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social - Page 341

  • Ils ne nous font pas peur !

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    Nous aurions souhaité que nos dirigeants mettent autant d’ardeur et de zèle à dissuader et à menacer les Black Blocs et autres activistes d’extrême gauche à ne pas manifester et, surtout, à ne pas casser lors des dernières manifestations d’envergure nationale qu’ils en mettent aujourd’hui à provoquer et effrayer les « gilets jaunes ». Oui, mais voilà, ils savent pertinemment à qui ils s’adressent. D’un côté des casseurs patentés, qui n’attendent que la première occasion donnée pour détruire et incendier. Et de l’autre, de simples citoyens, habituellement respectueux des institutions et de l’ordre établi, mais qu’un vaste ras-le-bol finit par envoyer dans la rue.

    Macron, Philippe et Castaner auront ainsi tout essayé pour tenter d’amadouer les Français en colère. D’abord, des annonces. Destinées à calmer le bon peuple, en proposant diverses mesures économiques et financières, telle l’augmentation de la prime à la conversion, ils ont cru pouvoir acheter à bas prix un mouvement qui est, en réalité, d’une autre envergure et qui ne se contentera pas de ramasser les miettes qu’un exécutif aux abois tente de leur jeter.

    Ensuite, les menaces. C’est ainsi qu’à tour de rôle, le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur ont tenté d’intimider les potentiels manifestants en leur faisant craindre une répression sans merci.

    Enfin, certains médias, habilement manipulés, ont voulu faire croire que les organisateurs et les meneurs de la manifestation du 17 novembre étaient identifiés et qu’ils encouraient les foudres de l’État.

    Bien entendu, tout cela relève d’une vaste opération de déminage, dont il est facile d’imaginer qui se trouve derrière ces manœuvres de basse police. Elles sont, cependant, révélatrices de l’embarras dans lequel se trouvent, désormais, ceux qui, depuis des mois, harcèlent les travailleurs modestes, les retraités, les automobilistes et, d’une façon plus générale, le contribuable. Ils étaient pourtant convaincus que les Français, qui sont paraît-il des veaux, goberaient sans rechigner augmentations d’impôts, taxes nouvelles et acharnements administratifs divers sans réagir. Et pour faire bonne mesure, d’entreprendre une vaste campagne de désinformation afin de persuader le bon peuple qu’il n’a jamais été aussi riche et aussi heureux et que ne pas en être persuadé relevait tout simplement de la mauvaise foi, voire d’un parti pris d’extrême droite.

    Pourtant, il semblerait bien que la mayonnaise gouvernementale peine à prendre. Car le mécontentement est bien là. Et il repose sur des données objectives et indiscutables. Qui peut prétendre, en effet, que la vie n’augmente pas de manière significative, et que salaires et retraites ne cessent de fondre ? Qui peut dire sans rougir que l’impôt ne nous accable pas et que la France n’est pas devenue championne d’Europe à ce petit jeu ? Qui peut oser prétendre que les services publics ne désertent pas nos campagnes, que l’insécurité n’a jamais été aussi importante, que notre école n’en finit pas d’être sinistrée, que nos armées sont délaissées ? Et la liste pourrait encore être longue, de ces dysfonctionnements, anomalies, injustices qui n’en finissent pas de tirer notre pays vers le bas.

    Alors oui, le mouvement citoyen qui se dessine pour le 17 novembre est on ne peut plus légitime. Il appartient donc à chaque Français concerné d’aller dire son exaspération face à un système qui, sous couvert de démocratie, cultive la division et l’injustice. Et peu importent les menaces, elles ne feront que renforcer notre détermination.

    Olivier Damien

    http://www.bvoltaire.fr/ils-ne-nous-font-pas-peur/

  • Les gilets jaunes : quand les pauvres pensent qu’ils paient trop d’impôt, la révolution n’est pas loin.

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    Les politiciens ont une stratégie simple et efficace : prendre le plus d’argent possible à une minorité de riches pour la distribuer à une majorité de pauvres. En effet, pour obtenir le succès des suffrages, peu importe de se mettre à dos la minorité des nantis. En revanche, il convient de mettre de son côté la majorité des pauvres dont on peut acheter les votes à peu de frais. En matraquant un riche, on peut satisfaire cent pauvres et cela permet de gagner les élections.

    Vous me direz que cela existait déjà sous l’Empire romain et que les patriciens obtenaient leur mandat électoral par des distributions de pain et l’organisation de jeux du cirque. C’est vrai, mais ils le faisaient avec leur argent.

    Aujourd’hui, les jeux du cirque sont financés par le Qatar ou des oligarques au prix de passe-droits occultes, et le pain payé par l’impôt.

    Il y a, cependant, une limite à l’exercice. Lorsque les prélèvements deviennent trop lourds sur les nantis, la stratégie commence à produire des effets pervers :
    – les entrepreneurs n’ont plus d’incitation à entreprendre ;
    – les riches ne travaillent plus et consacrent leur temps à mettre au point des combines plus ou moins légales pour essayer de minimiser leur contribution ;
    – les uns et les autres s’enfuient en délocalisant leur business ou en allant vivre ailleurs.

    Le Président Macron, devant nos prélèvements obligatoires à 45,3 % – record du monde des pays développés -, a pensé que nous étions entrés dans la zone rouge, celle où l’augmentation des impôts sur les plus riches allait entraîner des conséquences négatives pour tout le monde, à savoir une réduction de la richesse distribuable. Si la moyenne des prélèvements est à 45,3 %, comme une masse de gens nécessiteux payent beaucoup moins que cela, une minorité de gens très aisés payent bien, dans notre pays, 75 à 80 % de ce qu’ils gagnent.

    Cela explique les mesures prises au tout début de son mandat : le remplacement de l’ISF par l’IFI et la « flat tax » sur les dividendes pour encourager l’investissement national en rapprochant notre pays des normes fiscales du reste de l’OCDE.

    Le problème est que les dépenses ne cessent d’augmenter et que le gouvernement s’est vu dans l’obligation de mettre aussi à contribution les pauvres, puisqu’il doit respecter les consignes de Bruxelles en matière de déficit. La meilleure façon de le faire est d’utiliser les impôts indirects à large assiette : la CSG, la taxe sur les produits pétroliers, les taxes sur le tabac… avec de complexes mécanismes de compensation pour tenter de masquer qu’au total, la facture s’élève, et en prétextant de servir une grande cause : la santé, l’écologie, la solidarité entre les générations…

    Mais cela ne passe pas. Les caves se rebiffent et comprennent qu’on les enfume. La situation est donc tendue. Si on essaie de tondre un peu plus les riches, ils vont continuer à se sauver, comme les regrettés Johnny et Aznavour, et une tripotée de businessmen anonymes qui ont emmené avec eux leurs économies et, parfois, leurs sociétés… d’où le maintien d’une forme d’« exit tax ». Quant aux pauvres, ils refusent d’être mis à contribution et s’apprêtent à bloquer le pays.

    Cela commence à sentir le roussi, non ?

    Jean-Jacques Joulié

    http://www.bvoltaire.fr/les-gilets-jaunes-quand-les-pauvres-pensent-quils-paient-trop-dimpot-la-revolution-nest-pas-loin/

  • Gilets jaunes – Éric Zemmour : “Le 17 novembre, une jacquerie fiscale”

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    Blocages des routes et points stratégiques, actions de sensibilisation symboliques, manifestations contre la hausse du prix des carburants… Les “gilets jaunes” veulent mettre la France à l’arrêt, samedi 17 novembre. Plus de 1.500 actions sont attendues sur tout le territoire. Mais seule une centaine a été déclarée en bonne et due forme auprès des autorités. Ces dernières ne craignent pas forcément de débordements majeurs mais restent vigilantes face au haut degré d’improvisation du mouvement.

    Emmanuel Macron n’est pas l’expression d’un nouveau monde mais l’aboutissement ultime d’un système qui a plusieurs décennies, déclare Éric Zemmour. C’est l’incarnation de la fin du système qui fait la même politique depuis 30 ou 40 ans (…) qui privilégie les métropoles contre tous les autres territoires“, ajoute-t-il.

    Selon Éric Zemmour, la mobilisation du 17 novembre “est ce qu’on appelle une jacquerie. C’est une jacquerie fiscale. C’est très inquiétant mais c’est le gouvernement qui a créé ça“, estime-t-il, à travers “l’augmentation de la fiscalité que l’on dissimule derrière un paravent écologique“.

    https://fr.novopress.info/212611/gilets-jaunes-eric-zemmour-le-17-novembre-une-jacquerie-fiscale/

  • I-Média n°224 : Gilets jaunes, de fâcheux fachos fâchés ?

    Les gilets jaunes, aussi « fachos » que fâchés ?
    Ce samedi 17 novembre, la contestation des gilets jaunes s’incarne dans les rues et sur les routes françaises. Né d’une contestation de la hausse des taxes sur l’essence, ce mouvement populaire est-il noyauté par l’extrême-droite comme semble le penser plusieurs observateurs ? Les gilets jaunes sont très fâchés. Sont-ils aussi un peu « fachos » ?

    Zapping
    Maggy Biskupski, policière engagée pour la défense des forces de l’ordre dans les médias, s’est donné la mort avec son arme de service. Un triste événement qui interpelle… Tout comme le refus du débat sur la question de la PMA chez LREM. Un parti qui sanctionne le fait de simplement évoquer le « lobby LGBT ».
    Pendant ce temps-là, le Breton Francis Joyon perpétuait la tradition européenne du dépassement de soi et remportait la Route du Rhum 2018.

    Macron et Trump, de l’armistice à la guerre ?
    Lors de la commémoration de l’armistice de la 1re guerre mondiale, Emmanuel Macron a multiplié les erreurs diplomatiques. Au point de fâcher Donald Trump et de créer une petite crise entre les deux hommes. Retour sur une cérémonie dédiée à la paix qui a fini par tourner au conflit.

    Les tweets de la semaine
    Plus de Mohammed mort en 14-18 que de Martin ? Le choix très militant de titrage du Parisien interroge. Tout comme celui, encore plus vicieux, du Monde qui illustre un article sur la montée de l’antisémitisme avec des symboles… catholiques !

    Macron et Facebook à marche forcée vers 1984
    C’est une annonce qui a de quoi effrayer les amoureux de la liberté d’expression. Emmanuel Macron et Facebook ont annoncé un partenariat pour censurer, notamment, les discours dits « de haine ». Une coopération approfondie entre les deux entités qui laisse très sérieusement planer la menace d’une dérive autoritaire.

    https://www.tvlibertes.com/2018/11/16/26793/gilets-jaunes-de-facheux-fachos-faches

  • Gilets jaunes – 17 novembre : le cri d’une France qui ne veut pas mourir, par Guillaume de Thieulloy

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    Depuis quelques jours, un appel à multiplier les blocages le 17 novembre se répand sur les réseaux sociaux, pour protester contre la hausse du prix des carburants (liée notamment au racket fiscal du gouvernement).

    J’ignore qui est derrière cet appel qui n’a pas été, à ma connaissance, revendiqué.

    En revanche, je dis tout net que, personnellement, je soutiens cette mobilisation et espère qu’elle aura le plus grand succès possible – et qu’elle ne sera qu’une étape dans l’expression du ras-le-bol multiforme des Français.

    C’est du populisme, me dira-t-on ? Oui, sans doute, et alors ? Bien sûr que je suis, dans cette affaire, du côté du populisme contre l’oligarchie qui piétine le peuple français !

    Ce que je trouve très intéressant dans cette mobilisation réside précisément dans ce qui la fait regarder avec mépris par les « bien-pensants » : son caractère inorganisé et son caractère de réaction épidermique.

    Que ce soit inorganisé est la meilleure chance que le 17 novembre soit l’occasion d’une convergence de toutes les colères.

    En 2014, j’avais soutenu « Jour de colère », cette manifestation qui réunissait des Français extrêmement différents et porteurs de colères variées.

    C’est la même logique de coalition des colères qui se révèle ici. Car, ne nous y trompons pas : ce n’est pas seulement la hausse des carburants et le racket fiscal qui sont en cause. C’est aussi l’impuissance organisée de l’État. C’est l’insécurité. C’est l’immigration massive.

    Peut-être, d’ailleurs, le plus grave réside-t-il dans le décalage entre ce que l’État nous vole et ce qu’il en fait.

    Quand ils apprennent, à quel­ques jours d’intervalle, que le prix moyen d’un litre de diesel est passé entre le 1er janvier et le 26 octobre 2018 de 1,39 à 1,51 euro, soit plus de 8,5 % de hausse en moins d’un an (et même pratiquement 40 % de hausse depuis le début de 2016), et que, dans plus de 300 villes, la nuit d’Halloween (fête d’importation, comme la plupart de ceux qui ont pris part aux « festivités » !) a été le théâtre de scènes d’émeutes et de déprédations telles que la police était dépassée, les Français ont des raisons d’être en colère !

    Ce qui est en cause, c’est aussi l’arrogance des petits marquis qui se croient au-dessus des lois pourrissant nos vies.

    Le peuple français se réveille et c’est une excellente nouvelle.

    Bien sûr, il y a fort à parier que ce mouvement soit caricaturé. Mais l’exaspération est telle que les caricatures, les menaces ou les appels au calme n’ont plus aucun impact. Il est significatif, d’ailleurs, que cet appel aux blocages soit soutenu par des politiciens aussi différents que Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen ou Nicolas Dupont-Aignan.

    Ce mouvement du 17 novembre, c’est le cri de ras-le-bol des Français. Mais c’est aussi le sursaut d’une France qui ne veut pas mourir. D’une France qui refuse le sort que lui réserve cyniquement une oligarchie si manifestement anti-française. D’une France qui n’en peut plus d’assister à l’impuissance politique théorisée. D’une France qui veut reprendre en mains son destin politique confisqué par de prétendus experts et de prétendus représentants.

    On dira sans doute : une coalition de colères ne fait pas un programme de gouvernement. Certes. Mais c’est une raison de plus de travailler à l’alliance des conservateurs et des populistes qui triomphe partout en Europe et que M. Macron a justement désignée comme son ennemie. Car, avec cette alliance, non seulement nous disposerions d’un programme, mais nous disposerions aussi des personnes capables de le mettre en œuvre (et qui manquent cruellement au mouvement populiste).

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/212596/gilets-jaunes-17-novembre-le-cri-dune-france-qui-ne-veut-pas-mourir-par-guillaume-de-thieulloy/

  • Gilets jaunes : les forces de l’ordre appréhendent l’ampleur du blocage

    Les autorités sont décontenancées face à ce phénomène hétéroclite, né hors de tout parti et syndicat, qui prévoit de déferler sur la France samedi 17 novembre. Les organisateurs avaient jusque 72 heures avant la journée d’action de samedi pour déclarer leurs manifestations en préfecture, « mais il y a sûrement un peu de souplesse», espère une source policière.

    «Ce sont des gens qui n’ont pas l’habitude des manifestations, qui peuvent ne pas les déclarer. Nos services de renseignements ont un gros travail» à fournir, confirme Christophe Rouget, du syndicat de police SCSI-CFDT.. […]

    «C’est un vrai casse-tête. Sans déclarations, les préfets ne peuvent pas faire une demande précise de renforts policiers, ni savoir combien de forces de l’ordre sont nécessaires, et où», note une source policière. «Il y a le problème de la mobilisation policière, mais aussi celui des consignes qui seront données», s’inquiète une autre source au sein de la police. «Est-ce qu’il faudra évacuer les manifestants, au risque que ce soit des familles avec enfants, ou verbaliser ? » s’interroge-t-elle. […]

    Le Point

    http://www.fdesouche.com/1106825-gilets-jaunes-les-forces-de-lordre-apprehendent-lampleur-du-blocage

  • Les consignes des Gilets jaunes parisiens pour samedi

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    Voilà qui est clair pour les Parisiens 

    PROGRAMME 17 NOVEMBRE PARIS

    VOITURES :

    6H RENDEZ VOUS BOIS DE BOULOGNE PROCHE PORTE MAILLOTS

    7H RENTRÉ SUR LE PÉRIPHÉRIQUE PORTE MAILLOTS

    13H DIRECTION L'ELYSÉE A PIED OU EN VOITURE

    A PIED :

    RENDEZ VOUS 7H SUR LES CHAMPS ELYSÉES
    BLOCAGE TOTAL A PIED !

    13H DIRECTION ELYSÉE

    POUR TOUT LE MONDE A PARTIR DE 13H SIEGE DEVANT L'ELYSÉE !

    PAS DE DATE DE FIN !

    CONSEILS pour :
    LA JOURNÉE NATIONALE DU 17 NOVEMBRE 2018
    - Habillez vous CHAUDEMENT ET METTRE SON GILET JAUNE
    - Prenez de quoi MANGER ET BOIRE pour PLUSIEUR JOURS
    - Ne prenez PAS VOS PAPIERS D IDENTITÉ pour ne pas être identifier par les forces de l' ordre 
    - METTEZ VOS GILET JAUNES
    LAISSEZ PASSÉ les Autorités
    Ambulance
    Police
    Pompier
    - PAS D' ALCOOL 
    - PAS D' ENFANTS
    - PAS D' ARMES
    - LES CASSEURS RESTEZ CHEZ VOUS
    - LES ANTI-17 NOVEMBRE RESTEZ CHEZ VOUS !
    - Et enfin, si on vous demande qui est le RESPONSABLE de cette mannifestation , bien évidemment vous répondez c'est E.MACRON
    Cette journée nous appartiens pour mannifester, quoi qu' il arrivent nous ne lâcherons rien!
    On fera plié MACRON qu'il le veuille ou non, ce n' est plus lui qui est au POUVOIR !
    NOUS SOMMES TROP NOMBREUX 
    N'oubliez pas le 
    17 novembre les automobilistes
    17 et 18 novembre les motards 
    19 novembre les chauffeurs routiers
    20 novembre les infirmières 
    Et si RIEN ne BOUGE au gouvernement se sera la REVOLUTION SUR LES CHAMPS ÉLYSÉES !

  • Perles de culture n°187 – Politique Magazine : Macron face aux Gaulois réfractaires

    L’équipe cinéma vous recommande “Un homme pressé”, “Bohemian Rhapsody”, “En liberté !”, “Les Camarades” et “Le Grand Bain”. Anne Brassié reçoit ensuite le directeur de la publication de Politique Magazine, Hilaire de Crémiers puis Stéphanie Bignon, de l’association Terre et Famille, et José-Marie Faguer, grand rénovateur de calvaires en Mayenne.

  • Gilets jaunes : À l’approche des manifestations du 17 novembre, le gouvernement revoit sa copie

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Samedi prochain, 17 novembre, sont prévus partout en France des opérations de blocage en signe de manifestation contre la hausse des prix du carburants. En effet dans un pays où 70% de la population a besoin de sa voiture pour travailler, une telle hausse pèse lourd sur le budget des ménages. Sans compter que, rappelons-le, cette hausse concerne également le fioul. Le mouvement dénonce donc en premier lieu le racket des Français mais également la grande hypocrisie d’un gouvernement prétendant justifier ces taxations par la transition écologique alors que la seule et unique raison et de rapporter plus.

    Qu’est-ce que ce mouvement des gilets jaunes a de particulier ?

    Il n’a pas d’étiquette ! En effet, à l’instar du mouvement des bonnets rouges, aucun parti d’opposition n’a pris l’initiative du mouvement. À ceci près que cette fois, le mouvement touche la France entière. On entend même parler de « jacquerie ». Certaines grandes enseignes médiatiques comme le Monde ou Libération ont bien essayé d’y apposer une étiquette d’extrême droite mais sans succès : Macron se voit piégé devant le vrai peuple, impossible pour lui de diaboliser un opposant. Sa seule réaction jusqu’à aujourd’hui ? Il dit « assumer » ces mesures. Une déclaration largement interprétée comme suit : « je fais fi de vos revendications ». Il s’exprimera ce soir à 20h sur TF1.

    Quelles mesures propose le gouvernement pour calmer la grogne populaire ?

    Des aides multiples dont la nature varie aux gré des déclarations : Chèque énergie, prime à la conversion étendue, programmes d’accompagnement dans la transition etc. Pour ce qui est de la prime à la conversion, qui désigne des aides de l’Etat aux ménages pour faire évoluer le parc automobiles vers des véhicules moins polluants, cette mesure peine à trouver de la crédibilité devant les difficultés de mise en place de mesures plus anciennes telles que la prime à la casse. De plus, beaucoup y voient un prétexte à la consommation en faveur de l’automobile. Enfin, le mythe de la voiture électrique qui ne pollue pas s’ébranle. Nul n’ignore que leur production, beaucoup plus polluante qu’un véhicule classique, ainsi que le besoin accru d’électricité induit, contrebalancent totalement leur absence d’émission.

    https://fr.novopress.info/

  • Le Bastion social mobilise pour samedi prochain

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    Un communiqué du Bastion social :

    Après avoir incité les Français pendant des années à s'équiper de moteurs diesels, le gouvernement prévoit de nouvelles augmentations successives des taxes sur le carburant dont plus de 60% du prix est déjà constitué de taxes.

    Comment ne pas s'indigner de cet énième matraquage fiscal quand, dans le même temps, le budget alloué en 2019 à l'asile et l'immigration augmente de 14% et quand les propositions d'ordre écologique du gouvernement se cantonnent à rançonner un peu plus les maigres économies des Français ?

    Insurgeons-nous contre ce gouvernement anti-national. Le 17 novembre, le Bastion Social soutiendra toutes initiatives citoyennes visant à exprimer le mécontentement du peuple et, descendra, lui aussi, dans la rue.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/