe-en-europe-journal-du-mardi-25-fevrier-2020

  • « Le chômage ne baisse pas vraiment… malgré ce que dit l’INSEE» L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Bon mes amis, j’ai fait une promesse à ma femme. Enfin, non, pour être plus précis ma femme a exigé de moi que je lui promette de ne pas vous parler du coronavirus pendant au moins une journée, car elle en a assez que je compte et recompte les boîtes de raviolis à la disposition de la famille en cas de disette et autre calamité calamiteuse.

    Je vais donc vous parler du chômage… oui, je ne vous dis pas que c’est un sujet folichon, mais c’est quand même important, car si nous ne mourrons pas tous dans d’horribles souffrances pandémiques, notre boulot et celui de nos proches restera un sujet important. C’est vrai qu’en Chine, il y a 700 millions de Chinois qui ne travaillent plus et restent cloîtrés chez eux ce qui correspond tout de même à 10 % de la population mondiale en quarantaine, rien que cela, mais je ne vous en parlerai pas, parce que je l’ai promis à ma femme, et qu’à la maison, je ne sais pas pour vous, mais le vrai patron, c’est la patronne !!

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  • Royaliste et Gilet Jaune ? Entretien avec Thibault Devienne

    Thibault Devienne est devenu une figure légendaire parmi les Gilets Jaunes avec son éternelle allure de Vendéen et son franc-parler. Entretien avec ce jeune homme passé… du communisme au royalisme et qui s’en explique !

     

  • « Lorsqu’il faut prendre ses responsabilités, je le fais sans hésiter » : Edouard Philippe ouvre la porte au 49.3 pour adopter la réforme des retraites

    Le recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution, qui nécessite un feu vert du Conseil des ministres, permet au Premier ministre d’engager sa responsabilité sur un texte de loi, et de le faire ainsi adopter sans vote du Parlement.

    « Une seule question se pose aujourd’hui : allez-vous, en matière de retraites, utiliser le 49.3 ? Oui ou non ? » En plein débat sur le projet de réforme des retraites, le député Damien Abad (LR) a interpellé sans détour Edouard Philippe, mardi 25 février, lors de le séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. Le Premier ministre a ouvert pour la première fois publiquement la porte à un tel recours. « Si au bout de très nombreuses heures de débats, nous constatons que ça n’est possible [que le débat remplisse sa fonction de faire la loi], a-t-il déclaré, alors la Constitution autorise, le cas échéant, le Premier ministre à utiliser un article, le 49.3. Ça s’est déjà vu dans le passé. »

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/lorsquil-faut-prendre-ses-responsabilites-je-le-fais-sans-hesiter-edouard-philippe-ouvre-la-porte-au-49-3-pour-adopter-la-reforme-des-retraites

  • La « politique nataliste » n’est pas un gros mot

    La « politique nataliste » n’est pas un gros mot 

    Le député RN Nicolas Meizonnet, successeur de Gilbert Collard, élu député européen, a effectué ses premiers pas au sein de l’Assemblée, après plusieurs mois de blocages suite à un recours des animalistes (!). Vendredi dernier, il est intervenu dans le débat sur la réforme des retraites pour défendre un amendement rappelant l’importance de la démographie pour l’équilibre du système par répartition. Que n’a-t-il pas osé déclarer :

    Permettez-moi, en préambule, de vous dire l’honneur que j’éprouve à m’exprimer pour la première fois dans cet hémicycle, après sept mois d’attente, à un moment que je crois fondamental pour l’avenir des Français et de notre modèle social.

    Cet amendement est l’occasion de rappeler le fonctionnement de notre système de retraite par répartition, auquel nous sommes particulièrement attachés, vous le savez, et auquel votre réforme promet de faire énormément de mal. Le système par répartition repose sur le fait que les travailleurs actuels – les cotisants – paient les pensions des retraités actuels. Cela suppose deux conditions : d’une part, les actifs doivent être assez nombreux et d’autre part, ils doivent avoir du travail – cela n’a échappé à personne.

    C’est pourquoi nous proposons de rappeler ces deux piliers – natalité et emploi – dans l’article 1er, qui décrit les principes généraux du système de retraite universel. On ne peut pas dire que l’un ou l’autre de ces deux points constitue une priorité des politiques gouvernementales.

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  • Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence

    Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence.jpegRevendiqué par Michel Charzat et Mussolini

    Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence

    La réédition, aux éditions du Seuil, des Réflexions sur la violence (1), l'ouvrage le plus célèbre de Georges Sorel, fournira sûrement à quelques commentateurs l'occasion de revenir sur ce personnage peu banal, et qui a suscité des Jugements totalement opposés. Tandis que Jean-Paul Sartre, en effet, le traitait de « fasciste » et Henri Guillemin de « très petit monsieur », il était, pour Benedetto Croce, celui qui avait donné au rêve marxiste une forme nouvelle. Alors, où est le vrai, où est le faux ? Nous n'avons pas, quant à nous, la prétention d'apporter une solution à un problème aussi difficile. Et les éléments que nous versons au dossier posent plus d'interrogations qu'ils n'en résolvent.

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  • Ordonnances Macron, qu’en dire pour l’instant, par Frédéric Winkler.

    « La fin de la politique est le bien humain » Père de Pascal. Devant la cadence antisociale d'un système destructeur de notre économie au profit des banques dont le président fut un des loyaux serviteurs, alertons inlassablement nos frères dans la promiscuité des lendemains qui ne seront pas enchanteurs. Un monde Orwellien est en marche, depuis quelques temps déjà, il était question de réformer le Code du travail devenu effectivement incompréhensible dans ses inextricables articles.

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