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Grèves, blocages, emplois fictifs, chantages, faillites : ce rapport parlementaire enterré qui dénonce l’emprise des syndicats français
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A Saint-Nazaire, le “village à haute tolérance” fait débat
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Loi Le Chapelier : La grande casse sociale de 1791
Dès le début de la révolution, les coalitions ouvrières, associations occasionnelles de défense des droits, manifestent de manière de plus en plus virulente pour obtenir des augmentations de salaires et de meilleures conditions de travail. Les charpentiers, surtout, réclament un salaire journalier minimum. Ils ont élaboré une sorte de contrat collectif et demandent à la municipalité de Paris de le faire accepter par leurs employeurs. La municipalité refuse et réclame l’intervention de l’assemblée constituante. C’est dans ce climat agité de revendications sociales que le 14 juin 1791 s’engagent, devant cette même assemblée, les débats qui précèderont l’adoption de la loi dite Le Chapelier, du nom de son rapporteur, avocat Rennais au parlement de Bretagne puis député aux États généraux de 1789.
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Agirc-Arrco : Etat-voleur
Interrogé dans Valeurs Actuelles, Philippe Herlin dénonce le hold-up de l’Etat sur le régime complémentaire de retraites du privé, Agirc-Arrco :
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Suède : le gouvernement veut rendre plus difficile pour les migrants non européens de recevoir des prestations sociales et leur imposer des obligations
Le gouvernement de droite suédois a déclaré vendredi qu’il rendrait plus difficile pour les immigrants non européens de recevoir des prestations sociales, affirmant qu’il voulait dissuader les migrants d’arriver et mieux intégrer ceux qui le font.
Le gouvernement minoritaire du Premier ministre Ulf Kristersson est arrivé au pouvoir il y a un an avec, pour la première fois, le soutien du parti d’extrême droite des Démocrates de Suède (SD). Il a promis de sévir contre l’immigration et la criminalité.
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[Point de vue] Ce pays où des travailleurs sans papiers peuvent faire grève !
C'est l'actualité sociale du moment : plus de 600 travailleurs sans papiers ont entamé une grève afin de contraindre leurs 33 employeurs à revoir leur situation. Autrement dit, à obtenir leur régularisation.
En France, chaque citoyen doit être en capacité de justifier son identité. Les documents officiels peuvent varier, mais selon l'administration, selon le motif, la justification de l'identité doit être incontestable. Ce caractère incontestable suppose que le document présenté confirme un maximum de données personnelles comme la photographie, les nom, prénom et état civil complets. C'est sur cette dernière base qu'une classification des pièces d'identité est imposée par l'administration : carte nationale d'identité, passeport, permis de conduire, plus le titre de séjour pour les étrangers.
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La révolte populiste qui vient
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Le mythe de la retraite "par répartition"
A l'heure où le gouvernement Macron, qui ne fait en réalité qu'exécuter les termes d'un agenda politique supranational établi en haut lieu à l'insu du bon peuple, tire prétexte d'un prétendu allongement de l'espérance de vie pour justifier sa très impopulaire réforme des retraites, on ne peut manquer de déplorer le silence assourdissant des acteurs de la contestation sociale en cours par rapport à deux incohérences manifestes qui ne sont que très rarement - voire jamais - pointées, bien qu'elles sous-tendent le dossier.
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Barbara Socha : « Faire de la Pologne un endroit idéal pour les familles » [Interview]
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Energie : Le gouvernement prévoit une "limitation temporaire" de la consommation électrique cet hiver pour éviter des coupures
Alors qu'un pays comme le Burkina Faso vient de signer un accord pour la construction d'une nouvelle centrale nucléaire pour répondre au besoin de ses habitants en énergie, le gouvernement français envisage de mettre en place une expérimentation hivernale visant à limiter temporairement la consommation électrique de milliers de clients résidentiels. Cette mesure est conçue pour prévenir d'éventuelles coupures de courant lors de situations de tension extrême sur le réseau électrique. Le ministère de la Transition écologique a confirmé que cette initiative ne fait pas partie des mesures prises en réponse aux défis actuels du système électrique pour la saison hivernale.