Par Christian Gomez, Gérard Lafay, Philippe Murer, Henri Temple, Jean-Claude Werrebrouck
Comme chacun le sait désormais, la proportion du nombre d’actifs par rapport au nombre de retraités diminue et va continuer de le faire dans les prochaines années si l’on ne change rien. C’est une conséquence de l’allongement de la durée de vie et du ralentissement de la natalité, mais aussi du chômage de masse. Il n’y a aucune raison de faire supporter un fardeau fiscal croissant aux actifs pour maintenir le niveau des transferts en faveur des retraités.