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tradition - Page 123

  • Fondation Polémia : 2e Forum de la dissidence. Compte rendu. Troisième partie

     2e table ronde

    Animée par Karim Ouchikh

    La dissidence face à l’islamisme

    Et

    3e table ronde

    Animée par Romain Lecap

    La répartition des clandestins en France

    Deuxième table ronde

    La 2e table ronde a été dirigée par Karim Ouchikh (SIEL). Elle réunissait Alain Wagner (Union de défense des citoyens et contribuables), Maurice Vidal (Riposte laïque), Alain de Peretti (Vigilance Halal).

    Pour Karim Ouchikh, la dissidence exprime une volonté de résister à l’oppression du politiquement correct. Il observe que la question de la place de l’islam dans notre pays relève d’un considérable tabou. L’islam constitue un réel problème pour la société française. Dans sa théologie, l’islam paraît incompatible avec la République. Face à ce défi, beaucoup de partis politiques montrent une grande frilosité. S’il faut reconnaître à quelques personnalités une perspicacité dans l’approche de la question, en revanche elles ne proposent aucune solution. Il ne peut y avoir aucun accommodement confessionnel avec l’islam : il est inconciliable avec notre civilisation et notre modèle politique et juridique.

    Dans la situation présente, l’islam tend à jalonner notre société de marqueurs identitaires : le vêtement exotique, le halal, les mosquées. A l’encontre de cette emprise progressive, le modèle français de civilisation doit être défini sans détours : soit il s’agit d’un modèle de société républicaine fait de principes abstraits et, en définitive, insipides ; soit ce modèle trouve son fondement dans la civilisation chrétienne. C’est bien dans ce second sens que réside l’identité française. Alors les musulmans qui souhaitent demeurer sur le territoire doivent admettre cette identité et se plier aux règles qu’elle implique. S’ils s’y refusent, en ce cas, ils doivent faire le choix de terres en accord avec les préceptes qui guident leur existence.

    Alain Wagner a pour approche de parler des faits. En premier lieu il s’appuie sur un document publié par l’ISESCO (Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture), intitulé Stratégie de l’action islamique culturelle à l’extérieur du monde islamique. Cette stratégie a été arrêtée à la neuvième session de l’Organisation de la conférence islamique réunie à Doha en 2000. Dénommée aujourd’hui Organisation de la coopération islamique, elle associe 57 pays. Elle a notamment pour but de consolider les relations dans les domaines du commerce, de l’éducation et de la culture. Pour l’Europe, il s’agit de conjurer toute intégration des musulmans au mode de vie des sociétés d’accueil. Des communautés islamiques doivent s’implanter dont le fonctionnement répondrait aux règles de la charia. Parallèlement, l’objectif est de conquérir des postes dans les domaines politique, économique et de la communication médiatique. Pour s’assurer de cette authenticité islamique et sa perpétuation, il est essentiel de faire obstacle à toute acquisition par les enfants des valeurs de nos sociétés occidentales. Cette visée passe par le développement de centres culturels islamiques guidés dans leur action par la charia, avec la construction de mosquées, l’implantation de centres culturels proprement dits et l’ouverture d’écoles islamiques. L’apprentissage de l’arabe, langue de l’islam, fait, bien sûr, partie des lignes éducatives. Il faut observer que parmi les ministres deux sont binationaux et le ministre de l’Education nationale a décidé de développer l’enseignement de la langue arabe.

    Concernant l’édification de mosquées, il faut souligner qu’elle est favorisée par le gouvernement et que leur financement repose sur de l’argent public à hauteur de 30% des montants.

    Parmi les actions à entreprendre, il est nécessaire d’engager des procédures pour l’annulation des permis de construire de ces mosquées. Un exemple emblématique est le projet de Grande Mosquée de Bordeaux pour lequel Alain Juppé a donné son accord en 2008. A ce propos, il faut remarquer les liens entretenus par le maire de Bordeaux avec l’imam Tarek Oubrou qui fut proche de l’UOIF.

    Maurice Vidal (Riposte laïque) est un professeur de philosophie qui a été confronté dans son enseignement à l’attitude d’élèves musulmans.

    Outre l’apprentissage des différentes matières nécessaires à la formation des élèves, l’Education nationale a pour rôle de leur enseigner les valeurs associées à la nation. Aujourd’hui ces élèves face auxquels s’est trouvé Maurice Vidal se moquent de ces valeurs et ils le disent à leurs maîtres. Le délitement de l’institution est tel qu’un élève qui menace de frapper son professeur n’encourt aucune sanction. Faire part de la situation qui prévaut dans les établissements est considéré comme faire le jeu du Front national.

    La carrière de Maurice Vidal est ainsi émaillée d’incidents :

    • le dessin d’une main avec un doigt coupé affiché sur la porte de la classe ;
    • une agression avec un extincteur par deux élèves d’origine maghrébine ; quelque temps plus tard un autre élève signale au professeur que ses agresseurs sont venus de la mosquée de Lunel où l’imam a jugé que ses cours n’étaient pas conformes au Coran ;
    • lors d’un cours de philosophie dans lequel Maurice Vidal évoque les grandes notions de la condition humaine et les religions, il est interrompu par un élève qui affirme que la seule religion c’est le Coran;
    • professant sur la philosophie du soupçon en citant Nietzsche, Marx et Freud, il est, là aussi, pris à partie pour s’être référé à des auteurs pour lesquels Dieu n’existe pas ;
    • de même, son enseignement a été perturbé lors d’un cours sur la vérité par un lycéen qui a déclaré de manière péremptoire que la vérité c’est le Coran;
    • un dernier exemple concerne le choix du livre que les élèves auraient à présenter à l’oral du baccalauréat ; le professeur avait retenu l’Existentialisme est un humanisme de Jean-Paul Sartre ; cette sélection a été rejetée par des élèves musulmans.

    Ces diverses péripéties illustrent ce que représente le Coran : une parole et une récitation. Il s’agit de l’apprendre par cœur et de le réciter à la lettre. L’islam apparaît comme une soumission face à laquelle il n’y a pas de compromis possible.

    Maurice Vidal conclut en proclamant qu’il faut avoir le courage d’être debout.

    Alain de Peretti (président de Vigilance Halal), praticien vétérinaire exerçant dans le secteur libéral, a débuté son intervention par ce constat : dis-moi ce que tu manges, je te dirai qui tu es. Il souligne que prendre ensemble un repas est la première activité de sociabilité de l’homme.

    L’abattage halal est licite du point de vue de la charia. Mais cette méthode d’exécution de l’animal lui cause une souffrance ; elle comporte un risque sanitaire ; elle constitue une pompe à finances. Elle permet de maintenir le musulman dans un état d’apartheid volontaire. Le halal est le Cheval de Troie de l’islamisation et il permet de montrer un aspect de l’islam.

    Il faut observer que dans nos sociétés les animaux ont toujours été assommés avant d’être saignés.

    Par rapport au phénomène du halal, qui est une voie d’emprise de l’islamisme, quelles formes doit prendre la dissidence ?

    La dissidence implique un engagement personnel. Le dissident soviétique ne disposait que du papier. Pour nous, les moyens sont plus larges. En créant un mouvement Les vigilants et en observant ce qui se passe autour de soi, il est possible, par exemple, d’intervenir auprès de la cantine scolaire des enfants dans le cas d’une entorse aux principes qui fondent notre vie commune. La démarche, si elle n’aboutit pas, peut être poursuivie auprès du département, de la mairie et du fournisseur.

    Nous sommes aussi des consommateurs et nous pouvons être amenés comme tels à réagir face à l’arrivée du halal. Ainsi, il était inscrit sur une boîte de somnifères vendue par un laboratoire connu que l’enveloppe du produit était fabriquée au moyen de gélatine de bœuf halal. Aux interrogations qui furent adressées au laboratoire celui-ci a répondu qu’il ne pouvait pas prendre en compte les opinions de tous les clients. Une campagne a alors été engagée avec des photos de la boîte incriminée et l’envoi de courriels destinés à saturer la messagerie de l’entreprise. Il s’agit d’exercer une pression constante permise notamment par le développement des réseaux sociaux : Facebook, Twitter…

    Il existe d’autres formes de recours :

    • pour le moment, les procédures judiciaires n’ont donné aucun résultat et une action en carence est entreprise devant la juridiction européenne ;
    • une association a adressé des propositions au ministère de l’Agriculture qui a jugé les mesures préconisées comme acceptables mais inapplicables ;
    • une pression exercée auprès des bouchers.

    3e table ronde 

    Animée par Romain Lecap

    La répartition des clandestins en France

    Romain Lecap était entouré par Nicolas Faure (porte-parole du LIEN), Thibault Audra (« Pas de migrants en Ile-de-France »), Aurélien Verhassel (Collectif « Les Hauts de France sans migrants »).

    L’association dont Nicolas Faure est le porte-parole (LiEn) a été créée à l’annonce de la dispersion dans toute la France des immigrés clandestins jusque-là au camp de Calais. Elle met à la disposition un modèle de procédures pour l’engagement de toute action mais aussi des formules de pétition ou de tract.

    Le site de l’association (www.libertes-entraide.fr) présente six argumentaires pour contrer l’accueil de migrants en Ile-de-France. En effet, pour offrir toute leur portée aux arguments énoncés, il est nécessaire d’être factuel : alors, dans la dialectique qui s’engage, les éléments avancés étant fondés et précis, la victoire est certaine.

    Thibault Audra, responsable du collectif « Pas de migrants en Ile-de-France », s’est investi contre l’arrivée à Louveciennes-Rocquencourt des migrants venus de Calais. Les populations des communes concernées sont plutôt aisées et leurs préoccupations sont d’abord orientées vers leurs carrières professionnelles qu’ils privilégient par rapport aux questions politiques. L’action a commencé par l’ouverture d’une page Facebook. Il était indiqué notamment les coordonnées de la mairie de Rocquencourt et celles de l’Institut national de recherche en informatique et en automatique qui se propose d’accueillir des migrants dans ses locaux.

    Aurélien Verhassel, reponsable du collectif « Les Hauts de France sans migrants », observe qu’il n’a pas rencontré de personnes disposées à accueillir à leur domicile des migrants. A l’échelon communal, certaines villes ont réussi à s’opposer à l’accueil de ces immigrés clandestins. A l’inverse, d’autres, du fait de l’attitude de leurs élus, n’ont pas pu y faire obstacle. Ainsi à Croisilles (Pas-de-Calais), malgré des manifestations de la population auxquelles le Collectif avait notamment appelé, le conseil municipal a voté à une large majorité en faveur de l’implantation d’un Centre d’accueil et d’orientation (CAO). Ces immigrés, en majorité soudanais, étaient pour certains d’entre eux les membres de la troupe théâtrale du camp de Calais. Ils ont reçu la visite de Manuel Valls, tout rassemblement d’opposition étant interdit. Quant à ceux qui applaudirent leur arrivée, ils appartenaient à des associations de défense des immigrés extérieures à la ville.

    Face à l’action autoritaire et impérative de l’Etat, les intervenants ont souligné que la riposte devait être globale. Lorsqu’une commune s’oppose à une implantation, le gouvernement se tourne vers une autre. Il joue sur la parcellisation des réactions et sur des réponses favorables quoique minoritaires pour parvenir à son objectif de dissémination des immigrés clandestins sur l’ensemble du territoire. Il est relayé localement par les manifestations d’associations de défense de ces clandestins dont les membres sont extérieurs aux communes concernées. Le relais est aussi national par le discours et les images diffusés par les médias qui présentent les migrants sous le jour le plus favorable de malheureuses victimes fuyant les persécutions sans jamais s’interroger sur les motifs réels et les conséquences.

    http://www.polemia.com/fondation-polemia-2e-forum-de-la-dissidence-compte-rendu-troisieme-partie/

  • Action française [Marseille] Cercle du 09 décembre

    Vendredi soir les militants Marseillais étaient réunis pour assister à une conférence donnée par le professeur Gilles sur le thème de la révolution nationale pendant la seconde guerre mondiale. Par le prisme de deux quotidiens nationaux de l’époque "le petit parisien" et "le matin" les militants Marseillais se sont réappropriés l’histoire de leur pays. Débats passionnants autour du thème de la primauté de l’intérêt national suivis d’un verre de l’amitié.

  • Le culte du taureau de la préhistoire à l’ère chrétienne

    CP-33-cover.jpgDans sa forme primitive, le panthéon grec avait pour divinité sacrée le dieu taureau, issu de la fusion des croyances aryennes et crétoises. Ainsi, à l’époque des invasions des Ioniens, des Achéens et des Doriens, le culte du taureau était déjà bien établi. Il ne se limitait pas à des courses sacrées, mais comportait de nombreuses autres manifestations rituelles. Ainsi, par exemple, au temple de Delphes, des sacrifices avaient lieu, visant à attirer des bénédictions sur la terre et les hommes par l’intermédiaire du divin animal qui n’était pas seulement hosios (saint, non souillé moralement) mais hosioter (celui qui sanctifie).

    À Rome, le culte du taureau fut maintenu, avec quelques transformations, par le culte de Mithra. Vraisemblablement introduit en Europe par les légionnaires romains stationnés en Orient, Mithra est un dieu indo-européen adoré chez les Hourrites du Mitanni, les Aryas en Inde et par le mazdéisme en Perse. Mithra, à Rome, garda bien des traits de sa nature originelle : celle du dieu de la lumière solaire, intermédiaire entre les hommes et les grands dieux inabordables, plus proche du héros que du dieu tout puissant.

    Né mystérieusement d’un rocher, Mithra dut tout d’abord s’imposer au soleil. Puis, plus tard, Ormazd, dieu suprême du ciel, lui ordonna de s’emparer d’un terrible aurochs. Après des peines nombreuses, Mithra parvint à dompter le taureau. Le Soleil donna alors l’ordre à Mithra de le tuer. Mithra qui s’était attaché à l’animal s’exécuta contre son gré et tua le taureau en lui plongeant son couteau dans le corps. Du corps de la victime surgirent toutes les plantes utiles à l’homme : le blé naquit de sa moelle épinière, la vigne de son sang. Ahriman, dieu des ténèbres, envoya ses démons (sous la forme d’un scorpion, d’une fourmi et d’un serpent — trois animaux chtoniens) pour empoisonner ces forces vitales. Ils échouèrent grâce à l’intervention du chien de Mithra, et du sperme du taureau naquirent tous les animaux utiles à l’homme. Mithra devint le grand bienfaiteur de l’humanité.

    Dans tout l’Empire Romain se multiplièrent alors les courses de taureaux, touchant tous les peuples européens, des Volsques, prédécesseurs des Romains, aux Celtes et aux Germains. En pleine civilisation gallo-romaine, la mise à mort d’un taureau après une chasse mouvementée est déjà devenue une corrida formelle comme en témoignent de nombreux fragments de poteries retrouvés à Rome et en Provence.

    En Europe orientale et occidentale, en Scandinavie, en Écosse et en Irlande, se répandit une religion taurine, introduite initialement par les Celtes. Toutefois, chez ceux-ci, le taureau n’a pas une valeur symbolique exclusive de virilité. Il est surtout, comme en Irlande, l’objet de métaphores guerrières. Ainsi un héros ou un roi de grande valeur militaire est appelé le “taureau du combat”. De même, dans le récit de La razzia des vaches de Cooley [Táin Bó Cúailnge], un taureau brun et un taureau blanc s’affrontent. Les posséder signifie posséder la souveraineté guerrière, l’un représentant l’Uster et l’autre le Connaught.

    En Gaule, l’iconographie comporte un taureau à trois cornes, probablement un ancien symbole guerrier : la troisième corne devant représenter ce qui, en Irlande, est appelé Lon laith (lune du héros), espèce d’aura sanglante apparaissant au sommet du crâne du héros en état d’excitation guerrière. De plus, les Celtes, vivant dans les grandes forêts de chênes d’Europe, associèrent le dieu taureau au ciel et au chêne, symbole de de la reproduction. Des liens étroits unissaient donc le symbole de fertilité du taureau au chêne phallique porteur de glands.

    Le culte celtique du taureau s’implante aussi profondément en Scandinavie, les coiffes à cornes étaient déjà un trait de la culture scandinave deux mille ans avant notre ère, et ces symboles de puissance étaient encore en usage chez les Vikings aux VIIIe et IXe siècles de notre ère, lorsqu’ils envahirent les côtes de l’Europe. Un mythe ancien explique la naissance du monde par la libération d’une vache prisonnière des glaces et qui aurait engendré toute la vie terrestre. L’épopée scandinave des Eddas est d’ailleurs significative. La légende fait souvent allusion à des héros faisant rôtir des taureaux afin d’accroître leur vigueur. Ainsi le dieu Thor, après l’absorption de trois barriques d’hydromel, mange un taureau avant de partir à la reconquête de son marteau magique. Ainsi Brunhilde est évoquée buvant de l’hydromel dans une corne offerte par Siegfried et qui deviendra plus tard la corne de guerre du Dieu Odin.

    En Angleterre, enfin, la corne était liée au culte de la fertilité. De vieilles légendes évoquent des combats entre les hommes et les taureaux, ceux-ci étant peints aux couleurs des groupes guerriers.

    En 392, l’interdiction des cultes païens par Théodose visait particulièrement le culte de Mithra, alors très répandu. En 427, le Concile de Tolède a donné une description officielle du diable : un être gigantesque, cornu, au corps velu et aux oreilles d’âne, et pourvu d’un phallus énorme. Avec la montée du christianisme, les cultes taurins reculèrent en Europe et c’est principalement en Espagne que la tradition a perduré, En effet, dans cette région, les combats de taureaux étaient trop bien enracinés et l’Église dut transiger. Fidèle à sa politique, elle “christianisa” cet usage sacré pré-chrétien, qu’il lui était impossible d’extirper en plaçant la tauromachie sous son patronage et en limitant ses manifestations. Au Ve siècle, l’Espagne était déjà devenue le sanctuaire des cultes taurins.

    ► Alban Ergoyen, Combat païen n°33, mai 1993.

    http://www.archiveseroe.eu/recent/5

  • Les Chroniques identitaires de Vincent Revel enfin publiées

    Chroniques-identitaires-Vincent-Revel.jpegEntre avril 2012 et septembre 2016, Vincent Revel a écrit des chroniques identitaires pour le BIL et Novopress. Ce travail lui a permis de suivre avec attention le quinquennat du président dit « normal ». A présent que son mandat arrive à sa fin et que ses potentiels successeurs sont déjà prêts à le remplacer, il a compilé une grande partie de ses chroniques dans un ouvrage intitulé Chroniques identitaires sous le mandat de François Hollande.

    Pour ceux qui veulent relire ou découvrir ces textes, il est possible de commander cet ouvrage sur ce lien. Chroniques identitaires, de Vincent Revel, fait 294 pages et il n’en coûte que 17,50 euros.

    http://fr.novopress.info/202282/les-chroniques-identitaires-de-vincent-revel-enfin-publiees/