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Le problème de certains de nos politiques, encore plus quand ils sont habités par une idéologie qui confine au religieux et au dogmatisme ce qui est évidemment le cas de tous les saints croyants de l’église de l’écologie, c’est un manque évident d’humilité.
Une de mes connaissances qui fait partie de l’Éducation nationale vient de me transmettre une copie du courriel que le syndicat Sud Éducation Alsace lui a fait parvenir pour assister à une formation syndicale dont le sujet est totalement politique et sans rapport réel avec l’enseignement.
Il est de bon ton dans les salons économiques de dire que Trump est un abruti qui n’a plus toute sa raison. Il est surtout de droite et le personnage déplaît, donc ce qu’il fait est idiot par définition. Au RPF, chez les gaullistes, nous sommes plutôt pour la régulation du capitalisme sauvage et ce n’est pas vraiment une position iconoclaste. C’est la base keynésienne de nos économies des années d’après guerre, jusqu’au milieu des années 70. Et puis nous avons commencé à « déréguler ». En sommes nous plus heureux ? Non. Nous y avons perdu nos industries, nos usines, nos savoir faire, nos ouvriers qualifiés… ce qui reste a été « actionarisé », vendu à des fonds de pension qui ont délocalisé, asséché, revendu, avec à la clé des pertes d’emplois et des friches industrielles.
Face au manque de personnel, les associations du secteur reconnaissent faire appel à des gens sans vérifier leurs antécédents, une situation qui s’est aggravée avec le recours accru à l’intérim.Un nouveau système de vérification des antécédents judiciaires des intervenants expérimenté dans la Petite enfance et l’Aide sociale à l’enfance a déjà permis d’écarter des profils potentiellement dangereux.
« Rien n'est tabou », « tout doit être sur la table », qu’ils disent. Le gouvernement annonce, comme nous l’évoquions hier à l’occasion du cours ex cathedra du professeur Bayrou, un « effort supplémentaire de 40 milliards d’euros » en 2026, « essentiellement » sous forme d’économies. On se dit, là, que cette fois-ci, c’est la bonne, qu’ils vont arrêter de faire joujou avec le canif de la dînette et vont décrocher la tronçonneuse qui traîne au fond du garage. Par exemple, qu’ils vont tailler dans l’aide médicale de l'État, réduire sérieusement la contribution à l’Union européenne (plus de 23 milliards en 2025, soit 900 millions de plus qu’en 2024). Tututute, non, ça, pas touche ! Mais on avait dit pas de tabous ? Mais vous confondez tout : un dogme, c'est pas un tabou. Ah, pardon, au temps pour moi !
L’argent magique coule à flots chez les syndicats. On pourrait penser que moins un syndicat a d’adhérents, moins il a d’argent. Et bien non, c’est tout l’inverse. Plus un syndicat a moins d’adhérents, et plus il a de pognon. Un pognon de dingue. C’est ce que relève le Canard :
Olivier Andriès, directeur général du groupe Safran, a annoncé qu’il refuserait désormais toute implantation industrielle dans des villes dirigées par des majorités écologistes. La décision fait suite à l’accueil hostile reçu lors de l’installation d’une fonderie à Rennes en février 2024, où certains élus écologistes locaux s’étaient publiquement opposés au projet.
Créer 500 emplois, redonner vie à une friche industrielle, investir 80 millions d’euros dans une usine high-tech respectueuse de l’environnement : sur le papier, le projet de Safran à Rennes cochait toutes les cases. Mais c’était sans compter sur la véritable guerre idéologique déclenchée par les élus écologistes locaux. Résultat : une fracture politique, un patron outragé… et un avertissement clair lancé aux autres villes gouvernées par les Verts.
Dans une note parue ce 14 avril, la Cour des comptes propose de moduler le remboursement des dépenses de santé en fonction des revenus. Autrement dit, les sages de la rue Cambon suggèrent de faire payer davantage les soins aux foyers disposant de revenus plus élevés. L'objectif : réduire le déficit de la Sécurité sociale, qui devrait atteindre 19,9 milliards d'euros pour 2028.
Le patron du MEDEF en représentant de commerce du statu quo a la solution miracle pour faire des économies notamment sur la santé. Il imagine tout simplement que ceux qui refusent de se faire vacciner et qui sont hospitalisés ensuite, ne puissent plus bénéficier de la gratuité des soins, si tant est que cette gratuité existe toujours en réalité. D’abord il oublie que ceux qu’il veut punir cotisent quand même. Supprimera-t-il la gratuité des soins pour ceux qui s’accidentent sur les pistes de ski pendant les vacances d’hiver? Après tout, personne ne leur demande d’y aller. Si l’on fait le bilan des effets secondaires de la vaccination COVID, le coût du traitement des maladies et pathologies graves et longues induites par cette vaccination miraculeuse et gratuite est largement plus onéreux. Mais il faut bien trouver un bouc émissaire, un criminel.