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tradition - Page 220

  • Gender : l'ABCD d'une imposture

    par Claude Wallaert

    Vincent Peillon doit être déçu : lui qui appartient à un « genre » de politicien qui fonde tout sur l’idéologie et le mépris de ceux à qui il veut la faire ingurgiter, voici que les parents des enfants qu’il espère un jour prochain transformer en Komsomols d’un genre moderne se rebiffent un peu partout :...

    ...sa prétendue pédagogie ABCD ne trompe que ceux qui ne demandent pas mieux, et depuis plusieurs jours dans des centaines d’écoles, des parents retirent leurs enfants de l’école, le temps d’une journée symbolique, affirmant par là leur prééminence de droit dans le domaine de l’éducation !

    Mentant solennellement, ce ministre de subversion affirme : « l’école de la république n’enseigne absolument pas la théorie du genre. Elle enseigne l’égalité de tous les points de vue. » Cette tartufferie fait écho à celle de son premier ministre, qui affirmait la main sur le cœur lors d’un entretien avec « La Croix » le 30 septembre dernier : « il n’est pas question d’introduire je ne sais quelle idéologie à l’école ! Il n’est pas question d’un temps d’enseignement sur la théorie du genre... » En réalité, nombreux sont maintenant les parents qui peuvent témoigner de l’insidieux endoctrinement qui sourd plus ou moins ouvertement dès l’école maternelle et qui procède directement des préjugés contenus dans la théorie du genre et qui vise à détruire les fameux « stéréotypes familiaux et sexistes »...Une sénatrice ne proclamait-elle pas voici peu : « les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, mais appartiennent à l’Etat » ? Et nous avons tous entendu parler de ce charmant livre proposé aux écoliers : « J’ai deux papas qui s’aiment ». [...]

    La suite sur Politique Magazine

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Gender-l-ABCD-d-une-imposture

  • L’EXTRÊME DROITE, UNE IDÉOLOGIE RÉPUBLICAINE

    Pourquoi l’AF n’est pas, n’a jamais été et ne sera jamais d’extrême droite.

    Dans un article très confus, qui cherche à faire le buzz sur la Toile, Streetpress pense avoir déniché LE scoop des municipales parisiennes, alors que le site ne fait que relayer avec un mois de retard une information que nous avions publiée à la fois dans le numéro de L’AF 2877 et en même temps sur notre site internet.

    Oui, Elie Hatem, membre du comité directeur de l’Action française depuis de très nombreuses années, est bien candidat à la mairie du IVe arrondissement de Paris.

    Streetpress en profite pour pointer la contradiction qu’il y aurait à ce qu’un royaliste se présente à des élections, surtout municipales, comme si, au contraire, de telles élections n’étaient pas le lieu privilégié de la rencontre avec le pays réel, comme du reste Elie Hatem s’en expliquait dans l’article précité. Nous y renvoyons nos pigistes pressés, trop pressés... De même qu’à un article de Maurras lui-même sur les royalistes et les élections.

    Mais c’est surtout une autre contradiction, plus malintentionnée, que nous voulons dégonfler. La candidature de notre ami Elie Hatem « tranche, dixit Streetpress, avec la dédiabolisation du FN ». Diable ! l’AF serait le diable ! Pis que le Diable elle serait d’extrême droite ! De fait, si Maurras condamnait le communautarisme (d’où la caricature faite par les auteurs de l’article de la théorie des 4 Etats confédérés, élaborée dans le contexte de la fin du XIXe siècle), c’était pour mieux donner toute leur place aux différentes communautés du pays réel, sans en exclure aucune. C’est pourquoi, le fédéraliste Maurras loin de voir dans le Roi l’incarnation de « l’unicité de la société » (sic), voyait au contraire en lui le fédérateur des républiques françaises ! Aux yeux de Maurras, c’est la tête de l’Etat qui devait être UNE — mon-archie —, non la société, pour que, précisément, sous la protection du Roi, une société par essence multiple et riche de sa multiplicité puisse s’épanouir de la manière la plus autonome possible. C’est par fédéralisme que Maurras est venu à la monarchie. Il avait en horreur le culte de l’Etat, un culte issu des théories rousseauistes, né avec la révolution et incarné dans la république jacobine.

    D’où son rejet viscéral du nazisme, dans lequel il voyait la démesure d’un étatiste pangermaniste devenu fou sous l’influence du délire racial — un racisme dans lequel il dénonçait régulièrement « son plus vieil ennemi intellectuel » —, d’où aussi sa dénonciation du fondement même du fascisme, à savoir le culte de l’Etat. Les textes dans L’AF quotidienne abondent et ce ne sont pas les prises de position favorables à une alliance avec l’Italie entre les deux guerres, dictées par le souci de contrecarrer le danger allemand qui y changeront quoi que ce soit.

    Le rejet de l’étatisme et du racisme, qui sont les deux mamelles de l’extrême droite, est au fondement de la doctrine royaliste d’Action française. D’ailleurs, le spectre politique qui va de l’extrême gauche à l’extrême droite est strictement républicain. L’AF récuse donc qu’on lui applique des catégories qui appartiennent à une idéologie qui lui est étrangère. Par définition, l’extrême droite est républicaine — Mussolini l’a prouvée en fondant une république, la République de Salo, dès qu’il le put —, absolutisant deux vices inhérents à la pensée républicaine que sont un racisme prétendument scientifique, d’inspiration positiviste — doctrine républicaine s’il en est —, racisme qui est au fondement de la politique coloniale d’un Jules Ferry, et l’étatisme. Ces deux éléments constitutifs de la doctrine républicaine sont totalement étrangers à la tradition royaliste et à la doctrine d’AF : c’est pourquoi les républicains sont priés de n’attribuer ni à l’une ni à l’autre leurs propres vices. C’est la raison pour laquelle aussi l’AF n’a nul besoin de procéder à une quelconque dédiabolisation... elle n’a jamais frayé, elle, avec le diable !

    Affirmer que l’AF serait d’extrême droite est donc plus que malhonnête : c’est tout simplement absurde. Mais comme aimait à dire Maurras : le papier souffre tout ! Même sur la Toile !

    François Marcilhac

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-EXTREME-DROITE-UNE-IDEOLOGIE

  • Les pervers veulent pervertir les enfants dès leur plus jeune age

    Chers amis,

    Depuis quelques jours et suite à la circulation de sms entre parents d’élèves, le ministère de l’Éducation nationale communique pour dénoncer une soi-disante rumeur concernant l’enseignement de la « théorie du genre » à l’école.

    Si le contenu de certains sms, notamment ceux relatés par les médias, est excessif et caricatural, cela ne signifie pas, contrairement à ce que prétend la communication du ministère, que rien n’est vrai.Les parents ont malheureusement plusieurs raisons de se montrer vigilants.

    En prétendant que la théorie du genre n’existe pas, le gouvernement ment

    Depuis presque un an, l’Observatoire de la théorie du genre analyse et surveille la politique menée par le gouvernement en faveur de la reconnaissance et de la promotion du concept « d’identité de genre ».

    On ne peut que constater que Najat Vallaud Belkacem, ministre déléguée aux Droits des femmes, Christiane Taubira, ministre de la Justice et Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, ont commandé des études et des rapports à des « militants » qui s’inspirent des théoriciens les plus radicaux de la théorie du genre.

    Dans la diffusion de cette « théorie », l’Education nationale joue un rôle moteur avec plusieurs dispositifs, comme :
    •Le dispositif « ABCD égalité » qui de façon insidieuse s’inspire des théories de « l’éducation neutre » telle qu’elle se pratique en Suède.
    •L’expérimentation de crèches neutres, soutenue par Najat Vallaud Belkacem, s’inspirant de la crèche Egalia à Stockolhm.
    •La généralisation de l’éducation sexuelle à l’école pour tous les élèves à partir de 6 ans. Le ministère allant jusqu’à recommander la participation en classe d’intervenants issus d’associations clairement militantes.
    La promotion faite par Vincent Peillon, dans une circulaire adressée à l’ensemble des recteurs le 4 janvier dernier, de l’association « Ligne Azur » qui intervient auprès des enfants notamment sur la question de l’identité sexuelle et de l’identité de genre, en affirmant sur ses supports pédagogiques : « que l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti ». Sic !
    •La diffusion dans le cadre du programme « Ecole et cinéma » du film militant « TOMBOY », où l’on invite des enfants de CE2, CM1, CM2 à s’identifier à une petite fille qui se fait passer pour un petit garçon.
    •Les recommandations du principal syndicat d’enseignants du primaire d’utiliser en classe des livres « non-genrés » comme « Papa porte une robe ».

    Voilà quelques uns des motifs pour lesquels, les parents ont des raisons de s’inquiéter.

    Le ministère semble d’ailleurs loin d’être à l’aise sur cette question puisqu’il entretient le plus grand secret sur ces dispositifs. Il refuse, par exemple, de communiquer la liste des établissements expérimentant le programme « ABCD égalité » ; il exclut les parents des évaluations de ce dispositif et dans certaines académies, il interdit aux enseignants et aux directeurs d’établissement de répondre aux légitimes questions des parents, les renvoyant vers les inspecteurs académiques.

    Dans ces conditions, l’Observatoire de la théorie du genre appelle les parents à la vigilance et à poursuivre la mobilisation.

    Nous devons nous remobiliser

    Le ministère de l’Education nationale a annoncé qu’il comptait généraliser dès la rentrée 2014, le dispositif « ABCD égalité » à l’ensemble du territoire, après un simulacre d’évaluation.

    Ensemble, nous pouvons faire reculer Vincent Peillon. Je vous invite à signer et à faire signer la pétition adressée à Vincent Peillon pour demander la fin de l’expérimentation du programme « ABCD égalité ».
    La grande manifestation nationale du 2 février à Paris et à Lyon
    contre la politique « famillophobe » doit être également l’occasion de faire entendre notre refus de l’enseignement de la théorie du genre à l’école.

    Nous devons remobiliser autour de nous. Pour cela, nous avons besoin de votre aide. Diffusez notre pétition à vos amis.

    Par ailleurs, si vous le pouvez, merci également de nous adresser un don, même modeste, pour nous aider à financer l’impression des pétitions, des affiches, ainsi que l’organisation de conférences d’information.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/les-pervers-veulent-pervertir-les-enfants-des-leur-plus-jeune-age_98186.html#more-98186

  • Manifs pour tous le dimanche 2 février

     

    Nouvelle manifestation de La Manif Pour Tous :

    Tous à Paris le dimanche 2 février !

    Contre la familiphobie, les familles se mobilisent !

     

    Paris, Bruxelles, Madrid, Rome… La Manif pour Tous a fait des émules en Europe.

    Projet de loi Famille, fabrication d’enfant sans père (PMA pour couple de femmes), mères porteuses, diffusion de l’idéologie du genre à l’école, réduction du congé parental, fiscalité contre les familles (fin de la conjugalité de l’impôt, baisse du quotient familial…) : il est temps de mettre un terme à tous ces projets LGBT et anti-famille que prépare le gouvernement dans la foulée de la loi Taubira (mariage et adoption pour les couples de même sexe) dont LMPT demande toujours l’abrogation (sans rétroactivité).

    Après les manifestations nationales 2013 (13 janvier, 24 mars et 26 mai), La Manif Pour Tous invite tous les citoyens à revenir à Paris dimanche 2 février pour défendre les familles qui sont aujourd’hui attaquées. « Nous nous sommes engagés à ne rien lâcher. Nous tenons notre parole en reprenant le chemin des pavés le 2 février » souligne Albéric Dumont, étudiant et Coordinateur Général de La Manif Pour Tous. « Cette manifestation est très attendue par nos sympathisants. Nos équipes locales sont d’ores et déjà en marche pour organiser la logistique, les trains spéciaux et les centaines de cars pour permettre au maximum de citoyens d’être présents pour défendre les familles et les enfants » poursuit-il. [...]

    La suite sur La Manif pour tous

  • Entrevue du CNC #8 : Pierre-Antoine, responsable du cercle Les Non-Alignés - Troisième partie

    Entrevue du CNC #8 : Pierre-Antoine, responsable du cercle Les Non-Alignés 

    Troisième partie

    7) Quels sont les radios, les revues et les blogs que vous écoutez ou lisez régulièrement et pour quelles raisons ?
    Sur Internet
    Comme tout le monde je lis les grands sites de la mouvance nationale comme Egalité et Réconciliation, Fdesouche, puis les sites plus petits mais d’orientation métapolitique comme le vôtre, scriptoblog ou encore Polémia. Evidemment les sites des mouvements politiques mais aussi les sites des journaux du « système ». Pour certains dossiers, ou juste pour savoir ce qu’ils pensent de nous et surtout afin de connaitre ce qu’ils veulent faire penser à la population. Une fois que l’on a identifié que les médias sont en fait le second pouvoir et non pas le quatrième, qu’ils sont en fait directement l’extension de la finance internationale et son instrument idéologique sur les populations, on comprend toute l’importance de la guerre cognitive, de l’ « infoguerre », du « Soft-power ».
    (Sur ce thème : http://www.egaliteetreconciliation.fr/L-Empire-invisible-...)
    Des sites comme Eurosynergies et toutes ses ramifications proches ou lointaines ou encore Theatrum Belli, nos amis de Metamag entre autre. En Italien, aussi comme : Noreporter, Il Dissidente, Centrostudilaruna. J’en découvre régulièrement, je viens par exemple de découvrir par un ami Atala.fr ainsi que « Thuleanperspective ». Deux sites qui explorent des champs d’investigation passionnants et encore assez inédits sur nos origines les plus lointaines. Il y a aussi toute la galaxie des sites catholiques traditionalistes comme Laportelatine, le site de la FSSPX, ou encore Eschaton.ch, Sodalitium etc. Toute la galaxie aussi des sites chrétiens orthodoxes. Ces derniers m’intéressant particulièrement pour tout ce qui touche à une part fondamentale de notre identité européenne, ce que l’on peut appeler l’orient européen. Grand Est-européen qui est un poumon de vitalité ethnoculturelle à connaître et préserver et auquel se ressourcer pour les européens de l’ouest non encore totalement américanisés.
    Ceci dit de mémoire et parmi une multitude de sites pouvant participer de notre combat métapolitique et métaculturel au sens large. A l’heure actuelle, et de plus en plus, ce qu’il faut arriver à maitriser en priorité avec internet c’est la dissémination de l’information et l’éclatement du savoir. Il y a autant de site que d’acteurs sociaux ou intellectuels. Il est impossible d’arriver à tout explorer. L’éclatement du savoir est un phénomène de fond de notre époque que plus personne ne semble arriver à juguler dans notre société : ni église, ni parti, ni lobby, ni think-tank, cela même avec les meilleures intentions du monde. J’use pour ma part, dans cette mer gigantesque et houleuse, d’un critère et d’une boussole : la capacité de discernement et la volonté d’arriver à terme à une synthèse qui aille dans le sens de notre vision du monde. Le critère de discrimination des connaissances dont j’use est simple : nous combattons pour une vision du monde « alter-européenne », le critère premier c’est la centralité de la civilisation européenne. Tout ce qui est européen est nôtre. Tout ce qui est bon pour la civilisation européenne est bon pour nous. Tout ce qui parle de la civilisation européenne parle de nous. Je ne suis sûr de rien mais je suis sûr de cela.  
    L’information, le savoir, la culture ne sont pas neutres, le seul moyen d’arriver à se mouvoir dans ce chaos apparent c’est d’avoir une vision du monde comme outil de discrimination des contenus proposés. Dans le monde s’affrontent, se combattent, se mélangent, se rejettent ou disparaissent les visions du monde et les idéologies. Arriver à se hisser jusqu’à une capacité de synthèse et de vision est le critère de discernement principal de la guerre cognitive qui domine les sociétés humaine de ce début de XXI ème siècle. Tout se joue d’abord au niveau des représentations avant que de se déchainer en passions collectives si les peuples en sont encore capables.
    Globalement, nous sommes entrés dans l’âge de l’information depuis les années 70.  L’arrivée d’internet dans les années 90 et sa centralité dans la vie sociale aujourd’hui est un bouleversement majeur que l’on est obligé de chevaucher et que l’on peine à appréhender totalement. Cela ouvre des perspectives incroyables. Une bataille se jouera bientôt entre deux visions de cet outil : la vision unipolaire américano-centrée de l’internet ou bien celle que défendent les acteurs non-alignés de l’infoguerre comme la Russie, celle d’un internet multipolaire indépendant des Etats-Unis. Notre site « Les Non-Alignés » se situent bien évidement résolument dans la deuxième perspective.
    Dans les années à venir nous ferons toujours plus évoluer notre média. LNA participe à son niveau et avec ses moyens dissidents à l’élaboration en cours des contre-médias et de ce que j’appelle la « réinfosphère ». Il y a un chantier gigantesque à développer en direction de la formation à distance par internet entre autre choses ou bien encore dans la production de contenus de qualité. Je pense que dans les prochaines années on verra des médias alternatifs devenir de vraies puissances culturelles et économiques. Nous ne sommes qu’au début d’une révolution à laquelle LNA participe pleinement à son modeste niveau. Principalement en se situant au centre de toutes les perspectives de dissidence cognitive. Se tenir au centre, avoir un centre, est comme toujours la priorité. On voit déjà la capacité qu’ont eue Dieudonné ou E&R à générer une économie alternative viable en matière de contre-culture. Déjà d’autres acteurs émergent comme Méta-TV ou bien des projets de télévisions identitaires. On est au début d’une révolution et d’une redistribution des rôles au niveau culturel et métapolitique. L’horrible couvercle de mal-être et de pessimisme organisé qui pèse sur la culture française et européenne depuis notre enfance finira par sauter, j’en suis persuadé. Nous le ferons sauter. Tous les courants contre-culturels qui ont contribué à nous former de manière souterraine vont bientôt ressortir au grand jour. Déjà en Grèce des élus d’Aube Dorée sont des « black-métalleux » ( !), déjà en France Dieudonné et Soral deviennent des phénomènes de masse, déjà en Italie la culture de la droite radicale est la principale culture alternative organisée. La « circulation des élites » c’est maintenant ! Et ça va faire très mal aux oligarchies médiatiques. Il faut tout faire pour contrecarrer le nihilisme culturel en cours et le remplacer progressivement par notre vision du monde, par ce que nous sommes et n’avons jamais cessé d’être. 
    Le grand défi face à l’éclatement des informations et des connaissances réside dans la capacité de discernement et de synthèse. Celui ou ceux qui sauront produire des médias qui projettent avec autorité - et non plus de manière anarchique et désorganisée - du contenu métapolitique, ceux-là gagneront la guerre de l’information et renverront « ceux qui nous nient » dans les cordes pour longtemps. Les « effacistes » de notre mémoire et les « remplacistes » de notre substance ethnoculturelle comme les appelle J-Y Le Gallou.
    C’est d’ailleurs l’une des clefs du succès d’E&R et d’Alain Soral que de proposer un contre-média synthétique qui regroupe une foule de contenus divers sous un label autoritaire qui confère une légitimité : E&R et Kontre Kulture. Passer ses nuits et ses journées à rechercher sur le web tout le contenu intéressant a ses limites. Il faut des récepteurs-émetteurs de ce contenu qui le trient et le synthétisent pour un public plus large et avec une ligne éditoriale souple mais ferme. Ce que font E&R ou Fdesouche.
    Autoritaire comme la télévision, cela pour une foule qui se cherche de nouveaux de nouveaux cadres de vie, de nouveaux coachs, de nouveaux maîtres (dans le cas du public de Soral par exemple).
    Notre spécificité avec LNA se situe là aussi : nous visons quant à nous à former des hommes libres et différenciés, donc forcément moins nombreux. Nous produisons du contenu exigeant mais accessible dans le sens d’une orientation métapolitique de cette vaste nébuleuse de contestation réticulaire que l’on appelle « dissidence ». Nous reconnaissons à chacun ses réussites et ses succès, ceux de la dissidence autour du couple principal Dieudonné / Soral et ses satellites principaux : Hillard, Drac etc. Comme nous reconnaissons aussi très bien les échecs ou les retards pris par notre camp : celui de l’Europe spirituel et ethnique. A nous, ethno et alter-européens d’être à la hauteur des enjeux d’aujourd’hui. Si vraiment demain nous appartient comme chante l’un de nos hymnes de foi et de combat.

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  • Béatrice Bourges plus déterminée que jamais à faire tomber Hollande

  • Thierry Mariani et Paul-Marie Coûteaux viennent soutenir Béatrice Bourges

     

    3Paul Marie Coûteaux et Thierry Mariani sont venus rencontrer Béatrice Bourges, accompagnés de l'équipe TV de la Chaine parlementaire.

    Puis c'est l'équipe du Petit Journal de Canal+ qui est venu sur place, tandis que le GAV BUS stationne juste derrière.
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    Un entretien sous haute surveillance :

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    Béatrice en quasi garde à vue :

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    Michel Janva

  • Une ancienne icône gay se convertit et épouse une femme

    Lu ici le récit de la conversion et du mariage de Michael Glatze :

    "L'information est passée inaperçue en France, et pour cause ! Elle ne plaît guère aux lobbys LGBT qui réclament une tolérance qu'ils sont totalement incapables de manifester...

    Michael Glatze - véritable icône du milieu gay - s'est marié le 26 octobre 2013 avec une femme prénommée Rebekah. En 2007, quelques années avant cet heureux événement, il avait quitté le magazine homosexuel "Young Gay America" - qu'il avait co-fondé et pour lequel il occupait le poste de Rédacteur-en-Chef -, en raison de sa conversion au Christianisme. En effet, au grand dam des lobbys LGBT, Michael Glatze est devenu un «born again», autrement dit : un chrétien «né de nouveau», en référence aux paroles du Christ, lors de son rdv avec Nicodème" (suite).

    Lahire