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social - Page 440

  • Pour la première fois depuis 1996, les salaires des Français ont baissé en 2012

    Les salaires des Français ont baissé en 2012 de 0,40 % en prenant en compte l’inflation. Un tel résultat n’est que la conséquence des choix économiques catastrophiques de l’actuel gouvernement, choix eux-mêmes complétement subordonnés à l’union européenne et autres officines mondialistes. Autrement dit, s’il y avait l’UMP au pouvoir, on aurait à peu près les mêmes résultats, et cela durera aussi longtemps (et s’aggravera) tant que nos élus feront allégeance au mondialisme…

    Il faut du reste être bien conscient que l’on parle ici de salaires versés par les entreprises, et non du revenu disponible des ménages, c’est à dire sans prendre en compte les fortes hausses d’impôts de ces dernières années. A titre d’exemple, en 2013 ceux-ci ont augmenté de 22 milliards, et que déjà une hausse de plus de 6 milliards est prévue pour 2015. Autrement dit, le pouvoir d’achat des Français est en chute libre, sans pour autant qu’un seul des problèmes réels que connaît la France ne soit réglé. A titre d’exemple, hier encore, les media expliquaient que le système de retraite n’était pas viable et qu’il fallait retarder l’âge de départ… Ici encore, nous subissons les choix mondialistes, et ses mensonges éhontés : Ainsi, nous expliquait-on, l’immigration devait sauver les régimes de retraite… L’immigration a explosé, mais pas les cotisations. Quand donc, tous ces menteurs qui ruinent la France, rendront-ils des comptes ?

    http://www.contre-info.com/

  • Montée en puissance de la lutte régionale

    Ce 13 décembre plusieurs milliers de nos concitoyens et co-contribuables défilaient à Strasbourg. Ils manifestaient pour le droit de vivre de leur région, et contre sa dilution arbitraire dans un ensemble privé de racines et d'identité.

    Or, l'Alsace ne se mobilise plus désormais contre son seul effacement nominal. Celui-ci a été voulu, sans consultation des intéressés. Il hérisse toute l'opinion locale. Le pouvoir de l'État central parisien ne semble pas mesurer la montée en puissance d'une nouvelle volonté, ancrée dans la population. Elle va très au-delà des notables traditionnels qui, malgré tout, ne peuvent que s'associer, ce que certains font sans doute de bonne grâce, à ce mouvement. Celui-ci les dépasse et donne le champ libre à un courant de revendications de plus en plus orientées vers l'autonomie.

    La lutte essentielle de l'Alsace porte, en effet, sur son existence en tant que telle. Elle s'attache aussi à la sauvegarde de son droit local. Reconnu officiellement en 1919, il s'est vu constamment menacé depuis. Il comporte de nombreux avantages, qui ne coûtent rien à l'État central, en matière de sécurité sociale, de formation professionnelle, de régime des associations et, bien entendu d'enseignement religieux, ce qui irrite évidemment nos laïcistes, puisque les départements "réannexés" bénéficient toujours du régime concordataire 1801.

    Parmi les raisons qui ont mobilisé les manifestants, la défense de l'identité alsacienne vient évidemment en tête. Ils la savent menacée. À noter que d'autres luttes régionales s'y sont associées.

    Au départ, le 11 octobre à Strasbourg une immense foule était rassemblée. Ouverte à tous par-delà les clivages idéologiques et les sensibilités partisanes, elle donnait largement la vedette au président du conseil régional d'Alsace Philippe Richert. (1)⇓

    Unique survivant UMP de la vague rose des élections régionales de 2010, il pouvait être considéré comme le symbole d'une opposition de type "politique" comme peut sembler "politique" l'atteinte violente opérée par le pouvoir à la seule région métropolitaine dont l'exécutif échappe au contrôle de la gauche.

     Dans le même esprit, et dans la foulée de ce succès, le 19 novembre Nicolas Sarkozy, alors candidat à la présidence de l'UMP prenait la parole à Mulhouse. Sur la photo une gentille petite Alsacienne en coiffe noire traditionnelle. Tout le monde chante La Marseillaise et il déclare : "Je conteste la carte de la réforme territoriale, l'Alsace a été touchée. C'est incroyable que ce gouvernement puisse prétendre mieux connaître les Alsaciens que les Alsaciens eux-mêmes. L'Alsace est la région la plus ouverte de France au cœur de l'Europe." (2)⇓

    Le 30 novembre le rassemblement de Colmar renforçait le mouvement, avec la participation de Charles Buttner président du Conseil général du Haut-Rhin lequel s'engage en faveur du bilinguisme. Il mobilise à cet égard des arguments forts : défenseur d'une "trinationalité" alsacienne il adressait le 11 décembre une lettre ouverte "à nos voisins allemands et suisses", défendant un espace rhénan effectivement trinational au sein duquel se situe l'Alsace depuis toujours, et qui ne s'encombre ni de la Champagne ni même de la Lorraine... (3)⇓

    Et il appelle les maires de son département à faire retentir le tocsin ou la sirène ce 16 décembre, veille du vote par l’Assemblée nationale du projet de loi sur la délimitation des régions. (4)⇓

    Le 7 décembre à Mulhouse Andrée Munchenbach donnait un ton nouveau. Citons son discours : "Les Alsaciens sont tolérants, endurants, dociles… Mais faut pas pousser ! Ils ne descendent pas souvent dans la rue. En 1924, face au cartel des gauches, c’est la rue qui a fait respecter le Concordat. En 1953, pendant le procès de Bordeaux. La France, qui n’avait rien compris à l’Histoire de l’Alsace, qui avait laissé faire l’annexion par les nazis et l’incorporation de force, allait condamner des Malgré-nous. Les Alsaciens se sont mobilisés. Ils ont eu gain de cause." (5)⇓

    RWLe 13 décembre, dans la rue on entendit certes murmurer contre des notables considérés comme assis tel un Phlippe Richert ou un Guy-Dominique Kennel, président du Bas-Rhin qui aussi UMP. Quelques gros mots ont également fusé, à ne pas répéter aux Parisiens. On peut quand même leur délivrer le message. Il semble assez clair : "Paris nous n'avons pas besoin de toi" (6)⇓


    Mais on doit considérer comme beaucoup plus significative encore la radicalisation des symboles. Partout est désormais brandi le drapeau Rot un Wiss remontant au XIe siècle. Enfin, il supplante, et sans difficulté, les écussons officiels et artificiels fabriqués pour complaire aux "républicains". Il voisinait même dans la foule avec quelques Gwen ha Du bretons. Cet étendard quoique plus récent mais bien symboliques. Le slogan "Alsace libre", "Elsaß frei" disait bien, lui aussi ce qu'il veut dire. Oui, vive l'Alsace libre, dans une France libre et une Europe libre

    De telles manifestations ne se limiteront certainement pas à l'Alsace. De la Savoie au pays Basque, de la Corse à la Bretagne, d'autres régions grondent. Cela devrait faire réfléchir tous ceux qui confondraient encore le vrai patriotisme et sa caricature jacobine. Avant qu'il soit trop tard.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  cf. 
    2.  cf. 
    3.  cf. 
    4.  cf. 
    5.  Mme Muchenbach est une élue locale. Elle préside depuis 2012 le parti autonomiste Unser Land cf. 
    6.  cf. 

    http://www.insolent.fr/2014/12/montee-en-puissance-de-la-lutte-regionale.html

  • Conférence "La Gauche du Capital", conclusion Alain de Benoist, Montpellier

  • Des retraités floués par une mutuelle PS

    Les « gestionnaires » PS ne ruinent pas seulement leur pays : pas regardants, ils ruinent aussi leurs adhérents !
    Evidemment, les médias de propagande ne vous en parleront pas :

    Le dernier numéro du Particulier (décembre 2014) évoque, sous le titre « Les adhérents du CREF et du COREM sacrifiés », une affaire de petits épargnants floués.

    Floués par qui ? Par un requin de la finance internationale ? Par un émule de Madoff ?

    Vous n’y êtes pas : floués par un de ces multiples organismes mutualistes placés sous la vigilante égide du PS par Education nationale interposée. Il s’agit du ci-devant CREF (Complémentaire de retraite de l’éducation nationale et de la fonction publique), qui a mis la clé sous la porte en 2001 à la suite d’un « trou » de 1,5 milliard d’euros (oui, on ne joue pas « petit bras » chez les mutualistes protégés).

    Pour combler le « trou », c’est-à-dire une « insuffisance de provisionnement », l’organisme avait, en toute simplicité, baissé les « retraites acquises » de ses adhérents de 16%.

    Lesdits adhérents (ingrats, va ! ) avaient alors entamé une action pénale qui avait débouché en 2011 sur la condamnation de 8 dirigeants de la mutuelle à la prison avec sursis pour abus de confiance.

    Au nombre des condamnés figurait le président de la mutuelle, René Teulade. Ce personnage important du sérail socialiste, aujourd’hui décédé, mérite un instant d’attention, car il est à lui seul un résumé de ce qui fait le PS et ses annexes. Voici ce qu’en dit le site « l’Argus de l’assurance » :

    « Ancien instituteur, qui prend très rapidement des responsabilités au sein de la puissante FEN.

    « Administrateur de la MGEN, il accède en 1972 à la présidence de l’Union nationale des Mutuelles retraites des instituteurs et fonctionnaires de l’Education nationale (UMRIFEN). En 1979, il devient président de la Fédération nationale de la mutualité française.

    « Membre du Parti socialiste, profondément ancré dans son département de naissance, la Corrèze, où il aura exercé quasiment tous les mandats.

    « Maire d’Argentat depuis 1989, il est élu en 1992 au Conseil général, puis au Sénat en 2008. Entretemps, il aura également été le suppléant à l’Assemblée nationale d’un certain François Hollande. »

    Mais, dira-t-on, pourquoi reparler maintenant de ce scandale passé et jugé depuis un an ?

    Eh bien parce que, décidément, les professeurs de morale socialistes et leurs auxiliaires ne se lassent jamais de l’exercice grisant qui consiste à faire les poches des gogos, sous toutes les formes possibles.

    Figurez-vous que, lorsque la mutuelle gestionnaire du CREF s’est trouvée mise en cause pour ce « trou » d’un milliard et demi, ses contrats et obligations ont été repris par une autre mutuelle : l’UMR (Union mutualiste retraite).

    La fiabilité de ce repreneur lui-même ayant été mise en cause en 2013 par les associations d’adhérents, le président de l’UMR avait alors montré ses biceps en déclarant qu’il « ne s’inquiétait pas de la situation des contrats d’épargne retraite « Même si nous sommes confrontés à des taux d’intérêt assez bas, qui expliquent en partie ce sous-provisionnement, nous progressons vers l’atteinte de la convergence qui nous avait été fixée lors de la création de l’UMR en 2002. N’oublions pas quand même que nous partons de loin. »

    C’était bien dit, pour un 3 juin (2013).

    Patatras !

    Le 10 octobre 2014, le site « Tout sur la retraite » titre : « Epargne retraite : baisse de 30% des rentes de l’ex-Cref en 2015 », par Jean-Philippe Dubosc – vendredi 10 octobre 2014 14:26 :

    Les 110.000 adhérents de feu la Complémentaire retraite de l’Education nationale et de la Fonction publique (Crefvont subir une baisse de 30% de leur rente à compter du 1er janvier 2015. Selon le magazine professionnel L’Argus de l’Assurance qui a divulgué l’information le 10 octobre 2014, la mesure devrait être entérinée le 18 novembre prochain lors d’une assemblée générale extraordinaire de l’Union mutualiste retraite (UMR) qui gère plusieurs produits d’épargne retraite par capitalisation, dont le Corem et l’ex-Cref.

    Incorrigibles ?

    Ce serait trop simple : il n’y a rien de fortuit là-dedans. Disons plus clairement : « expression et produits d’un Système ».

     Julius Muzart, 9/12/2014

    http://www.polemia.com/des-retraites-floues-par-une-mutuelle-ps/

  • États-Unis : De plus en plus de SDF “cachés”

    Selon un récent rapport 2,5 millions d’enfants auraient passés au moins une nuit dans la rue l’année dernière, et dans la capitale américaine, tous les foyers affichent complet.

    Si le gouvernement américain a pris des mesures drastiques pour réduire le taux de sans-abris parmi ses vétérans, aux États-Unis le nombre d’enfants vivant dans la rue n’a jamais été aussi élevé, conséquence d’un taux national de pauvreté en hausse et d’un manque de logements abordables dans les grandes villes.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Nouveau pic de destruction d’emplois en France

    L’économie française continue de plonger. Entre juillet et septembre 2014, la France a connu 55 000 destructions d’emplois. C’est un pic depuis le deuxième trimestre 2009, dans les pires moments de la crise mondiale. La France était alors en récession.

    La population active salariée retombe en fait à son niveau de 2004. L’emploi intérimaire comprend près de la moitié de ces destructions d’emplois. Le secteur des travaux et du BTP est particulièrement touché. Cela témoigne d’un nouvel affaiblissement de l’industrie qui perd 11 300 postes.

    Ces nouveaux chiffres interviennent alors que la loi Macron est âprement discutée. Cette loi a suscité de vifs remous dans le camp socialiste. Le maire de Lille et ancien chef du parti socialiste, Martine Aubry, s’est fendu d’une tribune dans la presse pour exprimer sa vive opposition au travail le dimanche. Elle rejoint sur ce point la discrète opposition de l’Eglise catholique qui a longtemps fait du dimanche un enjeu social de premier ordre. Il faut enfin signaler la manifestation de 30 000 à 50 000 juristes à Paris. Les notaires et les avocats se sont unis pour s’opposer à la réforme de leurs statuts.

    http://fr.novopress.info/

  • Gattaz, Valls et Macron ou la loi des nouveaux esclavagistes : le MEDEF en rêvait, le PS l’a fait !

    Le MEDEF demandait depuis plusieurs années de libéraliser le travail du dimanche au nom de l’emploi et de la croissance. La loi Macron est en passe d’accorder le démantèlement du repos dominical.

    MPI avait déjà traité de ce sujet, et comme je l’avais écrit dans ce précédent article, si les Français n’ont pas d’argent, ils n’iront pas en dépenser d’avantage si les magasins sont ouverts le dimanche ! Eventuellement ils feront le dimanche les courses qu’ils ne feront plus en semaine ! Le seul objectif de ce projet est d’esclavagiser un peu plus la main d’œuvre, la rendant corvéable 7 jours sur 7 et 24h/24.

    L’argument de M. Gattaz est de dire que les touristes qui sont en France consomment le dimanche, et que s’ils ne peuvent pas consommer, alors nous perdons de la richesse. Ce type d’argument est assez révélateur de l’état d’esprit de ceux qui nous gouvernent. N’en déplaise à M. Gattaz,

    • La vie ne se résume pas à produire et à consommer
    • Si les magasins sont fermés le dimanche, les touristes attendront le lundi
    • La richesse passe après le bonheur et l’équilibre des familles et des individus dont le repos dominical est une composante essentielle.

    Non, les salariés n’ont pas à faire les frais d’un système qui les enferme dans une compétitivité économique sans frein, et toute les promesses de compensation n’existeront plus quand le dimanche sera devenu un jour de travail comme les autres.

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  • Syndicats : moins d'adhérents, toujours plus d'argent ...

    Le gouvernement se prépare, en toute discrétion, à augmenter de 10 millions d'euros le financement des syndicats par les entreprises à partir de 2015.

    Pour l'instant, rien n'est officiel. Mais les projets de décret sont d'ores et déjà écrits. De quoi s'agit-il ? De la majoration des cotisations sociales payées par les employeurs, à partir du 1er janvier 2015, pour financer les organisations syndicales et patronales. Non seulement l'État va leur verser 30 millions d'euros chaque année, une étrange innovation en période de supposée baisse des dépenses publiques, mais les entreprises devront, de leur côté, leur consacrer une cotisation plus élevée que prévu.

    Le taux retenu avait été fixé dans un premier temps à 0,014 % de la masse salariale, soit environ 70 millions d'euros par an. Finalement, la loi Sapin sur la formation professionnelle votée en mars dernier aboutit à un décret d'application plus généreux. Ce sera non pas 0,014 mais "0,016 % des paies versées". Avec une masse salariale annuelle supérieure à 500 milliards, ces deux millièmes pour cent font grossir l'enveloppe de plus de 10 millions d'euros. 

    À quoi va servir tout cet argent ?

    Alors que les syndicats perdent chaque année des adhérents, il est paradoxal de leur offrir une gratification supplémentaire. Il se trouve à peine un salarié sur vingt, dans le secteur privé, pour faire acte d'adhésion. Dans certaines organisations, la manne dispensée par l'argent public et les cotisations des entreprises représentera bien davantage que les cotisations. C'est donc à une sorte de participation financière obligatoire que sont soumis beaucoup de Français, à la fois comme salariés - les cotisations payées par les entreprises, c'est autant qui ne va pas dans leurs poches - et comme contribuables.

    À quoi va servir tout cet argent ? À la CGT, Thierry Lepaon a fait preuve de créativité, mais le modèle qu'il a mis en place n'a pas fait l'unanimité. Nul doute qu'il trouvera de dignes successeurs, qui feront s'envoler les belles paroles du gouvernement sur le strict contrôle des sommes allouées.

    Sophie Coignard

    Le Point :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuElEAuZFuWHwvwrDQ.shtml