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social - Page 344

  • Philippe Arondel au Cercle Aristote sur la crise du syndicalisme - partie 2

  • I-Média#167: Irma tempête de mensonges

  • A Saint-Martin, l’arrogant Macron refuse les critiques qui manqueraient de « dignité » ! Les habitants le prennent à partie…

    Arrivé mardi à Saint-Martin, Emmanuel Macron a tenu une conférence de presse d’une incroyable arrogance, évoquant la puissance de la France, alors que les habitants ont été abandonnés à leur sort depuis plusieurs jours, puis estimant que les reproches à ce sujet sont des polémiques qui manquent « de dignité » !

    Mais les habitants n’ont pas tardé à lui faire comprendre qu’ils ne se contentaient pas de « belles paroles ». Et ont souligné avec force les incroyables manquements des autorités.

  • Zemmour : « Les pauvres, par leurs cotisations, paieront la PMA, caprice de riches »

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    L’annonce, par le gouvernement, de l’autorisation prochaine de la procréation médicalement assistée (PMA) pour toutes les femmes, mêmes celles qui ne sont pas stériles, agace vivement Eric Zemmour. « Elles feront toutes des bébés toutes seules. Quand elles voudront, comme elles voudront. Sans devoir supporter ces affreux hommes qui leur pourrissent la vie depuis des millions d’années, a-t-il raillé ce matin sur RTL. « Bienvenue dans le monde de la liberté, clament déjà les mouvements féministes. Bienvenue dans le monde de l’égalité, ajoutent les mouvements homosexuels. »

    Mais si on parlait pognon ? « Dieu est comme les Français, il est nul en économie. Il faut donc l’externaliser du corps de la femme pour qu’elle devienne artificielle, complexe et très chère », ose-t-il.

    « Au nom de l’égalité entre les enfants, on aura le remboursement par la Sécurité sociale. Les pauvres, par leurs cotisations, paieront les caprices des riches. »

    Pour Eric Zemmour d’inviter, Emmanuel Macron ferait bien de se méfier :

    « Après l’obligation des onze vaccins, il va finir par le apparaître comme l’homme-lige des grands laboratoires pharmaceutiques et du big business médical. »

  • LOI TRAVAIL : UNE MESURETTE DÉRISOIRE

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    Un communiqué du Parti de la France :

    A la veille des premières manifestations orchestrées par la gauche et l’extrême gauche contre les ordonnances Macron, le Parti de la France déplore le caractère artificiel à la fois des mesures gouvernementales mais aussi des réactions d’hystérie syndicale qu’elles suscitent.

    Une fois de plus, le gouvernement est dans la posture. Il est sans doute légitime de vouloir réformer le code du travail et de le simplifier. Légitime également de souhaiter refonder les conditions du dialogue social. Mais une « loi travail » digne de ce nom, au moment où 10 % de nos compatriotes connaissent les affres du chômage, consisterait avant tout à sortir la France de sa bureaucratie socialiste, à briser les carcans qui étranglent nos entreprises – en particulier les petites et moyennes -, à redonner aux Français le goût et les moyens de la responsabilité, de l’initiative et de l’ambition économique tout en permettant à l’État de développer les stratégies industrielles et sociales nécessaires à la réussite française et à notre cohésion nationale.

    Par ailleurs le Parti de la France rappelle la nécessité d'établir une politique de préférence nationale à l'embauche, de patriotisme social et de régulation du commerce international. 

    Ni les ordonnances du gouvernement, ni les réactions claniques des syndicats ne sont à la hauteur des enjeux.

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  • LIT DE CAMP ET SEAU D’EAU : À SAINT-MARTIN, EMMANUEL MACRON EN A FAIT DES TONNES

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    « La mise en scène d’Emmanuel Macron à Saint-Martin qui dort sur un lit de camp et se lave au seau » (« Le Lab » Europe 1), « Aux Antilles, Macron soigne sa mise en scène »« avec de gros sabots »(L’Express), « Au risque peut-être d’en faire un peu trop » (Paris Match)… Tels sont les commentaires glanés dans la presse, après la nuit à la dure ostentatoire du président de la République à Saint-Martin. « Après Top Gun [allusion au passage sur la base d’Istres ], Koh-Lanta sur #Macron TV », ironise sur Twitter le journaliste Alexandre Devecchio, avec un succès certain si l’on en croit le nombre de retweets.

    Napoléon mâtiné de Kouchner, Emmanuel Macron n’y est pas allé avec le dos de la cuillère. Il a même eu la main un peu lourde. Il en va de ces choses-là comme du reste : trop de communication tue la communication.

    Bien sûr, le bon sens élémentaire, la décence commune soufflaient en la circonstance d’éviter l’hôtel de luxe avec spa – si tant est qu’il en reste un seul debout à Saint-Martin – mais nul n’aurait été choqué de savoir qu’Emmanuel Macron avait pris une vraie douche. Surtout si, auparavant, son gouvernement n’avait pas fait preuve de l’impéritie que l’on sait.

    Emmanuel Macron en combinaison de vol ne règle pas les problèmes de la Défense. Pas plus que, doté d’un pot de chambre et d’un gant de toilette, il ne résout ceux d’une île dévastée par l’ouragan et les pillards. S’afficher le visage grêlé d’acné et chaussé de Stan Smith ne saurait suffire à venir à bout des insuffisances de l’APB. Enfiler une blouse de nylon devant Whirlpool sur le costume présidentiel n’aurait pas amorcé l’ombre du début d’une solution pour les salariés. Pire : ces postures vexent les intéressés, qui sentent confusément qu’on se paie leur tête. Comme un petit-fils qui, ayant laissé croupir sa grand-mère durant des mois dans sa maison de retraite sans décrocher son téléphone ni envoyer l’ombre d’un chèque, se pointerait un matin, avec un déambulateur et en pantoufles, pour marcher péniblement dans le couloir à ses côtés : « Et tu te fous de moi, en plus, mon garçon ? »

    C’est le gouvernement par identification. On a bien intégré les méfaits du bling-bling sur l’opinion publique, alors on lui préfère le snif-snif. Le Kleenex remplace la Rolex, mais reste tout aussi voyant. Et agaçant. Dans une démarche qui se veut vaguement christique, le grand de ce monde chemine – 30 secondes – avec le pauvre. Auquel ça fait une belle jambe. À tout prendre, le cancéreux en chimio préfère un médecin doté d’une tignasse opulente qui le sauve plutôt qu’un chauve qui le tue.

     Ecrivain, journaliste Son blog
  • Apocalypse en Grande-Bretagne : tous les chômeurs auront bientôt disparu

    Encore un effet du Brexit ? Le taux de chômage du Royaume-Uni a atteint son plus bas niveau en se maintenant à 4,3% de la population active, à la fin du mois de juillet. Sur la période de mai à juillet, le pays comptait ainsi 1,46 million de chômeurs. Cela représente 75.000 personnes de moins que la période précédente et 175.000 de moins en un an. C'est le niveau le plus bas depuis 1975. Hasard ? Le Royaume-Uni avait intégré la CEE en 1973.

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Au-delà de la réforme du code du travail, pour une contestation sociale fondatrice.

    Ainsi, la contestation sociale de l'ère Macron commencerait ce mardi 12 septembre, au gré des 4.000 manifestations prévues contre la nouvelle loi Travail (en fait, une réforme du code du travail) portée par Mme Pénicaud, et, selon leur importance et leur capacité de nuisance à l'égard du gouvernement, elles ouvriraient le bal d'une incertitude qui pourrait bien déstabiliser, sinon le régime, du moins le président de la République, plus cité (et hué) dans les slogans que son premier ministre, moins exposé et, surtout, moins audible. Mais est-ce la loi elle-même qui jette les manifestants dans la rue, ou une inquiétude sourde des classes ouvrières et tertiaires devant un lendemain qui semble se présenter comme le triomphe du libéralisme européen et la montée du « précariat », de cette situation qui fait des travailleurs de simples fétus de paille ballottés au fil du vent ou, plutôt, du Marché dit « libre et sans entraves » ?

    A bien y regarder, cette nouvelle loi Travail n'est rien d'autre que la suite (certains diraient la pente...) logique de la loi Travail de 2016, appelée aussi « loi El Khomri », qui avait soulevé une vague contestataire, forte mais bien vaine et stérile, faute d'une stratégie et d'une vision sociale claire et prospective des syndicats et des opposants. Aujourd'hui, elle semble pourtant moins contestée, à défaut d'être moins contestable, ce dont il est légitime de discuter : la méthode employée par l'actuel pouvoir a évité une part des erreurs du précédent quinquennat, particulièrement maladroit et malhonnête sur ses principes comme sur ses projets, faisant souvent passer des vessies pour des lanternes, au risque de discréditer toute parole politique près des électeurs et particulièrement de ceux qui étaient censés être les siens. Durant l'été, le gouvernement a travaillé, proposé et discuté avec les partenaires sociaux sans se les mettre à dos, mais en position de force et avec la ferme intention de ne pas être amené sur un terrain qu'il ne possédait pas : cette stratégie s'est avérée plutôt efficace, et elle a désarmé certaines oppositions syndicales qui ne pouvaient plus arguer du « mépris » de leur interlocuteur. Habile, le gouvernement a aussi profité d'une certaine lassitude d'un monde ouvrier de plus en plus désabusé qui se retrouve, aux yeux des médias et des observateurs, sans autres représentants politiques que les mouvements qualifiés de « populistes », qu'ils soient « insoumis » ou « frontistes », ces derniers semblant avoir déserté le terrain social pour en laisser l'exclusivité à M. Mélenchon...

    Dans la rue, il risque bien de n'y avoir que peu d'ouvriers et beaucoup plus de fonctionnaires : cette représentation biaisée du monde du Travail n'est pas une bonne nouvelle car l'opinion publique risque bien de se laisser abuser, ne croyant voir en cette manifestation qu'une « confiscation » de la cause ouvrière par des militants professionnels et donnant ainsi raison à un gouvernement trop content d'avoir de tels adversaires, faciles à décrédibiliser. Les autres démonstrations, celles du 21 (à nouveau sous l'égide de la CGT) et du 23 septembre (derrière La France Insoumise), risquent aussi d'accréditer l'idée que le seul choix serait entre MM. Macron et Mélenchon, ce qui constitue, en somme, une impasse politique, l'un servant de faire-valoir à l'autre (et réciproquement), sans grand bénéfice pour les travailleurs, producteurs ou fonctionnaires, et occultant ainsi les vrais débats et les vrais enjeux de la réforme, les uns comme les autres dépassant pourtant la simple question du code du travail, devenu un symbole plus qu'autre chose...

    Et pourtant, la question sociale mérite, encore et toujours, d'être posée ! Mais sa résolution, qui n'est jamais définitive, ne peut être le fait de M. Macron ni de M. Mélenchon, et, en République française, elle paraît bien insoluble comme l'ont montré les deux siècles qui nous séparent de la date maudite de 1791, véritable acte de naissance de la condition prolétarienne en France et acte de décès, dans le même temps, de toute protection sociale d'envergure du monde des producteurs et des travailleurs, manuels comme intellectuels. Bien sûr, l'on nous rétorquera que le décret d'Allarde et la loi Le Chapelier de cette année de la Révolution française n'ont plus cours mais leur esprit, lui, demeure et semble même triompher avec les temps contemporains et les principes développés par cette « libéralisation capitaliste » qui n'est rien d'autre que la prise du pouvoir par ce que d'aucuns pourraient nommer, un peu rapidement et sans nuance (mais pas sans un vaste fond de vérité) « la Bourgeoisie », celle-là même dont Charles Maurras, ici bien inspiré, expliquait qu'elle « ne comprend pas la question ouvrière, et cela, faute de la voir ».

    Car les inquiétudes du monde du Travail sont bien réelles et, trop souvent, bien fondées : la mondialisation, si elle semble désormais en déclin (ce qui reste néanmoins à confirmer), joue plutôt contre les travailleurs français et contre les entreprises « de proximité », au risque d'aggraver le précariat et de fragiliser un peu plus le tissu social du pays, déjà bien détricoté au profit des grandes métropoles, ce processus renouant avec la logique terrible de « Paris et le désert français » évoqué jadis par Jean-François Gravier dans un livre homonyme célèbre paru en 1947. La loi du libre Marché est trop souvent celle du plus fort, et elle profite à cette oligarchie économique et financière qui raisonne selon cette effroyable logique franklinienne selon laquelle « le temps c'est de l'argent », formule terrible qui sacralise l'argent au détriment de cette humanité raisonnable qui nous conseille d'être attentif aux autres avant que de vouloir s'enrichir à leurs dépens, et à celui d'un monde désormais saturé de pollutions et d'objets jetables... 

    L'on ne protégera pas le monde des travailleurs sans protéger le Travail comme une valeur plus importante et plus humaine que l'argent : l'exemple des SCOP dans lesquelles le directeur gagne moins du double du salaire des ouvriers de celles-ci, loin des folies (dignes d'un Don Salluste !) de certains grands patrons mercenaires, n'est pas à négliger, s'il n'est pas le seul à appliquer, comme le soulignent aussi les partisans d'un corporatisme rénové et adapté à notre temps. Mais, pour remettre de la mesure dans l'économie et préserver au mieux les intérêts des travailleurs, sans démagogie ni déni des réalités économiques et budgétaires, encore faut-il un État politique digne de ce nom qui n'oublie pas que son premier rôle social est de protéger ceux qui, de naissance ou d'adoption, sont ses administrés et, plus encore, ses citoyens. Et, puisque la République se confond trop avec l'oligarchie qui la dirige ou la manipule, il faudra bien poser la question institutionnelle de la magistrature suprême de l’État susceptible de pouvoir, par statut et par devoir, incarner la justice sociale : au regard de l'histoire de notre pays, il semble bien que ce soit la Monarchie qui réponde le mieux aux exigences à la fois politiques et sociales d'un monde du Travail aujourd'hui déboussolé et divisé...

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1449:au-dela-de-la-reforme-du-code-du-travail-pour-une-contestation-sociale-fondatrice&catid=51:2017&Itemid=62

  • Solidarité française.

    L'ouragan Irma a dévasté deux îles de la France du lointain, mais c'est tout le pays qui est touché, et Saint-Martin nous est, en particulier, devenu un nom presque familier à force d'être répété en boucle sur toutes les chaînes d'information. S'il est dommage de ne parler de nos terres d'Outre-mer que lorsque de telles catastrophes surviennent, il serait encore plus dommage, voire scandaleux, de les oublier une fois Irma et José rangés dans le placard des climatologues, dans quelques jours ou semaines. Les dégâts, immenses, nous obligent à un grand élan de solidarité française : le milliard d'euros, au moins, qui sera nécessaire pour le déblayage, la réparation et la reconstruction des deux îles antillaises, s'il n'arrange pas les comptes publics d'un État aujourd'hui financièrement exsangue, doit être rapidement débloqué, à bon escient et sans barguigner. Venir en aide à ceux qui ont tout perdu, est une tâche prioritaire que l’État, dont le rôle est de protéger les Français d'où qu'ils soient et quels qu'ils sont, doit assumer sans faillir : cette assistance ne doit bien sûr pas tourner à l'assistanat, ce qui serait rendre, en définitive, un bien mauvais service à nos compatriotes qui, d'ailleurs, ne le souhaitent pas forcément.

    france-sur-mer.jpgIl est une obligation de l’État, dès maintenant, qui est de mettre les bâtiments commerciaux et les habitations à l'abri des pillages qui désorganisent un peu plus la vie sur les îles et entretiennent une insécurité qui rajoute à la détresse des sinistrés : doit-on hésiter à envoyer quelques renforts dissuasifs lorsque la paix civile est menacée par quelques bandes violentes ? Il serait malsain de laisser croire que certains territoires de notre pays méritent moins d'attention que d'autres parce qu'ils nécessiteraient plus d'investissements ou coûteraient « trop cher » en forces de l'ordre !

    D'autre part, la reconstruction doit être savamment et précisément pensée en prévoyant que le réchauffement climatique en cours et qui a de fortes raisons de s'aggraver (sauf réactions naturelles qui restent, pour l'heure et de toutes les façons, méconnues ou hors de la maîtrise des hommes), risque de mettre à nouveau à mal cette région du monde et nos îles antillaises cernées de ces eaux chaudes pourvoyeuses, pour quelques jours terribles, de l'énergie qui rend les ouragans puissants et destructeurs. Il faudra réfléchir, comme le souligne Armelle Bohineust dans Le Figaro du 8 septembre, à « adopter de nouvelles techniques d'ancrage des fondations et des toits » susceptibles de supporter les prochaines tempêtes et, sans doute, éviter de céder aux sirènes de promoteurs plus soucieux de leurs profits que de sécurité et de solidité comme on l'a connu dans d'autres endroits dévastés. Là encore, le rôle de l’État, s'il n'est pas de reconstruire lui-même, est de veiller à édicter des règles urbanistiques et environnementales pour éviter les erreurs et les errements de tant de reconstructions passées et dont quelques unes des cités littorales de métropole portent encore les stigmates bétonnées de laideur et d'inconfort.

    Si la saison touristique qui devait débuter dans quelques semaines est évidemment fort compromise, voire impossible dans les conditions de destruction actuelles, il serait de bon aloi de permettre la reprise d'activités touristiques au plus tôt, avec le soutien et les conseils des Ministères des Outre-mer et de la Transition écologique et solidaire, ce dernier pouvant aider à la réalisation de programmes énergétiques et de valorisation environnementale des îles de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy, ce qui est aussi valable pour les autres territoires des Antilles françaises.

    La solidarité française ne doit pas manquer à nos compatriotes : si l’État la représente et, même, l'incarne par son action, ses personnels et ses finances, les citoyens responsables que nous sommes peuvent aussi, de multiples manières, aider à la reconstruction et au retour de l'espérance et de la confiance dans ces territoires lointains dont, au moins, nous sommes les proches voisins de cœur et d'esprit...

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