Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

social - Page 258

  • Quand la concorde sociale est plus utile que la lutte des classes : l'exemple des Jeux Olympiques 2024.

    la tour du pin gar.jpgLes syndicats de salariés et le patronat sont, aujourd’hui, des comédiens indémodables du spectacle social, au risque parfois d’en oublier les nécessités économiques et de négliger le bien commun de tous, et cette forme de théâtre, parfois indécente, est aussi souvent le lieu de la domination des « plus puissants » qui, pour l’heure, ne sont ni les ouvriers ni les employés. Cela nourrit un ressentiment permanent qui peut dégénérer en vive lutte des classes, celle-ci, existante en tout système de capitalisme libéral, handicapant le dynamisme économique français dans cette mondialisation qui n’est rien d’autre que la guerre commerciale de tous contre tous, une guerre sans fin. Les royalistes français, sans méconnaître l’existence de ce fait « classiste » et de ses ambiguïtés et conséquences, ne s’en satisfont pas : ce qui importe, c’est de travailler à la concorde des classes, non comme une fin mais comme un moyen et comme un devoir pour permettre à tous les acteurs sociaux de trouver leur place et pour assurer ainsi la justice sociale, condition de toute société équilibrée.

    En ce sens, il est heureux de constater que, parfois, ceux qui se combattent d’ordinaire (souvent sans grand profit pour les salariés eux-mêmes), peuvent dépasser leurs seuls intérêts catégoriels pour atteindre un objectif plus élevé qu’eux-mêmes. Ainsi, une courte note publiée dans Le Figaro de samedi dernier mérite l’attention, car elle vient en illustration de notre pensée et de notre souhait permanent de cette concorde sociale si chère aux yeux des monarchistes et des corporatistes français.

    Titrée de façon provocatrice « Quand la CGT applaudit le MEDEF », cette note du Figaro-ci… Figaro-là de dernière page, en bas à droite, évoque une information de la fin janvier, visiblement passée sous les radars des grands médias souvent plus occupés à effrayer qu’à apaiser : à l’occasion de « la conclusion d’une charte sociale entre les partenaires sociaux et le comité d’organisation des JO 2024 (…) Dominique Carlac’h, porte-parole du MEDEF s’est fait applaudir en rappelant que les JO 2024 devaient profiter autant aux entreprises françaises qu’aux salariés hexagonaux ». Il est vrai que ce n’est pas toujours évident en ces temps où les intérêts financiers l’emportent trop souvent sur ceux des travailleurs locaux que l’on défavorise, au nom de la rentabilité et par la volonté de diminuer les coûts salariaux, en faisant venir une main-d’œuvre étrangère plus docile et parfois quasi-esclavagisée en lieu et place de travailleurs français considérés comme « moins productifs » (sic !). Combien de chantiers français, aujourd’hui, exploitent-ils des « travailleurs détachés » pour échapper à certaines « contraintes » sociales réglementaires françaises ? Cette situation scandaleuse, rendue en partie légale selon l’Union européenne par différentes directives déjà anciennes, ne peut perdurer éternellement, et il n’est pas indifférent que le syndicat patronal semble vouloir s’engager dans cette politique « nationaliste » du « produire français », socialement juste pour les travailleurs de notre pays et commercialement plus intéressante pour les fournisseurs locaux. Il serait effectivement incroyable que l’événement des Jeux Olympiques, à forte dimension internationale et médiatique pour la France, échappe au Travail français sous toutes ses formes, de l’entreprise au salarié ! Et ce qui est vrai pour le monde industriel doit aussi l’être pour le secteur des services (dont celui, ici majeur, du tourisme et de l’accueil des visiteurs étrangers), de la communication à la valorisation patrimoniale.

    Comme le souligne l’article, il s’agit bien ici d’une «affaire de patriotisme économique pour faire aussi bien que les Britanniques à Londres en 2012 qui avaient réservé 96 % des contrats à leurs entreprises ». Ce patriotisme économique est un élément important et symbolique qu’il ne faut pas négliger, et qui devrait motiver autant les entrepreneurs que les responsables sociaux (patronaux et salariés) pour favoriser la cause de l’emploi en France. Il faut souhaiter que cela serve d’exemple et, même, de modèle pour tous les producteurs qui investissent en France, pour les consommateurs eux-mêmes et, encore plus car il a les moyens de valoriser cette attitude au niveau de toute la nation et face aux oukases des forcenés du libre-échange mondialisé, pour l’Etat : nécessaire stratège, ne doit-il pas être aussi un « dirigeant » au sens ferme du mot ?

    Il ne s’agit ici pas de prôner une hypothétique autarcie, mais de favoriser ce qui peut permettre de contenter nos entreprises locales (y compris -pourquoi pas ?- celles qui, d’origine étrangère, investissent et produisent sur nos territoires, et qui alimentent les caisses de l’Etat par les impôts et taxes qu’elles payent en France) et de satisfaire les travailleurs français autant que notre budget national qui en a, lui aussi, bien besoin ! En ce sens aussi, l’attitude de la CGT et du MEDEF peut paraître comme la promesse de la prise en compte de ce bien commun qui doit profiter à tous, d’une manière ou d’une autre. Espérons que la réalisation sera à la hauteur de l’espérance que cette « anecdote » peut faire naître parmi nous !

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • La gouaille d'Arletty, le parler de Gabin

     
    C'est quand même autre chose que la mièvrerie d'une schiappa

  • La démocratie légale d'Etat face aux Gilets jaunes.

    Les démocraties occidentales sont malades, et elles sont d’abord malades de leurs classes dirigeantes, de ce que nous nommons en France « le pays légal » et qui, depuis des décennies, prend la forme d’élites dirigeantes et dominantes, autant sur les plans financier et économique, autant que sur ceux de la politique et de l’idéologie, élites de moins en moins engagées par les notions de service et d’humilité. Depuis quelques années, la séparation entre les catégories sociales (doit-on parler de « classes » ?) se fait plus visible et, aussi, plus vive : le creusement des inégalités, conséquence sociale de la mondialisation et de son imposition au sein même des sociétés anciennement constituées, a débouché sur la montée des injustices, qui ne sont rien d’autre que des inégalités démesurées, bien loin des inégalités justes et protectrices qui ordonnent toute société humaine et politique.

    Dans son éditorial de Marianne de cette semaine, Natacha Polony valorise la thèse de David Adler, chercheur en science politique, selon laquelle « ce sont les centristes qui sont les plus hostiles à la démocratie, pas les extrêmes » : une formule étonnante mais qui ne surprendra pas vraiment ceux qui connaissent leur histoire contemporaine et qui ont suivi les évolutions idéologiques des classes dirigeantes depuis la fin de la Guerre froide. Effectivement, et la récente crise des Gilets jaunes, à la fois crise sociale et éminemment politique, l’a amplement démontré, parfois au-delà de toute raison, les propos des partisans du président Macron et de ses « ralliés récents » n’ont guère brillé par leur sens de la nuance, au risque de jeter régulièrement de l’huile sur le feu quand il aurait fallu apaiser sans mépriser les révoltés des ronds-points. Bien sûr, il y a eu, au début décembre, ce « réflexe de la peur » qui a parcouru les catégories centres-urbaines des métropoles devant cette colère parée de jaune et qui a fait trembler jusqu’aux ors de l’Elysée : l’épisode de l’hélicoptère prêt à évacuer le locataire des lieux, le 8 décembre dernier, est aussi révélateur qu’il est triste… Mais les réactions des lecteurs des grands journaux sur leurs forums de discussion respectifs sont encore moins rassurantes sur l’état de division de notre pays, et la violence des propos des « assiégés » (comme certains se définissaient eux-mêmes) contre les manifestants « ignorants, vulgaires, gueux » ont pu légitimement choquer ceux qui cherchent plutôt le dialogue (même sans concession) que la brutalité. Les réseaux sociaux en ont aussi été la lice virtuelle, non moins parcourue des fureurs et tremblements que la rue, de Rennes à Paris, de Bordeaux à Lille…

    L’article de Natacha Polony a choisi d’insister sur les violences et appels à la répression issus des rangs du « pays légal » macronien, ce qui, d’une certaine manière, rompt avec la doxa de la grande presse, inquiète de la tournure prise par des événements qui semblent échapper à ceux qui tiennent le Pouvoir depuis si longtemps sous des masques divers. Il est vrai que la nouvelle loi anti-casseurs n’a rien de rassurant, en fait, comme l’a souligné le député conservateur Charles de Courson, « centriste catholique » qui n’oublie pas ses racines ni les leçons de l’histoire, y compris celle de sa propre famille, au point d’apparaître en dehors de ce « centrisme totalitaire » dénoncé par Mme Polony. Cela rejoint d’ailleurs la réflexion des royalistes qui considèrent que les traditions (au sens premier du terme, « transmission » d’un héritage immémorial et toujours vivant) sont les meilleures protections contre les dérives du moment présent, plus « immédiates » et souvent moins mesurées, faute de prise de hauteur temporelle ou historique. (1)

    La violence des casseurs des derniers samedis parisiens qui, par leurs actes étrangement impunis dans la plupart des cas, cassent d’abord de l’intérieur le mouvement des Gilets jaunes en s’en prenant de plus en plus aux manifestants « originels » de l’automne, donne des arguments faciles au Pouvoir dont ils sont les providentiels alliés pour déconsidérer le mouvement d’ensemble. Cela permet au gouvernement de M. Castaner de se poser en « garant de l’ordre et de la sécurité », ce qui est tout de même le comble quand on peut constater la montée incessante de la délinquance (et de sa relative impunité, faute d’une réponse adaptée et concrète) dans notre pays et son coût pour les victimes et la société ! Mais le gouvernement n’en a cure, et il renforce son arsenal répressif en visant explicitement les Gilets jaunes, ces « empêcheurs de politiser en rond » selon l’heureuse expression d’un orateur royaliste entendue il y a peu. Sans doute faut-il y voir effectivement un symbole, comme le souligne Natacha Polony qui ne prend guère de gants avec l’Etat macronien : « Derrière les mises en scène de démocratie participative, la volonté farouche de se prémunir contre un peuple qui a la fâcheuse tendance à mal voter. (…) Quand un candidat « raisonnable » propose de lutter contre les « prurits populistes », quels qu’ils soient, tous les moyens sont bons. Pourquoi ? Parce qu’il ne s’agit nullement de défendre la démocratie, mais de défendre un système économico-politique considéré comme le meilleur pour garantir la stabilité et la prospérité. Quitte à le défendre contre l’ignorance coupable des peuples, qui persistent à ne voir que le chômage de masse et leurs fins de mois difficiles au lieu de s’extasier sur le progrès garanti par l’avènement du grand marché global. Emmanuel Macron ne gouverne pas pour le peuple français mais pour la préservation de ce système, au besoin contre une large partie du peuple. » Ainsi, le Grand débat national, que les royalistes ne boudent pas car soucieux de présenter leurs points de vue et de crédibiliser leur force de proposition, n’est sans doute qu’une opération de diversion qui n’a pas pour vocation de remettre le système en cause mais de le remettre à flots, ce qui n’a pas exactement le même sens ni la même portée…

    La sévérité de Mme Polony ne s’arrête pas à ses quelques lignes reproduites plus haut : « Nulle « troisième voie » dans le macronisme. La colère engendrée par quatre décennies de marche forcée vers la dérégulation, le libre-échange, l’abandon de toute protection non seulement des salariés, mais surtout des filières industrielles et agricoles, la financiarisation de chaque domaine de l’action humaine, et la paupérisation par la logique du low cost, aboutit à des formes diverses d’insurrection (…). Et ces insurrections deviennent le prétexte pour réduire les libertés publiques, mais aussi les capacités de décision de citoyens considérés comme des irresponsables, ou pis, des ennemis du bien commun. Ce faisant, on ouvre un boulevard aux extrêmes, dans un concours de radicalité. » Si la révolte vient de loin, et l’on pourrait s’étonner qu’elle vienne si tard (trop tard ? Souhaitons que non !), la répression s’attache à « maintenir l’ordre présent du système », ce qu’Emmanuel Mounier, personnaliste chrétien du milieu du XXe siècle, baptisait de cette formule définitive de « désordre établi ». Maurras parlait d’utiliser toutes les possibilités offertes par la contestation ou par le système lui-même pour établir la Monarchie, mais c’est la République actuelle qui pratique le mieux sa formule bien connue « Par tous les moyens, même légaux » pour préserver sa domination sur le pays… 

    « On finira bien par restaurer la monarchie, un jour, contre la dictature et l’anarchie », écrivait jadis Eugène Ionesco dans un article célèbre du Figaro Littéraire paru en 1969. Si j’avoue ne pas considérer le président Macron comme un dictateur, à l’inverse de son ministre de l’Intérieur M. Castaner qui n’en est, pour l’heure, qu’un apprenti maladroit et violent, la situation de notre pays, elle, apparaît bien anarchique, entre le libéralisme sans frein (malgré quelques limites liées à notre histoire nationale et à celle de son Etat-providence) et les désordres urbains (à ne pas confondre avec les manifestations sur les ronds-points, entre autres), et, s’il y a dictature, c’est celle du règne de l’Argent, de cette « fortune anonyme et vagabonde » qui semble inaccessible aux notions de justice sociale et de partage équitable. Alors, oui, au regard de ce couple infernal qui asservit nos compatriotes et désordonne notre société historiquement constituée, c’est bien la Monarchie royale qui peut réaliser cette synthèse entre l’ordre nécessaire à toute cité pour être et durer, et les libertés publiques qui font battre le cœur de notre nation…

    « La Monarchie est aussi, elle est surtout, la dernière chance de la liberté », affirmait Thierry Maulnier dans les années trente : n’attendons pas le pire pour nous rappeler de cette sage et si politique réflexion… (2)

    Notes :

    (1) : c’est aussi ce qui explique que la Monarchie, par essence, est plus éloignée des tentations totalitaires que les Républiques qui s’appuient sur les « émotions de masse » et sur une sorte d’instantanéité sans mesure, privilégiant la passion à la justice qui, souvent, nécessite un enracinement dans le temps long pour être véritablement ce que l’on peut attendre d’elle, la légitimité de la décision arbitrale.

    (2) : un prochain article évoquera la riche et profonde pensée de Thierry Maulnier sur la Monarchie, d’une grande actualité aujourd’hui pour « penser l’après-Gilets jaunes ».

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Des photos de policiers-casseurs prises lors de l’Acte XIII des gilets jaunes

    Une fois de plus, des photos nous montrent des policiers utiliser un marteau et jouer aux casseurs.

    Qu’en dit M. Castaner ? D’autant que ce n’est pas sans rappeler cette vidéo datant de décembre 2018.

     https://www.medias-presse.info/des-photos-de-policiers-casseurs-prises-lors-de-lacte-xiii-des-gilets-jaunes/104820/

  • Les gilets jaunes sans les Français issus de l’immigration

    IMG_5708-845x475.jpg

    Depuis le 1er round des manifestations, l’examen de la composition populaire des cortèges des gilets jaunes révèle une réalité que le pouvoir s’emploie à camoufler et à interdire de citer : la presque inexistence des immigrés.

    Pourtant, leur intégration est un enjeu capital pour le développement de la lutte des classes unitaire ou sa paralysie. Les pays anglo-saxons, et notamment les États-Unis, ont fait de l’immigration la plus formidable arme engagée contre l’unité populaire et le maintien du statu quo social.

    À chaud : 13e round des gilets jaunes boulevard Saint-Germain.

    Je rencontre des jeunes qui détruisent des Abribus® et des vitrines d’agences bancaires qui n’ont pas été protégées. Même la MAIF, mutuelle d’assurance des enseignants qui fonctionne partiellement avec des bénévoles, n’a pas été épargnée.

    J’ai tenté de leur faire entendre raison ; ils ne connaissent pas la MAIF ! Ils en ont après les banques ! Ce mouvement a tout à apprendre. Les anciens de Mai 68 ne sont pas nombreux et, de toute façon, quasi inaudibles.

    Quant aux Français issus de l’immigration, ils brillent par leur absence : ça en dit long sur leur implication dans la société et ses luttes sociales. Les fameuses minorités invisibles le sont vraiment ici : nos prétendues « chances pour la France » le sont sûrement pour le pouvoir, qu’elles n’ont pas l’air de contester beaucoup.

    Dans les années 60-70, c’étaient des groupes organisés et compacts qui défilaient avec la CGT, notamment les travailleurs algériens de l’automobile. Époque révolue. Les organisations communautaires n’ont – à ma connaissance – pas pris position vis-à-vis du mouvement des gilets jaunes et encore moins appelé à le rejoindre. Quelques organisations minoritaires, comme la Ligue de défense noire africaine, Les Amis du CRIF ou Kalifat, se sont même montrées hostiles.

    Le silence des uns et l’hostilité des autres (ardents défenseurs des politiques migratoires) expriment la victoire du MEDEF et des immigrationnistes, dont les efforts pour diviser les Français ont porté leurs fruits.

    Que penser des absents ? Désintérêt pour les luttes sociales unitaires et repli sur leurs revendications identitaires ? Solidarité passive, voire complicité avec un pouvoir aux ordres du patronat qui profite de l’immigration de masse pour accroître le chômage afin de baisser les salaires et d’enrayer la baisse tendancielle du taux de profit (cf. Patrick Artus, « Karl Marx is back »La Documentation française) ?

    On voit bien le danger des conséquences de l’immigration, qui produit l’isolement communautaire, la fracture du peuple français et l’affaiblissement relatif des luttes revendicatives.

    Au moment où l’on observe une alliance, dans la rue, du nouveau prolétariat et de la nouvelle petite bourgeoisie, les Français d origine immigrée rompent l’unité populaire.

    La prochaine étape sera-t-elle l’instrumentalisation des absents pour des affrontements communautaires ?

    Robert Politzer

    http://www.bvoltaire.fr/les-gilets-jaunes-sans-les-francais-issus-de-limmigration/

  • INFORMATION ET MÉDIAS BIENTÔT CONTRÔLÉS PAR L'ÉTAT : LA DICTATURE EN MARCHE ?

  • Gilets Jaunes : le bras de fer continue – Journal du lundi 11 février 2019

     

    Gilets Jaunes : le bras de fer continue

    Pour le 13e samedi consécutif, les Gilets Jaunes ont battu le pavé partout en France. Avec une mobilisation légèrement à la baisse, le mouvement affronte un gouvernement de plus en plus répressif.

    Le grand débat : une campagne à l’œil

    Alors que le grand débat se poursuit, le président occupe l’essentiel de la scène. Face aux questions, Emmanuel Macron se met en scène avec l’extrême complaisance des médias qui diffusent ses logorrhées en boucle… Une vraie campagne pour les européennes avec les deniers des contribuables.

    Education : Le nouveau chantier de Jean-Michel Blanquer

    Après avoir dynamisé le baccalauréat, le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, s’attaque à l’enseignement primaire. Instruction obligatoire dès 3 ans, devoir d’exemplarité des professeurs, rôle étoffé des assistants d’éducation, le chantier est d’ores et déjà contesté de toute part.

    Actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-le-bras-de-fer-continue-journal-du-lundi-11-fevrier-2019

  • Les Black Blocs pourrissent les manifestations des gilets jaunes

    Les Black Blocs pourrissent les manifestations des gilets jaunes

    Témoignage du journaliste Vincent Lapierre, sur l’acte XIII des gilets jaunes hier :

    J’ai couvert l’acte XIII à Paris. Je peux témoigner du fait que la physionomie du mouvement a changé : les Black blocs se sont incrustés au cœur du mouvement. Ils étaient entre 50 et 100, casqués, tout en noir, avec des battes et faisant la loi dans le cortège. Je n’ai pu rester qu’en fin de cortège. Le risque de tabassage était réel, malgré mes dix gardes du corps. Tous les #GiletsJaunes que j’ai interrogés étaient totalement contre cette évolution. Mais sans coordination, impossible de déloger les Black blocs. Tout porte à croire que le mouvement court à son pourrissement, c’est la raison d’être de ces hommes en noir. Le reportage arrive.
    Je précise que Thibault, le Gaulois aux cheveux longs, s’est violemment fait exclure du cortège. L’un de ceux qui l’accompagnaient est à l’hôpital suite à un coup de casque “antifasciste”.

    Il ne faut donc pas s’étonner qu’un véhicule Vigipirate ait été incendié hier à Paris :