Le gouvernement italien a signé un pacte avec cent entreprises pour promouvoir la maternité, l’un des thèmes sur lesquels la première ministre Giorgia Meloni a le plus insisté au cours de sa carrière politique. Elle s’est inquiétée du faible taux de natalité dans son pays et dans le reste de l’Europe. Selon l’accord, plusieurs entreprises s’engagent à soutenir le retour au travail des femmes après un congé de maternité.
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Italie : le gouvernement Meloni encourage la maternité
Lors de la présentation de ce pacte, Mme Meloni a souligné que la famille et la natalité sont des éléments fondamentaux de l’action de son gouvernement. -
Grèves, blocages, emplois fictifs, chantages, faillites : ce rapport parlementaire enterré qui dénonce l’emprise des syndicats français (MàJ : Une lanceuse d’alerte menacée pour avoir signalé la disparition de 7 Milliards d’euros du régime de garantie des
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Depuis vingt-cinq ans, le fonctionnement opérationnel du régime AGS est assuré par un établissement de l’Unédic, la fameuse DUA. Elle se compose de 230 personnes, dispose de quinze centres à travers la France métropolitaine et départements d’outre-mer. En septembre 2018, Houria Aouimeur-Milano est recrutée pour remplacer Thierry Météyé, 72 ans, qui doit partir à la retraite en fin d’année, après trente-huit ans à la direction de l’AGS. C’est Geoffroy Roux de Bézieux, le patron du Medef, qui connaît les qualités de cette juriste maison, passée par la direction des affaires sociales de l’organisation patronale et la direction de sa branche conseil, qui a proposé son nom au cabinet chargé de trouver un remplaçant à Météyé.
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Comment la France a perdu son industrie de pointe?
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Les aspects contemporains de la question sociale (2) : Vers une réponse royaliste ?
La rentrée sociale de cet automne 2023 paraît calme, bien calme… trop calme ? Il est vrai que le chaud printemps dernier pouvait laisser craindre (ou espérer, selon le camp considéré) une reprise des hostilités entre syndicats et gouvernement, et ce ne sont pas les déclarations martiales de certaines sections syndicales locales et nationales qui manquaient, comme si le volcan de la contestation de la réforme des retraites était toujours actif. Or, il est marquant de constater que le passage de l’âge de départ à la retraite semble désormais, sinon accepté par la majorité des travailleurs salariés, du moins reconnu comme une réalité malheureuse mais désormais installée. Peut-on dire que les manifestants et ceux qui ont vu leur projet de départ à la retraite retardé de quelques mois ou de quelques années sont désormais fatalistes ? Sans doute, mais ils n’en sont pas moins en colère contre ce gouvernement qui leur a imposé ce dont ils ne voulaient pas, et cela sans autre motivation, pour celui-ci, que quelques économies dérisoires au regard de l’immense dette publique de 3 050 milliards d’euros, véritable gouffre financier dont la France semble ne jamais devoir se sortir…
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Les arrêts de travail explosent chez les moins de 30 ans… Si jeunes et si fragiles au boulot !
« Face à l’intensification du travail, les jeunes plongent dans un malaise profond : « Je m’enfonçais dans le travail, je n’avais plus de distance » » proclame le titre de cet article du Monde qui revient sur les états d’âmes d’une jeunesse inadaptée au travail en général et au monde du travail en particulier ce que le journal n’ose pas dire.
« Tâches absurdes, rythme intense, précarité de l’emploi, absence de seniors pour les guider… les transformations du monde professionnel génèrent de la souffrance chez les jeunes salariés. Le nombre d’arrêts-maladie explose chez les moins de 30 ans. »
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Chasse aux propriétaires mais HLM partout | Stéphane Ravier
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Crise immobilière. La preuve par le cours de Nexity.
Nexity est le plus gros promoteur français.
Officiellement c’est le « premier acteur intégré de l’immobilier en France, Nexity couvre l’ensemble des métiers de la promotion et des services immobiliers à destination des particuliers, des entreprises, des investisseurs institutionnels et des collectivités locales pour les accompagner tout au long de leur vie immobilière. »
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Grèves, blocages, emplois fictifs, chantages, faillites : ce rapport parlementaire enterré qui dénonce l’emprise des syndicats français
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A Saint-Nazaire, le “village à haute tolérance” fait débat
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Loi Le Chapelier : La grande casse sociale de 1791
Dès le début de la révolution, les coalitions ouvrières, associations occasionnelles de défense des droits, manifestent de manière de plus en plus virulente pour obtenir des augmentations de salaires et de meilleures conditions de travail. Les charpentiers, surtout, réclament un salaire journalier minimum. Ils ont élaboré une sorte de contrat collectif et demandent à la municipalité de Paris de le faire accepter par leurs employeurs. La municipalité refuse et réclame l’intervention de l’assemblée constituante. C’est dans ce climat agité de revendications sociales que le 14 juin 1791 s’engagent, devant cette même assemblée, les débats qui précèderont l’adoption de la loi dite Le Chapelier, du nom de son rapporteur, avocat Rennais au parlement de Bretagne puis député aux États généraux de 1789.