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tradition - Page 300

  • Interdire les toilettes à un garçon que ses parents croient fille ? Discrimination !

    Le garçon en question a six ans. Oui, six ans ! A Denver, Colorado, le petit Coy Mathis fréquente une école élémentaire depuis la rentrée 2011. En l'inscrivant, ses parents avaient demandé qu'il soit traité, comme il l'était déjà à la maison, en petite fille, expliquant qu'il est « transgenre » : jusqu'à l'hiver dernier, le petit Coy avait donc accès aux toilettes des filles, là où il y avait des toilettes séparées. Mais, sans que l'école rende la raison publique, cela lui a été interdit au retour des vacances. Il lui était proposé d'utiliser les toilettes des garçons, celles des professeurs ou celles de l'infirmière de l'école.
    Colère et indignation des parents !

    Sa maman, Kathryn Mathis, a souligné combien il était « dangereux » pour une petite fille de devoir utiliser les toilettes des garçons… Avec son époux, Jeremy, un ancien Marine, elle en a fait une affaire très médiatisée, accordant des interviews à la presse et apparaissant dans des talk-shows à la télévision.

    Les Mathis, assistés du « Transgender Legal Defense and Education Fund », se sont aussitôt tournés vers la Division des droits civiques du Colorado – nous sommes alors en février. Le 18 juin, le directeur de cet organisme, Steven Chavez, explique que l'attitude de l'école rappelle la ségrégation qui avait cours avant le mouvement des droits civiques, cette ségrégation qui reposait sur le principe que les Noirs et les Blancs sont « séparés mais égaux ». Donc, les droits de Coy Mathis avaient été violés. Et son école y est qualifiée d'« hostile, discriminatoire et n'offrant pas un environnement sûr » en raison de son refus de laisser le garçonnet faire usage des toilettes des filles.
    Il n'est peut-être pas nécessaire de préciser que c'est une première…
    Coy Mathis a une grande sœur, autiste, et une petite sœur, et aussi une sœur et un frère nés en même temps que lui : l'autre garçon est autiste lui aussi, et la sœur triplée a été victime d'un virus à la naissance qui l'a laissée paraplégique et elle nécessite des soins constants.
    C'est à cinq mois que ses parents ont commencé à « s'apercevoir » que Coy se sentait fille – parce qu'il avait attrapé la couverture rose d'une de ses sœurs. Plus tard, il ne montrait guère d'intérêt pour les jouets traditionnellement « mâles » et avait plutôt tendance à graviter vers les jouets et les vêtements des filles. A quatre ans, il a expliqué à ses parents que quelque chose clochait dans son corps.
    Déprimé quand on lui coupait les cheveux, il a commencé à refleurir, assurent les parents, lorsqu'ils ont commencé à le traiter comme une fille (ou plus exactement, sans doute, comme ses sœurs…), sur la recommandation d'un psychiatre qui l'a diagnostiqué « transgenre ». Tout le monde s'adresse à lui avec des pronoms féminins et il paraît que, revêtu de robes à froufrous, il (pardon, toute la presse américaine dit « elle ») a retrouvé le sourire. Sans compter que sa mère donne des interviews sur son cas en sa présence.
    Que ce garçon soit victime d'un désordre, soit de lui-même, soit en raison des circonstances familiales, et même pour toute autre raison, paraît évident. Ce qui est notable, c'est le refus de vouloir essayer de traiter le désordre qu'on ne qualifie plus comme tel depuis que l'Association psychiatrique américaine l'a décidé. On a pourtant de nombreux exemples de thérapies réussies qui ont permis à un enfant biologiquement fille ou garçon de se sentir à l'aise dans sa propre identité.
    LifeSite cite la vice-présidente de l'American College of Pediatricians qui, après avoir souligné que les enfants intègrent des messages émis par leurs parents même pendant la petite enfance et que si ces messages sont confus ou brouillés, ce qui peut se refléter dans l'affirmation qu'ils aimeraient faire partie de l'autre sexe. « Le sexe biologique n'est pas un désordre ; permettre à un enfant de désavouer son sexe biologique l'est bel et bien. Personne ne naît transgenre : cela a été établi grâce à des études sur les jumeaux », affirme-t-elle.
    L'université John Hopkins a cessé de pratiquer des opérations de changement de sexe en constatant qu'elles n'entraînent aucune conséquence bénéfique, tandis que certaines personnes opérées finissent même par revenir à leur identité d'origine. Le responsable de ces opérations a abandonné en expliquant qu'« on ne donne pas de liposuccion à un anorexique ».
  • Gender : objection des parents en Espagne

    Leonor Tamayo, objectrice, mère de famille nombreuse, fut la coordinatrice de la campagne contre l’Education pour la Citoyenneté (EpC), contre le gender à l'école. Elle déclare :

     

    "Notre combat contre les enseignements idéologiques de l’ Education pour la Citoyenneté (EpC), que Zapatero a imposé avec sa réforme des programmes scolaires, a commencé il y a déjà sept ans. Dès le début, nous avons clairement vu que la meilleure arme dont nous disposions pour défendre le droit des parents à éduquer leurs enfants était l’objection de conscience, et que les parents eux-mêmes devaient être les acteurs de ce mouvement. Le rôle des grandes associations nationales, des partis politiques ou de l’Eglise devait être de les soutenir mais en aucune façon de se substituer à eux dans leur responsabilité de premiers éducateurs.

    La première étape de l’engagement fut l’édition d’un Guide pour parents, sous forme de questions réponses, permettant de percevoir la gravité du danger, la nécessité de se soulever contre celui-ci, la façon de le faire, tout en incluant quelques notions juridiques élémentaires.

    Nous nous sommes mis en relation avec toutes les associations nationales parentales, familiales et de la liberté de conscience, en leur demandant de soutenir l’initiative et de collaborer à la diffusion de ce guide. Le soutien a été unanime et il englobait les principales associations familiales, les associations officielles de parents des écoles catholiques (qui en Espagne ont un poids très important dans le système éducatif), la direction des centres de l’enseignement privé (le CECE).

    [...] Nous étions loin d’imaginer que notre résistance et notre projet deviendraient un mouvement social sans précédent en Espagne et probablement en Europe, même si nous le désirions et étions prêts à tout donner. En effet, nous ne nous attendions pas à l’énergie, au courage et à la fermeté des parents qui voient la liberté, leurs droits fondamentaux et surtout la formation et l’avenir de leurs enfants menacés. Voilà la clé du succès. [Lire la suite]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Arrestation violente de deux veilleurs hier au cœur de Paris

    Allez jusqu'au bout de la vidéo et diffusez-la autant que possible :

  • Il était une fois dans l’Ouest ou le suicide d’une civilisation, par Frédéric Lafrenière

    Il y a quelques années, la mort de la civilisation occidentale semblait être l’apanage de quelques extrémistes de droite à l’imagination malade. S’il y avait certains signes inquiétants qui ne pouvaient être niés par les sources d’informations officielles, on passait bien vite par-dessus ce qui pouvait devenir une menace aux dogmes judéo-maçonniques.

    Aujourd’hui, les choses sont différentes, nos élites politiques semblent avoir atteint un point de non-retour. Trois exemples suffiront pour démontrer que la classe politique occidentale est plus que jamais incapable de gérer les situations de crise. Cependant, l’ange de la mort commence à frapper de plus en plus fort à la porte de l’Occident. La disparition des nations de race blanche n’est plus une notion abstraite. Nous assistons à des signes de plus en plus inquiétants de faiblesse, d’autisme et d’incompétence de la part de nos gouvernements et de nos élites.

    Le manque de testostéron

    Le vingt-deux mai dernier, un jeune soldat britannique, Lee Rigby, a été tué en pleine rue à Londres. Les deux meurtriers étaient vraiment à l’image du monde voulu par les mondialistes comme Jacques Attali. De parfaits nomades apatrides, d’ascendance africaine, nés en Colombie et vivant à Londres. Ces deux beaux spécimens du village global ont écrasé, poignardé, tailladé et décapité le soldat Rigby. Si les attaques à la machette et au couperet à viande sont monnaie courante au Libéria et en Sierra Leone, elles seraient supposées nous choquer lorsqu’elles se déroulent dans la ville la plus branchée du monde. Face à ce meurtre sordide, le Premier ministre David Cameron a prévenu virilement les soldats britanniques qu’il était «probablement préférable de ne pas apparaître en uniforme dans les rues de Londres». Ouf ! Visiblement, François Hollande a de la concurrence…

    La bonne conscience et l’autisme

    Dans le même ordre d’idées, des émeutes ont éclaté à Stockholm le dix-neuf mai dernier. Le vingt-huit mai, la police a annoncé la fin des violences dans la capitale suédoise. En effet, les forces de l’ordre n’avaient plus qu’à déplorer «quelques» incendies de voitures, ce qui est considéré comme normal… Les bonnes âmes n’ont pas raté l’occasion d’accuser de racisme la police et les résidents de Stockholm qui se sont plaints des dégâts causés par les émeutiers. La Suède est-elle un pays raciste ? C’est certain ! Peu importe le fait que la Suède occupe le quatrième rang dans le monde dans le nombre de demandeurs d’asile et qu’elle soit la deuxième terre d’accueil par rapport à sa population. Il faut savoir que la démocratie est exigeante et demande un oublie de soi complet. La ministre suédoise de la justice, Beatrice Ask, l’a bien compris. Elle a évoqué l’«exclusion sociale» comme la «cause de problèmes très sérieux.»

    Simplement de l’incompétence

    Le trente mai, le Washington Post publiait en première page, une photo d’Ibragim Todashev, professionnel des arts martiaux et surtout ami de Tamerlan Tsarnaev, qui, avec son frère Dzhokhar, a déclenché les bombes durant le marathon de Boston. Todashev, lui-aussi tchétchène, avait été abattu par des agents du FBI, après avoir avoué son rôle et celui de Tamerlan dans le triple assassinat de Waltham, au Massachusetts, en septembre 2011. Cet article avait quand même laissé beaucoup d’Américains pantois.

    Bien que Tamerlan Tsarnaev ait été en contact avec des radicaux musulmans depuis des années et que Moscou ait demandé des renseignements à son sujet, les autorités américaines n’ont rien vu de suspect. Même après un séjour de six mois dans le Caucase où il en a profité pour rencontrer d’autres terroristes tchétchènes, Tamerlan a pu rentrer aux Etats-Unis sans problèmes. Le Homeland Security n’a vu que du feu alors que Tamerlan Tsarnaev avait créé une chaîne Youtube sur laquelle il a posté des vidéos djihadistes. Quant à Djokhar, son frère, il a posté sur Twitter, peu avant les attaques de Boston, des messages montrant clairement son hostilité envers la société occidentale.

    Conclusion

    Depuis les années soixante, les politiques d’immigration ont été dirigées par des gens qui détestent l’Occident. La franc-maçonnerie a décidé de créer une nouvelle société, une nouvelle population plus conforme à ses vues libérales. Fini les liens du sang, l’attachement au terroir et les héros ! Place à la haine de soi pour les populations de race blanche. L’immigration sauvage amène de partout des populations qui n’ont pas renoncé à leurs liens raciaux, religieux, ethniques et culturels. Si le racisme chez les blancs est combattu avec acharnement, même où il n’existe pas, les nouvelles populations immigrées ont, au contraire, beaucoup de comptes à régler avec nous. Les gestes hostiles sont légitimés par un colonialisme dont chaque blancs porte l’odieuse tache originelle. La rhétorique haineuse et la guerre culturelle est encouragée plus que jamais chez les populations immigrantes. Comment pensons-nous que tout cela va se terminer ?

    Source

    http://lacontrerevolution.wordpress.com

  • Les veilleurs, un défi au système médiatique

    Il y en a des choses qui se passent sous le radar médiatique. Tenez, par exemple, le mouvement des veilleurs. J’en ignorais tout,  jusqu’à un matin de cette semaine, j’ai oublié lequel, où en traversant comme à mon habitude la Place Vendôme pour rejoindre mon bureau, j’ai observé une poignée d’hommes et de femmes debout devant la Chancellerie. Tous regardaient dans la même direction et semblaient attendre on ne sait trop quoi. Quelque chose d’indicible les unissait et pourtant ils étaient à distance les uns des autres et ne se parlaient pas. Etonnée, j’ai tapé "Place Vendôme" sur Twitter en arrivant au bureau et j’ai découvert que c’était des veilleurs. Si j’ai bien compris, ils s’inscrivent dans la lignée de la Manifestation pour tous, mais protestent également contre la condamnation de l’un des leurs, prénommé "Nicolas". Toujours sur Twitter, j’ai découvert que ce mouvement ne se se limitait pas à la Place Vendôme. Il y avait d’autres Veilleurs, devant le Palais de justice, sur le trottoir en face de l’Elysée, Place de la République…Mieux, les veilleurs s’organisaient aussi en province et même en Europe. J’ai donc cherché sur Google des articles. Il y en avait dans la presse quotidienne régionale, mais rien au niveau national, et rien donc, concernant Paris. Que les habitants des régions me pardonnent, je ne suis pas responsable de l’excessive centralisation de notre pays et ne m’y associe d’ailleurs aucunement. Mais c’est ainsi. Si la presse nationale ne relaie pas ce qui se passe à Paris, la capitale devient alors sourde et muette. Surtout si même le Parisien se tait.

    20 veilleurs, 10 cars de police

    Mercredi soir, j’ai entrainé avec moi un copain sur la place. Tu vas voir, lui dis-je, toi le subversif, le rebelle, l’insoumis, le provocateur, tu vas aimer.  Il ignorait tout de l’affaire bien qu’il passe ses journées à s’informer sur Internet, au point qu’il en sait plus que moi sur l’actualité et sur tout d’ailleurs alors qu’il n’est pas journaliste. Nous étions en voiture. Un policier en mobylette nous a interdit l’accès à la place. Il faut dire qu’une colonne de cars de CRS (ou de gendarmes, je ne les différencie pas) commençait à l’investir et que notre minuscule véhicule s’était faufilé avec insolence dans le convoi. Nous faisions désordre. Surtout que mon subversif camarade faisait de grands gestes aux conducteurs des camions, tantôt pour les sommer de se pousser, tantôt pour se foutre ouvertement de leur gueule. L’animal est ingérable et je commençais à avoir des sueurs froides. "Je veux voir ça me lance-t-il, tout en se garant d’un coup de volant enthousiaste dans une place miraculeusement libre rue St Honoré. Et nous voici bondissant du véhicule pour nous jeter au coeur de l’événement. Les CRS commençaient à descendre des cars, équipés en robocop, certains étaient allongés sous un camion, visiblement embarrassés par une panne. Subversif Premier, remonté comme un coucou suisse par cette adrénaline de terrain de guerre,  a commencé à  interpeler les forces de l’ordre avec son ironie habituelle sur le thème classique "vous n’auriez pas mieux à faire ailleurs". Fort heureusement, avec sa queue de cheval et son look globalement étrange, ils l’ont pris pour un SDF aviné et ne lui ont opposé qu’un souverain mépris. "Ah ben il est en forme celui-là" ai-je même saisi au vol, ce qui ne m’a rassurée qu’à moitié sur l’issue de notre équipée sauvage. Il est vrai qu’ ils n’étaient pas venus pour lui, mais pour les Veilleurs, dont à l’évidence mon camarade agité ne pouvait faire partie. Ceux-là avaient investi  la place. Ils se tenaient debout, espacés les uns des autres de quelques mètres. Bien alignés. Silencieux. Immobiles. Ils étaient à peine une vingtaine. Face à eux, dix cars de  CRS. Quelques touristes italiens se sont approchés d’un CRS pour savoir de quoi il retournait. Je n’ai pas entendu sa réponse. Il régnait une ambiance étrange. Tant de policiers sur équipés pour si peu d’hommes et de femmes debout et silencieux. Et au nom de quelle loi ? Les réponses officielles ne sont guère convaincantes. J’ignore la suite. Attrapant mon provocateur ami par la manche, je l’ai sommé d’arrêter ses âneries et nous sommes partis. Doté d’un instinct très sûr du rapport de force, je crois qu’il avait compris tout seul qu’il ne fallait pas chauffer davantage les policiers.

    Une marée silencieuse

    Les veilleurs étaient encore là jeudi et vendredi Place Vendôme. C’est comme une marée. Ils sont quelques uns le matin, plus nombreux à midi, puis la vague reflue et ils reviennent le soir. Toujours debout, silencieux, immobiles. C’est incroyable comme leur attitude attire l’attention. Quand tout le monde marche du fameux pas pressé du parisien, ils s’arrêtent. Au milieu du bruit et de la fureur de la capitale, ils se taisent. Absolument. Non seulement ils ne parlent pas (et encore moins ne crient), mais ils n’arborent ni pancarte, ni tee shirt siglé, ni quelque message écrit que ce soit. C’est le silence absolu. Ils sont juste là, immobiles, troublants de détermination. Ne cherchez pas d’articles de presse sur les Veilleurs de la Place Vendôme ou d’ailleurs à Paris. Il n’y en a pas. La cause n’est pas juste, médiatiquement parlant. Le silence et l’immobilité ne font pas de bons sujets. Ils n’ont pas de leaders (en tout cas à ma connaissance) pour organiser des conférences de presse.  Sans image et sans discours, il n’y a pas de sujet possible pour les journalistes. En ce sens, les veilleurs sont profondément subversifs. Si un artiste les croise, quelque part à Paris, je l’invite à s’arrêter et à regarder. C’est un spectacle fascinant. Il suffirait que leur cause soit à la mode pour que les médias du monde entier les observent avec émerveillement. Seulement voilà, on ne regarde jamais que ce que l’on veut bien voir.

    http://laplumedaliocha.wordpress.com

  • Lettre d'un Hommen à ses parents

     

    Hmn1De l'un d'entre eux : 

     

    "Papa, Maman, je suis Hommen !

    Il y a maintenant un an et un mois, un homme a été élu Président de la République. Cet homme avait un programme. Notre erreur fut de ne pas avoir examiné ses propositions suffisamment attentivement et de n’avoir pas réagi lorsqu’il était encore temps. En effet, dans son programme, il s’engageait à légaliser le mariage pour personnes de même sexe ainsi que l’adoption pour les personnes de même sexe. Il annonçait un premier pas dans la destruction de la famille.

    Cet homme, François Hollande a tenu parole. Il a tenu parole contre vents et marées, contre une opposition chaque jour croissante. Il s’est entêté dans cette proposition sans se douter qu’il réveillait une jeunesse qui s’était endormie, il s’est entêté sans se douter un seul instant que nos parents, eux mêmes endormis et silencieux depuis mai 68, malgré un sursaut en 1984 pour défendre l’école privée, allaient se lever fièrement, allaient nous être un soutiens précieux, afin que nous, la jeunesse nouvellement décomplexée de France, prenions notre avenir en main.

    Alors certes, tous ne se fit pas en une semaine. Il fallut que M. Hollande nous ignore pendant des mois et des mois, qu’il envoie M. Valls nous réprimer, pour que ce réveil soit profondément encré en nous. 

    M. Hollande en méprisant plusieurs manifestations d’une importance jamais atteinte sous la gauche, en affichant un certain dédain face à une pétition signée par pas moins de 700 000 citoyens français, en accélérant un calendrier législatif afin de court-circuiter l’opposition et en multipliant les arrestations arbitraires, les gardes à vues, les gazages de femme, enfants, personnes âgées, a certes divisé la France mais a aussi réuni toutes les générations. Oui M. Hollande vous nous avez soudé face à votre projet de loi.

    Dans cette union, chacun a du trouver sa place pour contester à sa manière votre projet de loi destructeur pour la famille. Mon choix a été celui de manifester sous l’apparence des Hommen. Ce choix vous a tout d’abord inquiétés. En effet, que peuvent faire quelques jeunes, torse nu, avec un pantalon de couleur, un masque et un slogan tagué sur le torse si ce n’est s’attirer des ennuis. Pour moi, ce choix se fit plutôt simplement. Ce code vestimentaire que l’on s’impose est nécessaire car il nous permet de parler en notre nom propre mais surtout au nom de chaque jeune, de chaque personne du peuple qui se reconnaît dans notre discours. Ce qui m’a attiré est cette universalité représentée. Mais on ne réalise vraiment ce que cela implique que lorsque l’on effectue sa première action, lorsque quelques minutes avant l’action le rythme cardiaque augmente, on pense à tout ce que l’on risque, tout ce pour quoi nous nous battons…
    Hmn2Cette motivation qu’est la défense de la famille, de l’enfant nous pousse alors à nous dépasser, à éteindre la petite voix qui survient et qui nous dit : « fuis ! Il est encore temps, tu risque gros, quelqu’un d’autre pourra bien s’en charger à ta place ».

    Et c’est cette préoccupation de la famille, du plus petit que soit, qui nous pousse alors à nous jeter sur un terrain de tennis ou pour ma part à voltiger au bout d’une corde sous un pont afin d’accrocher une bannière symbolique de notre combat.

    Le risque présent dans ces moments est alors dominé par un sentiment de justice. Et ce sentiment est renforcé à chaque nouvelle action, à chaque nouvel événement.

    Alors certes, Papa, Maman, vous vous inquiétez et ca n’est pas forcément à tort, mais sachez que votre fils se bat pour une noble cause, et que petit à petit il se construit pour devenir un Homme solide pour la société française. Et son masque de Hommen est là pour vous rappeler qu’il n’est pas seul. Derrière ce masque se trouve chaque jeune qui s’est levé fièrement pour combattre cette loi injuste. 
    C’est pour cela que je vous dis aujourd’hui, Papa, Maman, je suis Hommen mais n’ayez pas peur, ayez confiance en cette génération nouvelle qui se lève et qui ne lâche rien. Cette jeunesse est belle, elle est solide et elle ira très loin dans la défense de ses idées.

    Elle est le fer de lance de l’espérance !!

    Votre fils qui vous aime".

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Femen libérées / Nicolas toujours en taule !

    Ben c’est fait. Nous nous étions promis de suivre de près le sort réservé par la justice aux quinze interpellés « antifa » de la manif de dimanche ; nous ne sommes pas déçus : sur quinze interpellations, deux seulement ont débouché sur une garde à vue. Le premier individu, arrêté pour port d’arme prohibé, a été relâché avant la fin des premières vingt-quatre heures. Le deuxième, un homme de 34 ans, donc plus tout à fait un adolescent (si les manifestants antifa étaient censés être des étudiants comme Méric, celui-ci doit être un peu laborieux dans ses études…), a été gardé à vue pour « rébellion » et « manifestation non autorisée ». Libéré mercredi, il devra se présenter devant le tribunal correctionnel de Paris en septembre prochain. Comme ça, c’est bien, son été ne s’en trouvera pas gâché.

    Si l’on considère les chefs retenus, il faut donc en déduire que cet homme (à son âge, je n’ose plus dire ce garçon), considéré comme le plus « mouillé » dans cette affaire, n’aurait pas touché à une seule vitrine, n’aurait rien abîmé. Ben ça, alors. Qui a foutu le bronx, alors ? Il y a eu un grand coup de vent, un tremblement de terre micro localisé avenue de l’Opéra ? Les assurances vont invoquer l’état de catastrophe naturelle ? Un gars qui fait voler des vitres en éclats, tague, dégrade du mobilier urbain (selon le mot de Valls qui, sur ce coup-là, n’a même pas cherché à nier), c’est quand même un peu voyant ? Les forces de l’ordre qui encadraient la manif étaient donc sourdes, aveugles ou empêchées par l’arthrose de courir pour ne pas avoir réussi à interpeller les vrais coupables si ce ne sont pas les 15 en question ? J’suis bête, ’devaient tous être en récup’, en prévision de la manif « violente » du soir. Celle des « fa » venus soutenir Nicolas.

    Parlons-en, de Nicolas, dont la « rébellion » et le « refus de se soumettre à un prélèvement ADN » n’ont pas inspiré à la justice française — comme nous sommes surpris — autant de mansuétude.

    Sur ce sujet, le ministère public est formel : une telle différence de traitement se justifie très bien. Mais parfaitement. Sans rire. Une semaine avant, Nicolas était passé en comparution immédiate (pour un crime très grave qui était, je crois, d’avoir donné le nom de jeune fille de sa mère plutôt que le sien), tandis que notre trentenaire antifa était blanc comme l’agneau qui vient de naître. Et puis, dit-il, « il ne faut pas comparer les deux affaires, qui sont totalement opposées ». Là, je confirme. Absolument rien à voir : d’un côté l’interpellation d’un homme faite à la suite de déprédations et de vandalisme sur la voie publique, de l’autre celle d’un jeune de 23 ans, sans motif, à l’issue d’une manifestation on ne peut plus calme. Mais n’est pas à Fleury-Mérogis celui que l’on croit.

    Notez au passage que le ministère public ne serait pas le seul à s’acharner sur Nicolas. Le propriétaire de la pizzeria dans laquelle Nicolas s’était réfugié porterait plainte contre lui pour un préjudice estimé à 1.000 euros. Dans le tohu-bohu de l’arrestation, des assiettes se seraient cassées. Là, respect. Grande classe, la Pizza Pino des Champs-Élysées. J’ignorais que l’on vous y servait les spaghettis dans de la porcelaine de Sèvres et le Coca light dans du cristal de Baccarat. Il est vrai qu’eu égard au beau monde qui baguenaude le dimanche sur cette belle avenue, ce raffinement est bien compréhensible. Quant à moi, je n’y mettrai plus les pieds. Maladroite comme je suis, trop peur de trimer le reste de ma vie pour rembourser.

    Coïncidence de dates, ce même mercredi, les Femen de Tunisie, condamnées en appel à la prison avec sursis, ont retrouvé la liberté. Nicolas, qui n’est pas allé provoquer les convictions religieuses et la pudeur de braves gens en exhibant ses roupettes, est lui toujours en taule. Il y en a pour prétendre qu’en Tunisie, la justice serait arriérée et arbitraire. Moins qu’en France, apparemment…

    Gabrielle Cluzel dans Booulevard Voltaire

    http://fr.altermedia.info

  • 1 millions d’emplois tout de suite, les solidaristes ont des solutions à la crise

    1 millions d’emplois tout de suite, les solidaristes ont des solutions à la crise
    Le solidarisme est la doctrine du bon sens et de l’action concrète au service de notre peuple. Aujourd’hui, notre pays traverse une crise sans précèdent, qui dépasse dans ses effets à venir la sinistrement célèbre crise de 1929. Comme à cette époque, les forces vives de la France sont touchées. Les entreprises ferment et les rangs de chômeurs s’allongent. Notre objectif est de répondre en solidariste à la grave crise que nous subissons, c'est-à-dire de trouver une solution concrète, immédiate et de bon sens au malheur qui nous touche. Les raisons du cataclysme économique mondial qui nous submerge entrent peu dans cette réflexion immédiate. Elles ont été développées succinctement lors d’un article précédent. Nos entreprises ferment et nos chômeurs augmentent : notre unique sujet est ici : « comment endiguer cette catastrophe ? »

    Les grandes entreprises en France délocalisent dans les pays du tiers monde parce qu’elles y ont un intérêt immédiat. Pour remédier à cette saignée des emplois, nos gouvernants n’ont songé qu’à solliciter les grands groupes étrangers afin de s’installer dans notre pays. Dans ce but ils échangent des subventions d’installations énormes et des défiscalisations contre la création d’emplois. À la fin du moratoire sur les taxes et impôts, et après avoir empoché les subventions, ces mêmes groupes plient boutique avec armes et bagages, laissant le goût amer du vol et de l’abandon. Ces grandes sociétés sont d’un cynisme insoutenable mais prévisible. En effet, quels sont leurs intérêts ou raisons de rester en France après avoir bien profité de nous ? Aucun. On ne peut pas demander à un loup d’être berger. Alors les réponses pour empêcher les délocalisations, les fermetures d’usines et pour préserver ou même créer des emplois ne se feront pas avec ces partenaires-là. Tout au contraire, et c’est du bon sens, la réponse ne pourra être que locale, nationale. En effet, qu’elles sont les entreprises qui n’ont aucun intérêt à délocaliser ? Les petites et moyennes entreprises, les commerces et les artisans. Étrangement, cette classe la plus sollicitée fiscalement, la plus nombreuse aussi (93% des entreprises en France ont moins de 10 salariés et elles représentent à elles seules 67% de la masse salariale) est la grande oubliée de nos dirigeants, énarques français et eurocrates de Bruxelles. Alors, en solidaristes, nous allons nous servir de ce levier pour remettre sur les rails notre économie.

    Nous souffrons, à l’heure actuelle, d’avoir autour de 4 millions de demandeurs d’emplois. Cela représente près d’un quart de la masse salariale de notre pays ! D’un autre coté, près de 70% des entreprises françaises n’ont pas de salariés, soit plus de 2 millions d’entreprises. Il est étonnant qu’aucun énarque ou ministre n’ait eu l’idée de confronter ces deux chiffres. S’ils y avaient pensé, ils se seraient demandé quelle était la raison de cette spécificité entrepreneuriale française. Les raisons sont simples, la première est le coût trop élevé des charges salariales pour l’entreprise et la seconde, surtout en temps de crise, est la peur le cas échéant, si le carnet de commande baissait brusquement, de ne plus pouvoir payer leurs employés. En effet, il faut se rappeler que les charges salariales représentent plus de 60% du coût d’un salaire avec une répartition d’un tiers pour le salarié et de deux tiers pour l’entreprise (à l’exception des salariés qui sont au SMIC).

    Alors, comme aux grands maux, les grands remèdes, nous, solidaristes, préconisons, pour remettre notre pays en ordre de marche, de créer un grand pacte de solidarité national, ayant pour effet d’allier dans une union sacrée contre la crise l’État, les patrons et les travailleurs. Ce grand pacte doit donner du travail. Il s’accompagnera de grandes réformes institutionnelles et non de vœux pieux ou de promesses. La solidarité en est le maître mot, tous les acteurs sociaux, et notamment l’État seront mis à contribution. Ce grand pacte doit agir immédiatement sur le monde du travail par une embauche massive et une série de réformes des institutions qui gèrent et régulent ce travail, notamment les tribunaux de commerces et les URSAFF. En effet, nous proposons un grand plan pour sauver un million de chômeurs. Ils seraient embauchés dès demain, dans un nouveau contrat de travail sans charges sociales, et cela sur une durée maximum de deux ans. Cela créerait un ballon d’oxygène pour notre économie asphyxiée par les quatre millions de demandeurs d’emplois de courte et longue durée qui, pour la plupart ne peuvent être embauchés compte tenu des charges sociales trop élevées et de la législation actuelle du code du travail.

    Le premier résultat concret de cette proposition est une économie substantielle pour notre pays qui n’aura plus à payer les indemnités de chômage. Le second est le retour à l’emploi de ces chômeurs et par voie de conséquence la relance de la consommation. Un million de contribuables en plus, cela n’est pas négligeable ! Il est important de souligner que l’exonération des charges sociales ne peut, en aucun cas, être un coût supplémentaire pour l’État puisque ces chômeurs étaient déjà bénéficiaires de la protection sociale payée par l’assurance chômage.

    Naturellement ce contrat de solidarité nationale de deux ans sans charges doit être soumis à quelques obligations : il sera réservé aux chômeurs et non pas aux simples demandeurs d’emplois. Le salaire proposé devra être supérieur au SMIC d’au moins 15%. Ce contrat ne peut concerner, par entreprise, plus de 20% des salariés (cela pour les entreprises ayant au moins cinq employés). Il ne peut être interrompu que par accord mutuel des deux partis. Mais il peut être interrompu si les fluctuations économiques de l’entreprise l’imposent. C'est-à-dire si l’entreprise est dans l’impossibilité comptable de payer ce salaire. Si licenciement économique il doit y avoir ce sont les bénéficiaires de ce contrat de solidarité nationale qui seront les premiers visées, pour deux raisons : d’abord afin d’éviter de créer un dumping social sur les autres contrats de travail, ensuite pour dissuader les fraudes « au turn-over » Toute rupture se règlera sans indemnités car le salarié retrouvera aussitôt son statut de chômeur et les allocations correspondantes.

    Pour être complet, ce grand pacte de solidarité nationale doit s’étendre de la création d’emplois à la préservation de ceux-ci. Dans le cadre de la préservation des emplois existants, une autre mesure urgente à mettre en chantier sera la mise en place d’un moratoire social et fiscal pour les entreprises en difficultés, comme cela a été plusieurs fois le cas dans notre histoire lorsque des conditions exceptionnelles l’ont imposé. Cette mesure nécessaire enrayerait une grande partie des liquidations actuelles et à venir des entreprises existantes. La très grande majorité des liquidations et du chômage qui en découle est causée par le défaut de règlement des charges sociales. En effet, il faut savoir que nous avons, à ce jour, des tribunaux de commerce qui remplissent leurs audiences uniquement par des affaires d’URSAFF, avec la particularité de demander chaque fois la cessation des paiements et la mise en liquidation.
    Dans ce cadre, le grand pacte de solidarité nationale assurera la création d’une commission de surveillance des entreprises qui évaluera le coût de la liquidation d’une entreprise en retard de ses charges sociales et fiscales par rapport au coût qu’engendrerait la mise au chômage de son personnel. Il faut comprendre que toute liquidation a notamment un coup social. En effet, les employés mis au chômage sont non seulement un drame social en soi mais aussi une ruine pour la dépense publique. Souvent les dettes qui motivent une liquidation sont bien moindres que le coût social de la mise au chômage des employés de l’entreprise liquidée. Le seul bénéficiaire de cette justice expéditive est l’URSAFF qui touche ainsi les cotisations qu’elle réclame. Il est à noter que la commission de surveillance des entreprises, lors de certains retards dans le paiement des charges sociales ou fiscales, pourrait prendre partiellement en charge leur coût lorsque cela représenterait une économie importante par rapport à la liquidation de l’entreprise par un fond de solidarité.

    Terminons le dernier volet de la réforme : celle des URSAFF. Il faut en effet analyser leur rôle dans la crise sociale qui nous accable. Cette association à but non lucratif gère un budget une fois et demi supérieur à celui de l’État et cela dans la plus grande opacité. Cet organisme collecteur pour le compte du Régime Général, si intraitable avec nos entrepreneurs, ne se refuse rien. D’abord, il se permet, sur nos cotisations d’entretenir une centaine d’antennes d’URSAFF qui ont toutes un conseil d’administration et un budget de fonctionnement propre. Les URSSAF ont de surcroît un budget de fonctionnement général et plus particulièrement de formation à la hauteur de 10% de celui-ci ! C'est-à-dire 10% d’une fois et demi le budget de la France !

    Alors, parce que cette association de la loi de 1901 est un vrai gouffre pour nos cotisations, pour cet argent que nous n’avons plus, parce que ses pouvoirs sont totalement disproportionnés, et que l’URSAFF, par son attitude intraitable, est responsable de la majeure partie des mises en liquidation de nos entreprises, nous demandons sa dissolution et le rattachement de son activité au ministère des finances. Cette décision permettrait de faire des économies incalculables, de retrouver une trésorerie claire et une administration fluidifiée.

    Création d’un contrat de travail solidaire, moratoire des dettes sociales et fiscales, réformes des tribunaux de commerces et dissolution des URSSAF, voilà le grand pacte de solidarité nationale. Par ces réformes radicales, qui feraient agir de front, dans une union sacrée contre la crise, l’État, les petits patrons et les travailleurs, nous pourrions, tous ensemble, remettre notre pays sur les rails. Cette solution qui prône l’action concrète, le bon sens et la solidarité, c’est le solidarisme.

  • Dictature socialiste : nous la mettrons à bas !

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    Communiqué d’Yvan Benedetti en réaction à une procédure de dissolution des Jeunesses Nationalistes et de l’Œuvre française

    Le gouvernement est exsangue. A bout de souffle, il ne sait plus comment nous faire taire, sans doute sait-il qu’il n’y parviendra jamais. Sa dernière tentative : une procédure discriminatoire en vue de la dissolution des Jeunesses Nationalistes, fondées par Alexandre Gabriac et de l’Œuvre française que je préside. Comble de l’infamie, cette forfaiture a été commise au nom du gouvernement par une direction dite des libertés publiques. Quand on ne sait inventer, on en vient à copier. Aussi ce gouvernement socialiste finit-il par recourir aux méthodes qui ont déjà servi autrefois pour « la chasse aux nationalistes ». On retrouve les références à la guerre d’Espagne d’un Emmanuel Valls en proie aux relents anti-fascistes viscéraux, au goût immodéré pour les dissolutions comme arme du désespoir, d’un Ayrault qui n’en n’a pas même l’orthographe, mais tente de s’inspirer des faits de guerre du Front Populaire pour mettre à bas cette France non reniée qui ne veut pas s’éteindre. En s’en prenant à l’ Œuvre française, ils attaquent un mouvement de près d’un demi-siècle, qui n’a jamais fait l’objet de condamnation pas plus que d’interdiction, dont le fondateur, Pierre Sidos a vu deux de ses frères tomber pour la Patrie et qui est l’héritier d’un père héros de Verdun.

    Tant de références qui devraient susciter le respect, tant de références qui ne peuvent chez eux qu’attiser la haine, car eux sont l’anti-France. N’arrivant pas à dissoudre les individus par une répression toujours plus forte, c’est collectivement qu’ils tentent de nous atteindre par une procédure liberticide, calomnieuse, illégitime, contraire aux beaux principes dont ils se font les chantres, contraire même à la Constitution dont les droits semblent n’avoir été écrits que pour ceux par qui elle a été rédigée et les devoirs pour ceux contre lesquels elle a été instituée. Ce gouvernement de coqs a-t-il sans doute pris goût aux défaites, des taux record du chômage, à l’augmentation de la dette, à l’insécurité croissante, à la bêtise crasse, à l’immoralisation de la vie politique, à l’idéologie sectaire… il tente désormais d’ajouter à la longue liste celle de la mort programmée du Nationalisme.

    Leur démocratie est prétendument fondée sur la légitimité populaire. Où se trouve la légitimité d’un gouvernement qui a connu huit échecs sur les huit dernières échéances électorales, dont les sondages d’opinion sont plus qu’un camouflet, un véritable désaveu, dont les moralisateurs sont tous corrompus jusqu’à la mœlle, dont l’imposture idéologique n’a d’écho tangible que l’imposture morale, dont l’oreille est sourde aux cris du peuple qui souffre chaque jour un peu plus. Ne trouvant plus sa légitimité dans le peuple qui l’a abandonné puis renié, c’est dans la violence que le gouvernement l’a définitivement perdu, instaurant une véritable tyrannie. Mais la dictature socialiste tombera, comme elle est toujours tombée, et avant même que le Nationalisme n’ait vacillé. La liberté n’est pas un alibi, elle est une arme affûtée dont le couperet tombera. Elle n’est pas celle illusoire des contes démocratiques, mais celle bien réelle des révolutions.

    Qui souffrirait de voir se prolonger le diktat imposé par les persécutions policières, les arrestations arbitraires, le gazage des femmes et des enfants, les rétentions illégitimes … qui ? Certainement pas le peuple, certainement pas la France ! Certainement pas nous ! Le poing levé ne parera pas le coup franc ! Alors mobilisation générale contre ce mauvais coup porté non seulement contre nous mais aussi contre les libertés. Cette dictature socialiste nous la mettrons à bas, et ça, ça n’est pas un vœu pieux, c’est une promesse. Pas l’ Œuvre française, non. Pas les Jeunesses Nationalistes, non. Le peuple, la France ! En avant la victoire !

    Yvan BENEDETTI, président de l’Œuvre française envers et contre tout

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