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  • Dimanche 17 mars à Rungis : Assises de la France des Gilets jaunes

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    Venez nous retrouver sur

    le stand de Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La police tire sur les Gilets jaunes, mais protège les casseurs gauchos…

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    Sophie Durand, Riposte laïque, cliquez ici

    Lors de l’acte XIII des Gilets jaunes, un casseur a été suivi depuis le début de la manifestation et pendant des heures par la police. Il a pu faire ainsi des dégâts astronomiques. Sans être arrêté, ce qui laisse totalement pantois.

    « Nous avons différé son interpellation au vu de la présence hostile de très nombreux manifestants » écrit la police dans son rapport. De très nombreux casseurs alors ? Pourtant la police n’a pas eu de ces précautions lors des nombreuses interpellations de Gilets jaunes…

    Le casseur porte un masque et des lunettes de protection qui lui cachent le visage et à intervalles réguliers il enfile un gilet jaune par-dessus sa tenue toute noire de casseur. Il l’enlève pour casser, c’est moins voyant. On l’a laissé passer avec ce masque, alors qu’on a enlevé aux Gilets des écharpes qui auraient pu les dissimuler…

    Le casseur sort d’abord un marteau de son sac. Ah bon ? On ne le lui a pas confisqué, alors qu’on a confisqué aux Gilets jaunes des masques en papier très dangereux ?… Son pied de biche non plus n’a pas été confisqué.

    Tout au long de la journée, il se sert de l’un et de l’autre alternativement, donne des coups de pieds partout où il peut, jette des pavés. Il attaque tout ce qui peut être attaqué, casse tout ce qui peut être cassé, fait des moulinets avec des trottinettes électriques. Mais on ne l’arrête pas.

    Le casseur s’attaque à la vitrine d’une banque Bred. Puis il casse la vitrine en marbre d’une compagnie d’assurances et se sert des morceaux comme de projectiles, qu’il lance sur la police. Il abîme des caméras de surveillance, puis une voiture de police golf, qu’il attaque à coups de barrières de chantier. Ensuite il vole un ordinateur dans une agence Allianz. Il s’attaque  à une agence BNP, une concession Renault, puis casse les vitres d’une Porsche, et y met le feu. Le propriétaire, le chef cuisinier Etchebest, ne doit pas être ravi de l’incurie manifeste de la police…

    Le casseur vole une sacoche dans une BMW et répand son contenu dans le ruisseau. Puis arrivé près de la Tour Eiffel, il s’acharne à coups de marteau sur les vitres de protection du monument. Enfin il s’approche d’un véhicule de Vigipirate et y met le feu. Le véhicule brûle intégralement.

    Enfin la police disperse les manifestants et le casseur prend la fuite. Il est finalement rattrapé vers 18h par des policiers en civil, et décline une fausse identité. Pas de chance : il est connu de la police pour avoir déjà cassé. Thomas P.  est enfin placé en garde à vue. Thomas P. ? Les journaleux passent leur temps à donner très vite le nom de patriotes, mais pour ce casseur on n’a que le prénom ? Comme c’est étonnant…

    De qui la police se moque-t-elle ? Son rôle n’est-il pas de mettre fin aux agissements des casseurs, plutôt que de les filmer de loin ? Son rôle n’est-il pas de les arrêter ? Mais non, voyons, elle préfère interpeller les Gilets jaunes.

    La police fait des arrestations préventives d’Identitaires qui n’ont rien fait, mais n’arrête pas un casseur et préfère le suivre toute la journée en le laissant casser.

    Laurent Nunez a le front d’expliquer que la police ne peut pas interpeller sur le champ tous les casseurs. Évidement : sa mission première est de faire la guerre aux Gilets, pas d’arrêter les casseurs. Ou le monde à l’envers.

    Les grenades de désencerclement ou les LBD ne sont pas utilisés pour arrêter les actions des casseurs, mais celles des Gilets jaunes. Un LBD judicieusement lancé aurait pu et dû arrêter ce casseur, mais la police garde ses LBD pour les Gilets.

    Quand la police en arrive à de tels comportements, de tels atermoiements, de tels aveux d’impuissance alors qu’elle est puissamment armée, on ne peut que se demander si elle n’est pas complice des casseurs.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/15/la-police-tire-sur-les-gilets-jaunes-mais-protege-les-casseu-6128871.html

  • Permanences ou domiciles de parlementaires visés: les députés LREM paient leur trahison

    images.jpgJ’ai établi une petite liste chronologique des députés LREM menacés depuis le  17 novembre, jour où le mouvement Gilet jaune commença.
    Il y a un mois, j’évoquais la fin de la légitimité des institutions. Car des institutions qui ne sont plus reconnues par le peuple ne sont plus légitimes, on ne le répétera jamais assez.
    D’autant que les députés ne servent pas le  peuple qui les a élus  mais leurs seuls partis qui ne sont pas des représentants du peuple, cela conduisant aujourd’hui une bonne partie de nos élus à adopter des mesures opposées aux légitimes intérêts des Français.
    Je donnais alors quelques noms  de députés contestés et plus ou moins menacés. Aujourd’hui, leur nombre a sensiblement augmenté. J’en ai certainement oublié un certain nombre, mais la liste suivante montre que partout sur le territoire national, dans toutes les régions, du nord au sud et de l’est à l’ouest,  la contestation bat son plein. Le message est clair : « démissionnez, partez, foutez le camp, on ne veut plus de vous ». J’ai établi une petite liste chronologique des députés LREM menacés depuis le  17 novembre, jour où le mouvement Gilet jaune commença.
    Le 20 novembre  2017, il semble que ce soit  Carole Bureau-Bonnard, députée de l’Oise, qui ait été la première à se trouver contestée, lorsqu’une trentaine de Gilets jaunes vinrent scander devant son domicile  « Bonnard au placard ». On appréciera la rime.
    Deux jours après, le 22 novembre, Christophe Lejeune, député de Haute-Saône, crut sa dernière heure venue lorsqu’une vingtaine de Gilets jaunes tentèrent de forcer la porte de son domicile, finissant par la cadenasser.
    – Le même jour, Olivier Gaillard, député du Gard, eut le bonheur de voir devant sa permanence un cercueil avec la pancarte: « Macron, Gaillard, dehors ».
    – Le 23 novembre  Mireille Robert, députée de l’Aude, fut effrayée quand une quarantaine d’hommes casqués et cagoulés menaçants parvinrent à s’introduire chez elle.
    Pendant la nuit du 26 au 27 novembre à Carpentras, la permanence du député de la 3e circonscription du Vaucluse, Adrien Morenas, fut murée par des parpaings colmatés avec de la mousse expansive.
    Le lendemain 28 novembre, ce fut le  député de la Moselle, Ludovic Mendes, qui reçut un courrier d’insultes commençant par « Ludovic Mendes la petite pute de Macron ».
    Le 29 novembre, la députée LaREM de l’Eure,  Claire O’Petit,  raconta  que sa permanence de Vernon avait  été vandalisée à coups de masse après son passage sur LCI où elle critiqua les Gilets jaunes. « Mon discours n’a pas plu à certains et ils ont voulu se venger. Ce sont des actes inadmissibles ».  
    Le 2 décembre,  ce fut la députée vendéenne Patricia Gallerneau qui eut la mauvaise surprise de trouver une dizaine de poubelles déversées devant sa permanence de La Roche-sur-Yon.
    De son côté le 3 décembre  Florian Bachelier, député d’Ille-et-Vilaine  et premier questeur de l’Assemblée nationale, se plaignit  d’intimidations physiques : « vers 7 h 30 du matin,  je sortais de mon domicile à Rennes pour me rendre à ma permanence pour recevoir une nouvelle délégation de Gilets jaunes, quand un homme cagoulé posté devant chez moi me lance une mise en garde sans ambiguïté. Il me prévient que si je continue à défendre la politique d’Emmanuel Macron,  je prends des risques énormes. »
    Le même jour Élise Fajgeles, députée de la 5e circonscription de Paris, dit avoir reçu des menaces de mort  après avoir reconnu sur le plateau de CNews ignorer le montant du Smic.
    Le 5 décembre la députée de Paris Olivia Grégoire, compagne d’Emmanuel Valls, affirme avoir reçu par mail des messages d’une « violence incommensurable […] Ceux qui m’ont le plus touchée disaient que le fait que je n’aie pas d’enfant me disqualifiait en tant que parlementaire ».
    Ce même 5 décembre Matthieu Orphelin, député du Maine-et-Loire, aurait vu les numéros de téléphone de ses proches diffusés sur les réseaux sociaux.
    Le 6 décembre Émilie Chalas, députée de la 3e circonscription de l’Isère, aurait  annulé à la dernière minute une réunion publique après avoir été victime de menaces dites « sérieuses ».
    Le 7 décembre à Saint-Omer (Pas-de-Calais) le député Benoît Potterie a reçu dans son courrier une cartouche de fusil accompagnée d’un mot menaçant.
    Le 8 décembre la députée Jacqueline Dubois a vu sa voiture et celle de son époux s’enflammer devant leur domicile de Vézac (Dordogne).
    Le même jour c’est la permanence du député Marc Delatte, à Chauny (Aisne) qui a été vandalisée, et taguée avec les mots  « Démission FDP, Gilet jaujaune ».
    Dans la nuit de samedi 8 et dimanche 9 décembre, la permanence d’Anne-Laure Cattelot députée du Nord, fut également  vandalisée et taguée avec les mots « En marche racketteur », la députée se plaignant en outre que ce n’était pas la première fois. « J’ai déjà été victime d’intimidations et de menaces, lors des 80 km/h ».
    Le 15 décembre, le député de l’Eure Bruno Questel s’est plaint d’une tentative d’intimidation de 40 Gilets jaunes, de coups de feu tirés devant son domicile, et d’un cortège de  20 voitures défilant en klaxonnant.
    Dans la nuit du dimanche 30 au lundi 31 décembre, des inconnus s’en prirent  à la permanence du député de Gironde, Florent Boudié, dans le centre de Libourne, inscrivant à la peinture jaune fluo  « Bonne année islamo-collabo » .  
    Le 4 janvier le député de la Vienne Sacha Houlié annonça sur Twitter avoir porté plainte pour  dégradations commises sur sa permanence à Poitiers, avec  des inscriptions et de la paille déposée.
    Le même jour 4 janvier la députée de Paris Olivia Grégoire constata également des dégradations sur  sa permanence.
    Le 12 janvier, Élisabeth Toutut-Picard, députée de Haute-Garonne, Mickaël Nogal, député LREM de Haute-Garonne et Jean Terlié, député LREM du Tarn, se plaignirent de se sentir sans cesse menacés.
    Si l’on ajoute à cette liste non exhaustive les menaces pesant sur des ministres et un président honni de presque tous, on voit que le système est arrivé à sa fin, le dernier épisode concernant la maison de Ferrand qui aurait failli brûler.
    Certes nous ne pouvons personnellement cautionner des voies de fait, mais peut-être tous ces gens devraient-ils enfin écouter le peuple au lieu de le mépriser, de le maltraiter, et de vouloir ignorer que lorsqu’on ne fait plus qu’un repas tous les deux jours comme aux pires années du XIXe siècle pour pouvoir nourrir ses enfants (lisez ou relisez Jean Christophe, de Romain Rolland), lorsqu’on doit vivre en manteau ou en blouson dans des appartements glacials car on ne peut plus se chauffer, le coût de l’énergie étant déraisonnable, lorsqu’on laisse ses dents se gâter parce que les frais dentaires sont trop élevés, on ne s’étonnera pas de la haine que peuvent susciter les privilégiés d’un système qui a largement fait son temps.
    Louise Guersan pour ripostelaique.com

  • Les Gilets jaunes se font voler leur révolution, par Ivan Rioufol

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    Les Gilets jaunes voient leur révolution confisquée. Eux qui cherchent notamment à “démocratiser la démocratie” (expression de Laurent Fabius, ce mercredi sur RTL) ne maîtrisent plus vraiment un mouvement qui leur échappe. Il a été habilement détourné, à la fois par la gauche et par le chef de l’Etat, dans une même stratégie du coucou, du nom de cet oiseau qui pond dans le nid des autres, quitte à semer la peur chez les récalcitrants. Cela fait quelques semaines que les premiers Gilets jaunes, ces petits patrons ou employés du privé venus à Paris du fond des provinces, ont laissé place à des manifestants plus urbains, plus syndicalisés, plus politisés, plus violents. C’est un militant de la CGT du nord qui pilotait le transpalette, préalablement dérobé, qui a servi à défoncer la porte du porte-parolat du gouvernement, le 5 janvier. L’extrême gauche est désormais bien visible dans les défilés qui se radicalisent et dégénèrent.

    Elle est reconnaissable à ses slogans, ses drapeaux, son organisation. Les black blocs et les antifas sont là comme des poissons dans l‘eau. Parallèlement, Emmanuel Macron a, lui aussi, réussi à s’approprier une partie de la révolte populaire, en transformant le besoin d’expression de la société oubliée en un long monologue présidentiel, retransmis par toutes les chaines d’information. Se vérifie chaque semaine la critique émise par Chantal Jouanno, présidente de la commission nationale du débat public, d’un “grand débat faussé”. Ce prétexte avait justifié sa décision de se retirert du processus, après une polémique sur son salaire élevé. Mais, de fait, ce devrait être aux Français d’interroger le pouvoir, et non l’inverse.

    Cette stratégie du coucou est préjudiciable au mouvement de fond. Il paie là son manque d’organisation, de programmes, de leaders. Résultats : la gauche tente d’introduire dans les revendications ses marottes sur la lutte des classes, la haine du riche, l’égalitarisme au cordeau. Macron a entamé, en douce, sa campagne pour les Européennes tout en assurant qu’il n’en est rien. La macronie, habitée par ses idées fixes, tente déjà de revendre sa fiscalité écologique en la présentant cette fois-ci comme “équitable”. Avant même de connaître les résultats du grand débat, 86 députés de la majorité présidentielle signent, ce mercredi dans Le Figaro, une tribune qui défend le retour à la taxe carbone, ce détonateur du réveil des Oubliés.

    Alors que les Gilets jaunes réclament moins de taxes et d’impôts, le gouvernement réfléchit à de nouvelles impositions. Bienvenue en Absurdie ! En fait, tout se met en place pour attiser davantage des frustrations des citoyens irrités : une fois de plus, ils sont en train de voir leur parole confisquée par des partis qui n’ont rien vu venir, et par un pouvoir qui n’entend pas changer de ligne. C’est ce que le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre, a déclaré ce matin sur LCI : “On a changé sur la méthode, mais pas sur les objectifs”. Reste que rien n’est aujourd’hui réglé de la révolution entamée, qui réclame plus de démocratie, plus de proximité, moins d’assistanat (lire ici). La France est sur un volcan. Relire Victor Hugo : “Le plus haut symbole du peuple, c’est le pavé. On marche dessus, jusqu’à ce qu’il vous tombe sur la tête”.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 13 février 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

  • Taxe carbone : elle est passée par ici, elle repassera par là…

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    La taxe carbone, c’est comme le furet qui court qui court : elle est passée par ici, elle repassera par là…

    Au passage – et je prie, par avance, nos lecteurs de m’excuser pour le propos un brin salace qui va suivre –, l’histoire colle encore plus à la chanson qu’on ne l’imagine. Il se dit, en effet, que les paroles de la comptine dissimulent une contrepèterie qui, en cette fin de XVIIe siècle, concernait le cardinal Dubois, ministre du régent Philippe d’Orléans, et, ce faisant, affreux jojo très friand des dames de la cour.

    Bref, quand les enfants chantent « Il court, il court, le furet/Le furet du bois joli », il faut entendre « Il f…e, il f…e, le curé/Le curé Dubois joli… »

    Une fois encore, je vous prie de m’en excuser, mais, sans vous faire un dessin, la métaphore s’applique exactement à la taxe en question…

    C’est le ministre de la Transition écologique, François de Rugy, qui l’a dit ce mardi : le retour du chat noir est dans les tuyaux. Autrement dit, le monstre qui a déclenché l’ire de la France rurale et l’envolée des gilets jaunes vers les ronds-points est de retour : annulée en décembre, pour cause de prurit révolutionnaire, la taxe carbone « est sur la table » (de Rugy dixit).

    Avec un petit aménagement, bien sûr : « Si on est capable de dire que cet argent irait à 100 % dans la transition écologique, irait à des aides aux Français qui en ont le plus besoin, à ce moment-là, on pourrait peut-être reprendre cette trajectoire. »

    Et là, on rigole. Jaune. Jaune fluo, même. Vous en connaissez, vous, des taxes qui vont « à des aides aux Français qui en ont le plus besoin » plutôt que dans les caisses de l’État en faillite ?

    Certes, l’actuel gouvernement n’est pas le père de cette taxe. Certes, elle a été décidée dans la foulée des grands machins sur le climat. Certes, elle est l’enfant d’un gouvernement de gauche qui s’est empressé de reculer quand les bonnets rouges, géniteurs des gilets jaunes, ont sorti les fourches. Certes, elle n’a été que « suspendue » par Édouard Philippe en attendant des jours meilleurs.

    Ces jours meilleurs sont-ils advenus ? On les envisage à l’horizon 2020. C’est, du moins, ce que laisse entendre la secrétaire d’État Brune Poirson, qui voit dans cette taxe « un outil qui est efficace » et « qui a un vrai impact ». Sur le porte-monnaie des automobilistes, sans aucun doute ; sur le climat, c’est plus discutable. En effet, seulement 19 % des recettes liées à la TICPE étaient destinés au financement de la transition énergétique, soit 7,2 milliards d’euros, sur les 37,7 milliards espérés pour 2019, le reste étant capté par le budget de l’État.

    D’aucuns avancent une modulation d’un genre particulier : réserver la taxe aux plus riches. Idée totalement bidon dont on ne voit pas comment elle pourrait s’appliquer : faudrait-il montrer sa feuille d’impôt à la pompe à essence ? Démagogie, quand tu nous tiens…

    Reste que le retour de la taxe carbone dans le débat pourrait bien faire figure de chiffon rouge sous le nez du taureau, car on ne voit pas pourquoi ce qui a mis le feu aux ronds-points en novembre pourrait l’éteindre en février ! En bon français, ça s’appelle même souffler sur les braises.

    Mais peut-être est-ce le but ?

    Marie Delarue

    http://www.bvoltaire.fr/taxe-carbone-elle-est-passee-par-ici-elle-repassera-par-la/

  • Gilets Jaunes : l’obsession irrationnelle de l’extrême-droite – Journal du jeudi 14 février 2019

     

    Gilets Jaunes : l’obsession irrationnelle de l’extrême-droite

    Alors que l’exécutif s’empêtre dans la crise des Gilets Jaunes, une commission d’enquête a été ouverte sur la lutte contre les groupuscules d’extrême-droite. Une obsession qui permet d’éviter les réponses politiques au mouvement social et de faire l’impasse sur l’essentiel des violences commises par l’extrême-gauche.

    Gilets jaunes : l’impossible transformation électorale ?

    Ingrid Levavasseur, tête de liste Gilets Jaunes abandonne le Ralliement d’Initiative Citoyenne… si elle n’abandonne pas l’idée d’une candidature aux européenne, sa défection illustre les limites d’une hypothétique transformation électorale du mouvement.

    Conseil Constitutionnel : un renouvellement très politique

    Stupeur à Bordeaux, Alain Juppé a décidé de quitter son fauteuil de maire pour rejoindre le Conseil Constitutionnel sur proposition du président de l’Assemblée, Richard Ferrand. Une manoeuvre très politique en vue des élections européennes.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-lobsession-irrationnelle-de-lextreme-droite-journal-du-jeudi-14-fevrier-2019

  • Gilets Jaunes : l’obsession irrationnelle de l’extrême-droite – Journal du jeudi 14 février 2019

     

    Gilets Jaunes : l’obsession irrationnelle de l’extrême-droite

    Alors que l’exécutif s’empêtre dans la crise des Gilets Jaunes, une commission d’enquête a été ouverte sur la lutte contre les groupuscules d’extrême-droite. Une obsession qui permet d’éviter les réponses politiques au mouvement social et de faire l’impasse sur l’essentiel des violences commises par l’extrême-gauche.

    Gilets jaunes : l’impossible transformation électorale ?

    Ingrid Levavasseur, tête de liste Gilets Jaunes abandonne le Ralliement d’Initiative Citoyenne… si elle n’abandonne pas l’idée d’une candidature aux européenne, sa défection illustre les limites d’une hypothétique transformation électorale du mouvement.

    Conseil Constitutionnel : un renouvellement très politique

    Stupeur à Bordeaux, Alain Juppé a décidé de quitter son fauteuil de maire pour rejoindre le Conseil Constitutionnel sur proposition du président de l’Assemblée, Richard Ferrand. Une manoeuvre très politique en vue des élections européennes.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-lobsession-irrationnelle-de-lextreme-droite-journal-du-jeudi-14-fevrier-2019

  • Zoom – Fiorina parle pour la première fois… sur TV Libertés

     

    Son visage blessé a ému de très nombreux Français. Le 8 décembre, Fiorina, jeune patriote de 20 ans qui participait pacifiquement à la manifestation des Gilets Jaunes a reçu un projectile provenant des forces de l’ordre et a perdu un œil. Accompagnée de son compagnon Maxime, Fiorina s’exprime pour la première fois. L’étudiante a choisi TV Libertés pour livrer son témoignage.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-fiorina-parle-pour-la-premiere-fois-sur-tv-libertes