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tradition - Page 264

  • Témoins de Jehovah et dessins sataniques.

    Laurent Glauzy évoque cet aspect, détaillé dans son livre disponible ici.

  • La Manif pour tous lance son « Grenelle de la famille »

     

    La Manif pour tous lance son « Grenelle de la famille »

    PARIS (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation) - La Manif pour tous est « extrêmement inquiète » de ce que prépare Dominique Bertinotti dans son « projet de loi Familles ». Ludovine de la Rochère a donc annoncé, vendredi le lancement du « Grenelle de la famille ». Il se composera en forums thématiques dans six provinces, plus de quarante experts donneront leurs avis. Plusieurs projets seront débattus avec le grand public sur un site Internet dédié. Le lancement de ce Grenelle est prévu mercredi prochain à Bordeaux.

    Pour appuyer cette annonce, samedi se déroulait la 2e « journée du port du sweat »
    N’en déplaise à Madame Bertinotti, le mouvement n’est pas éteint, et comme le dit si bien Albéric Dumont, coordinateur de la Manif pour tous : « Un rien pourrait nous faire repartir ». Ainsi samedi, on pouvait voir, en plus du jaune automnal, devant les mairies, les préfectures, le ministère de la famille, les couleurs rose et bleu de la Manif pour tous. Une manière de rappeler au Conseil constitutionnel – qui doit rendre prochainement une décision sur la clause de conscience des maires – que les manifestants sont toujours présents.

    http://fr.novopress.info/142169/la-manif-pour-tous-lance-son-grenelle-de-la-famille/

  • Jacques Bompard interpelle par l'absurde le ministère des droits des femmes

    BLes méfaits de la théorie du genre gagneraient aujourd'hui à être davantage exposés au grand public. C'est fort de cette certitude et conscient du temps et des fonds publics alloués par les locataires du pouvoir que Jacques Bompard député maire d'Orange a voulu interpeller le ministère public.

    Dans ses questions 29006, 29011 29012 et 29013 il a ainsi voulu montrer à Mme le ministre délégué au droit des femmes combien cette action excluait le sens commun de son analyse. Ainsi il rappelait que 90,7% des aides-soignants sont des femmes. Comme 86,6% des sages-femmes et plus généralement 76,6% du personnel hospitalier. De là à considérer que les descendantes d'Eve possèdent quelque prédispositions à l'empathie il n'y a qu'un pas. Le ministre délégué ne semble ainsi pas comprendre l'ironie du président de la ligue du Sud quand il déclare:

    "Il lui demande si le Gouvernement entend changer le nom réactionnaire et rétrograde de la profession de sage-femme et prendre des mesures pour y favoriser la parité."

    Un pas que Mme Najat Vallaud-Belkacem refuse totalement, prisonnière qu'elle est de la théorie du genre puisque sa réponse du 23 juillet nous indiquait : "La lutte contre les stéréotypes genrés, dès l'école, est une priorité de la ministre des droits des femmes." Elle ajoute, comble du ridicule vue les situations évoquées: "La mixité, dans l'ensemble des métiers, et à tous les niveaux hiérarchiques reflète l'égalité des sexes." Pire dans la page 7831 du Journal Officiel elle nous apprend que le gouvernement déconstruit la réalité:

    "La suppression des connotations genrées dans l'ensemble des fiches métiers est en cours."

    Mais rassurez-vous, la théorie du genre n'existe pas. Monsieur Jacques Bompard attend également une réponse du gouvernement suite à sa question 39571 concernant la composition du Conseil Consultatif national d'éthique.

    M. Jacques Bompard attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le renouvellement du Comité consultatif national d'éthique. Les dernières nominations du CCNE voient la disparition de ses membres religieux. L'ensemble des autorités religieuses, comme toutes les personnes soucieuses de pluralisme, de démocratie et de libertés sont non seulement surprises mais furieuses de la mise à l'écart du monde religieux. En effet, il est partie prenante de la notion même d'éthique. Des personnalités proches de la gauche ont été nommées. Consulter ses amis ne nécessite pas l'existence ou la maintenance de structures onéreuses et permanentes. Il lui demande d'arrêter de croire que les Français peuvent se laisser manipuler par de tels procédés.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Journée du sweat à Saint-Raphaël

     

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    L'équipe de Saint Raphaël (Var) pour la journée du port du sweat de La Manif Pour Tous samedi 12 octobre 2013, devant le palais des Congrès où se déroulait une réunion de la 5 ème circonscription UMP du Var !

     

    Les veilleurs de Fréjus- Saint Raphaël, se réunissent désormais le vendredi de 20h30 à 22h, square de Provence (sur le pont bord de mer, limite Fréjus Saint Raphaël, à côté du manège) tous les 15 jours, à partir du 25 octobre 2013.

    Michel Janva

  • Les 30 ans de la manifestation pour l'école libre

    Le 22 octobre 1983 avait lieu la première manifestation régionale pour le LIBRE choix de l'école de nos enfants.

    A quelques jours de cet anniversaire et pour cette occasion, le C4D (association de défense pour la LIBERTE du choix d'école) aimerait collecter vos souvenirs : Comment avez-vous vécu cette période ? Y avez-vous participé ? De quelle manière ? Quel souvenir avec le recul du temps en avez-vous conservé ? Et toute autre impression qui vous viendrait en tête…

    TOUT nous intéresse, par avance MERCI de nous contacter :

    • Soit par voie postale : Comité du 4 Décembre, 15 Rue Leglas Maurice, BP 44104 44041 NANTES Cédex 1
    • Soit par courriel à l'adresse suivante : comite4decembre@gmail.com"

    Michel Janva

  • Espagne: 160 000 anti-indépendantistes manifestent à Barcelone

    Brandissant une bannière géante de 100 mètres unissant drapeaux espagnol et catalan, des dizaines de milliers de personnes sont venues manifester en famille samedi à Barcelone pour l’unité de l’Espagne, en réponse à l’immense chaîne humaine indépendantiste du 11 septembre.

    Dans une ambiance festive, les manifestants, dont certains portaient un tee-shirt bleu ciel qui reprenait le slogan « Nous sommes 47 millions » d’Espagnols, ont inondé la place Catalogne aux couleurs jaune et rouge des drapeaux espagnols et catalans.

    « Tenemos un solo corazon » (nous n’avons qu’un cœur) proclamaient aussi certaines pancartes affichant un cœur, moitié drapeau catalan, moitié espagnol.

    Ils étaient entre 30.000, selon la mairie de Barcelone et 160.000 participants, selon l’organisation « Som Catalunya, Somos España » (Nous sommes la Catalogne, nous sommes l’Espagne), soutenue par le Parti populaire, (PP, droite au pouvoir).

    « La majorité silencieuse a rompu le silence. La chaîne humaine indépendantiste n’est pas l’unique image de la Catalogne », a lancé la présidente du PP de Catalogne, Alicia Sanchez-Camacho, qui portait des lunettes aux couleurs catalanes.

    « Nous vivons un moment de crise et aujourd’hui plus que jamais nous devons faire équipe, tous ensemble nous nous en sortirons », ont clamé les organisateurs dans un manifeste lu à la foule par des athlètes espagnols.

    Les organisateurs entendaient répondre aux indépendantistes qui ont formé symboliquement le 11 septembre, pour le Jour de la Catalogne, une immense chaîne humaine de plusieurs centaines de milliers de personnes du nord au sud de cette importante région du nord-est de l’Espagne.

    Dans la foule, nombre de manifestants s’inquiétaient de la radicalisation et de l’indépendantisme, craignant une Catalogne indépendante qui sortirait de l’Union européenne.

    « Moi, je suis espagnole et catalane, les deux choses à la fois. Elles sont très présentes en moi. La seule chose que je demande aux responsables politiques c’est que ce ne soit pas eux qui nous divisent », a dit à l’AFP Maria Luisa Arrota, une retraitée de 67 ans.

    La Catalogne est en proie à une forte poussée indépendantiste depuis plus d’un an, exacerbée par la crise économique.

    Le président nationaliste de Catalogne Artur Mas est en conflit ouvert avec le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy depuis qu’il a rejeté en septembre 2012 un « pacte fiscal » octroyant plus d’autonomie financière à cette région qui compte pour environ un cinquième de la richesse du pays mais qui est lourdement endettée.

    Depuis, Artur Mas, au départ modéré, a durci le ton, poussé par la gauche indépendantiste devenue deuxième force du parlement régional après les élections de novembre, et s’est engagé à organiser un référendum d’autodétermination en 2014. Madrid y est farouchement opposé.

    En marge de ce grand rassemblement, quelques centaines de manifestants d’extrême droite ont défilé, sous haute surveillance policière, dans le centre de Barcelone. Ils se sont rassemblés à l’appel de l’organisation « L’Espagne en marche » qui regroupe des petits partis de La Phalange, l’Alliance nationale ou encore le mouvement catholique espagnol. De nombreux policiers avaient été déployés pour éviter tout incident avec une contre-manifestation de groupes anti-fascistes qui ont défilé sans incident.

    AFP via Libération

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Espagne-160-000-anti

  • Sortir du système partisan pour entrer dans une vision politique au service du bien commun

     

    Béatrice Bourges est interrogée dans Présent. Extraits :

     

    B"[...] Ma conviction est que tous les partis politiques existants ne sont pas intrinsèquement porteurs d’une véritable vision anthropologique, et que la vie politique à venir connaîtra une rupture à son sujet, précisément. D’un côté, il y aura ceux qui se reconnaissent dans la forme de société individualiste et hédoniste portée par le gouvernement actuel, mais initiée par les gouvernements précédents, quels qu’ils soient. L’homme y est réduit à un producteur-consommateur qui se suffit à lui-même et qui n’a plus de transcendance. Le désir y devient un droit. C’est très exactement le germe du totalitarisme, car ce sont toujours les plus faibles qui en font les frais. De l’autre côté, il y aura ceux qui reconnaissent l’homme dans son essence et dans sa transcendance. Celui-là sait qu’il n’est qu’un maillon de l’humanité, et il accepte la faiblesse et la fragilité de l’homme en tant que force de la société.

    C’est un paradoxe ? Mais je suis persuadée que la force d’une société réside dans l’accueil qu’elle fait aux plus faibles. C’est aussi chrétien. Mais dans ce monde où prévaut le mythe du surhomme, et même du super-enfant, de l’enfant parfait, donc déshumanisé, la société ne tient dans son humanité que par la place qu’elle fait aux plus faibles et aux plus fragiles, en reconnaissant qu’elle a un Créateur. Que l’homme ne se suffit pas à lui-même. Il a cette relation verticale, mais aussi une relation horizontale qui lui fait dire : « Je ne suis rien sans les autres. »

    La rupture se fera là-dessus, elle pourra se faire dans chacun des partis actuels. La politique de demain sera de l’ordre du « métapartisan » : ce à quoi je travaille maintenant, c’est de savoir comment traduire ces convictions en langage politique et aider ceux qui, dans chaque parti politique, pensent cela. Pour qu’ils puissent en toute liberté sortir de leur système partisan pour entrer dans une vision politique au service du bien commun.

    Il faut reconnaître que c’est difficile pour les hommes politiques, car pour le moment rien d’autre n’est proposé. Il faut leur demander d’être des héros, mais tout le monde en a-t-il l’étoffe ? Il faut donc travailler à leur offrir la plate-forme nécessaire, mais aussi la pensée nécessaire. Notre objectif est de faire tomber le système, de reprendre le pouvoir, et c’est sur cela que je mets des mots. Si nous voulons que notre concept devienne réalité, il faut essayer de reprendre le pouvoir, et essayer de le reprendre rapidement pour éviter que les dégâts ne soient encore plus grands. [...]

    Il faut d’abord fluidifier les relations entre les partis et en finir avec la rupture artificielle : faire sauter ce « front républicain » absurde, insensé, inventé par Mitterrand qui doit d’ailleurs se frotter les mains car c’était un plan de génie. Le système s’effondrera alors de lui-même. A l’intérieur de l’UMP, on voit déjà les divisions entre Copé et Fillon, les pas en avant et en arrière, mais à l’intérieur du Front national on observe aussi ces divisions. Je crois que le FN tient grâce au système qu’il appelle « UMPS » – c’est d’ailleurs joliment dit parce que c’est vrai – mais si l’UMPS n’existait pas je ne sais pas ce que deviendrait le Front national puisque, je pense, il est lui-même traversé par cette rupture. Quand ce système tombera, il va bien falloir que le Front national se questionne sur ces sujets qui sont les vrais sujets, il y sera obligé.

    Ce que je reproche aux partis politiques, quels qu’ils soient, c’est de ne pas avoir de colonne vertébrale. Ils proposent des mesures cosmétiques comme solutions à de vrais problèmes : l’insécurité, la nation, la justice, l’économie, la dette… Mais ils oublient la colonne vertébrale du bien commun : cet équilibre très subtil entre l’intérêt général et le respect des personnes.

    Lorsque le système s’effondrera, le Front national sera obligé de se poser ces questions, puisqu’il deviendra le seul parti dominant. Se bornera-t-il à proposer des mesures contre l’immigration, contre l’insécurité, contre l’Europe ? A ce propos, je ne dis pas du tout qu’il a tort – mais ce n’est pas un programme, c’est du « contre ». Quelle est la société de l’espérance qu’il proposera ? [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/10/sortir-du-syst%C3%A8me-partisan-pour-entrer-dans-une-vision-politique-au-service-du-bien-commun.html

  • La Manif pour tous en Italie

    De notre correspondante à Rome :

     

    DSC_0009"Tandis que le Sénat italien s'apprête à examiner le projet de loi Scalfarotto-Leone instituant un délit d'homophobie, le peuple italien, échaudé par les lois française et britanique sur le « mariage » homosexuel, veut prendre les devants et contester en amont toute tentative de « bâillonnement des consciences ». Dans un pays où la liberté d'expression n'est pas un vain mot – presse quotidienne prolifique, maisons d'éditions encore, pour certaines, indépendantes- et où la police de l'arrière-pensée n'a pas encore édicté ses lois,  nombreux sont ceux qui dénoncent ce qui se cache derrière ce projet de loi .

    DSC_0016 Ainsi, Domenico Airoma, magistrat-expert auprès des intitutions européennes, dans un entretien au magazine Tempi, définit ce projet de loi comme « une mesure qui vient de loin », née d'une conception du droit »qui n'a rien de libéral, qui est l'expression d'un relativisme agressif, qui veut démolir et aller au-delà de toutes les limites, à commencer par le fait naturel ».

    Le député Eugenia Roccella, pour sa part, appelait dès l'été dernier les italiens à prendre modèle sur la Manif pour Tous françaisem. C'est chose faite : hier au Panthéon à Rome, à l'initiative de la Manif Pour Tous Italia s'est tenue une manifestation contre la loi anti-homophobie, contre le bâillonnement des consciences dont le malheureux Guido Barilla fut sans doute la première victime.

    DSC_0019 Environ 300 personnes dont beaucoup de jeunes, « armés » de bougies, de baillons symboliques et de T-Shirt LMPT aux couleurs de l'Italie ont voulu réaffirmer leur droit à la liberté d'expression. Après une tentative – assez symbolique, nous sommes en Italie !- d'observer  une minute de silence avec un baillon sur le visage, les jeunes organisateurs du mouvement ont procédé à une gigantesque distribution de pâtes...Barilla !"

    Lahire  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/