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Au moment où la France parle de réarmement et de réindustrialisation (l’un et l’autre nécessaires), il est paradoxal de constater que les multinationales implantées chez nous préfèrent leurs profits aux intérêts de la France qui les accueille sur son sol et à ceux de leurs travailleurs.
Dans la crise de la dette que connaît actuellement notre pays, il est parfois de bon ton de chercher (et de trouver…) des boucs émissaires : les fonctionnaires en font souvent d’excellents, semble-t-il, et les enseignants particulièrement, ce qui n’est pas forcément juste ! Bien sûr, certains verront dans mon propos une réaction corporatiste, par le simple fait que je suis moi-même professeur de l’éducation nationale, et cela depuis environ trente-cinq ans, ce qui m’a néanmoins laissé le temps d’apprécier les qualités et les défauts de la « classe enseignante ». Je n’ignore rien des légitimes sentiments et ressentiments à son égard. Mais ce n’est pas, pour l’heure, l’objet de mon propos : d’autres notes de ce site les évoqueront dans les mois prochains…
Magali Segonds, représentante de France travail, est intervenue pour dresser le panorama sur la situation, préciser les données rappelant que France travail ne peut intervenir que dans le cadre des règles du gouvernement.
Nous n’avions pas une bonne image de Stéphane Manigold, cet ancien cadre de l’automobile devenu patron de chaîne de restaurant qui s’est fait connaître pendant la période du Covid en jouant le jeu du gouvernement, et en profitant des aides de l’État pour justifier la fermeture d’établissements et la perte de sociabilité que cela entraînait.
Personne n’a oublié son célèbre débat contre Florian Philippot, où cela avait saigné !
Au programme de cette édition, retour sur la guerre en Ukraine. Alors que les pourparlers de paix à Riyad se sont achevés lundi soir, Emmanuel Macron recevra Volodymyr Zelensky mercredi pour préparer le sommet de la coalition des volontaires organisé le lendemain. Une nouvelle étape de l’obsession guerrière du président français.
« Le vendredi, plus personne ne me répond » : encore un patron en croisade contre le télétravail.
Le CEO de la banque américaine JPMorgan Jamie Dimon n’en peut plus du travail à distance. Selon lui, une entreprise ne peut pas fonctionner ainsi, tout simplement.
La naïveté française est confondante et aussi inversement proportionnelle à notre suffisance qui ne manque pas de même que nos critiques à l’égard de Donald Trump qui ne serait qu’un imbécile alors qu’Elon Musk serait en train de se faire ruiner grâce à la chute des cours de bourse de Tesla.
Alors je vais remettre l’église au milieu du village, non pas vous dire que Trump est aimable ou gentil avec l’économie française ou européenne. Ce n’est pas le cas. Ce ne sera pas le cas même si vous partagez des convictions plus sociétales avec le courant de pensée que nous appellerons par simplification “MAGA”.
Les courbes de la production automobile parlent d’elles-mêmes, l’industrie européenne de la voiture s’effondre et quand on parle d’industrie de la voiture, on parle surtout de la France et de l’Allemagne, puisque la République Tchèque, la Slovaquie et l’Espagne n’ont pas de vraie production nationale, mais quasiment uniquement des usines de marques françaises ou allemandes décentralisées. Manque tout de même l’Italie dans ce graphique, mais ses courbes sont du même ordre catastrophique. Même en cumulant toute nos productions décentralisées, on va à la catastrophe et les Allemands s’en sortent moins mal uniquement grâce à la réputation de leurs voitures haut de gamme qui tiennent le choc sur des marchés étrangers dynamiques. En Europe, les décentralisations des constructeurs, depuis des années, suivies par les montagnes de normes et de contraintes, imposées par l’Europe et suivies de manière forcée, ou même avec zèle par certains, ont fini de couler ce navire, fleuron industriel hérité du vingtième siècle.
C’est un article de France 3 (source ici) intitulé “Expulser les riches des HLM”, une solution face au manque de logements ?” qui revient sur vraie fausse bonne idée !
Comme il y a pénurie de logement social et que l’on n’arrive pas à construire sensiblement plus, l’idée géniale serait d’accélérer les rotations dans le parc HLM en “expulsant” ceux dont les revenus dépassent les plafonds de ressources. Une proposition de loi sera examinée fin mars par les députés.