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social - Page 253

  • Grand Débat, grand enfumage

    Et si le Grand Débat, c’était la dernière astuce de l’élite pour se maintenir au pouvoir ? Débattre, c’est laisser les gens se défouler verbalement pur mieux les ignorer. Une technique « absolument moderne »…    

    Quand Macron s'est exprimé pour la première fois devant une grande salle, c'était trop sincère pour être vrai. L'homme enfermé depuis plusieurs mois dans le bunker élyséen comptait ainsi retrouver sa virginité de candidat à la présidentielle. Son habileté de Jupiter, c'est d'avoir pu renouer avec cette campagne électorale qui l'avait fait élire. Habilement, le Grand débat lui permet de changer de costume. De troquer celui de Président contesté contre celui du candidat moins corseté. Macron, comme beaucoup de politiciens, n'est pas terrible dans la routine politique. Comme Sarkozy ou Hollande, il perd son aura entre les conseils des ministres et les sommets internationaux. Mais s'il gouverne mal, il se défend bien. Le président de la République s'est transformé en candidat En Marche. Il entame ainsi la deuxième campagne présidentielle, non à la fin du mandat, mais à ses débuts (un drôle d'effet du quinquennat). Au fond, le Grand Débat national, c'est une réserve inépuisable de temps de parole pour un Président devenu clairement inaudible. Un atout pour exercer à nouveau sa séduction. La solution inespérée pour intervenir plus souvent et dans de meilleures conditions. Macron a au moins compris une chose dans cette crise à la différence des Gilets jaunes, il a un visage. Ce qui lui permet de se mettre seul en scène face à des interlocuteurs qui ne tiennent que parce qu'ils jouent « collectifs » et qui ne pourront que disparaître si des têtes émergent (ce que comporte précisément le risque d'une liste « Gilets jaunes » aux européennes). On ne s'en étonnera pas c'est en faisant du théâtre qu'il est tombé amoureux de Brigitte. Macron a compris qu'il excellait quand il jouait son propre rôle. On comprend mieux pourquoi l'amazone Schiappa est prête à discuter avec Hanouna. Les ministres se ruent à la suite du chef de l'État le théâtre vous dis-je ! Certes Edouard Philippe s'est fait huer. Mais au fond, ça fait partie du théâtre.

    Requiem pour la démocratie

    On place le Grand débat sous les fonts baptismaux de la démocratie, mais on oublie quand même quelque chose dans l'histoire contemporaine de notre pays, il n'y a jamais eu justement, de « Grand Débat ». On s'est écharpé sur la séparation des Églises et de l'État, sur tel contrat de travail (CIP ou CPE). On a discuté de la pertinence de telle constitution, de tel traité (Maastricht ou la Constitution européenne) ou de telle loi (de Devaquet à Taubira).   On s'est toujours battu sur une question particulière, comme on sait bien le faire entre Français. En revanche, dans les annales de l'histoire politique du pays, on n'a jamais discuté de tout. Les discussions ont eu beau avoir de l'intensité elles n'ont jamais été un grand déballage. La seule fois où on le fit, ce fut sous la Révolution. Avec le résultat que l’on connaît. Les cahiers de doléances mirent en branle un mouvement qui sapa les fondements d'une société encore traditionnelle. Est-ce vraiment ce à quoi Macron aspire ? Peut-être.

    Le Grand débat continue à participer à l'incertitude de la crise. On discute de tout, et en même temps, on ne décide de rien c'est le contraire du RIC des Gilets jaunes.

    Le problème de ce Grand Débat National, c'est qu'il nie la décision politique, qui est pourtant le propre de la démocratie. Il faut être un peu benêt pour croire que ce sont ces discussions animées et des réflexions couchées sur papier qui vont changer les choses.

    Il s'agit en fait de conserver l'ordre établi, en donnant au citoyen l'illusion de la participation, parce que l'on s'est contenté de lui demander son avis. De plus, et voilà un signe qui ne trompe pas : en plein débat, les projets de loi gouvernementaux sont discutés sans vraie concertation en amont : Les ministres n'ont pas changé quand ils lancent tel texte dans les assemblées. La machine législative ne s'est pas corrigée d'un iota. Quant au traité d'Aix-la-Chapelle, il est signé sans même que l'on ait songé à en avertir le bon peuple.

    Le Grand Débat national permet de masquer les dérives autoritaires du macronisme, en imposant les sujets autorisés et en écartant les sujets interdits. On parlera de la transition écologique et des impôts. Pas de la baisse des dépenses publiques ou du coût de l'immigration. Depuis le Grand Débat, je me mets à méditer la fameuse phrase du Guépard « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Dormez tranquilles le Deep state garde la main.

    François Hoffman monde&vie 8 février 2019

  • Castaner embrigade les enfants des écoles contre les Gilets jaunes

    A la mode Corée du Nord, le ministre de l’Intérieur Castaner a pratiqué l’embrigadement d’État de petits écoliers français contre les Gilets jaunes :

    « Dans ce mouvement des #GiletsJaunes, il n’y a que des perdants. Parce qu’au fond, on est dans une société de haine. »

    Vidéo intégrée

    Rêv de Presse@Rev_de_Presse

    Elle est terrible cette expression de sur les visages des quand leur parle comme à des adultes à embrigader «Dans ce mouvement des , il n'y a que des perdants. Parce qu’au fond, on est dans une société de haine."

    56 personnes parlent à ce sujet
    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/castaner-embrigade-les-enfants-des-ecoles-contre-les-gilets-jaunes/105201/

  • Une seule issue pour les Gilets jaunes : casser le Système à bout de souffle

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    Communiqué de Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française :

    « L’issue du mouvement des Gilets Jaunes sera donc nécessairement celle d’une reconquête nationale, sociale et identitaire qui devra trouver sa représentation politique aux marges de ce Système à bout de souffle, là où échappent à la doxa de la pensée unique et au politiquement correct les dissidents du nouveau siècle que sont les nationalistes français. »

  • LE DÉBAT PERMANENT ? ET APRÈS ?

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    Il a beau dire, Macron n'est jamais qu'un politicien comme un autre. 

    Emmanuel Macron s'est engouffré dans son grand débat.

    C'est qu'il s'imagine qu'il trouvera une issue au bout de ce tunnel. Personne n'y voit rien ; et qui sait comment ça va finir ? Lui, il a la foi ; il a même la vision. Tout, dit-il, va se clarifier. Il en vient maintenant à estimer que le tunnel en lui-même est une issue ! Aussi a-t-il déclaré péremptoirement qu'il veut rendre le débat « permanent », le prolonger indéfiniment, mieux encore : « l'institutionnaliser ».

    La France ou le débat ?

    Après l'étape du mois de mars où seront censés mis en ordre et présentés les voeux et les doléances des Français sur les sujets proposés au débat d'aujourd'hui, après même le référendum qui se profile à l'horizon comme hypothèse la plus prévisible, il est dès maintenant question de continuer, de relancer encore et encore le débat. Pas la France, pas le projet national, pas une politique de sauvegarde de notre pays. Non, le débat, vous dis-je !

    Le chef de l'État, l'homme qui en principe décide, c'est-à-dire qui se doit précisément de clore tout débat par sa décision, souhaite donc que la France et les Français soient en débat perpétuel. Car, de là, affirme-t-il, les idées ne cesseront de jaillir qui seront comme autant de solutions à tous les problèmes des Français. Et lui-même alors ? Problème ? Solution ? Pourquoi ne pas en débattre, après tout ? Mais non ; justement non ! Et pas non plus ce qu'il a acté ! Alors ? En fait, dès le départ, Macron a ignoré la France et ses intérêts. Il ne pensait qu'à l'Europe de ses rêves et au monde futur de son imagination. Il a méprisé les attentes et les besoins des Français. Il n'a jamais débattu que pour faire valoir ses conceptions « progressistes », seules acceptables, seules acceptées !

    Ce n'est pas un homme politique, absolument pas. Cet énarque n'a que des idées, aussi vagues que sa philosophie ; et en revanche, ou « en même temps », il a la précision du technocrate qui vous accable de ses combinaisons d'administration et d'organisation aussi implacables que vaines et destructrices. Dans son esprit, le débat conduira au triomphe de telles combinaisons qui s'imposeront par leur caractère nécessaire. Ainsi les logorrhées du débat auront la vertu cathartique d'apaiser les passions ; là crise débouchera d'elle-même sur des solutions, les siennes évidemment !

    Le débat, vous dis-je ! Il suffit d'aller de l'avant, de marcher, de parler, de débattre. N'est-ce-pas la formule même du candidat qu'il fut à l'élection présidentielle avec son En Marche ? E.M. comme Emmanuel Macron, souvenez-vous ! C'était lui déjà qui indiquait le sens, celui du « progrès » à l'encontre de tous les « conservatismes ».

    Aujourd'hui il reprend l'opération, mais avec en plus l'autorité du chef de l'État. Il décide du débat, des termes dans lesquels il est contenu, et s'il en fait nommer des garants en principe indépendants mais inféodés au système, c'est bien lui qui en détermine le sens général dont l'achèvement mènera à des conclusions incluses dans les prémisses. Celles qu'il a lui-même posées. Admirable tour de passe-passe d'un sophiste qui prétend parvenir à ses fins de gouvernement par l'habileté intellectuelle de ses brillants raisonnements dont l'irrémédiable défaut est tout uniment de n'être pas en accord avec la vérité des choses, la simple et si complexe réalité. Tel est Macron, tel il a toujours été. Un moderne Gorgias qui se croit maître de la cité par sa parole toute puissante, créatrice de fictives et futures réalités !

    Le maître d'oeuvre

    Alors, il est vrai - et on le comprend fort bien - qu'il a pris à bras-le-corps ce grand débat qu'il a programmé, tel un jeune lutteur enthousiaste, comme au premier temps de sa campagne électorale d'il y a deux ans. Il l'anime lui-même et presque seul. Son Premier ministre, ses ministres s'y essayent quelque peu ; il les encourage sur sa lancée ; mais en fait ça ne prend pas vraiment. Et ne parlons pas des députés de La REM, tous plus gourdiflots et godichons les uns que les autres.

    Macron en est réduit à faire le chef et la troupe. C'est ainsi qu'il a toujours fonctionné. Il est plus solitaire que jamais. Le voilà donc en bras de chemise devant les maires ; au fond des régions, à l'improviste et en impromptu toujours bien calculés, avec chacun, avec tous, Gilet jaune à ses côtés. La proximité, quoi ! Des heures d'affilée, toute question épuisée jusqu'au dernier iota technique. Il a réponse à tout ; il sait tout ; il prévoit tout. On s'étonne de telles prestations qui tournent à la performance. Les braves gens sont censés en ressortir ébaudis et convaincus.

    Après les territoires qu'il prétend reconquérir, voici le tour des jeunes et, mieux encore, des banlieues. Il ose affronter ; il reste persuadé que sa dialectique qui s'adapte à tous les milieux l'emportera. Il annule des rendez-vous internationaux et le fait savoir pour répondre aux exigences populaires. Ce qui ne l'empêche pas de réunir à Versailles « en même temps » de potentiels investisseurs étrangers, car s'il prend en charge le souci des Français, il n'abandonne pas pour autant sa croyance aux bienfaits essentiels de la mondialisation. Il est à noter que, dans ses réponses, n'est jamais énoncée la pensée que la France, en tant que nation, pourrait reprendre son destin en main. Tout son art consiste à faire croire que ses vastes conceptions ne sont en rien contradictoires avec l'intérêt de chacun des Français ; il se met à parler de « peuple », de « nation », un vocabulaire qui lui était jusqu'à présent étranger, voire odieux. Il ne faut pas s'y tromper : il est toujours ce même homme qui a prononcé le discours de Davos, celui qui a signé le pacte de Marrakech sur les migrations le u décembre dernier et le traité sur la coopération et l'intégration franco-allemande d'Aix-la-Chapelle le 22 janvier. Macron persiste, signe et resigne.

    Il sera le dernier en Europe à toujours miser sur l'Europe de Bruxelles, de Junker et de Moscovici au point de lui remettre à l'avance tous les attributs de la souveraineté. Son discours est ambigu parce qu'il ne renonce à rien de ses visées, tout en étant obligé de composer avec les réactions violentes qu'elles suscitent naturellement dans le peuple français.

    Un référendum ?

    D'où cette idée que Macron laisse germer dans l'opinion pour la reprendre à son profit, celle d'un référendum qui serait la réponse appropriée au grand débat et lierait « en même temps » le problème français et la question européenne.

    Déjà la date du 26 mai est annoncée, malgré la brièveté de l'échéance ; les Français seraient appelés « en même temps » à voter pour les élections européennes et à répondre au référendum proposé et qui porterait essentiellement sur les réformes constitutionnelles en trois ou quatre points, tirés prétendument du grand débat et censés améliorer la démocratie participative : référendums, proportionnelle, non-cumul, nombre de députés, loi de fiscalité...

    Le tour serait joué. Il fut prévu dans ces colonnes dès le mois de décembre. Ce n'est pas encore fait, tant c'est énorme. Macron pense ainsi obtenir une plus large participation et, selon sa stratégie éprouvée au cours des deux années passées, être le seul adversaire en face du Rassemblement National, évincer ses autres concurrents, battre le populisme, clore l'épisode des Gilets jaunes, éliminer l'opposition, faire passer sa réforme constitutionnelle sans faire appel au congrès et poursuivre sa politique dite progressiste qui va s'ouvrir bientôt aux questions dites sociétales.

    Il voudrait duper tout le monde, une fois de plus. Cependant, peut-il y réussir ? Les résultats ne sont pas là ; ce n'est qu'un plan et tout s'y oppose, jusqu'aux règles constitutionnelles. L'Europe aujourd'hui est celle de la viande avariée, de la migration continue, du Brexit impossible, de l'Italie qui s'en moque jusqu'à risquer sa survie financière, des pays de l'Est et du Nord qui n'en veulent plus, d'une Allemagne inquiète et fragilisée politiquement et économiquement au point de n'être plus fiable. La France concrètement est un paquet de dettes, une économie poussive qui traîne un chômage de masse, un ensemble de prélèvements qui pèsent près de la moitié de son PIB, les plus lourds des pays de l'OCDE, une société totalement éclatée avec des zones entières irrécupérables où pas un homme politique n'irait se promener, un pays où les services publics se dégradent et qui paye à haut prix des politiques d'État contradictoires où le citoyen se sent continuellement bafoué.

    Non, Macron n'en a pas fini. Et le débat ne saurait être une solution. Le débat n'est pas un sauveur ni un salut. Macron, non plus. La France est orpheline et malheureuse. Les Français l'expriment en quelque sorte confusément. Ils ne se sentent ni gouvernés ni représentés. Jusqu'où faudra-t-il descendre pour qu'ils comprennent ?  

    Hilaire de Crémiers

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/02/17/le-debat-permanent-et-apres-6129469.html

  • Immigration : «Déshabiller les pays voisins, ce n’est pas forcément une bonne solution européenne»

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    Yves Montenay réagit aux commentaires politiques sur l’étude Bertelsmann en Allemagne. Cette dernière préconise une politique immigrationniste pour répondre au vieillissement de la population : une solution qui fait débat.

  • La France est le pays le plus taxé du monde : trop d’assistés, trop de députés, trop d’immigrés… Fin

    (on fait souvent la confusion entre météo et climat alors que ç’est très différent) C’est comme entre « politiciens » et « intérêt général » : on fait souvent la confusion alors que ça n’a rien à voir…

    Sur la délinquance, la police, la justice

    Quand elles s’approchent des « quartiers », les « forces de l’ordre » sont nettement moins virulentes que face aux gilets jaunes…

    Signalons que parmi les gardiens de prison, il y a de plus en plus de types qui ont plusieurs points en commun avec les taulards…. L’islam notamment…

    Sur l’économie, le social, l’assistanat

    La France est le pays le plus taxé du monde… Trop d’assistés. Trop de députés. Trop d’immigrés…

    Ils s’enrichissent en trahissant les Français moyens : délocalisations, optimisation fiscale, racket de la classe moyenne, invasion migratoire destinée à casser les salaires…

    Il s’agit de financer l’assistanat, l’hypertrophie de la sphère politico-administrative et l’invasion migratoire : le racket des Français moyens de souche n’est pas près de cesser

    Le travail détaché met en lumière la vraie nature de l’UE : le dumping social et fiscal, au bénéfice des plus riches…

    Si l’on est favorable à la survie des peuples européens et à la pérennité de leur civilisation, on ne peut qu’être hostile à l’UE…

    Les assistés et les immigrés voient leur situation s’améliorer au fil des décisions « sociales ». Les riches voient leur impôts baisser (ISF, flat tax, exit tax, CICE…). Matraqués de taxes et de cotisations, les Français moyens de souche voient leur pays leur échapper…

    (risque de récession) Croissance ou récession aucune différence : les riches s’enrichissent, les Français moyens raquent, les immigrés arrivent…

    Ni le capitalisme mondialisé, ni le communisme, ni le socialisme faisandé, avec son matraquage fiscal, son assistanat, ses syndicats véreux, ses privilèges dans les entreprises publiques et sa sphère politico-administrative hypertrophiée… C’est si difficile à comprendre ?

    Sur l’environnement

    Non content d’avoir défiguré les paysages et d’être vendu à un prix prohibitif, le pseudo TGV est très souvent en retard…. Trois différences avec le train de papa…

    Contrairement à ce qu’affirme la propagande des pouvoirs publics, la vitesse sur route et autoroute n’est pas la cause des accidents. Un automobiliste expérimenté, en bonne santé et reposé, qui n’a pas consommé d’alcool ni de drogue, qui a une voiture en bon état, qui respecte les interdistances et qui adapte sa vitesse aux circonstances, cet automobiliste n’est pas dangereux même s’il roule vite….

    Le racket des Français moyens de souche sur les routes a trois objectifs : remplir les caisses ; créer une fracture entre police et population ; criminaliser les Français moyens pour les rendre craintifs et dociles

    Le Système et ses supporteurs passent leur temps à travestir la réalité. Ils transforment les immigrés en Français et les automobilistes en délinquants…

    Sur l’école

    Le lycée et la fac pour tous = échec, gâchis, illusions… Il y a des centaines de milliers d’emplois disponibles qui ne requièrent pas d’études générales prolongées…

    Sur le féminisme, les homos, les mœurs, le politiquement correct 

    L’homme blanc hétérosexuel, voilà l’ennemi…

    (l’université de Nice autorise les transgenres à utiliser leur prénom d’usage) La décadence poursuit son petit bonhomme de chemin..

    (les ravages de la cocaïne) Et il y en a qui prétendent qu’en légalisant le cannabis on règlerait les problèmes…

    (policiers condamnés pour viol) Si l’on comprend bien, elle a mis des bas-résille, puis elle a picolé, puis elle les a allumés, puis elle est montée, puis elle les a accusés… Débilité ou perversion ?

    Signalons que de nombreuses jeunes filles, des étudiantes par exemple, choisissent tout à fait librement d’arrondir leurs fins de mois en jouant les escorts….

    (les travailleurs du sexe protestent contre une décision du conseil constitutionnel) Pour les putes, le mot « travail » est aussi grossier que le mot « pute » pour les gens normaux…

    Il est désormais interdit d’être homophobe. Mais on est obligé d’être homophile… ?

    Sur la modernité, la république, la démocratie, la bourgeoisie

    En fait les directions suivies depuis la fin de seconde guerre mondiale ont toutes été mauvaises : la société de consommation, l’évolution libertaire des moeurs, la mondialisation, l’immigration… Plus fondamentalement encore, ce sont les valeurs de la modernité elle-même (individualisme, matérialisme, athéisme, universalisme) qui apparaissent décidément néfastes…

    Sur le vaste monde

    Trump a tort sans doute sur l’écologie… Mais il a raison sur de nombreux autres aspects de son programme : la mise en cause de la mondialisation ; la volonté de se rapprocher de la Russie ; la dénonciation de l’immense corruption morale de la gauche ; la lutte contre l’immigration…

    (un restaurateur abattu en Corse) Le client n’avait pas trouvé le plat qu’on lui servait assez chaud : c’est pour ça qu’il l’a refroidi…

    (les homosexuels persécutés en Tchétchénie) Les plus à plaindre sont les homos bègues à tendance vegan et aux cheveux roux

    En Afrique la différence avec nous, c’est qu’ils ne cherchent même pas à cacher que les élections sont truquées

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • La France est le pays le plus taxé du monde : trop d’assistés, trop de députés, trop d’immigrés… 1ère partie

    Paysan Savoyard sur Facebook

    (janvier 2019)

    Info : le pseudo du moment, Hubert Defrasses, tient toujours sur FB (sauf sur Le Monde, Libération, France-culture, 20 minutes, Le Parisien et l’Express, d’où je suis banni).

    Sur l’invasion et sur la France envahie

    L’armée française se bat dans des pays lointains qui ne nous concernent en rien…. Pendant ce temps, les frontières ouvertes à tout vent laissent entrer les envahisseurs par milliers chaque jour…

    Bien consciente de son inutilité, l’armée s’ennuie et patrouille dans les marchés de Noël… Pendant ce temps les frontières sont ouvertes à tout vent…

    (Les héros du Thalys reçoivent la nationalité) Occasion de rappeler que l’on donne la nationalité à 100.000 « français de papier » par an… Sans parler des 300.000 qui la reçoivent à la naissance, en vertu du soi-disant droit du sol…

    Sur le Système mondialiste et immigrationniste, son projet, sa propagande, ses collabos, ses dissidents

    La haine, c’est le Système qui l’a semée : en délocalisant les emplois ; en enrichissant les riches comme jamais ; en matraquant d’impôts la classe moyenne ; en organisant l’invasion migratoire de l’Europe…

    Le Système… Qui ? Le CAC 40 et ses relais, politiciens, hauts fonctionnaires et journalistes… Quoi ? La politique mondialiste, immigrationniste et libérale-libertaire… Pourquoi ? La concentration du pouvoir et de la richesse au profit d’une minorité infime…

    Les vrais extrémistes sont au pouvoir : ils ont délocalisé les emplois ; ils ont enrichi les riches comme jamais ; ils matraquent les Français moyens de taxes et d’impôts ; et ils organisent l’invasion migratoire de l’Europe…

    La trahison de la classe dirigeante européenne, qui organise l’invasion de son propre continent, dépasse tout ce que l’Histoire avait jusqu’ici imaginé de pire…

    Invasion.Trahison. Résignation

    (une œuvre de Bansky volée au Bataclan) Quant au Bataclan c’était l’oeuvre du Système…

    Certains, comme le Medef et le CAC 40, sont favorables à l’immigration parce qu’elle permet de casser les salaires. D’autres refusent de s’opposer à l’immigration par sensiblerie… Le résultat est identique…

    La seule religion dont on a le droit de se moquer est la religion chrétienne… A juste titre d’ailleurs : les chrétiens sont tellement poires…

    Bon, résumons. Les politiciens sont corrompus et nous trahissent. Les médias, vendus aux milliardaires, mentent et nous manipulent. De la bouffe aux couches-culottes, tout ce qu’ils nous vendent est empoisonné. Les immigrés arrivent par paquets de mille. Tout va bien…

    Sur les politiciens, la sphère politico administrative, la gauche, la droite, la classe dominante

    (vénezuela : l’élection de Maduro est illégitime) Et l’élection de Macron-Rothschild-Zupiter, fabriquée par Match et Closer, manipulée par les juges  et financée en douce par le CAC 40, elle est légitime ?

    Macron-Rothschild a tous les pouvoirs et aucun scrupules

    (projet de loi anti casseurs) Macron-Rothschild, dur avec les faibles, faible avec les durs

    Macron-Rothschild s’est entouré de plusieurs personnages tels que ce Ben Allah. L’une des façons pour lui de mépriser et de défier les Français moyens de souche…

    Exemple de Fake news : « la grande majorité des politiciens sont honnêtes »

    Exemple de Fake news : « L’immense majorité des immigrés veulent s’intégrer »

    Exemple de Fake news : « les journalistes sont indépendants des milliardaires qui possèdent les journaux »

    Exemple de Fake news : « L’immigration est une chance pour la France (E. Macron) »

    Exemple de Fake news : Macron a financé sa campagne sans le soutien des banquiers…

    Exemple de Fake news : « la classe dirigeante recherche l’intérêt général »

    L’extrême-gauche se prétend opposée au Système et proche du peuple. Mais elle approuve l’immigration, décidée par le Système et que le peuple rejette massivement… Contradiction insurmontable…

    La fausse droite mise sur la poursuite du jeu des vraies-fausses alternances, qui la mettra en bonne place pour gouverner la prochaine fois… et pour poursuivre ainsi à son tour la politique menée par le Système depuis plus de quatre décennies.

    Les médias appartiennent aux milliardaires et racontent ce qui plaît aux milliardaires.

    Aux ordres des milliardaires qui les emploient, les journalistes s’étonnent d’être haïs par les Français moyens de souche…

    Les bourgeois de droite habitent rive droite, les bourgeois de gauche rive gauche

    Les autorisations d’ouverture de grandes surfaces sont également l’occasion d’arroser les élus qui les accordent… La France, l’un des pays les plus corrompus d’Europe…

    (rapport du sénat sur la cyberguerre) Assoupi sur son siège cramoisi, le sénateur cacochyme rêve de cyberguerre et d’objets connectés…

    De Gaulle, icône surfaite… Il s’est tiré en 40 avec bobonne. Rebelote en 68 parce que quelques pavés volaient… Et c’est lui qui a engagé le processus d’immigration…

    (Schiappa va animer le débat national dans une émission avec Hanouna) Cette spécialiste du porno est en tout cas experte en ébats…

    Quand le résultat des quelques référendums qu’il organise le gêne, le Système s’assoit dessus…

    Onfray ne sait plus où il habite. Il est athée et matérialiste mais reconnaît qu’une société ne peut exister durablement sans la dimension du sacré… Il est libertaire mais accuse Macron d’abîmer la fonction présidentielle…

    (le député Son-Forget quitte la REM pour l’UDI) Chez Macron il se sentait un peu bridé

    La fondation subventionnée « abbé machin » pleurniche sur les pauvres et veut en faire venir plein d’autres du monde entier…

    Plus il y a de pauvres, plus il y a de subventions pour ces fondations et associations bidon…

    Le droit se tord dans tous les sens, en fonction du rapport de forces du moment et des préjugés des juges….

    Les hauts comités, hauts conseils et autres hautes autorités soi-disant indépendantes ; les multiples comités Théodule ; les pseudos associations para administratives ; le conseil économique et social ; l’inutile sénat ; les gâchis de la décentralisation et du mille-feuilles ; le trop grand nombre de députés, absentéistes qui plus est… : la France est un pays immensément corrompu…

    À suivre 

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • Des « citoyens » payés pour participer au grand débat national ?

    Macron à Souillac.pngLes masques sont tombés. 
    Depuis un mois, les Français ont compris que le « grand débat national » n’était qu’une vaste opération de communication permettant au président de la République (En Marche) de s’offrir de longs monologues retransmis intégralement par les chaînes d’information.
    Les lieux, les séquences « émotion », les maires amis triés sur le volet : rien n’est laissé au hasard par Emmanuel Macron qui est à la fois l’acteur principal, le metteur en scène et le réalisateur de cette campagne électorale déguisée. Dernièrement, l’émission C Politique sur France 5 révélait le dessous des cartes avec le témoignage d’un apprenti chaudronnier du Creusot en marge d’une rencontre avec des jeunes en Saône-et-Loire : « Le Président sait déjà nos questions, quand on va les poser, tout est millimétré. »
    Macroniste d’inspiration, l’exécutif socialiste de la Région Bourgogne Franche-Comté va même plus loin dans l’enfumage. Lors de la commission permanente du 15 février, il a fait voter une délibération pour indemniser les citoyens participant à la journée citoyenne du 2 mars prochain dans la Nièvre et en Haute-Saône.
    Concrètement, les 100 heureux « volontaires » vont recevoir 70 euros et le remboursement de leurs frais de déplacement pour échanger quelques heures et rédiger un « avis citoyen » sur la question de la mobilité en milieu rural. Alors que le grand débat se voulait être un grand moment civique pour répondre à la crise sociale, la présidente PS du Conseil régional, Marie-Guite Dufay, décide de monnayer la participation et d’acheter ses intervenants.
    Comment seront sélectionnés ces « citoyens » ? Seront-ils rétribués sur présentation de la carte du PS ? Comment apprécier la liberté et la sincérité des participants alors qu’ils seront payés par la Région pour venir discuter ?
    Au-delà de ces interrogations légitimes, se pose la question de l’utilisation de l’argent public pour financer la démocratie participative.
    Le Rassemblement National de Bourgogne Franche-Comté dénonce cette indemnisation de la parole citoyenne qui instaure une discrimination de fait entre les acteurs rémunérés et tous les habitants sincères qui font vivre le débat de manière désintéressée dans les communes de Bourgogne Franche-Comté.
    Le Rassemblement National appelle les Bourguignons et les Francs-Comtois à participer massivement au seul grand débat concret, démocratique et gratuit : les élections européennes du 26 mai 2019 !
    Communiqué de presse de Julien Odoul
    Sur le même thème lire aussi:

  • François Boulo, l'avocat préféré des «gilets jaunes»

    Cet avocat de 32 ans est de plus en plus populaire au sein des «gilets jaunes».
    Il est notamment apprécié pour ses qualités oratoires qui lui permettent de porter sur la scène médiatique les revendications du mouvement. 
    Près de 60.000 personnes suivent sa page Facebook.
    Merci à Fabie
    (Pour moi, à titre personnel, le seul représentant crédible susceptible de coordonner et de défendre les revendications des gilets jaunes)
     

  • Chômage : une baisse en trompe-l’œil.

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    Jean-François Touzé,
    membre du Bureau du Parti de la France
    Ce devrait être une bonne nouvelle. Elle n'en a que l'apparence.
    Annoncée avec tambours et trompettes par la ministre du travail Muriel Pénicaud le 14 février, la baisse de 1,1 % du chômage au quatrième trimestre 2018 (mais qui, à part le gouvernement peut bien se réjouir que la France connaisse encore un taux de chômage à 8,8 %, ce qui la place au quatrième rang des pays européens les plus touchés, derrière la Grèce, l'Espagne et l’Italie ?), relève du trompe-l’œil et ne saurait malheureusement s'inscrire dans un processus durable d'inversion d'une courbe qui risque de repartir très vite à la hausse.
    Outre les habituelles manipulations statistiques destinées à masquer la réalité des chiffres (stages, formation, radiations) et l'effet mécanique du vieillissement de la population qui, conduisant chaque année un nombre croissant de Français à faire valoir leurs droits à la retraite, les soustrait de facto de la vie active et donc des risques de perte d’emploi, les signes du caractère éphémère de cette embellie se multiplient dans un contexte international dégradé.
    • Entrée attendue en récession des États-Unis où la consommation vient de reculer de 1,2 % au mois de décembre, en pleine période de Noël et où les défauts de remboursement d'emprunts, en particulier automobiles, explosent (on se souvient que les défaillances de crédits furent l'un des signes précurseurs de la crise de 2008) ; celle, avérée, même si elle n'est pas reconnue officiellement malgré deux trimestres de croissance négative ou nulle, d’Allemagne où, là encore, la consommation des ménages s'est effondrée fin 2018 et dont les exportations ne cessent de reculer ; ralentissement de la croissance chinoise. Autres indicateurs toujours significatifs de l'activité, le repli alarmant des ventes d’automobiles en Europe (-4,6 % sur un an) et l'effondrement de la production industrielle des dix-neuf pays de la zone euro qui touche son plancher le plus bas depuis dix ans.
    • Incertitudes géopolitiques planétaires, guerre commerciale voulue par les États-Unis, interrogations liées au Brexit.
    En France aussi la consommation enregistre une stagnation qui pourrait, même si la croissance reste pour le moment positive, se transformer rapidement en net fléchissement au moment où l'on apprend que les prix des produits de première nécessité ont connu une hausse de 3,4 % en supermarché et de 4 % en hypermarché entre le 26 janvier et le 9 février (en deux semaines donc). Les achats en biens ont, quant à eux, reculé de 1,5 % à la fin de l’année, tandis que le moral des entrepreneurs ne cesse de baisser, que leurs intentions d'investissement accusent un net refroidissement et que le nombre de défaillances d'entreprises repart à la hausse après trois ans d'accalmie (+2,2 % au second semestre). Sans compter, même si le poids macroéconomique en reste relativement léger (- 0,1 % sur la croissance au quatrième trimestre selon l'INSEE, c’est-à-dire un peu plus de 2 milliards d'euros tout de même), l'effet Gilets jaunes sur les commerces et les petites entreprises (entre -30 % et -60 % de chiffre d’affaires, 72 000 emplois partiels menacés). Autant de tendances lourdes que ne saurait compenser, au-delà d'un certain effet d'aubaine, la prime d'activité promise par Macron et prochainement versée par les entreprises qui le pourront, pas plus que les 11 milliards réinjectés dans l’économie ne pourront faire oublier l’augmentation des taxes et des prélèvements obligatoires. D'autant moins que ces 11 milliards seront au final payés par le contribuable, d'une manière ou d’une autre.
    Pour le Parti de la France, le retour à l'emploi passe par une vaste politique volontariste consistant à la fois à :
    • Relancer la consommation par un relèvement du pouvoir d'achat (ce qui suppose une baisse réelle de la pression fiscale et donc une réduction drastique des dépenses publiques hors devoirs régaliens de l'État).
    • Rétablir la confiance des Français et des entrepreneurs par un retour à la cohésion nationale, à la compétitivité française et au patriotisme économique.
    • Agir dans le sens d'une protection des marchés européens couplée à une ambition stratégique de conquête commerciale et de réindustrialisation.
    • Permettre l'adaptation de nos formations professionnelles aux réalités de l’emploi pour affronter le défi « Offre/Demande ».
    Mitterrand disait que contre le chômage, on avait tout essayé… Tout ? Sauf la voie nationale.
     

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