Des militants de la section AFE Rennes et de l’Action Royaliste Rennaise se sont relayés toute la nuit de Noël afin de distribuer une "soupe du Roi". Cette fraternité royaliste met en évidence un soucis d’offrir un Noël même aux plus démunis.
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Des militants de la section AFE Rennes et de l’Action Royaliste Rennaise se sont relayés toute la nuit de Noël afin de distribuer une "soupe du Roi". Cette fraternité royaliste met en évidence un soucis d’offrir un Noël même aux plus démunis.
Les chiffres du chômage continuent d’exploser, avec 27.400 nouveaux demandeurs d’emploi supplémentaires rien que pour le mois de novembre, soit quasiment 1000 de plus par jour !
Si on compte le nombre de jours qui reste avant la fin du mandat de Hollande, cela devrait nous emmener à 1 million de chômeurs supplémentaires à la fin du quinquennat !!!
Il est vrai que l’info est passée inaperçu, le gouvernement ayant le courage d’annoncer ces chiffres un 24 décembre…courageux jusqu’au bout ! Joyeux Noël de la part de Normal 1er !
Au fait, qui a dit que le Front National serait une catastrophe économique ?
http://www.medias-presse.info/cadeau-de-noel-du-gouvernement-nouveau-record-du-chomage/21353
Les socialistes font preuve d’une grande schizophrénie dans l’affaire du « travail du dimanche » : opposés à son principe même quand ils étaient dans l’opposition, voici que c’est le Pouvoir socialiste qui, de MM. Macron et Fabius (les plus acharnés à l’ouverture dominicale et nocturne des magasins à Paris et dans les grandes villes) à MM. Valls et Hollande (les actuels « tauliers » de la République), décide de « libéraliser » les dimanches, au risque d’abîmer un peu plus les liens sociaux et familiaux déjà bien éprouvés par cet individualisme de masse qui est le meilleur moyen mais aussi fondement de la société de consommation.
Bien sûr, il y a la résistance de nombreux socialistes dont certains issus d’une tradition catholique ou d’une tradition socialiste ouvriériste, voire proudhonienne, mais une résistance qui risque de s’effacer devant la peur de la déconvenue électorale en cas de dissolution de l’Assemblée, chantage d’un exécutif aux abois, soumis aux pressions de Bruxelles et de Berlin pour mener des réformes dites « nécessaires » et réduire un endettement public devenu un boulet pour tout gouvernement, mais aussi (et surtout ?) un argument pour tous ceux qui veulent réduire le politique à la soumission au seul domaine économique...
Or, il est quelque chose qui m’interpelle depuis un bon moment : comment se fait-il, au regard des discours « libéralisateurs » sur le travail dominical, que ceux qui les avancent oublient de rappeler que l’Allemagne, première puissance économique de l’Union européenne, n’use pas de cette ouverture des magasins le dimanche, comme on peut le constater en Bavière, première région économique du pays et au plus haut revenu moyen par habitant en Allemagne ? D’ailleurs, à lire et écouter Angela Merkel, ce n’est pas vraiment la réforme la plus immédiate qu’elle demande à la France ! Je me trompe peut-être, mais il ne me semble pas l’avoir entendu une seule fois évoquer cette question-là, alors que les changements qu’elle demande, parfois peu poliment au regard de notre fierté nationale (qui n’est rien d’autre qu’un amour-propre bien placé et raisonné qui ordonne un sentiment bien naturel), visent bien plutôt la Dépense publique !
De plus, les promoteurs du travail dominical oublient de regarder l’expérience récente du Danemark qui, depuis octobre 2012, a légalisé cette ouverture des magasins le dimanche : les résultats ne se sont pas faits attendre, et sont significatifs de ce qu’il adviendrait, concrètement, si la France cédait aux sirènes d’un libéralisme qui ne croit pas vraiment en la liberté mais aux profits que l’on peut en tirer, dans la seule logique franklinienne du « Time is money »... Le quotidien La Croix (mardi 2 décembre 2014) évoque cette expérience danoise sous le titre explicite « Place nette pour les enseignes à bas prix » : « Dans d’autres communes du royaume, petites ou grandes, bon nombre de boulangeries, épiceries, magasins de vêtements, d’électronique mettent la clé sous la porte. La concurrence est devenue trop rude face aux grandes structures qui, elles, peuvent se permettre d’embaucher du personnel pour profiter des possibilités données par la loi depuis le 1er octobre 2012. [...]
La suite sur le blog de Jean-Philippe Chauvin
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Travail-du-dimanche-l-experience
Le patron de la CGT a détaillé son train de vie.
Lepaon a bien touché du comité régional CGT de Basse Normandie une indemnité de départ de 31 000 euros correspondant à :
Montreuil a pris à sa charge en 2012, des frais exceptionnels de septembre à décembre d’une hauteur de 8400 € (soit une moyenne de 2 100 euros de frais mensuels, pour des restaurants, tabac…)
En 2013, les salaires et cotisations de Thierry entre janvier et mars, période où il était à la confédération et toujours payé par le Comité Régional pour 26 600 €. Soit plus de 6 827 euros brut par mois.
Outre d’importants frais, Thierry Lepaon, révèle en second lieu qu’il s’est fait payé rubis sur l’ongle une voiture par la confédération.
Son salaire avait été fixé initialement par la confédération à 5200 €. Il a demandé à ce qu’il soit ramené à 4000 euros. Avec un treizième mois.
Le secrétaire général a avoué avoir fait acheter des "vélos" à la confédération. Selon une source interne, chaque bicyclette aurait coûté 1 500 euros.
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
Début décembre, l’association Vostok France a effectué sa première mission humanitaire à destination des populations civiles de la région du Donbass en Ukraine. Voici le compte-rendu de cette mission en vidéo.
Le déclin relatif de l’industrie est une tendance naturelle, de la même manière qu’il y a eu un déclin de l’activité agricole remplacée par l’industrie. Ainsi l’activité industrielle tend à être remplacée par le secteur des services.
Une société qui se développe et se sophistique consomme davantage de services et moins de produits industriels. Mais comme ce sont les produits industriels qui portent les gains de productivité remarquables, les prix de production et de vente sont à la baisse. Des exemples dans notre quotidien : téléviseurs, téléphones..
Le problème ne vient pas de cette évolution générale mais vient du rétropédalage industriel de la France depuis les 15 dernières années. Il faut en finir avec l’accumulation des politiques contradictoires.
Les résultats français sont inférieurs à ceux des pays qui ont une fiscalité moindre et à ceux qui ont une fiscalité plus lourde, inférieurs à ceux qui ont des lois sociales plus généreuses ou mois généreuses, et inférieurs à ceux qui ont un État fort ou un État faible. Mauvaise élève face à tous ses voisins depuis 15 ans et même au-delà : le choc de la désindustrialisation a été plus violent en France qu’ailleurs et cela a commencé vers les années 80.
Entre 1979 et 1984, on remarque une première vague de désindustrialisation. D’une violence extrême, elle fait perdre à la France 1/3 de son potentiel industriel. Pour comprendre ce qui s’est passé il faut prendre en compte le dualisme de l’économie française.
A côté des très grandes entreprises qui s’étaient formidablement développées, certaines dans le giron de l’État, existaient un tissu fort de PME sous capitalisées, sous investies. Ces dernières ont subi de plein fouet le choc des crises des années 70.
On a alors assisté à une forte mortalité des entreprises dans les secteurs des biens d’équipement, celui de la machine outil, celui des chantiers naval, et il y e a d’autres. on a assisté à une véritable hécatombe industrielle.
Les plans de sauvetage mis en place face à l’hécatombe industrielle n’ont eu pour effet que d ‘accompagner le déclin des secteurs en difficulté sans jamais permettre le rebond industriel.
Et au milieu des années 80, la France a fait le choix européen, du marché unique et de l’euro sans prendre en compte les conséquences de ces choix. Dans un premier temps cela a été un formidable marché, l’euro a même permis d’évacuer les risques de change.
Sauf que. Il n’a pas été pris en compte que le modèle inflationniste de la France, financé par l’État et régulé par les dévaluations périodiques ne pouvaient plus dès lors fonctionner à partir du moment où la monnaie était monnaie unique dans un marché devenu unique. La France se devait d’appréhender les nouvelles dynamiques de compétitivité, de maîtrise interne, de concurrence fiscale.
Et que. Ces nouveaux paramètres n’ont pas été pris en compte. Il était capital de maîtriser les dépenses publiques dans un temps où l’on faisait le choix stratégique majeur de la mondialisation, de l’intégration européenne et de l’euro. Il était capital de se demander dans le même temps si on pouvait continuer à gérer comme avant.
On peut estimer cette situation à l’application d’une politique keynésolibérale. Keynésienne d’un côté car chaque fois qu’il y a une crise conjoncturelle, on dit que c’est une insuffisance de la demande et qu’il faut donc relancer cette dernière, avec bien entendu de la dette publique, de la dépense publique et quand cela devient insupportable on monte les impôts, qui eux pèsent sur les entreprises tout en dégradant la compétitivité
On assiste bien à l’application d’une solution keynésienne à toutes les crises conjoncturelles et dans le même temps d’une solution de type libéral qui considère que les problèmes industriels et productifs doivent être réglés par le biais du marché et de la concurrence.
Ce raisonnement et le temps ont eu pour effet d’accumuler un formidable écart au niveau des taux de marge des entreprises. Aujourd’hui, 10 points d’écart séparent les entreprises allemandes et les entreprises françaises. Pour corriger cette situation, il faudrait faire un transfert de 100 milliards de l’État vers le secteur privé sous forme d’aides et d’allègements. Aujourd’hui l’État en promet 40, et en apporte concrètement 5.
Et jour après jour, secteur après secteur, la rentabilité industrielle s’effondre.
La solution de la désindustrialisation passe avant tout par de la cohérence ! ….plutôt que de chercher à protéger le caractère national du contrôle du capital des entreprises françaises par des capitaux français. La nationalité du capital prévaut-elle sur le développement des compétences françaises, sur le développement de l’activité sur le sol français ? l’important est de préserver le développement de la recherche française, et des marques françaises.
Il est donc nécessaire et vital pour l’économie française d’avoir enfin une cohérence et un alignement des politiques.
Il faut en finir avec l’accumulation des politiques contradictoires (politique fiscale qui dissuade l’investissement dans le même temps que les 34 plans sectoriels…). Il faut en finir avec la politique placebo qui a pour effet d’affaiblir davantage les entreprises par le poids des charges sociales, réglementaires, fiscales pour qui on invente le crédit d’impôt lorsqu’on constate qu ‘elles ne peuvent plus respirer, ou encore la CICE pour colmater les brèches.
Il faut d’urgence et impérativement à la France un objectif productif qui considère toutes les politiques et qui fixe les priorités.
Le souhait formulé du pays est d’engager les moyens dans la troisième révolution industrielle, celle du numérique, du digital. Et le pays constate que sa base industrielle a perdu sa compétence manufacturière et n’a plus la capacité de transformer ses innovations en produits, qui seraient aussi les produits industriels de demain.
Le constat est alarmant, simple : la France est allée trop loin dans la désindustrialisation pourtant avec la science de nouvelles révolutions arrivent. De fait nos enfant ne vivrons pas comme nous. Nous sommes à un moment de notre histoire économique ou les repères vont changer….de révolution technologique en révolution économique avec l’aide de la science (révolution agricole, révolution biotechnologique, révolution énergétique, et révolution numérique).
A partir du 1er janvier, les formations syndicales et patronales ne seront plus financées par la formation professionnelle (qui leur rapportait grosso modo 70 millions € par an, en plus des cotisations de leurs adhérents). Au nom de la transparence, Michel Sapin a créé un nouveau système, fort avantageux alors que les syndicats ne représentent plus qu'un salarié sur 20 dans le privé :
La loi a été votée au mois de février et promulguée en mars ; le gouvernement en est à la rédaction des décrets d'application. Et oh surprise ! La presse révèle que le taux retenu, pour l'augmentation des cotisations patronales en janvier, est finalement de 0,016%. Autrement dit, les syndicats vont obtenir des étrennes de 10 millions € supplémentaires grâce aux décrets. Alors que Manuel Valls vient d'annoncer un Pacte de responsabilité visant à réduire les charges des entreprises. Et en plein scandale de la CGT. Les Thierry Lepaon ont de beaux jours devant eux.
Louise Tudy http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
Si pour le président de la République, qui inaugurait avant-hier la Cité nationale de l’immigration, celle-ci est « une chance pour la France », les inspecteurs locaux de la CAF (caisse d’allocations familiales) ont sûrement un avis bien différent.
Trois Algériens et un Irakien étaient jugés avant-hier par le tribunal correctionnel de Bordeaux dans le cadre d’une vaste escroquerie qui porte sur près de 150 000 euros.
Selon le journal Sud-Ouest, « deux bailleurs domiciliés à la même et fictive adresse à Talence percevaient des allocations logement au tiers payant pour… seize allocataires inexistants. Fouillant dans les dossiers constitués par ces deux bailleurs, les enquêteurs sont allés de surprise en surprise. Fausses cartes nationales d’identité y compris italiennes, alias, justificatifs (quittances, fiches de paie, factures) falsifiés… 70 dossiers d’Aide personnalisée au logement (APL) ont ainsi été montés rien qu’en Gironde ».
Le procureur a requis quatre ans de prison ferme contre Azédine Sahir, Yazid Hini et Ihab Alkaddouri. Ils écoperont également d’un mandat d’arrêt et d’une interdiction définitive du territoire français, ainsi que l’obligation de rembourser les sommes indûment perçues. Le quatrième compère a 2 ans de prison dont un avec sursis.
Selon le vice-procureur, Jean-Louis Rey ces hommes « renforcent la méfiance à l’égard d’autrui, mordent la main qui les nourrit et donnent une mauvaise image de l’immigré ».
http://fr.novopress.info/180006/bordeaux-150-000-euros-fraude-caf-4-chances-france/
Et si les grands patrons ne respectaient pas tout à fait les règles qu’ils se sont eux-mêmes fixés ?
Parmi les règles du code de bonne conduite du Medef, il y a l’article 19 qui stipule qu’un administrateur ne peut pas cumuler plus de trois mandats dans des conseils d’administration.
Après analyse de la composition des conseils d’administration de toutes les sociétés cotées à Paris en 2013, on constate que si la plupart des dirigeants respectent la norme, d’autres devraient peut-être songer à repasser leur code… de bonne conduite.