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social - Page 255

  • Ce que Gilet jaune veut dire !

    Le billet de Patrick Parment

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    C’est un mouvement authentiquement populaire. Raison pour laquelle on trouve de tout en son sein et qu’il est loisible de l’affubler de tous les sobriquets infâmants : antisémite, raciste voire fasciste, que sais-je encore. Une chose est sûre et rassurante, ce mouvement n’est soluble dans aucune des tambouilles politiques. Ce n’est pas faute d’avoir essayé comme l’avoue un cadre des Insoumis de Méchancon ! Idem des syndicats qui s’y sont aussi cassé les dents.

    Les gilets jaunes qui entament leur quatorzième journée de manif. Le pouvoir a pourtant tout fait pour leur mettre des bâtons dans les roues : répression, entrisme surtout avec des groupuscules violents, genre Black bloc et autres gauchistes en perdition, chargés de ternir l’image du mouvement. Et la police n’y est pas non plus allée de main morte : arrestations arbitraires, accidents dus aux grenades GLI-F4, flashball et autres gadgets ! L’ex-socialiste Castaner avec sa barbe de djihadiste musulmané n’a pas fait dans la dentelle, illustrant par la même l’idée que socialisme rime avec répression.

    Seule ombre au tableau : ce sont les commerçants et artisans, au cœur des villes, qui font les frais de ces manifestations ou plutôt des violences qu’elles suscitent. Sauf que, ô paradoxe,  sans violence le pouvoir n’aurait pas reconnu les gilets jaunes ni entendu ses revendications.

    On ne peut, par ailleurs, que se louer de la débâcle enregistrée par toutes les tentatives de constitution de listes aux européennes. Les gilets jaunes ne sont pas un mouvement politique. C’est un mouvement populaire spontané.

    Le message des gilets jaunes est pourtant clair. Ils veulent une meilleure répartition de la richesse nationale dont ils sont les principaux acteurs. Ils veulent avoir leur mot à dire quand leur mode de vie et leur avenir sont en jeu via le référendum d’initiative populaire. Ils veulent un droit de regard sur leurs élus. En un mot, ils veulent une démocratie qui fonctionne et non pas une démocratie vampirisée par des hauts fonctionnaires qui ont squatté tous les rouages du pouvoir parce que les politiques ne font plus leur boulot. Et, en toile de fond, ils ne veulent pas d’une imaginaire France multiraciale et multiculturelle comme en décide pour eux une pseudo élite et des médias aux ordres des lobbies mondialisés. En ce sens les gilets jaunes sont franchouillards et réactionnaires.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Acte XIV plus de 100 000 gilets jaunes !

    Acte 14 : après trois mois, la mobilisation des Gilets jaunes se poursuit (EN CONTINU)
    © Fabien Rives / RT France
    Des Gilets jaunes manifestent à Paris, le 16 février.
    Selon une première estimation du Nombre Jaune, 101 379 personnes ont manifesté à travers la France lors de l'acte 14. 

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    Nous clôturons notre décompte demain à 12h, n'hésitez pas à nous faire remonter vos infos sur le groupe FB : http://facebook.com/groups/4782891 

    https://francais.rt.com/france/59109-acte-14-gilets-jaunes-apres-mobilisation-gilets-jaunes

  • Acte 14 : après trois mois, la mobilisation des Gilets jaunes se poursuit (EN CONTINU)

    Acte 14 : après trois mois, la mobilisation des Gilets jaunes se poursuit (EN CONTINU)
    © Meriem Laribi / RT France
    Manifestation des Gilets jaunes à Paris lors de l'acte 13, le 9 février 2018.

    Ce week-end marquera les trois mois du mouvement historique des Gilets jaunes débuté le 17 novembre 2018. Des mobilisations sont prévues dans tout le pays, comme chaque samedi.

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  • Taxation sur les plus-values des résidences principales : Emmanuel Macron fait bondir les professionnels de l’immobilier

    Taxation sur les plus-values des résidences principales : Emmanuel Macron fait bondir les professionnels de l’immobilier

    Après Le Figaro immobilier, une autre officine de représentation des propriétaires est vent debout contre une nouvelle taxation imaginée par Macron. Communiqué de La Centrale de financement :

    Fin janvier, Emmanuel Macron s’est exprimé sur une potentielle taxation sur les plus-values des résidences principales, qui était jusqu’ici uniquement cantonnée aux biens locatifs et aux résidences secondaires. En matière dimmobilier, les résidences principales font figure d’exception dans le paysage fiscal. Si une telle mesure était prise, en plus de ne pas prendre en considération les conséquences que cela représenterait pour les ménagescela remettrait en question l‘ensemble du processus d’acquisition et constituerait un frein conséquent à l’acte d’achat. La pression fiscale exercée sur les Français étant déjà particulièrement importante et instable, ce « big bang fiscal immobilier » serait une mesure explosive.

     « Envisager une taxation sur les plus-values des résidences principales pourrait engendrer une déstabilisation totale du marché immobilier. En plus du risque de reports voir d’abandons des projets, cette mesure réduirait encore drastiquement le rôle de la pierre comme valeur refuge. Comme d’habitude, la fiscalité immobilière est une variable d‘ajustement qui n’apporte aucune visibilité de long terme pour la pierre dont c’est l’essence même. » déplore Sylvain Lefevre, Président de la Centrale de Financement.

    https://www.lesalonbeige.fr/taxation-sur-les-plus-values-des-residences-principales-emmanuel-macron-fait-bondir-les-professionnels-de-limmobilier/

  • Stéphanie Bignon invite les gilets jaunes à s’investir dans les élections municipales

    Stéphanie Bignon, présidente de Terre & Famille, s’adresse aux gilets jaunes pour les inviter à s’intéresser aux élections municipales de 2020.

  • Europe : le Parlement condamne l’usage des lanceurs de balles de défense par la police

    En plein mouvement des « gilets jaunes » en France et de critiques récurrentes contre l’usage des lanceurs de balles de défense (LBD) par les forces de l’ordre, le Parlement européen a largement condamné, jeudi 14 février, « le recours à certains types d’armes à létalité réduite par les forces de police contre des manifestants pacifiques, comme les projectiles à impact cinétique » – dont les LBD font partie. La résolution « sur le droit à manifester pacifiquement et l’usage proportionné de la force » a été votée par 438 députés européens, 78 autres se prononçant contre et 87 s’étant abstenus.

    Le texte, condamnant plus largement « le recours à des interventions violentes et disproportionnées de la part des autorités publiques lors de protestations et de manifestations pacifiques », ne cible pas un Etat membre en particulier, mais a donné lieu en préambule dans l’hémicycle strasbourgeois à un débat animé auquel ont pris part plusieurs eurodéputés français. Certains, comme le groupe politique de La France insoumise, ont déploré que la résolution ne demande pas l’interdiction des LBD.

    Reconnaissant que « la police, qui a compté elle aussi de nombreuses victimes dans ses rangs, travaille dans des conditions difficiles, compte tenu notamment de l’hostilité dont font preuve certains manifestants, mais également de la charge de travail excessive » […]

    Le Monde

    http://www.fdesouche.com/1159547-europe-le-parlement-condamne-lusage-des-lanceurs-de-balles-de-defense-par-la-police

  • Bonne démographie et bon emploi font de bonnes retraites.

    bebe-cigogne.jpgLa réforme des retraites va bientôt être discutée et le gouvernement prépare ses arguments et sa stratégie, attendant juste que le mouvement des Gilets jaunes, désormais accusé de tous les maux du pays, se soit dissipé comme un mauvais rêve, ce qui n’est pas, à l’heure actuelle, totalement assuré… Néanmoins, les Français commencent à s’interroger, parfois à s’inquiéter des projets gouvernementaux qui semblent obéir à une logique comptable imposée par Bruxelles plutôt qu’à un juste traitement de la question épineuse de « l’après-travail ». Ainsi, la question est parfois évoquée dans les réunions du Grand débat national, mais aussi dans les colonnes des Courriers de lecteurs, comme dans La Croix du lundi 11 février qui publie une lettre courte mais de bon sens qui mérite d’être reproduite et commentée.

    « Le choix de la France d’avoir un système de retraite basé essentiellement sur la répartition est judicieux. C’est le système le plus sûr, le moins risqué. Les évolutions démographiques sont prévisibles sur le long terme, alors que les évolutions de la Bourse sont imprévisibles, même à très court terme. » Aussi imparfait qu’il puisse être, il est vrai que le système de retraite par répartition dépend très largement des dynamiques démographiques nationales, et non des jeux financiers et d’intérêts d’actionnaires souvent peu concernés par les notions et sentiments de justice sociale. Les données et perspectives démographiques, évolutives, sont aussi largement influencées par la politique familiale que l’Etat soutient ou promeut, et cela permet une certaine visibilité sur les décennies suivantes, même si cela implique également une attention soutenue de l’Etat et des pouvoirs publics (et éventuellement des partenaires sociaux) à l’égard des mouvements démographiques et une stratégie forcément et fortement enracinée dans la durée.

    « La France est un des rares pays européens à avoir un solde démographique naturel positif, ce qui rend le système par répartition viable. ». Certes, notre situation démographique est meilleure que la très grande majorité des pays européens, mais les dernières années sont beaucoup moins convaincantes avec un taux de fécondité qui, en la moitié d’une décennie, est passé de 2,03 enfants par femme en âge de procréer à 1,87 l’an dernier, cela alors que, pour assurer un renouvellement convenable et « instantané » de la population française, il faudrait un taux de 2,1. Cette baisse inquiétante est la conséquence des politiques (si peu) familiales des gouvernements Fillon et Ayrault-Valls qui, là encore pour des raisons purement comptables (et idéologiques ?) ont, pour l’un, supprimé des avantages concédés jadis aux mères de trois enfants et plus, et pour les autres, rompu l’égalité des familles devant le quotient familial, en la nuançant par des considérations de revenus au détriment des classes moyennes aisées. Or, toucher à la politique familiale en oubliant les particularités de celle-ci qui en font une dentelle complexe et éminemment réactive à ces « détricotages » gouvernementaux, c’est fragiliser, en vain d’ailleurs pour les finances de l’Etat, les équilibres démographiques et risquer d’entamer, non le désir d’enfants (qui est de 2,3 en France selon les principales études sur le sujet), mais la réalisation concrète de ce désir. Il ne suffira d’ailleurs pas non plus de revenir en arrière, le mal étant fait, mais de refonder une stratégie démographique et nataliste pour le long terme, stratégie qui ne devra pas s’empêcher de réfléchir à une forme de « salaire maternel » ou « familial », selon des modalités à discuter et suivant les particularités des couples et de leurs évolutions possibles. Mais la République, qui raisonne selon un calendrier électoral qui n’est pas « le temps des générations », peut-elle engager vraiment cette nécessaire politique de long terme ? Personnellement, je continue d’en douter, et les valses-hésitations des derniers quinquennats ont tendance à légitimer et renforcer mon doute…

    Mais la politique démographique n’est pas la seule condition d’une bonne gestion du système des retraites sur la durée, comme le souligne le lecteur de La Croix : « Le problème du déficit des régimes de retraite ne vient pas de ce choix de la répartition, mais du chômage. C’est ce problème aigu qu’il faut résoudre, et pas seulement à la marge comme maintenant ! » Voilà des lignes d’un grand bon sens économique (car moins de chômeurs signifie des cotisants en plus) mais qui semblent bien loin des préoccupations des gouvernements qui se succèdent depuis une quarantaine d’années que le chômage est passé du statut de « conjoncturel » à celui de « structurel » ! Et pourtant ! Là aussi, des solutions existent et attendent qu’un Etat digne de ce nom, un Etat qui soit capable de penser au-delà de la prochaine échéance électorale mais aussi au-delà de la seule mondialisation et des principes du libéralisme économique, un Etat qui cesse de penser par rapport à l’économie financière ou en fonction des seuls intérêts actionnaires, que cet Etat advienne, non dans le cadre d’une alternance mais comme une véritable alternative politique.

    « La politique de la France ne se fait pas à la Corbeille », affirmait haut et fort le général de Gaulle qui signifiait ainsi que l’Etat n’avait rien à devoir au monde de l’Argent et à ses « valeurs ». Une véritable stratégie d’Etat contre le chômage doit repenser le rapport de notre société à la mondialisation, à l’environnement, à l’économie : il ne s’agit pas de nier ce qui est, mais d’orienter différemment l’économie, en particulier par un aménagement du territoire fondé sur le « redéploiement rural » ; par une meilleure préservation de l’outil industriel et par une valorisation intelligente de nos patrimoines historique, littéraire, gastronomique ; par une formation mieux organisée et plus enracinée dans le tissu socio-professionnel local ; par un soutien plus affirmé aux modes d’agriculture et de pisciculture respectueux des équilibres naturels et de la qualité alimentaire, modes de production nécessitant une main-d’œuvre plus nombreuse et l’organisation de circuits courts de distribution ; etc. 

    Ce ne sont pas les idées et les propositions pour faire reculer le chômage qui manquent, mais bien la volonté politique et l’Etat capable d’assumer cette politique et de la valoriser, y compris par rapport à la mondialisation et à la concurrence inéquitable des grands réseaux multinationaux de production et de distribution : mais si, depuis quarante ans, la République ne veut pas sortir de son modèle économique, sans doute faut-il, alors, se résoudre à changer de régime. Une Monarchie royale inscrivant son être et son devenir dans le temps long et la suite des générations peut, par essence et par statut, mieux répondre aux lourdes questions sociales (et cela sans négliger les enjeux économiques) qu’une République trop dépendante des jeux d’argent et de la météorologie électorale. Elle peut aussi mieux tirer profit des énergies partisanes et parlementaires en les circonscrivant aux activités de débat et de proposition législatives, et en les détournant de la compétition pour la magistrature suprême de l’Etat, cette dernière étant dévolue, hors des concurrences électorales, à une dynastie chargée d’incarner le pays et de diriger la Grande politique, dans son domaine régalien. Un partage des tâches et des responsabilités qui, en somme, est moins risqué et incertain que celui aujourd’hui (mal) assuré par une République d’abord macronienne avant que d’être celle de tous les Français…

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Un succès qui dépasse nos prévisions... et c'est tant mieux

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    Notre n° hors-série de Synthèse nationale remporte un succès qui dépasse nos prévisions les plus optimistes. Il est actuellement expédié aux milliers de Gilets jaunes qui l'ont commandé. Nos "services" (c'est à dire une poignée de militants inaccessibles au découragement) sont submergés et ils ont du mal à fournir... mais, ne vous inquiétez pas, vous allez très bientôt le recevoir.

    Que cela n'empêche pas ceux qui ne l'ont pas encore fait de le commander (un nouveau tirage est en route) cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Acte XIV, le gouvernement veut étouffer le mouvement – Le journal du vendredi 15 février 2019

     

    Acte XIV, le gouvernement veut étouffer le mouvement

    Quatorzième samedi de mobilisation pour les Gilets Jaunes ! Alors que le grand débat apparaît toujours plus comme une impasse, les manifestants se sont une nouvelle fois donnés rendez-vous dans toute la France. Le gouvernement, lui, entend jouer sur la lassitude des participants et met tout en oeuvre pour étouffer la grogne.

    Wauquiez – Macron : la guerre au centre

    Alors qu’Alain Juppé vient d’être nommé au Conseil Constitutionnel par le marcheur Richard Ferrand, Emmanuel Macron semble vouloir récupérer le centre et l’aile centriste des Républicains. Une frange que Laurent Wauquiez ne compte pas abandonner.

    Trump, son mur coûte que coûte !

    A peine sorti du “shutdown”, Donald Trump repart à l’assaut de son mur. Le président américain entend déclarer l’état d’urgence nationale pour réaliser ce véritable symbole de son mandat.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/acte-xiv-le-gouvernement-veut-etouffer-le-mouvement-le-journal-du-vendredi-15-fevrier-2019