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social - Page 170

  • Immigration et chômage (Figaro) texte de 2013

    La France, qui a le taux d'immigré le plus élevé des pays comparables en Europe, a aussi le taux de chômage le plus important.

    Nous allons une fois de plus aborder ce sujet tabou, mais il faut inlassablement reprendre son ouvrage tant que le problème n'aura pas été réglé.

    Ces questions relèvent du passionnel de l'irrationnel ou de l'ordre de la métaphysique, parfois plus que d'arguments posés.

    Une phrase souvent entendue : « Les immigrés, «on» les a fait venir, » Heidegger parlait de la dictature du «on». C'est déjà refuser de penser. Ce slogan souvent entendu, qui dans le fond ne veut rien dire, a de l'impact malheureusement. Qui est «on» ?

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  • Retrait de l’âge-pivot : la fin de la grève ? – Journal du lundi 13 janvier 2020

     

    Retrait de l’âge-pivot : la fin de la grève ?

    Le gouvernement recule sur l’âge pivot et fait revenir la CFDT au bercail. L’intersyndicale contestataire et l’ensemble des partis de gauche maintiennent leur volonté d’un retrait intégral du projet de loi. La bataille des retraites semble enfin arriver à son épilogue.

    Le Rassemblement National en route vers les municipales

    Dimanche, à l’occasion de la convention du Rassemblement National, le parti de Marine le Pen a dévoilé ses ambitions pour les prochaines élections municipales. Une étape cruciale pour le RN dans sa quête de l’Elysée.

    L’Iran tiraillée entre deux feux

    10 jours après l’assassinat ciblé de Qassem Soleimani par un drone américain, les ripostes se poursuivent . Une situation particulièrement compliquée depuis que Téhéran a avoué être à l’origine du crash du Boeing 737 ukrainien ayant entraîné la mort de 176 personnes.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/retrait-de-lage-pivot-la-fin-de-la-greve-journal-du-lundi-13-janvier-2020

  • Un chiffrage de l’enjeu de la fraude sociale est-il possible ?

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    Un chiffrage de l’enjeu de la fraude sociale est-il possible ? La réponse à cette question est très importante lorsqu’on entend les spécialistes évoquer les montants estimés d’une telle fraude ! Mais, sur ce sujet, l’omerta politique règne malgré quelques initiatives isolées de parlementaires effrayés par les proportions de cette fraude. Et il semblerait que les puissants ne veulent pas voir la vérité être révélée au grand jour ! Heureusement, André Posokhow est là. Dans une série de quatre article, il va s’attacher à étudier en profondeur la question. Voici son premier texte.
    Polémia

    Dans une première note, parue le 3 août 2019 sur le site de Polémia, nous avons tenté de faire le point sur la problématique de la fraude sociale soulevée depuis plusieurs années par le magistrat Charles Prats et la sénatrice UDI Nathalie Goulet. Afin d’apporter des réponses  aux critiques et aux interrogations de ces lanceurs d’alerte qui se sont heurtées à de fortes réticences et qui ont soulevé une controverse qui fait toujours rage, Matignon a confié une mission d’enquête à N. Goulet et à la députée LREM Carole Grandjean avec une mission d’évaluation de cette fraude.

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  • Retraites : pourquoi un fiasco aussi spectaculaire

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    La retraite à points est très souhaitable, mais l’accumulation d’erreurs, de maladresses et de manque de franchise du gouvernement a laissé le champ libre non seulement aux critiques recevables mais surtout aux mensonges éhontés de nombre d’adversaires de la réforme, juge l’économiste et consultant Nicolas Bouzou pour Le Figaro.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Montage sur la propagande du gouvernement sur la réforme des retraites

    Montage sur la propagande du gouvernement sur la réforme des retraites

    Alors que le gouvernement vient de retirer l’âge pivot du projet de réformes des retraites, comme l’avait annoncé Marine Le Pen, selon qui l’âge pivot était une manipulation destinée à être retirée pour satisfaire la CFDT et faire passer le reste de la réforme, ce petit montage entre les déclarations d’Emmanuel Macron, Edouard Philippe, Bruno Le Maire… montre que les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent :

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  • Les grévistes SNCF pratiquent le sabotage et l’humiliation à l’égard des usagers

    Cela dure depuis plus d'un mois. On peut comprendre que la réforme des retraites suscite inquiétudes et frustrations, mais pas au point de s'en prendre aux plus faibles. A défaut de gêner le pouvoir en place, rappelons que nos princes ne circulent pas par les transports en commun, les grévistes RATP et SNCF suivent l'exemple des gilets jaunes en passant leurs nerfs sur les braves citoyens, premières victimes de leurs agissements.

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  • 37 jours de grève. Maxime Tandonnet : «Une bataille surréaliste entre deux entêtements»

    En retirant provisoirement la mesure qui était au coeur du bras de fer avec les syndicats, le gouvernement sauve peut-être son image mais ne saisit toujours pas la mesure de la crise sociale en cours, estime l’essayiste Maxime Tandonnet. Il est urgent selon lui, de «refonder la démocratie parlementaire en dotant la France d’un système de représentation populaire digne de ce nom».

    Au milieu de cette bataille surréaliste entre deux entêtements, l’un corporatiste, l’autre narcissique, le martyre des Français, plongés dans la galère, se poursuit et la France fait naufrage, son économie abîmée, son image ridiculisée aux yeux du monde entier qui voit en elle, plus que jamais, depuis 37 jours, «le pays des grèves».

    De fait, le pouvoir ne semble pas avoir pris la mesure de la gravité de la crise politique et sociale. Il donne le sentiment d’atteindre l’apothéose de la déconnexion, dans l’incapacité de percevoir ce qui est en train de se passer, des gilets jaunes à la crise sociale, dans les profondeurs de la société. Il s’en tient au dogme du «nouveau monde» et de la supposée «transformation» de la France sans réaliser à quel point le pays est en train de sombrer dans le chaos. La France subit en ce moment de manière paroxystique le syndrome du bunker quand ses dirigeants, politiques comme syndicaux, à l’abri de leurs protections institutionnelles, donnent le sentiment de regarder le monde s’effondrer autour d’eux dans l’aveuglement. En somme, nous assistons au triomphe d’obsessions électoralistes ou corporatistes au détriment de l’intérêt général. […]

    Le peuple sans être infaillible, loin de là, est beaucoup plus lucide qu’ils ne le pensent. […]

    Le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1322655-37-jours-de-greve-maxime-tandonnet-une-bataille-surrealiste-entre-deux-entetements

  • « Lire Christophe Guilluy », par Jean-Gérard Lapacherie

    Le-Crépuscule-de-la-France-den-haut-195x300.jpgChristophe Guilluy porte une lumière crue sur les réalités de la France dans Fractures françaises (2010, Bourin, et 2013, Champs, Flammarion), La France périphérique : comment on a sacrifié les classes populaires (Flammarion, 2014), Le Crépuscule de la France d’en haut (Flammarion, 2016). Le principal mérite de ces livres, d’un peu plus de 200 pages chacun, à la mise en pages aérée, est de décrire clairement et d’expliquer avec beaucoup de force ce qui se passe en France depuis une trentaine d’années.

    La distinction significative ou éclairante n’est pas celle que propose l’INSEE, à partir de catégories élaborées au XIXe siècle, entre la France urbaine et la France rurale (en gros, les villes et les campagnes), mais entre les métropoles et la périphérie. Les métropoles, au nombre de 14 ou de 15, tirent toutes d’importants avantages et profits de la globalisation des échanges et de la financiarisation de l’économie : services de tout genre, nouvelles techniques, capitaux, réseaux, mobilité, boutiques de luxe, distractions, équipements sportifs ou de loisirs, etc. C’est là qu’existent les emplois, nombreux et nouveaux ; c’est là que sont créées les richesses : c’est là que s’étale une prospérité insolente et qui n’est jamais repue ; c’est là que vivent et travaillent les dirigeants, les dominants, les classes moyennes supérieures, les bobos, et, à côté d’eux, dans les logements publics bon marché, mais sans se mêler à eux, les migrants, sans cesse plus nombreux et qui sont au service de ces seules classes supérieures dans les secteurs du bâtiment, de la restauration, des services à la personne, du nettoyage, de la surveillance, de la police privée, etc. ; c’est là que se déversent les aides de l’Etat, par le biais de la politique, dite de la ville.

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  • Pour le Gouvernement, l'heure du début de la retraite à sonner.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Remplacer l'âge-pivot par l'âge d'équilibre, substituer aux régimes spéciaux une palanquée de régimes particuliers ou autonomes, et renvoyer le tout à la Saint Glinglin, telle est la voie de sortie que le gouvernement croit pouvoir emprunter pour s'extraire d'une situation devenue intenable du fait de la pression syndicale à visée clientéliste bien sûr, mais aussi et avant tout des erreurs, de l'aveuglement, de l'aventurisme anti social et de l'inconséquence du pouvoir macronien adepte de la politique de Gribouille.
    Un an et demi de discussions, des semaines de "concertation", plus d'un mois de grèves et de blocages, des centaines de millions d'euros perdus pour la SNCF et la RATP,  des commerçants exaspérés et des centaines de milliers de Français pris en otage, des fêtes de Noël gâchées pour beaucoup de nos compatriotes, une France une fois de plus ridiculisée aux yeux du monde entier... Tout ça pour ça! 
    Macron et Philippe peuvent feindre de jouer les pompiers. Ils ne sont que des pyromanes.
  • Sondages : tous perdants, mais pour Macron, la chute est brutale !

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    Un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et France Info, publié il y a une semaine, montrait que tous les acteurs du conflit autour des retraites – gouvernement, Président, syndicats et même l’opposition – se retrouvaient perdants, un mois après le début du mouvement : la CGT récoltait 63 % de mauvaises opinions et Édouard Philippe 67 %. Un « en même temps » révélateur de l’état de l’opinion, qui ne s’est pas trompée sur les jeux de rôle et les arrière-pensées des uns et des autres dans cette affaire. Les Français ont le sentiment d’avoir été pris en otages par tous.

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