La révolte des agriculteurs est la démonstration des maux de l’époque. Alors que c’est un secteur incontournable pour la survie du pays et de la population, les agriculteurs sont perfusés par des subventions qui les contraignent à rompre avec la tradition de leur métier. Des normes surréalistes entravent leur quotidien, une concurrence déloyale organisée par les mondialistes grève leur compétitivité et bien sûr, sape leur moral. Les paysans se meurent et se tuent pendant que Bruxelles plaide pour la viande artificielle et les insectes dans votre nourriture à votre insu.