Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

tradition - Page 216

  • Le retour des parents dans l'éducation

    La liberté des parents dans l'éducation de leurs enfants est un principe non-négociable, mais depuis longtemps en France cette liberté avait été trop souvent abandonnée à la puissance publique (les malheureux ouvrages que l'on trouve dans les bibliothèques y sont, pour certains, depuis 20 ans), laquelle ne comprend pas bien aujourd'hui pourquoi les parents souhaitent retrouver leurs prérogatives. Et c'est la bonne nouvelle qui sort au milieu de l'horreur idéologique, comme le souligne l'abbé Grosjean :

    "En même temps, la naissance d’une fronde spontanée des parents pour dire « stop » à cette intrusion de l’Education Nationale dans un domaine qui leur est réservé est source d’une vraie joie. Voilà une réaction saine, presque de survie, de parents – cathos, musulmans ou athées – qui veulent rester les premiers éducateurs de leurs enfants. Ils affirment ainsi courageusement qu’ils tiennent à leur mission et qu’ils sont vigilants sur ce qu’on transmet à leurs enfants. On a trop souvent parlé de la démission des pères ou des mères … Or, l’actualité récente a de quoi nous réjouir. De nombreux parents ont pris rendez-vous avec les institutrices ou instituteurs pour évoquer avec eux ce qui était dit et lu en classe. Ils ont été nombreux également à réagir à l’occasion de la projection de tel film, forçant ainsi tous les autres à réfléchir sur la diffusion de ce qu’on a envie  d’appeler l’idéologie du genre… [...]

    Chers parents, restez vigilants. Mais surtout, soyez pleins d’espérance ! Quelque chose a changé, une prise de conscience a eu lieu : ces idéologues rencontrent désormais des obstacles, un bon sens qui s’affirme, une résistance humble, paisible mais ferme. Et nous le savons : l’avenir appartient bien naturellement … aux enfants, aux familles, à ceux qui demain seront encore solides, prêts à offrir à tous ces repères qu’ils auront protégés et conservés courageusement."

    Ce retour du rôle des parents dans l'éducation est en effet une très bonne chose et nous le constatons depuis maintenant quelques années avec notamment la création de nombreuses écoles libres. Sous la pression du gouvernement, cette prise de conscience s'accélère.

    Michel Janva

  • Des mémoires d’avenir enracinés et combattants par Georges FELTIN-TRACOL

    Méconnu du plus grand nombre de nos compatriotes, Richard Roudier n’en est pas moins un activiste convaincu. Très tôt adhérent à Europe Action, il conduit aujourd’hui la Ligue du Midi, identitaire et régionaliste, et préside le Réseau Identités. Ce combattant politique – et culturel – a souvent porté le glaive sans pour autant renoncer à la charrue, lui qui s’impliqua fortement auprès des viticulteurs languedociens en tant que syndicaliste agricole

    C’est d’ailleurs sous ce titre qui réunit une arme de poing et un instrument agraire que Richard Roudier publie ses mémoires. Mais cet « itinéraire identitaire » ne se veut pas pas que biographique. Résolument tourné vers l’avenir, l’ouvrage estime que « le temps de la réunification a sonné et que le temps des laboratoires devrait s’effacer devant celui de la préparation des conditions de la victoire (p. 10) ».

    Richard Roudier retrace son parcours. Fils de petits paysans de Béziers, il suit enfant l’effervescence poujadiste. Plus tard, ses premiers émois militants concernent la lutte viticole et son implacable répression policière hexagonale encouragée par un pouvoir parisien centralisateur qui n’a jamais digéré le grand soulèvement fraternel et méridional de 1907 brisé par l’infâme Clemenceau, personnage le plus infect de l’histoire de France avec le retors Adolphe Thiers.

    Lycéen à l’époque de la Guerre d’Algérie, il rejoint les rangs de la F.E.N. (Fédération des étudiants nationalistes) où il rencontre le jeune Pierre Krebs. Ils fondent ensemble un petit journal ronéotypé intitulé Spartiate, et lisent avec passion Europe Action. Souvent, dans le Midi, les distributions de tracts et l’organisation de réunions publiques s’achèvent par des bagarres avec les gauchistes. L’auteur ne cache pas le plaisir qu’il avait de s’y jeter… S’il passe ensuite au M.N.P. (Mouvement nationaliste de progrès), l’héritier politique d’Europe Action, il omet toute éventuelle participation au R.E.L. (Rassemblement européen de la liberté), sa version électoraliste, puis à l’I.E.O. (Institut des études occidentales) de Dominique Venner et de Thierry Maulnier, ne s’engage pas en revanche au G.R.E.C.E. dont le ton très nordiciste l’agace. Richard Roudier suit néanmoins avec intérêt ses recherches et approuve régulièrement les orientations prises par cette centrale d’idées.

    Dans les années 1970, il préfère se rallier au combat « néo-poujadiste » de Gérard Nicoud en faveur des commerçants et des artisans. Il œuvre aussi en faveur du régionalisme politique, car son épouse et lui parlent occitan. Les décennies 1960 – 1970 voient le Languedoc, vieille terre occitane, connaître un renouveau culturel indéniable. La période est propice pour de multiples initiatives occitanistes, en particulier sous l’impulsion de Robert Lafont et de François Fontan. Mais l’occitanisme politique a le travers de reprendre des thématiques gauchistes qui feront son bref succès après 1968. En réponse à cette gauchisation contestable, Richard Roudier, sa future femme, Maryvonne, et Jean-Louis Lin fondent un mouvement nationaliste-révolutionnaire occitan : Poble d’Oc. On peut regretter que cette formation originale ne soit traitée qu’en quelques pages alors que son histoire intellectuelle mériterait d’être découverte. La gauchisation de l’occitanisme n’ont pas éteint son régionalisme. Bien au contraire. « Être identitaire, c’est vivre chaque jour son enracinement; se dire blanc, occidental, européen, français est vide de sens s’il n’y a pas à la base une identité locale forte. […] Aussi, le combat identitaire n’est pas le combat contre la France, mais contre une certaine France, celle du centralisme jacobin, de l’administration tatillonne, de la réduction des libertés publiques, celle de la bouillie “ métissarde ”, du nihilisme, du nivellement, celle de la décadence et du renoncement (pp. 164 – 165). » Il est indispensable de refaire une France européenne des régions renaissantes.

    Richard Roudier relate aussi ses « travaux pratiques » en métapolitique. Désireux de déloger les communistes de la mairie de Béziers, il se met au service de notables droitiers d’obédience giscardienne et, une fois les municipales remportées en 1983, applique une « métapo » au quotidien, ce qui lui vaut de devenir un « homme à abattre » et de passer deux semaines en détention préventive, suite à une cabale. « Si la métapolitique recommandée par Alain de Benoist est bien un moyen suprême de combat, je me demande aujourd’hui si c’est le bon moyen de conquérir le pouvoir quand elle est employée seule ? Je me demande si la “ métapo ” n’attend pas plutôt que nous soyons d’abord au pouvoir pour donner tout son rendement en s’appelant alors “ propagande du régime ”, une science aussi vieille que la politique ? (pp. 64 – 65) » La question demeure pertinente. L’action métapolitique entreprise en 1977 – 1979 par le contrôle des rédactions de la presse écrite parisienne (Valeurs actuelles, Le Spectacle du Monde, Le Figaro-Magazine…) a échoué comme ont raté le travail municipal auprès des associations et l’entrisme dans des partis politiques (la droite institutionnelle avec le Club de l’Horloge ou le F.N. pour les grécistes). La solution viendrait-elle d’un « gramscisme technologique, internautique, cybernétique » ? On ne peut l’avancer. Sans des événements exceptionnels ou graves, la circulation des idées reste lente et aléatoire. D’où peut-être l’obligation de mener simultanément actions politiques ponctuelles et réflexions intellectuelles de fond. Or il existe une incompatibilité profonde entre ces deux modes opératoires…

    Vers la fin du XXe siècle, Richard Roudier s’active au sein d’Unité radicale, puis dans le Bloc Identitaire avant de s’en séparer pour cause de divergences majeures. Avec des identitaires bretons et alsaciens, il lance le Réseau Identités qui va présenter des candidats aux législatives de 2012 parce qu’« aucun révolutionnaire ne peut récuser l’électoralisme par principe (p. 110) ». Lors de son passage au sein d’Unité radicale et du Bloc Identitaire, il défendit La nouvelle question juive de Guillaume Faye, fit écarter le slogan « À Paris comme à Gaza : intifada ! » et imposa une ligne neutraliste résumée par la formule lapidaire « Ni keffieh, ni kippa ». Très critique envers des mouvements qui se focalisent totalement sur les relations extérieures, il considère que « l’expression d’une radicalité en politique étrangère est une manière de faire du bruit sans avoir de fond. Depuis quarante ans, je suis averti par expérience que seule l’indigence de réflexion doctrinale sur les problèmes intérieurs et sociétaux amène un mouvement à disserter sans fin sur la géostratégie amenant chacun de ses militants à se transformer en mini-Clauswitz, cela sans se préoccuper de son voisin qui souffre de mille maux (p. 79) ». L’auteur affirme nettement que l’ennemi principal est « le responsable politique ou associatif qui n’a pas empêché le pauvre bougre subsaharien d’entrer ou celui qui l’a encouragé à venir et qui, pour cacher sa veulerie, me vante l’immigration comme une “ chance pour la France ”, alors que la fausseté du propos n’est plus à démontrer. Mon ennemi […] est surtout Français, gauchiste, halluciné, corrompu, jacobin, affairiste, républicain, démagogue, socialiste, libéral, que sais-je encore ? (pp. 81 – 82) ».

    Richard Roudier évoque aussi la propriété qu’il a acquise en 1989 « dans les premiers contreforts des Cévennes (p. 71) » et qui constitue une véritable B.A.D. (base autonome durable). Il n’est d’ailleurs pas anodin qu’un de ses fils, Olivier, soit « devenu un théoricien passionnant de la décroissance et de la nécessaire reconquête des terres par les néo-ruraux (p. 72) ». Agir métapolitiquement auprès des populations péri-urbaines ne serait-elle pas une réponse adaptée aux enjeux actuels ? Cela suppose au préalable l’élaboration d’une plate-forme programmatique. En effet, « outre qu’il participe de la dynamique initiale d’un groupe, l’esprit de plate-forme élargit le recrutement. En se fixant naturellement en priorité sur des accords déjà majoritairement acquis, il élargit la base de recrutement tout en augmentant la discipline intérieure par l’existence d’un embryon de doctrine écrite faisant loi (p. 125) ». Le Réseau Identités coopère ainsi avec la mouvance solidariste de Serge Ayoub et les royalistes non-conformistes, « militaro-décroissants » et « hyper-français » du Lys noir.

    Dans les derniers chapitres de son livre, Richard Roudier propose une base commune de collaboration entre les différentes forces dissidentes afin d’alimenter un processus séparatiste latent et de susciter des communautés autochtones, fondements à venir d’une Alter-Europe eurosibérienne, libérée de l’emprise de l’O.T.A.N. Dans l’immédiat, cet Européen qui a voté non lors du référendum entend renouer avec la vision d’une « Europe nationale, libre et indépendante » naguère prônée par Maurice Bardèche. L’auteur en appelle finalement à une « grande conjuration des ruptures (p. 202) ». Mais, bien entendu, pour qu’adviennent ces ruptures nécessaires, « pour renverser un processus de mort, pour renverser la vapeur du déclin, pour renverser des valeurs mutantes et des lois putrides, pour renverser l’ordre des choses, il faut au moins renverser le gouvernement (p. 138) ». L’échec patent de l’opposition au mariage homosexuel témoigne de l’amateurisme petit-bourgeois et du légalisme naïf des organisateurs et de la majorité des manifestants. Préparer les esprits pour déclencher l’étincelle suppose par conséquent une intense formation d’activistes prêts à encadrer des colères surgies de la population. Et si, plutôt que sociétale, l’« insurrection qui vient » était finalement sociale, populaire et locale ?

    Georges Feltin-Tracol http://www.europemaxima.com/?p=3521

    • Richard Roudier, Le Glaive et la Charrue. Itinéraire identitaire, Éditions Identitor (B.P. 1 – 7114, 30 912 Nîmes C.E.D.E.X. 2), 2013, 205 p., 14,50 €.

  • La famille nombreuse fait rêver les Français

    Ils sont incorrigibles malgré la propagande ambiante :

    "49 % des Français se seraient bien vus avec un petit troisième et pourquoi pas un quatrième, selon une étude de l'Unaf (Union nationale des associations familiales) en partenariat avec la Cnaf (Caisse nationale des associations familiales) auprès de 11 000 familles en situation d'avoir des enfants. La famille nombreuse séduit donc toujours les Français? Avant de devenir parents, 30 % des sondés désiraient trois enfants, 14 % en espéraient quatre et 5 % se seraient laissés tenter par plus. [...]

    22 % des familles disent se heurter à la difficile conciliation entre leur vie professionnelle et leur vie familiale. [...] 71 % des sondés désespèrent d'un contexte socio-économique peu favorable pour avoir des enfants. [...]"

    Michel Janva

  • Eli Veugnol J’ai veillé pour les enfants avec Farida Belghoul

    Quelques heures avant cette veillée, un travesti venait parler du transgenre à des CM1, sans l’aval de leurs parents…

    Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’une soirée avec Farida Belghoul, ça décoiffe plus qu’un compte-rendu de conseil des ministres par Najat Vallaud-Belkacem, fût-ce avec sa coupe à la garçonne. C’était jeudi, sur la place du Marché de Versailles, avec les Veilleurs pour la Famille. Étaient présents plusieurs centaines de personnes, et également nombre de caméras, alléchées par la présence de la nouvelle tête de turc du gouvernement, celle-là même qui a lancé en janvier la Journée de Retrait de l’École, pour protester contre la déconstruction subreptice des repères sexués des élèves.

    Elle était donc là, l’ancienne de la Marche des Beurs, la prof de banlieue, au milieu de cette foule largement catholique. Et vous savez quoi ? Non seulement le tableau ne jurait pas, mais il se dégageait une harmonie évidente de cette rencontre entre deux France. Cette France chrétienne, à qui Farida Belghoul a rendu largement rendu hommage pour s’être battue en première ligne, depuis un an et demi, pour les droits de l’enfant. Cette France musulmane, qui s’est levée récemment pour protéger la pudeur de ses gosses.

    Lire la suite

  • TV Libertés : Jean-Yves Le Gallou analyse le traitement médiatique des manifestations pro-famille

  • Il est temps d’agir et de reprendre à notre compte l’éducation affective de nos enfants !

    Raphaël Peuchot, délégué de la Vigie des familles, répond au site Objection de la conscience. Extraits :

    "La VIGIE des familles est un collectif de parents d’élèves créé début 2013 à la suite du lancement par le gouvernement français de son « Programme d’actions gouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre » en octobre 2012.

    Le ministre de l’éducation nationale a déclaré vouloir « s’appuyer sur la jeunesse pourfaire évoluer les mentalités » et « changer les représentations » (Libération, 17/12/2012).

    Mais pour imposer quelle vision de la société à nos enfants ? Quelle représentation des relations homme/ femme veulent-ils « enseigner » en primaire ? L’égalité homme/femme se résume-t-elle à l’orientation sexuelle : n’est-ce pas vouloir troubler les plus jeunes jusque dans leur intimité profonde, celle de la construction de l’identité sexuelle, au surplus sans jamais en référer aux parents ?

    Nous voulons rappeler que l’école est là pour instruire et nous parents pour éduquer, le tout dans une communauté éducative en charge du bien des enfants. C’est pourquoi nous souhaitons développer une pensée de la confiance, une vraie relation bienveillante avec les enseignants afin que tous ensemble nous fassions en sorte de respecter la fragilité et la sensibilité des enfants.

    La VIGIE des familles entend informer les parents sur la nature et la réalité du combat engagé par les promoteurs du gender, dont le seul objectif consiste dans la déconstruction (c’est-à-dire la destruction) des représentations familiales (père, mère, enfant) mais également des valeurs morales qui en constituaient le socle. [...]

    Nous entretenons dans toute la France des contacts réguliers avec des parents ayant interrogé la direction de l’école de leurs enfants ou s’apprêtant à le faire. Les situations sont diverses : certains parents sont méprisés et parfois même ridiculisés par le corps enseignant ; d’autres sont écoutés et rassurés par des directeurs de l’école manifestement peu soucieux du sujet.Il existe des cas dans lesquels les parents sont clairement menacés. Nous en sommes là !

    [...] Forts de ces prérogatives, les parents sont fondés à exercer leurs droits d’information en interrogeant, par écrit s’il le faut, le chef d’établissement qui est tenu de leur répondre et de préciser le contenu d’un enseignement sur l’égalité ou la sexualité (Circulaire 2006-137 du 25/08/2006). A défaut, l’établissement et son directeur peuvent être poursuivis devant les tribunaux. Des recours sont en préparation.

    [...] nous invitons les parents à créer des collectifs dans chaque école, chaque académie, avec une seule règle : l’union fera notre force ! Il est indispensable de conduire des démarches collectives : dans la formation, la mise en réseau, l’action à l’égard des directeurs d’écoles. Par ailleurs, il faut bien reconnaître que les structures habituelles ne peuvent être des alliés fiables : les associations de parents d’élèves nous paraissent le plus souvent dépassées par le sujet, ou prises dans des considérations étrangères aux préoccupations légitimes des parents."

    Michel Janva   http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Russie met en place des centres d’accueil pour mères en détresse

    avortement-oui-à-la-vie-MPI

     

    Depuis cinq ans, la Russie prend régulièrement des nouvelles dispositions contre l’avortement. Exactement le contraire de la France. Toute campagne publicitaire en faveur de l’avortement est interdite dans ce pays. La motivation majeure est simple : de 143 millions en 2008, la population passera à 115 millions en 2050. La Russie deviendra un pays marginal. La Douma (Assemblée nationale russe) vient de voter une loi refusant la gratuité de l’avortement dans les établissements gérés par le gouvernement. Le consentement parental est exigé pour la pilule du lendemain. L’aide aux femmes enceintes a été augmentée de 2000 roubles (50 €) par mois. La prime à la naissance est passée à 9.000 $ (7.000 €) à partir du deuxième enfant. Cette assemblée parlementaire a renouvelé son opposition à la PMA. Conjointement, le Patriarcat de toutes les Russies a admonesté le gouvernement : « la préservation de la grossesse est une tâche prioritaire pour le médecin». Il rappelle que la grossesse pour autrui est « une mutinerie contre Dieu ». Il a rappelé qu’il était partisan de la mise en place de centres de grossesse pour « les mères seules dans des situations difficiles de la vie. »

    Lire la suite