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La France revendique 3,8 milliards d’euros d’aide militaire versée à l’Ukraine depuis février 2022Le bilan a été publié le 3 mars par le ministère français des Armées.
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La France revendique 3,8 milliards d’euros d’aide militaire versée à l’Ukraine depuis février 2022Le bilan a été publié le 3 mars par le ministère français des Armées.
Suite à la réaction de Jean Montalte au livre de Rodolphe Cart, « Feu sur la droite nationale ! Réponse à Daniel Conversano et aux identitaires » (La Nouvelle Librairie), ce dernier a décidé de ramasser le gant pour s’expliquer. La parole est à la défense.
Cher Jean Montalte,
Vous commencez votre réponse en m’objectant que « l’identité est la condition nécessaire d’une politique vraiment française ». Autant dire que je me range derrière une telle proposition. Il ne peut y avoir d’État souverain s’il est dépossédé de son identité, car la liberté d’action et de décision d’une entité politique – à l’intérieur de ses frontières (contrôle étatique) ou sur la scène internationale (diplomatie, indépendance nationale) – dépend directement de sa population (composition, natalité, pyramide des âges, diversité, nombre). Et pourtant, est-ce suffisant pour faire de la question identitaire un programme de gouvernement ? Je ne le crois pas…
Aujourd’hui, s’est ouvert le Salon de l’Agriculture. La colère légitime des agriculteurs grandit et a eu raison du débat dérisoire proposé par Macron, également refusé par Michel-Edouard Leclerc. Outre la mise en place d’un vrai protectionnisme, comme en Asie, la claire communication de l’origine des produits est une autre revendication légitime. Dans les deux cas, l’UE est l’obstacle à franchir.
Nous recevons aujourd’hui Jean-Philippe Chauvin militant royaliste de toujours et professeur d’histoire dans un grand lycée d’Ile-de-France. En sa compagnie nous découvrons un aspect méconnu de la monarchie et de l’Ancien régime : sa dimension sociale.
1) Louis XVI et la question sociale. Une image à repenser en général sur la monarchie mais particulièrement sous Louis XVI. Au moment de la grande peur des campagnes à la suite de l’explosion d’un volcan islandais qui plonge l’Europe dans un grand trouble climatique assorti de mauvaises récoltes, Louis XVI consacrera une part du budget pour venir en aide aux paysans.
Alain Escada était samedi dernier l’invité d’une journée paysanne en Vendée. Il y a tenu un discours rappelant la tragédie que vivent les paysans, victimes d’un plan orchestré par les mondialistes pour les faire disparaître, s’accaparer les terres agricoles et décider de l’alimentation qui sera encore à disposition ou non.
Partout dans l’Union européenne, les paysans se dressent contre la Politique agricole commune (PAC) qui pourtant les subventionne. Les gouvernements leur répondent avec des mesures d’ajustement, des simplifications bureaucratiques et quelques paroles de réconfort. En réalité, ils sont impuissants face à une structure conçue pour appliquer une idéologie qui se révèle folle.
Le désespoir et la colère des paysans européens
Dans toute l’Europe occidentale et centrale, les paysans manifestent. Ce fut d’abord aux Pays-Bas, en Italie, en Suisse et en Roumanie, aujourd’hui en Espagne, en France, en Allemagne et en Pologne. Cette jacquerie à l’échelle continentale se soulève contre la Politique agricole commune (PAC) de l’Union européenne.
Une journée paysanne s’est tenue en Vendée. L’occasion de découvrir très concrètement les différentes facettes du métier de paysan, les difficultés vécues par eux, les contrôles qu’ils subissent (avec des contrôles par satellite !) mais aussi leur détermination à défendre un métier essentiel qui est pour eux une vocation transmise de génération en génération.
« Il faut prendre l’argent là où il est » . Quand il s’agit de ponctionner l’argent du fonds de retraite Agirc-Arrco, l’État français semble faire sienne cette vieille formule du parti communiste avec obstination !
L’argent de l’Agirc-Arrco, géré par les « partenaires sociaux » (organisations syndicales et patronales), et non par I'administration, appartient légitimement aux cotisants et retraités affiliés à ce régime. Mais le fric-frac est tentant, pour un État qui a accumulé plus de 3 000 milliards d'euros de dette publique et prévoit encore un déficit de 145 milliards d'euros en 2024. Et les tentatives se sont multipliées ces dernières années.