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GILETS JAUNES : UN EX DE LA DGSE DÉNONCE LA RÉPRESSION
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Réinfo, magazine d'information du Parti de la France du 21 janvier 2019
Réinfo, journal d’information bimensuel du Parti de la France, présenté par Sylvie Collet.
AU SOMMAIRE DE CE NUMÉRO :
• Le CICE rentable surtout pour les grands patrons : Destiné à toutes les entreprises qui emploient des salariés, ce crédit d'impôt devait les aider à embaucher et à investir. Nous verrons que cette usine à gaz n'a créé aucun emploi et a surtout bénéficié aux multinationales qui annoncent cette année des dividendes records, pour leurs actionnaires.
• Sécurité sociale nouvelle hausse. Le gouvernement veut faire des économies sur le dos de la santé et du porte-monnaie des Français. Alors que la demande du Sénat d'un rapport d'information sur l'étendue d'une fraude à notre système de protection sociale, estimée en 2011 à 14 milliards d'euros par an, n'a pas été suivie par l'Assemblée nationale.
•Tout va bien, vous êtes en Macronie. Avec la suite du feuilleton Benalla, la loi Egalim face à un Conseil constitutionnel sous l'influence des lobbies industriels et le choix du gouvernement de faire appel à un cabinet d'avocats pour écrire l'exposé des motifs de sa loi sur les mobilités.
• FEAGA et FEADER escroquerie et loupé monumental.La PAC continue de creuser des inégalités entre agriculteurs favorisant les grandes exploitations et paupérisant les plus petites. On parlera également des dysfonctionnements de gestion des fonds, lié au logiciel imposé par l'Etat et qui va faire perdre aux territoires ruraux près de 700 millions d'euros.
Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement -
Tiens, on a retrouvé Édouard Philippe !
Édouard Philippe, vous connaissez ? Le Premier ministre, grand, barbu, celui qui ne voulait pas de « bololo » avant le 17 novembre ? Sur les ronds-points, dans les manifestations du samedi, vous avez beau demander, écouter, on ne connaît qu’un nom : « Macron ». Et un prénom : « démission ». On commence tout de même à en connaître un autre : Castaner. Et pour cause. Mais Édouard Philippe, non, pas vu, pas passé par ici.
Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes. Un Premier ministre fantôme. Surtout depuis qu’il avait ouvert la porte du jardin, un samedi soir, à un Benjamin Griveaux détalant devant un transpalette qui avait détruit sa maison de paille. On aurait sans doute fait de même. Histoire de ne pas insulter son avenir personnel. Histoire de ne pas perdre davantage de ce qui lui restait de cohérence alors que le Président détricote et rétropédale à tout-va. Il paraît que le 80 km/h était la limite à ne pas franchir, sinon Édouard quittait la bateau.
Mais il a suffi que le Président semble reprendre la main, que les sondages virent tous au vert pour qu’Édouard Philippe réapparaisse sur les écrans. Il participait, vendredi soir, à un petit débat du grand débat national, à Sartrouville, dans les Yvelines, dans la circonscription de Yaël Braun-Pivet, cette députée LREM connue pour avoir sabordé la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur Alexandre Benalla en août 2018. Une émule de Jean-Paul Delevoye, quoi.
Alors, des nouvelles du Premier ministre ? Eh bien, figurez-vous qu’il va très bien. Ni rhume ni grippe ni déprime hivernale. Il fera même plusieurs débats par semaine : « Dans des formats très différents, car il y a presque autant de formules que de débats : des petits, des grands, en ville ou à la campagne, avec ou sans la presse. Au moins deux à trois fois par semaine, plus si possible. »Quelle énergie ! On sent que sa cure de sommeil lui a été bénéfique.
Et sinon, qu’a à nous dire le chef du gouvernement, l’homme censé « déterminer et conduire la politique de la nation » ?
D’abord, un mea culpa de bon aloi. « Moi, j’ai jamais aucun problème à dire “Je me suis trompé”. »Sauf que rien ne sera dit sur les 80 km/h : à Sartrouville, visiblement, il n’y a pas de radars, pas de gendarmes qui verbalisent. Bizarre, on ne vit pas dans le même pays… Et qu’il défend sa suppression de l’ISF.
Ensuite, une banalité qui ne mange pas de pain (ni de milliards) sur la fiscalité « trop complexe ».
Enfin, une vraie conviction sur le RIC : « Si on fait ça, on rentre dans une mécanique qui est terrible, où on passe son temps à remettre en cause des choses (votées). » Pas faux. Mais pas inintéressant, non, de remettre en cause des choses votées ? C’est un peu ça, la démocratie, d’ailleurs. Et c’est ce qui est effectivement arrivé, sans RIC, à l’ISF depuis 1981 : voté, dévoté, revoté, etc.
Mais, on l’a compris, l’important, c’est le débat, le petit, le grand, l’urbain, le rural, le débat trois fois par semaine, le débat jusqu’à plus soif. Jusqu’à plus de gilet jaune.
« On a un débat bien français, passionné, parfois ça chauffe un peu, mais c’est comme ça, c’est normal. On est dans un pays où, un vendredi soir – à 11 heures moins le quart ! -, il y a des femmes, des hommes qui considèrent que c’est important de parler ensemble de ce qu’ils souhaitent pour leur pays. Rien que ça, ça devrait nous donner la pêche. »
Il a de l’humour, Édouard Philippe : le bololo lui a redonné la pêche. Merci, les gilets jaunes ! D’ici qu’avec le RIC, ils aient maintenant envie de le « hérisser ». Mais à la sortie de la salle, des gilets jaunes l’attendaient en hurlant « Macron démission ». Ouf, le Premier ministre est soulagé : il peut continuer le débat. Et retourner s’enfermer dans sa maison de pierre pour l’acte XI.
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Macron, ou le retour de l’Inquisition : une étrange conception de la liberté d’opinion
Le macronisme est une religion, avec son dieu et ses grands prêtres. Pas question de s’opposer aux dogmes qu’ils ont définis ! Ainsi, le bureau du groupe LREM s’est réuni jeudi pour examiner le cas d’une élue de l’Oise, Agnès Thill, accusée de propos hérétiques. On se croirait revenu au temps de l’Inquisition.
Que lui reproche-t-on ? Hostile à la PMA pour toutes, elle ne le cache pas. Elle avait déjà suscité l’ire d’une partie de ses collègues par des propos tenus sur Twitter : « Il y a un puissant lobby LGBT à l’Assemblée et l’Assemblée nationale n’est pas la France. » Aussitôt, les principaux dirigeants de son parti lui reprochent une « sémantique homophobe » et une « mise en cause insidieuse de certains [membres de la majorité] ». Haro sur l’hérétique !
Contrainte de présenter ses excuses, elle continue, l’insolente, de dénoncer les pressions qu’elle subit : « Depuis que nous discutons de la PMA, quand je cherche à faire entendre ma voix sur ce sujet crucial et central de notre société, des collègues parlementaires, y compris ceux de notre groupe, […] m’ostracisent et m’attaquent régulièrement. » Ayant fait acte de contrition, elle pouvait être absoute.
Mais voici qu’elle vient de récidiver. À l’occasion de la publication du rapport de la mission parlementaire sur la bioéthique, elle a déclaré que « l’absence de genre dans le mot parent favorise l’éclosion d’écoles coraniques ». Il n’en faut pas plus pour qu’elle soit accusée, non seulement d’homophobie, mais d’islamophobie, voire de xénophobie. L’élue rebelle déclare ne pas craindre une décision d’exclusion, car « on peut parler dans notre groupe » et elle compte continuer de défendre ses idées.Cette anecdote montre, s’il en était besoin, la conception que se font les cadres macroniens du dialogue, qui en dit long sur le grand débat qu’ils ont organisé. Vous avez le droit de prendre la parole et d’exprimer votre opinion si vous ne vous éloignez pas trop de la pensée normalisée. Au cours des débats de ces derniers jours, Macron est revenu, à plusieurs reprises, sur la nécessité d’être bien informé pour émettre une opinion éclairée, ce qui peut se défendre si l’on estime que le dialogue et la confrontation d’idées permettent d’approcher la vérité ou de trouver un consensus.
Encore faut-il que les sources d’information soient variées et que l’esprit critique ne s’exerce pas à sens unique. Mais notre Président considère implicitement qu’il fait partie de ceux qui savent, sont bien informés, d’où sa dénonciation des « fausses nouvelles » qui se développent sur Internet et les réseaux sociaux, étant bien entendu que lui et son clergé ne propagent que la vérité. Il a même recommandé une « hygiène démocratique du statut de l’information ». Autrement dit, si vous pensez mal, il faut vous soigner.Macron devrait relire l’œuvre de Soljenitsyne ou, à défaut, 1984 de George Orwell. Il comprendrait que la police de la pensée, les camps de rééducation, le contrôle de l’information sont les procédés habituels des États totalitaires. Dans sa façon de débattre avec ses interlocuteurs, il ne peut dissimuler un sentiment de supériorité. C’est un zélateur infatigable de sa propre religion.
Lui et sa majorité, son grand prêtre Benjamin Griveaux et sa grande prêtresse Marlène Schiappa veulent faire croire qu’ils sont à l’écoute des Français alors qu’ils sont prêts à excommunier tous les dissidents. Pour eux, le dialogue ne peut se concevoir qu’à l’intérieur de la pensée unique. Toute entorse à cette règle doit être réprimée.
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Point de vue : Le grand débat peut-il permettre une sortie de crise ?
Au moment où les débats se multiplient sur le territoire, le sociologue et philosophe Bruno Latour* salue cette chance d’amorcer ensemble la transition de nos modes de vie. Mais il insiste sur la nécessité de décrire, au préalable et avec précision, tout ce dont nous dépendons au quotidien, à l’instar des Français en 1789.
Bruno Latour : Le grand débat une occasion qu’il serait idiot de ne pas saisir. Mais pour que cette consultation contribue à refonder notre vie politique, il faut éviter d’en faire un super-sondage ou une boîte à idées. Car dans les deux cas, on part d’une idée fausse : les Français connaissent la situation dans laquelle ils se trouvent. La réalité est tout inverse : quarante ans de néolibéralisme et de mondialisation nous ont rendus incapables de savoir de quoi et de qui nous dépendons au quotidien. Nous ne percevons plus qu’une toute petite partie de la chaîne de dépendances dans laquelle s’inscrivent nos existences. En ce sens, il s’agit bien, comme à la veille de la Révolution française mais différemment, d’une crise de subsistance. Les Français ne meurent plus de faim mais ils échouent à saisir ce qui leur permet de subsister.
Autre particularité du moment, cette ignorance n’est pas propre au peuple, elle est même aujourd’hui la chose la mieux partagée. Au sommet de l’État comme dans le monde des experts, per- sonne ne sait quelles réformes mener face à la gravité de la situation climatique. Là réside le vertige de notre époque. Cela peut devenir une chance si, au lieu de nous exprimer sur le mode « moi, je pense que », nous acceptons de répondre d’abord à cette question : de quoi dépendons-nous pour subsister ?
En quoi notre appartenance à un territoire est-elle devenue centrale ?
L’histoire du Brexit en est l’illustration parfaite. Il a fallu deux ans pour que ceux qui l’ont voté pour des raisons d’identité et ce qu’ils pensaient être un positionnement politique prennent conscience de leur appartenance réelle à l’Europe. Ils ont compris que les. droits sociaux garantis par l’Union étaientplus protecteurs que ceux promis par le parti pro-Brexit. En fait, ils ont compris que leur territoire, c’est-à-dire l’ensemble de leursonditions réelles de subsistance, était européen. Cette histoire en somme confirme à quel point nous sommes aujourd’hui coupés de nos véritables dépendances, et donc de nos véritables intérêts.
Pour les connaître, il faut donc effectuer un travail qui consisteà lister ce qui nous permet de subsister, ce dont on dépend etce qu’on veut protéger, avec et contre d’autres. Et cette enquête est d’autant plus difficile que la crise environnementale implique d’inclure désormais dans cette liste l’état des sols, le climat... C’est une tâche ardue, voire douloureuse. Mais c’est l’équipement minimal dont nous avons besoin pour débattre réellement : la description de nos conditions de subsistance. Et le prix pour retrouver enfin une parole politique.
Les gilets jaunes ne représentent-ils pas une prise de parole politique
Il faut mesurer combien la dépolitisation dans notre pays est ancienne, et à présent presque complète. Qu’est-ce qu’une parole politique ? Un essai de composer entre des intérêts divergents. Ce qui suppose une adresse d’une personne à une autre et implique la contradiction. Par définition, la parole politique n’est pas anonyme, elle ne se résume pas à un clic. Pour prendre conscience de sa quasi-disparition, il suit de s’interroger : quand avons-nous parlé de politique avec des per- sonnes dont les opinions sont contraires aux nôtres ? En général, nous peinons à trouver une date...
Dans ce contexte, que représente le mouvement des gilets jaunes? L’impasse dans laquelle nous nous trouvons, qui consiste à appeler à un changement de régime sans connaître précisément nos dépendances. La généralité comme l’errance des revendications le montrent chaque jour : la in du capitalisme pour les uns, la sauvegarde de la planète pour les autres, en passant par la fin des impôts ou le mot d’ordre « Macron démission »... À défaut de politique, ces plaintes produisent une sorte d’hystérie autour de la transformation totale du système, amplifiée bien sûr par les réseaux sociaux. En exprimant leur opinion sur le Web, certains croient ainsi faire de la politique alors qu’ils s’adressent, de manière anonyme, à la cantonade. Pire, ils pensent trouver là un lieu d’expression, libre et sans médiation, alors qu’une simple modification de l’algorithme de Facebook peut changer les cohésions des groupes. En 1789, le notable le plus borné ne possédait pas ce pouvoir de modifier l’opinion de millions de Français !
Pour renouer avec la politique, vous avez proposé, bienavant cette crise, l’écriture de nouveaux cahiers de doléances. En quoi permettraient-ils une autre forme de débat national ?
En1789, dans 60 000 cahiers de doléances, les Français ont décrit tout ce qu’ils subissaient au quotidien et ont proposé des remèdes à ces multiples jougs. C’est d’ailleurs par cet effort de description que la nation a pris conscience d’elle-même. Les Français de la fin du XVIIIe siècle ont mis six mois à effectuer cette tâche, sans Internet et parfois même sans la maîtrise de la langue écrite. Passer de l’expression de plaintes et d’opinions à une telle description, c’est l’exercice que nous avons proposé lors de différents ateliers en France : « Arrêtez de nous parler du capitalisme, de l’État, et parlez-nous de ce que vous vivez, dites-nous de qui vous dépendez pour votre subsistance, sur qui vous pouvez compter... » À chaque fois, nous avons été saisis par la rapidité avec laquelle évolue une assemblée réunie de manière artificielle dès qu’elle se plie à cet exercice.
Très vite, des alliés et des ennemis se découvrent, se disputent, des alliances se créent. Si l’expérience se poursuivait à l’échelle nationale, des groupes se forme- raient autour d’un même enjeu, comme le maintien des liaisons ferroviaires par exemple. Peu à peu, ils réuniraient des personnes situées dans des départements voire des pays différents et sou- mettraient des propositions aux représentants de l’État pour qu’ils les mettent en œuvre. Et progressivement, c’est toute une société civile qui se mettrait à nouveau à faire de la politique et inventerait, en tâtonnant, la transition vers un autre mode vie.
(*) Bruno Latour est sociologue et philosophe
Recueilli par Béatrice Bouniol pour La Croix 25/01/2019
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Des gilets jaunes veulent lancer la première "nuit jaune" ce samedi
L'un des groupes de protestataires les plus suivis a en effet appelé à une "nuit jaune" à partir de samedi. Et la nuit tombera tôt : rendez-vous est fixé Place de la République, à Paris, dès 14 heures.L'initiative rappelle la "Nuit debout", qui s'était installée sur les mêmes lieux, car les organisateurs souhaitent qu'elle s'installe dans la durée.Si c'est un certain Thierry Paul Valette qui s'est chargé d'écrire le texte pour l'événement Facebook dédié, l'idée est placée sous l'étendard du "Rassemblement des gilets jaunes citoyens".On lit ainsi:"Nous resterons présents toutes les nuits à partir de samedi. Nous maintiendrons ces nuits au moins jusqu'à la fin du Grand Débat. La place de la République sera notre Rond-point géant."
Ces "nuits jaunes", que l'organisateur promet "pas violentes ni menaçantes" mais "citoyennes et pacifistes", ont pour but de dénoncer "le caractère violent et antidémocratique" de la "répression" dont les autorités se rendraient coupables à l'égard des gilets jaunes.[...]En savoir plus sur bfmtv.comSur le même thème lire aussi: -
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© Charles Platiau Source: ReutersUn Gilet jaune à Créteil, le 9 janvier 2019 (image d'illustration).Plusieurs manifestations ont été déclarées dont une marche parisienne reliant les Champs-Elysées à la Bastille. Une première nuit jaune pourrait aussi avoir lieu.
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Interviewé par RT France, Eric Drouet, une des figures du mouvement des Gilets jaunes a fait part de son scepticisme quant au grand débat national, promu par Emmanuel Macron. «Il n'y a que les maires qui sont conviés, pour parler de problèmes qui ne nous concernent pas», a-t-il déploré. «On ne va au cœur des revendications», a-t-il ajouté.
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I-Média n°234 – Schiappa chez Hanouna : mélange des mauvais genres
02:10 – Schiappa chez Hanouna : mélange des mauvais genres
C’est l’actu médiatique de la semaine. Marlène Schiappa sera ce dimanche dans l’émission de Cyril Hanouna, Balance Ton Poste. Elle animera un atelier avec des Gilets Jaunes dans le cadre du grand débat national. Un mélange des genres qui a provoqué de vives réactions dans les médias.
09:10 – Zapping
Jean-Michel Apathie loue le dialogue permis par le gouvernement… tandis que tout prouve que ce dialogue est en fait complètement bidon.
Même déconnexion, la haine en plus, entre Sophia Aram et les Marcheurs pour la Vie.19:15 – Les médias face à l’examen de confiance
Avec la crise des Gilets Jaunes, les médias semblent avoir définitivement perdu la confiance des Français. Certains tentent de comprendre les raisons de cette rupture. Pas évident que les résultats soient probants !
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31:15 – 10 années de bobards médiatiques, ça se fête !
La cérémonie des Bobards d’Or arrive à grands pas ! Organisée par la Fondation Polémia, elle récompense les plus beaux bobards médiatiques. Cette année, c’est la 10e édition de cette prestigieuse cérémonie.
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